« Wesh cousin », un véritable enrichissement culturel que ce verbiage, par Rousseau

« Wallah mon frère, wesh cousin »
Un véritable enrichissement cultu(r)el que ce verbiage, assurément…

Je ne supporte plus cet accent duquel se dégage haine, violence avec ces incessantes références au coran.

Ces émeutes me font en tout cas penser à celle qui s’était produite lors d’une distribution de billets qu’avait concoctée une société informatique à Paris, en novembre 2009, et qui avait finalement été annulée à la dernière minute.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/la-distribution-de-billets-tourne-a-l-emeute-15-11-2009-711856.php

Intifada anti-forces de l’ordre, saccage du mobilier urbain, de véhicules, tabassage d’un journaliste par plusieurs « jeunes » etc.

Exactement comme lorsque le Paris, pardon, Qatar Saint-Germain est allé fêter je ne sais quel titre sur les Champs-Elysées cette année, avec une émeute provoquée par le même type de population…

Rousseau 

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4 Commentaires

  1. N’est ce pas ? JE suis assez fière de dire que malgré tout le temps que mes enfants ont passé dans le 93, où ce sabir a court, respectivement 21 ans, 18 ans, 15 ans et 12 ans, ils n’ont jamais usé de ce langage. Bien sûr ils savent le faire, mais le refusent. Leur langue est la langue française, celle de Molière, Hugo, Verlaine etc etc
    L’ennui est que ce langage gagne toutes les provinces.
    J’ai, avant les vacances effectué une vacation comme professeur de français dans une classe de 6ème et 2 de 5 ème, dans un grand établissement privé sous contrat du grand ouest. Et bien hormis mon effarement devant le niveau crasse de mes élèves, heureusement que je savais parler wesh. J’ai pu les coincer et les faire travailler sur l’orthographe, la grammaire et autre syntaxe. Avec moi, pas de parlé « caillera » et pas d’écrits en « kikoulol ». Le français et rien que le français.
    ce que je regrette? Que la titulaire soit revenue. Je les aimais bien mes cancres et je crois que eux aussi m’aimaient bien, au final.

  2. Le « wesh-wesh » est malheureusement le français de demain si on n’y met pas un frein. Bientôt, c’est nous qui ne serons plus compris sur notre sol.

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