Veillons au salut de l’Empire
1er couplet
Veillons au salut de l’empire
Veillons au maintien de nos droits (lois)
Si le despotisme conspire
Conspirons la perte des rois.
Refrain
Liberté !
Liberté !
Que tout mortel te rende hommage !
Tyrans tremblez !
Plutôt la mort que l’esclavage,
C’est la devise des Français
Liberté !
Liberté !
Que tout mortel te rende hommage !
Tyrans tremblez !
Vous allez expier vos forfaits
Plutôt la mort que l’esclavage,
C’est la devise des Français.
2ème couplet
Du salut de notre patrie
Dépend celui de l’univers;
Si jamais elle est asservie,
Tous les peuples sont dans les fers.
3ème couplet
Ennemis de la tyrannie,
Paraissez tous, armez vos bras !
Du fond de l’Europe avilie,
Marchez avec nous aux combats !
Paroles de : Boy – musique de : Dalayrac (1787)
Orchestration de : Gossec en 1792
Chansons sous la Révolution
http://pm.lasseron.free.fr/ie/chanson2.htm
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Cette chanson est plus que jamais d’actualité.
Les despotes de gauche ont remplacé la royauté … et le peuple est comme toujours floué en ces circonstances.
L’idéologie socialiste qui veut aussi remplacer la population française par une population africaine et maghrébine est aussi néfaste que la royauté de droit ( soi-disant divin ) et lentement mais surement le peuple français va se soulever pour chasser ces manipulateurs, ces traîtres, ces nouveaux collaborateurs du 21ème siècle.
Et bien NON … l’ISLAMISATION DE LA FRANCE NE PASSERA PAS !
Le Peuple Français qui est en train d’ouvrir les yeux va se mobiliser pour s’y opposer dans cette guerre invasive qui n’a jamais été déclarée officiellement mais qui se propage sournoisement un peu plus chaque jour. Les martyrs sont chaque jour un pu plus nombreux !
La liberté de penser, de parler, d’agir et de résister n’est pas négociable alors que des lois de plus en plus injustes sont mises en place par les pseudos » défenseurs des droits de l’homme » pour nous empêcher de la défendre … Paul ELUARD ( pourtant poète communiste ) la célébrait pendant la guerre, en 1942, dans sa poésie » Liberté »
Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque bouffées d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes raisons réunies
J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté
Paul Eluard, Poésies et vérités, 1942
Merci François pour ce rappel si juste