Témoignage du Père Henri Boulad,
Pauvres Frères musulmans persécutés !…
Henri Boulad, sj
Le Caire, le 17 août 2013
L’Occident tout entier est outré, offusqué, scandalisé parce que l’armée égyptienne a osé déloger les Frères musulmans des deux bastions de Rabia et de Nahda, où ils s’étaient barricadés depuis plusieurs semaines. Bilan : plus de six cents morts dans les deux camps.
Aussitôt, les média bien pensants poussent des cris d’orfraie et demandent que le Conseil de Sécurité et les associations internationales des droits de l’homme condamnent avec la plus extrême fermeté cette sauvage agression.
Pauvres Frères musulmans victimes de la violence ! Ces gentils moutons, bien connus pour leur douceur et leur innocence, sont l’objet de procédés inacceptables. Il faut donc les défendre contre les loups dévorants de l’armée et de la police égyptiennes. USA, Grande Bretagne, France, Allemagne, Turquie, Onu… se lèvent alors comme un seul homme pour dénoncer l’injustice, défendre ces innocents et inviter le monde à voler à leur secours. Les média internationaux enfourchent aussitôt Pégase pour pourfendre les coupables…
Cette levée de boucliers pour réclamer et proclamer le droit de tout citoyen à manifester « pacifiquement » a quelque chose de tragi-comique.
Mais, passons aux faits :
– La mosquée de Rabaa, où s’étaient enfermés les Frères, était une véritable poudrière, où l’on a découvert un arsenal de guerre inouï. Aucune dénonciation de l’Occident.
– Depuis des semaines, les milices des Frères, armées jusqu’aux dents, sèment la terreur dans l’ensemble de la population d’Egypte : meurtres, enlèvements, kidnappings, demande de rançons, rapt et viol de filles mariées de force à des musulmans. Aucune réaction de l’Occident.
– Plus d’une vingtaine de postes de police pillés et brûlés ; près d’une cinquantaine de policiers et d’officiers massacrés et torturés de la manière la plus sauvage. Silence de l’Occident.
– Mausolées soufis détruits et familles chiites massacrées ne soulèvent aucune émotion internationale.
– Une cinquantaine d’églises, d’écoles et d’institutions chrétiennes brûlées dans la seule journée du 14 août. Aucune protestation de la part de l’Occident.
– Prêtres et chrétiens attaqués et tués – dont des enfants en bas âge – pour la seule raison qu’ils sont chrétiens. Aucune dénonciation occidentale qui serait taxée d’ « islamophobie », qui est aujourd’hui le crime des crimes.
– Près de 1500 personnes massacrées par les milices de Morsi au cours de son année de règne. Silence des médias
– Accords secrets de Morsi pour vendre l’Egypte à ses voisins, morceau par morceau : 40% du Sinaï à Hamas et aux Palestiniens, la Nubie à Omar el-Béchir, et la portion ouest du territoire à la Libye… Tout cela est pain béni pour l’Occident, puisque c’est son œuvre…
Lorsque l’Egypte décide enfin de réagir pour mettre un peu d’ordre dans la baraque… l’Occident crie à la persécution, à l’injustice, au scandale.
Ce n’est un secret pour personne que les élections présidentielles furent une vaste mascarade et que le scrutin fut entaché d’énormes fraudes. Malgré tout, les média persistent à affirmer que Morsi a été le premier président de l’histoire d’Egypte élu « démocratiquement » et qu’il a pour lui la « légitimité ».
Le peuple égyptien, qui a bon dos, a quand même accepté de jouer le jeu, en se disant : voyons-les à l’œuvre. Le résultat fut tellement catastrophique – insécurité, chômage, inflation, pénuries de pain et d’essence, économie en chute libre, tourisme agonisant… – que l’ensemble de la population, au bout d’un an, demande à Morsi de dégager.
En moins de deux mois, le mouvement « Tamarrod » rassemble plus de 22 millions de signatures réclamant son départ. En vain ! Face à son obstination, plusieurs dizaines de millions d’Egyptiens – dont une majorité de gens du petit peuple qui étaient ses anciens partisans – déferlent dans les rues des grandes villes pour exiger son départ. Encore en vain !
L’armée – jusqu’alors neutre – se décide à intervenir pour soutenir le peuple et écarter l’indésirable, qu’elle garde en résidence surveillée. Au cours de longues heures d’interrogatoire, elle obtient de lui des révélations d’une gravité exceptionnelle, qui compromettent aussi bien les Frères musulmans qu’un certain nombre de pays étrangers.
Face à la prise de pouvoir de l’armée, l’Occident crie aussitôt au « coup d’Etat ». Si « coup d’Etat » il y a eu, celui-ci fut populaire et non militaire, l’armée n’ayant fait qu’obtempérer à la volonté du peuple. Celui-ci, excédé par un président qui l’avait trompé, floué, berné, a donc, par une réaction de survie, réclamé son départ.
Une petite histoire très savoureuse illustre bien ce que je dis. Quelqu’un achète au marché une boîte de conserves qui, une fois ouverte, se révèle avariée. Que va-t-il faire ? La manger ou la jeter ? La jeter bien entendu. C’est un peu ce qu’a fait le peuple égyptien auquel Morsi et les Frères promettaient monts et merveilles. Une fois la boîte ouverte, il s’est aperçu que l’intérieur était pourri. D’où sa réaction de rejet.
Suite à l’exclusion de Morsi, l’armée a voulu quand même associer les Frères musulmans au nouveau gouvernement en leur proposant de faire équipe avec les autres tendances. Ils se sont heurtés à un refus obstiné et systématique.
Après de nombreuses tentatives infructueuses de dialogue et de négociations avec eux, un nouveau gouvernement provisoire est mis en place.
Ils décident alors de « prendre le maquis » et de semer la terreur, ce en quoi ils ont bien réussi. Mais cette stratégie ne fait qu’augmenter leur impopularité, et l’on peut dire aujourd’hui que le peuple égyptien les exècre et les honnit.
Equipés des armes les plus sophistiquées, ils s’organisent un peu partout pour brûler, attaquer, tuer, détruire…
L’armée décrète alors l’état d’urgence et impose un couvre-feu du coucher au lever du soleil. Mais les Frères musulmans s’estiment dispensés d’obéir. Hier soir, 16 août, de ma chambre, toute proche de l’avenue et de la place Ramsès grouillantes de leurs miliciens, j’entends explosions, coups de feu et tirs de mitraillette provenant des rues avoisinantes.
Après plusieurs sommations aux jeunes de rentrer chez eux, l’armée décide alors d’envoyer ses chars pour faire respecter le couvre-feu. Face aux dégâts probables, l’Occident bien pensant incriminera alors l’armée d’avoir eu le culot d’attaquer des manifestants « pacifiques »…
Mais de qui se moque-t-on ?…
Père Boulad
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Cadeau, ce sera long à lire, mais voici la déclaration du Général Sissi à la télévision dimanche soir. L’ayant vu en direct, j’ai trouvé Sissi d’un calme incroyable et très posé. A quand un chef de cette envergure en france.
Word of General Abdel Fattah Al-Sisi
Commander in Chief
Deputy Prime Minister, Minister of Defense & Military Production
Sunday, August 18, 2013
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Before I start, I’d like to call on all of you to pay homage to the blessed souls of the military and police martyrs of the last days. I’d like to speak openly to you that every time I start my words, I always say « we, all of us here, are honorable men, we are sincere men ». Mark my words: do not ever think you stand for treachery or betrayal, cunning or conspiracy, never. We have no such traits and I hereby reiterate this truth. I remind you and myself of who we are: we do not know how to deceive or conspire, betray or do mischief. We are an honorable and patriotic institution that showed full respect, appreciation and honor for a whole year. This is the time frame I set for my word today to remind both of us that we acted honorably and sincerely. We reported every assessment of what we saw coming. And I say what we are approaching now is no surprise neither for them nor for us. We could see that coming very clearly. We gave alerts and said that Egypt would be doomed to meet a fate of civil strife with a religious tilt. We said the existing conflict would shift from a political to a religious strife. Some would fuel the tension among the people to falsely project a war against Islam and the Moslems. No.. Never. Whoever you are this is off limit. You think you own Islam? Hasn’t anybody told you who we are? We might as well be devout Moslems as keen as you on Islam. I want you to know that if you find something in Islam that terrifies or frightens you, take a moment and think it over. Let me say that again. If you find in the Islam one offers you something frightening, scaring or terrifying, then you need to verify such Islam. Never has Islam been as such, frightening or terrifying no matter who speaks about Islam and how good they are. Islam can simply reach everyone and can embrace all. After the Eminent Mufti spoke about Islam, no one can say more. I just wanted to briefly refer to that.
The clip you just showed reminds us of what happened last November. At that time we said « Gentlemen, you need to get together. Sit down for reconciliation. This is what matters. Together, find a way out ». That did not target single people; it was meant for all. Nothing happened. Later, while at the Military Academy we said the conflict was causing the country to drift to a dark tunnel. At that time, people wondered why General Al-Sisi was giving that alarm, why heading to a dark tunnel. I want here to stress that people were not caught off guard. Absolutely not. In taking every action, we were candid, fair and honest. We were sincere and above all we provided insight, a clear understanding of a doomed future. We said if we did not tackle those issues, we would likely slip into a civil strife. Be careful… Those were our words. And we were patient, time and again, and spoke utterly with those in-charge. We alarmed them of the huge problem the country was heading to. We warned against a civil war and told them that I, the military, wouldn’t know what to do. If those millions of people taking out to the streets were not heard, they would turn aggressive. At that moment, the pro-regime would misperceive that they were defending Islam. I said that loud and clear, and God is my witness, this year in March to the former president. I told him exactly what was going to happen and said the hands of the military would be tied should that take place. How would I ever handle or deal with that? This is what was said. We hid nothing from them nor did we hide any of the subsequent developments of the situation and what it would lead to. We saw that coming, we were concerned, and we warned against it so that we would not come to this point. However, the practices of a nascent democracy in a country like Egypt are still fledging. For people to become adept and handle things their own way takes years. What I saw, frankly, was that the past regime used democracy as a ladder to ascend to power. Then did it kick off the ladder afterwards? What do you think? No. It took the ladder and was kept up there with the authority. It kept the ladder so that no one else would climb. I swear to God once again, I was told they came to rule for five hundred years, five hundred years. How come? One will rule as long as the people have consent. One will rule as long as the people are satisfied with the performance. One will rule as long as the people accept that. But, will you rule and suppress the will of the people? Almighty, himself, grants people their free will to whether worship Him or not. You know what this means? It means God gives man the choice either to believe in Him or to disbelieve. Then, on the Doom’s Day, everyone will stand before the Lord and justify their choice. Everyone will be held accountable for their free choosing. But, you want to rule me and you imagine you own the truth, the exclusive truth, while we all are not as righteous. You then will teach us religion and goodness and we will have to submissive and accepting and you will not let us do otherwise. To you I say NO. No, the Egyptians have a free will and are entitled to choose their ruler as they please. And we are entrusted to guard such will. The military and the police –now- are entrusted to ensure the will of the people to freely choose their rulers. Definitely. To those people I say: never imagine we don’t see things clearly, or that we don’t have clean hands. No. We fear God and know we’ll stand before Him. We’re not afraid of death. We only fear the Lord who will judge us. And as we firmly believe that what we do is right, we do not heed death, at all. We know death keeps no calendar and that its whereabouts lies in the hands of our Maker. But it is the people’s will that God Almighty bestows on them; can anyone dare take that away while we are here? I answered that before and said we’d rather die first.
It is significant here to address a relevant issue. Some say this is a military rule. I solemnly swear this is not a military rule. Neither is there a desire nor a will to rule Egypt. I’d like you to know that the honor of guarding the people’s will is more sublime, to us and to me personally, than the honor of ruling Egypt… and God is my witness. The honor of protecting the people’s will and freedom of choice and freedom of leading their own life is, to me and I swear to God, greater than the honor of ruling Egypt. Listen carefully, we aspire for nothing but to see our country standing proudly worldwide, nothing more. I mentioned the military rule because there are people, some people, who think what we did was to backtrack and rule Egypt once again. No. When we declared the roadmap, the communiqué was clear. There are an interim president and a team of advisors who are leading the country and the Premier along with the ministers who heads the cabinet of which I am a just member. Nothing more. And I don’t desire for more. This is the case here, it is not a military government. Listen to me closely. I am saying this because I want my colleagues in the military and the police as well as the audience to know exactly where we stand. What we simply did was to spare the country a major crisis and a civil strife. We said we were ready to switch places with the Egyptians. I say: instead of having Egyptians fight each other, people can fight us and we will protect everybody. How many are going to fight us compared to a whole population fighting one another. The latter may claim thousands if not millions of lives. But to fight us, we can endure anything for the sake of our country. Are we to blame for loving our country? You blame us for loving our homeland?
If otherwise, would life be worth living, my fellow men? Or what would manhood or chivalry stand for when people at home get scared and terrified while we complacently live our life? What will we say to our Maker on the Day of Judgment? Aren’t we the ones responsible for the security of the people? Should they be frightened or horrified while we are around? This is the responsibility and duty we will be held accountable for before God. He will ask us if we’ve delivered for the people and ensured their will. I’ve elaborated because we need to recognize the magnitude of what we did and why we did it. We did not act for power or office, or even desired to alienate anyone. We said we would respect the will of the Egyptians and had turned over the authority, for real, to whom the people chose. Yet, the Egyptians, in less than a year, said that was enough. The Egyptians wanted that no more and took out to the streets in millions. This is important … on 26 July, on 24 July; we called upon the people to take out to the streets to give us a mandate to counter potential violence and terror. On 24 July at 2 O’clock in the afternoon, I sent my message to all Egyptians and requested them to grant us a mandate to check POTENTIAL violence and terror. Truly, scores of millions flooded the streets. But behind the call was an aim that did not only target what we requested from the Egyptians. It was a proof to the whole world -that failed to recognize the Egyptians- and the media, the foreign media that also denied the people what they were capable of in only one and a half days to act. One should have seen the numbers responding on such short notice only to contemplate what that reflected, what that expressed. Could that huge number have moved unless there had been a real will, a real demand for change and support of the new reality? This is number one. Two, it was an opportunity for that faction to see for themselves, if they could not see that before, that it was a real popular will and a real rejection. Third, it is a must for the military and police personnel to think deeply about what they are doing. You need to see how much trust the Egyptians have laid in us. This is momentous. And we are up to it. With God’s will, we can bear this trust. And the people went out on the 26th to say, « You now act in the name of the people of Egypt to guard this nation against potential violence and terrorism ». Well, the people thought that a day or two later we would deal with the sit-ins in Nahda and Raba’a. But, we offered enough time to those, near and far, to whoever asked to mediate, to resolve the crisis peacefully. When we met with them we used to leave them with a question that still holds: do the others, not we, intend to engage politically or to move toward a confrontation? If this question is answered, any other thing is feasible. Are the others ready to join their fellow Egyptians in elections based on real democratic process in the coming period according to the declared path? Or are they seeking a confrontation? These were the questions I raised with all officials who came to Egypt. I asked them about the others’ strategic objective. What is it? Is it to destroy the country or join in the building effort? This is important and things need to be clear. If this comes to the building and the reconstruction of the country, then who dares refuse that? But if the target is to destroy the homeland and the people, then who dares accept that? Who dares approve of that? Or rather, who dares stand still? NO. Devastating a country and its people will never go unpunished. I am not threatening anyone, I am not threatening. I merely say that if the target is the destruction of the country and people of Egypt, then here is a big NO. We are fully prepared. An act like this brings the wrath of God. The Lord approves no such thing. But, while some are wrongdoers, we’ll be there for them. And the more they amend themselves, the closer we’ll be in their support.
I will speak about the lost opportunities, the once opened windows. Here, I’d like to say that over this past year, there were numerous chances for corrective paths and possible convergence of the former regime and the rest of the players among the political forces, the public opinion and others. Unfortunately, time and again opportunities were missed. Intransigence, misperception of the right path, and the illusions of an all-out conspiracy by the judiciary, the media, the political powers, the military -no need to mention more- were overwhelming. Well, I said then « would you rule yourselves and that’s it? Or would you rather lead the whole Egyptian nation? If you wish so, then find a formula for common understanding, cooperation and co-existing among all shades of the Egyptian people ». Yet, this did not happen. Here, I would reiterate the sequence of the opportunities. Initially, demands called for a small government reshuffle and the change of the Prosecutor-General. Then, the calls rose to demand an extensive cabinet change. Next, the whole government was to be removed. It was a lost opportunity after another while we were firmly alarming them that the country was drifting toward a dangerous confrontation. The problem is that their dominating ideology is completely different from that of a state and I mentioned that before. The perception, the mindset, is entirely different and produces claims of having the absolute and conspicuous truth while the others are totally astray. If so, and 95 percent of the Egyptians are the latter, why then are you keen on ruling them? I asked. A lost opportunity it is. A seven-day deadline was wasted so were the extra and final 48 hours.
I’d like here to probe the value and weight of the homeland in the hearts and minds of those individuals. Mind this: if it is either my fall or the country’s, which will I choose? Does the sense of duty, responsibility and devotion dictate the fall of the country or the fall of the regime? Who is to go? It’s definitely the regime. It is a farewell then, but Egypt stays. This is the thoughtful answer of any patriotic leader who loves God and country. It is Egypt versus the regime what then? Is it either to tear down the whole country or to rule? Then it is a simply NO. We should never rule if the people are deprived from security and peace. Let me say that again; if you do not rule, people can live safely and peacefully and the country survives, then don’t rule. But no, it seems THEY have a different agenda. THEY’d rather tear the country apart and take down its military and police. Within days, police stations and facilities would collapse similar to what happened on 25 and 28 January, 2011. People would be terrorized. For two years, the people, men and women in the street walking and riding, have lived under the shadow of fear generated by the rulers’ illusion of reform. I’m saying this because it could have been avoided when we met with the former president and requested to put himself in a public referendum the result of which would silence the opposition should he win or silence the supporters should he lose. Anyone who leads a country and upholds the higher interest of the nation will simply accept this. But no… it was like either his way or no way. It was either he or chaos; either he or the bloodshed. Why does it have to be like this? Don’t the people have the right to say NO? He said, « Wait four years and then we’ll see in the next presidential elections ». Can the country afford four whole years? Those were all lost opportunities. Again I say, the communiqué came in clear wording and sorted out all conflicts simply and quietly. We declared that within nine months a well-designed roadmap would put us back on track. The one with a majority would have a second chance. It was a simple solution without having to resort to a single extraordinary measure.
Let me pause here to address an extremely important point. I don’t want to utter so many solemn oaths, yet God bears witness to my words: never ever has any coordination taken place internationally with any country regarding any such issues. When I say we are honorable men, I MEAN it. These are not empty words. We had no coordination or collaboration with any party. Nor did we ask for permission to protect our country, at all.
Just like that another opportunity was lost. It would have been possible for the supporters to stand down once the communiqué was issued and reassess their position. At that crossroad, one should wonder how we reached that point, what the best interest of the country was and how well we delivered. Impartially, one could resign to the circumstance and perhaps apologize for the mismanagement of the country during that year. Yes, apologize for the poor performance they delivered for the people of Egypt. Say thank you and apologize then put yourself together and move on. Now, isn’t that another opportunity yet to be wasted? Isn’t it? Because this simply could have spared us what happened, to say the least. That chaotic time would have been avoided had that opportunity been seized. Then look at what happened the following days. There were attempts to change the situation by force. Innocent people were attacked in the streets. Then, another lost opportunity was in the wake of 26 July. While Egyptians took to the streets on that day, a mischief was contrived overnight only to leave the foreign media with a violent last impression. And THEY would cry: « We are being killed, we are being persecuted ». This is the picture THEY fake to the media. I say to them, « You are not planning to serve your country. You are not planning to make your country greater. You are not planning to serve your fellow citizens. You are only plotting to rule them and nothing more. And to you I say [and to everybody] the challenges facing our country are colossal. Perhaps, I did not bring up that topic before, at least not publicly. But I shared this concern with all political powers I’ve met since April or rather March 2011. I had a different duty at the time and I used to tell them that the security, political, social, economic, and even religious challenges were immeasurable in Egypt. These are accumulations of long years. Unless the Egyptians unite in solidarity, the challenges can overwhelm Egypt. But they cannot beat the Egyptians. Yes, the challenges existing in Egypt are huge, perhaps too big for a country like Egypt, but not unconquerable before the capabilities of the Egyptian nation and its people. The people are capable of overcoming them. If this is the case, do some imagine they can manage while alienating the 90 or 95 percent of the Egyptians? Can anybody imagine that they alone can lead to the country and take it to safety and peace? This is impossible. Again, that was another example of the lost opportunities. Yes, lost opportunities. What we are undergoing now is a continuation of those opportunities unless we come together… unless we become as one.
If there is a perception that violence can get the country or the people to kneel, there is a need to reconsider. NO, and I’ll say it again; it’s not going to happen as long as the military and the police are on the alert. And I say to you, the military and the police, Egypt totally entrusts us, all of us, so be good keepers of this trust. It’s not like that we call for elimination or attrition. What we’ll do is that we will defend our homeland and our people.
Well, is the path we’ve declared vulnerable to change? NO. This is a roadmap that offers Egyptians a chance to regain their free will and cast their free votes. Whoever wins the most votes will be duly recognized. Again, this is relevant to the missed opportunities I have been mentioning only to hope there will be no more lost opportunities. This country can embrace people beyond limit. But, the confrontation will not serve the purpose of its seekers because we’re predetermined to protect Egypt and the Egyptians. I repeat it is our unwavering commitment to guarding the Egyptian nation… not only committed but capable, as well. I’d like to say to my fellow Egyptians: you took to the streets to give us a mandate and a command to provide you security and counter potential violence and terror. Let me take some time on this topic because it did not merely mean the dissolution of Raba’a. This may be a continued effort, to be clearly stated. I also say to Egyptians that your taking out is an obligation on all of us, but you have a role, too. For us, we will sacrifice our souls to fulfill our duty. And we will sacrifice lovingly for the Egyptians, all Egyptians, Moslems and Christians all the same, for this homeland. As for you, wherever you live, you have neighbors. I hope you’ll take up a positive role with neighbors who have different affiliation. Be prudent, be benevolent and ask those neighbors to please stay home. Tell them the country needs them now and ask them not to go out to join the commotion. Tell them you and they need to build the country together. Tell them the last thing we need now is more violence or more bloodshed. If Egyptians can do that all over the country, their role, although some may see little, will be very significant in the protection of Egypt just as important as the role we do as military and police.
Remember what we said during the combat inspection of the 9th Division. We said standing hours and hours in the voting lines was much better than any other thing. Those words were not directed only to the supporters but also to the opposition. Instead of sitting in Raba’a for 45 days, you can wait 10 hours in line and cast your free vote. Yes, it is a simple but significant role on the part of the citizens. Another role of the Egyptian citizens is never to fear or panic … calm down. No one will be allowed to frighten our people or terrorize them, ever. And please, double your effort at work and don’t give anyone from such current the chance to interrupt your work. Let’s all work, let’s build our country and let’s move forward. This is what we need to do. We want the Egyptian citizens to play their roles, all Egyptians. Tell those neighbors please no more. If we can do this, we will effectively contribute to avoid bloodshed and casualties. We will moreover help quell this sedition. I’m not asking for much yet it is a positive role. And again, don’t let anybody interrupt the work because this is another form of tearing the country down. We all need to carry on work and if some of them are around, request them to work along or keep silent. But work should by no means get interrupted. This is the country of all of us.
Another outstanding role is undertaken by Al-Azhar. This institution is the religious authority in Egypt. Terrorism and extremism will never be countered unless Al-Azhar receives our highest respect and esteem. We will hold Al-Azhar in the most dignified position. I shouldn’t be understood as encouraging Al-Azhar; I am only stating facts. Both Al-Azhar and the Church as religious institutions should have the upper hand when it comes to religious teachings. By the way, we in the Armed Forces have asked a host of eminent clerics to write us the Friday Sermons for the 52 weeks of the year to be disseminated to the units and read during the Friday Prayers. This is not meant to fill the brains with certain dogmas this is not our style. We simply do not believe that religion, the most cherished part of our entity, can be left for just anyone. This is what I mean when I say that our religious institutions, Al-Azhar and the Church, should be empowered to teach and educate the people about their religion so that we don’t have to go back this same road again.
The Egyptian nature reflects simplicity and tolerance. Yet, Egyptians are not forgetful. They remember well who offend them and are always grateful to those who help. Allow me at this moment to ask you all to express our gratitude and appreciation of those who have given us a hand, our brothers in the Kingdom of Saudi Arabia, and a very special greeting to King Abdullah who has taken the strongest Saudi action for us since 1973. I’ll mention the brothers one at a time so each one can be greeted. This is an honorable Arab stance whether on the part of the brothers in Saudi Arabia, the United Arab Emirates, Kuwait, Jordan or Bahrain. Our thanks and appreciation to all who stand by Egypt. Egypt will always be grateful to you.
In this context, I’d like to send a message to the others. I say to those please reconsider. And if you truly advocate freedom, democracy and legitimacy, then know that legitimacy is in the hands of the Egyptians who grant it to whomever they choose and regain it at will. Legitimacy is the exclusive right of the Egyptians and they are the ones to give and the ones to take it back. So please reconsider. Only Egyptians decide whom to give and when to get it back and we have to respect the Egyptian people. We must show them respect and we must honor their will. Again please reconsider your stances regarding the Egyptian people not anyone else.
I haven’t talked about the security measures of the last few days. They have received a lot of media attention. However, very honestly, we are keen to save bloodshed, seriously. But are the others just as keen to spare the shedding of our blood or not? Equally important: are they just as keen to avoid shedding their own blood or not? When those last few days witness police stations and facilities country-wide come under attack claiming martyrs from the police and lives of some assailants, death becomes the price of a wrong dogma, a misconception. Does anybody think that police stations and precincts will be left to fall and so will Egypt? What for? Why do YOU want Egypt to fall? NO. Police, military and state facilities are off limit. We will not stand still and we will stop this with all force and resolve. We have been absorbing blows over the past months in Sinai. A lot of brave men were either killed or injured on the line of duty and we suffered a lot of damage in the equipment although there was no justification to target the police and the military during the last thirty months, no reason whatsoever. Our men used discretion and were there to secure this precious part of Egypt. They sought no confrontations. They showed maximum restraint and patience in carrying out their missions so things wouldn’t get out of hand. I re-emphasize the degree of restraint and self control in all of our reactions. REACTIONS not actions, because we did not want to see victims even if some of those had the wrong ideology and used arms against us. I tell you there will be on no more of that. There will be no more restraint and absorption of blows because eventually the situation will lead to severely risking the national security of Egypt, to put it bluntly. We won’t allow attacks on police precincts, stations, capitol buildings, state economic assets and facilities and, equally, private property. I am saying there will be no more of this. Once again I say it loud and clear: we will stop that with all force and resolve. The perpetrators are not committing a crime; they are undermining the Egyptian state. If we did not fight back, we would be accomplices in the destruction of Egypt. Would we destroy the country with our own hands? Answer me [audience: no, sir]. I mean it: Would we destroy the country with our own hands? [Audience: NO, SIR]. O.K. then, we will stand up fully alert, vigilant and aware, equipped with all the knowledge we have to fight the violence we’re going to face. Yes, we will be ready, very well-prepared and steadfast. We, people, military and police, are a unified hand.
There were voices calling for dissolving the sit-ins peacefully. That was ensured. We spent days discussing all the details that would enable us to come up with a technique free of casualties. But what can I do and what can my police colleagues do when the security forces were going in to clear the camps only to find individuals on top of surrounding buildings firing at them? What could the police do when armed elements hid among protestors and opened fire? I’m not saying that all protestors were shooting live fire; let it suffice to have 20, 30 or 50 shooters in a protest with that size. For a sit-in and its peaceful dispersing that a lot of voices call for, and I mean foreign voices, to them I say: go back to any typical sit-in you’ve had in your countries, see if one single demonstrator carried a weapon or used violence, and see, if that was the case, how your security dealt with it.
I mention this as I conclude my words and I stress that we are keen on avoiding the bloodshed of all Egyptians. And we are completely honest when we deal with them. I only hope that religious current can reciprocate the same honesty. There is a treacherous nature that some demonstrate, shooting people in the back and excelling in the hit and run. Only yesterday, and it’s not a secret anymore, in the Cairo residential area of Ain Shams while the troops were ensuring the curfew, snipers in an apartment building under the construction [again] targeted our soldiers. I just can’t see why.
For all these actions, we are ready and well-prepared. Finally, I’d like to say that we, in good faith, have open arms for all Egyptians as long as they share the same feelings. If otherwise, then we have no other option but to fight back forcibly and aggressively. Why? In order to protect Egypt, protect the Egyptian State.
The last thing I’ll say is that the protection of the Egyptian State lies on the shoulders of the military, the police and the Egyptian people.
Thank you
Dommage que ce soit en anglais… je l’aurais bien volontiers publiée sinon
traduit par google :
Avant de commencer, je voudrais faire appel à vous tous pour rendre hommage aux âmes bénies des martyrs militaires et policiers des derniers jours. Je tiens à parler ouvertement de vous que chaque fois que je commence mes mots, je dis toujours «nous, nous tous ici, sommes des hommes honorables, nous sommes des hommes sincères». Marquez mes mots: ne pensez jamais que vous représentez trahison ou la trahison, la ruse ou de complot, jamais. Nous n’avons pas de tels traits et je réitérons par la présente cette vérité. Je vous rappelle et me de qui nous sommes: nous ne savons pas combien de tromper ou de conspirer, trahir ou faire du mal. Nous sommes une institution honorable et patriotique qui a montré plein respect, la reconnaissance et l’honneur pendant toute une année. C’est le laps de temps j’ai mis pour ma parole aujourd’hui pour rappeler à chacun de nous que nous avons agi honorablement et sincèrement. Nous avons signalé chaque évaluation de ce que nous avons vu venir. Et je dis que nous nous approchons maintenant n’est pas une surprise ni pour eux ni pour nous. Nous avons pu voir que venir très clairement. Nous avons donné des alertes et déclaré que l’Egypte serait vouée à connaître un destin de guerre civile avec une inclinaison religieuse. Nous avons dit que le conflit actuel serait passer d’une politique à un conflit religieux. Certains pourraient alimenter les tensions entre les gens à tort projeter une guerre contre l’islam et les musulmans. Non. Jamais. Qui que vous soyez présent est hors limite. Vous pensez que vous possédez l’Islam? A pas que quelqu’un vous a dit qui nous sommes? Nous pourrions tout aussi bien être dévots musulmans aussi vive que vous sur l’islam. Je veux que vous sachiez que si vous trouvez quelque chose dans l’Islam qui terrifie ou vous fait peur, prenez un moment et réfléchir. Permettez-moi de le dire. Si vous trouvez dans l’Islam que vous offre quelque chose d’effrayant, effrayer ou terrifiant, alors vous devez vérifier ces Islam. Jamais l’Islam a été en tant que tel, effrayant ou terrifiant, peu importe qui parle de l’Islam et comment ils sont bons. L’Islam ne peut simplement toucher tout le monde et peut embrasser tous. Après le Mufti Eminent a parlé de l’Islam, on ne peut en dire plus. Je voulais juste revenir brièvement sur ce sujet.
Le clip que vous venez montré nous rappelle ce qui s’est passé Novembre dernier. A cette époque, nous avons dit «Messieurs, vous avez besoin de se réunir. Asseyez-vous à la réconciliation. C’est ce qui importe. Ensemble, trouver un moyen de sortir ». Cela n’a pas cibler les personnes seules, il a été conçu pour tous. Rien ne s’est passé. Plus tard, alors à l’Académie militaire, nous avons dit au conflit causait le pays dériver vers un tunnel sombre. A cette époque, les gens se demandaient pourquoi le général Al-Sisi donnait l’alarme, pourquoi se diriger vers un tunnel sombre. Je tiens ici à souligner que les gens n’ont pas été pris au dépourvu. Absolument pas. En prenant chaque action, nous étions franche, juste et honnête. Nous étions sincères et surtout nous a donné un aperçu, une vision claire d’un avenir voué à l’échec. Nous avons dit que si nous ne nous attaquons pas à ces questions, nous aurions probablement glisser dans une guerre civile. Soyez prudent … Ce sont nos mots. Et nous avons été patients, maintes et maintes fois, et avons parlé tout à fait avec ceux en charge. Nous leur alarmés de l’énorme problème du pays se dirigeait vers. Nous avons mis en garde contre une guerre civile et leur ai dit que, l’armée ne sais pas quoi faire. Si ces millions de gens qui prennent à la rue n’ont pas été entendus, ils se tournent agressif. A ce moment, le pro-régime serait mal percevoir qu’ils défendaient l’Islam. Je dis haut et fort, et Dieu m’est témoin, cette année en Mars à l’ancien président. Je lui ai dit exactement ce qui allait se passer et dit que les mains de l’armée seraient liés si cela aura lieu. Comment pourrais-je jamais manipuler ou traiter avec ça? C’est ce qui a été dit. Nous nous sommes cachés rien d’eux, ni ne nous cachons aucun des développements ultérieurs de la situation et ce qu’elle nous mènerait. Nous avons vu que venir, nous étions inquiets, et nous avons mis en garde contre de telle sorte que nous ne serions pas venus à ce point. Toutefois, les pratiques d’une démocratie naissante dans un pays comme l’Egypte sont toujours envol. Pour les gens à devenir adepte et gérer les choses à leur façon prend des années. Ce que j’ai vu, franchement, c’est que l’ancien régime utilisé la démocratie comme une échelle pour accéder au pouvoir. Alors at-il le coup d’envoi de l’échelle par la suite? Qu’en pensez-vous? Non, il a pris l’échelle et a été gardé là-haut avec l’autorité. Elle a gardé l’échelle de sorte que personne d’autre ne grimper. Je jure devant Dieu une fois de plus, on m’a dit qu’ils sont venus à se prononcer pendant cinq cents ans, cinq cents ans. Pourquoi? On se prononcer tant que les gens ont consentement. On se prononcer tant que les gens sont satisfaits de la performance. On se prononcer tant que les gens acceptent cela. Mais, allez-vous gouverner et réprimer la volonté du peuple? Puissant, lui, accorde aux gens leur libre arbitre pour savoir si l’adorer ou non. Vous savez ce que cela signifie? Cela signifie que Dieu donne à l’homme le choix soit de croire en lui ou de ne pas croire. Puis, le jour de la Doom, tout le monde se tiendront debout devant le Seigneur et justifier leur choix. Tout le monde sera tenu pour responsable de leur choix gratuitement. Mais, vous voulez me prononcer et vous imaginez que vous possédez la vérité, la vérité exclusive, alors que nous avons tous ne sont pas aussi justes. Vous devrez ensuite nous enseigner la religion et de la bonté et nous devrons soumis et accepter et vous ne nous laissez pas faire autrement. Pour vous, je dis NON. Non, les Egyptiens ont une volonté libre et ont le droit de choisir leur dirigeant à leur guise. Et nous sommes confiés à la garde de cette volonté. L’armée et la police, maintenant, sont confiés à s’assurer de la volonté du peuple de choisir librement leurs dirigeants. Certainement. Pour ces gens, je dis: jamais imaginer que nous ne voyons pas les choses clairement, ou que nous n’avons pas les mains propres. Non, nous craignons Dieu et savons que nous sommes devant Lui. Nous n’avons pas peur de la mort. Nous craignons que le Seigneur qui nous jugera. Et comme nous croyons fermement que ce que nous faisons est juste, nous ne tenons pas compte de la mort, du tout. Nous savons que la mort ne tient pas de calendrier et que son sort est entre les mains de notre Créateur. Mais c’est la volonté du peuple que Dieu Tout-Puissant leur accorde; quelqu’un peut-il oser enlever ça que nous sommes ici? Je lui répondis que, avant et dit que nous préférons mourir le premier.
Il est important ici de répondre à une question pertinente. Certains disent que c’est un régime militaire. Je jure que ce n’est pas un régime militaire. Il n’y a de désir ni la volonté de gouverner l’Egypte. Je voudrais que vous sachiez que l’honneur de garder la volonté du peuple est plus sublime, pour nous et pour moi personnellement, que l’honneur de gouverner l’Egypte … et Dieu est mon témoin. L’honneur de protéger la volonté du peuple et la liberté de choix et la liberté de mener leur propre vie, pour moi et je jure devant Dieu, plus grand que l’honneur de gouverner l’Egypte. Écoutez attentivement, nous aspirons à rien mais de voir notre pays se dresse fièrement dans le monde, rien de plus. J’ai mentionné le régime militaire, car il ya des gens, des gens qui pensent que nous faisions était de revenir en arrière et règle l’Egypte une fois de plus. Non, quand nous avons déclaré la feuille de route, le communiqué était clair. Il ya un président par intérim et une équipe de conseillers qui dirigent le pays et le premier ministre ainsi que les ministres qui dirige le cabinet de qui je suis juste un membre. Rien de plus. Et je ne veux plus. C’est le cas ici, ce n’est pas un gouvernement militaire. Écoutez-moi attentivement. Je dis cela parce que je veux que mes collègues de l’armée et de la police ainsi que le public de savoir exactement où nous en sommes. Ce que nous avons fait était simplement d’épargner au pays une crise majeure et une guerre civile. Nous avons dit que nous étions prêts à changer de place avec les Egyptiens. Je dis: au lieu d’avoir Egyptiens se battre les uns les autres, les gens peuvent nous battre et nous allons protéger tout le monde. Combien vont se battre entre nous par rapport à un ensemble de la population à s’entre-déchirer. Ce dernier peut réclamer des milliers sinon des millions de vies. Mais pour nous combattre, nous pouvons tout supporter pour l’amour de notre pays. Sommes-nous à blâmer pour aimer notre pays? Vous nous reprochez d’aimer notre patrie?
Dans le cas contraire, la vie serait digne d’être vécue, mes semblables? Ou ce qui virilité ou la chevalerie reposer quand les gens à la maison ont peur et terrifiés alors que nous vivons avec complaisance notre vie? Que dirons-nous à notre Créateur, le Jour du Jugement? Ne sommes-nous les seuls responsables de la sécurité de la population? Devraient-ils être effrayés ou horrifiés alors que nous sommes autour? C’est la responsabilité et le devoir nous serons tenus pour responsables devant Dieu. Il nous demandera si nous avons livré pour le peuple et assuré leur volonté. J’ai élaboré parce que nous avons besoin de reconnaître l’ampleur de ce que nous avons fait et pourquoi nous l’avons fait. Nous n’avons pas agi pour le pouvoir ou au bureau, ou même voulions pas s’aliéner personne. Nous avons dit que nous allions respecter la volonté des Egyptiens et avait remis le pouvoir, pour de vrai, à qui le peuple a choisi. Pourtant, les Egyptiens, en moins d’un an, a dit que c’était assez. Les Egyptiens voulaient que pas plus et sortit dans les rues de millions. Ceci est important … le 26 Juillet, le 24 Juillet, nous avons appelé le peuple à prendre à la rue pour nous donner un mandat pour contrer la violence potentielle et la terreur. Le 24 Juillet à 02 heures dans l’après-midi, j’ai envoyé mon message à tous les Egyptiens et leur a demandé de nous accorder un mandat pour vérifier la violence potentielle et la terreur. Vraiment, des dizaines de millions ont envahi les rues. Mais derrière l’appel était un objectif qui ne vise pas seulement ce que nous avons demandé aux Egyptiens. C’était une preuve de l’ensemble du monde-qui a échoué à reconnaître les Egyptiens et les médias, les médias étrangers qui ont également refusé aux gens ce dont ils étaient capables en une seule journée et demie pour agir. Il fallait voir les numéros de répondre sur un délai aussi court que de contempler ce qui reflète, ce qui s’exprime. Pourrait que grand nombre ont déménagé à moins qu’il y avait eu une réelle volonté, une réelle demande pour le changement et le soutien de la nouvelle réalité? Ceci est le numéro un. Deux, il a été l’occasion pour la faction de voir par eux-mêmes, s’ils ne pouvaient pas voir ça avant, que c’était une vraie volonté populaire et un véritable rejet. Troisièmement, il est un must pour les militaires et policiers à réfléchir profondément à ce qu’ils font. Vous avez besoin de voir combien la confiance des Égyptiens ont posé en nous. C’est mémorable. Et nous sommes à la hauteur. Avec la volonté de Dieu, nous pouvons garder cette confiance. Et les gens sont sortis le 26 pour dire: «Vous agissez maintenant au nom du peuple de l’Egypte pour garder cette nation contre la violence potentielle et le terrorisme». Eh bien, les gens pensaient que un jour ou deux plus tard, nous porterait sur les sit-ins dans Nahda et Raba’a. Mais, nous avons offert suffisamment de temps pour ceux qui, de près ou loin, à celui qui a demandé la médiation, pour résoudre la crise pacifiquement. Lorsque nous les avons rencontrés, nous avons utilisé les laisser avec une question qui tient toujours: ne les autres, pas nous, ont l’intention de s’engager politiquement ou d’aller vers une confrontation? Si cette question est résolue, une autre chose est faisable. Les autres sont prêts à rejoindre leurs compatriotes Egyptiens aux élections sur la base de processus démocratique réel dans la période à venir selon le chemin déclarée? Ou cherchent-ils une confrontation? Telles étaient les questions que j’ai posées à tous les fonctionnaires qui sont venus en Egypte. Je leur ai demandé à propos de l’objectif stratégique des autres. Qu’est-ce que c’est? Est-ce pour détruire le pays ou se joindre à l’effort de construction? Ceci est important et que les choses doivent être claires. Si cela vient à la construction et à la reconstruction du pays, puis qui ose refuser cela? Mais si l’objectif est de détruire la patrie et le peuple, alors qui ose accepter cela? Qui ose approuver cela? Ou plutôt, qui ose encore debout? NO. Dévaster un pays et de ses habitants ne seront jamais impunis. Je ne menace personne, je ne suis pas en danger. Je dis simplement que si l’objectif est la destruction du pays et du peuple de l’Egypte, alors voici un grand NON. Nous sommes tout à fait prêts. Un acte comme celui-ci apporte la colère de Dieu. Le Seigneur approuve pas une telle chose. Mais, alors que certains sont injustes, nous serons là pour eux. Et plus ils se modifient, plus nous serons à leur soutien.
Je vais parler des occasions manquées, les fenêtres une fois ouverts. Ici, je voudrais dire qu’au cours de cette dernière année, il ya eu de nombreuses occasions pour les chemins correctives et de convergence possible de l’ancien régime et le reste des joueurs entre les forces politiques, l’opinion publique et les autres. Malheureusement, maintes et maintes fois des opportunités ont été manquées. Intransigeance, perception erronée du droit chemin, et les illusions d’un complot tous azimuts par le pouvoir judiciaire, les médias, les pouvoirs politiques, les militaires, pas besoin de mentionner plus-était écrasante. Eh bien, j’ai dit alors «voulez-vous gouverner vous-mêmes et c’est tout? Ou préféreriez-vous conduire l’ensemble de la nation égyptienne? Si vous le souhaitez, puis de trouver une formule pour la compréhension commune, la coopération et la coexistence entre toutes les nuances du peuple égyptien ». Pourtant, ce n’est pas arrivé. Ici, je voudrais réitérer la séquence des opportunités. Initialement, exige appelé pour un petit remaniement ministériel et le changement du Procureur général. Ensuite, les appels ont augmenté de demander un changement de l’armoire vaste. Ensuite, l’ensemble du gouvernement devait être enlevé. C’était une occasion perdue après l’autre alors que nous étions fermement alarmer que le pays était à la dérive vers une confrontation dangereuse. Le problème est que leur idéologie dominante est complètement différente de celle d’un Etat et je l’ai mentionné auparavant. La perception, la mentalité est totalement différente et produit des créances d’avoir la vérité absolue et visible, tandis que les autres sont totalement égarés. Si c’est le cas, et 95 pour cent des Égyptiens sont les derniers, alors pourquoi êtes-vous désireux de leur décision? Demandai-je. Une occasion manquée qu’il est. Un délai de sept jours a été gaspillé étaient donc les supplémentaires et dernière 48 heures.
J’aimerais ici pour sonder la valeur et le poids de la patrie dans les cœurs et les esprits de ces personnes. Esprit ceci: si elle est soit ma chute ou le pays de qui vais-je choisir? Est-ce que le sens du devoir, de la responsabilité et de dévouement dicter la chute du pays ou de la chute du régime? Qui est d’aller? C’est certainement le régime. C’est un adieu alors, mais l’Egypte reste. C’est la réponse réfléchie de tout chef patriote qui aime Dieu et le pays. C’est l’Egypte contre le régime alors? Est-il soit de démolir l’ensemble du pays ou de se prononcer? Ensuite, c’est un tout simplement pas. Nous ne devrions jamais exclure si les gens sont privés de la sécurité et de la paix. Permettez-moi de le dire, si vous ne gouvernez pas, les gens peuvent vivre en sécurité et en paix et le pays survit, alors il ne faut pas écarter. Mais non, il semble qu’ils ont un programme différent. THEY’d plutôt déchirer le pays et de retrait de son armée et de la police. En quelques jours, les stations et les installations policières s’effondreraient similaire à ce qui s’est passé les 25 et 28 Janvier 2011. Les gens seraient terrorisés. Depuis deux ans, les gens, les hommes et les femmes dans la rue piétonne et de l’équitation, ont vécu dans l’ombre de la peur générée par l’illusion de la réforme des dirigeants. Je dis cela parce qu’il aurait pu être évité lorsque nous avons rencontré l’ancien président et demandé de se mettre dans un référendum dont le résultat qui ferait taire l’opposition en cas de victoire ou de faire taire les partisans devrait-il perdre. Toute personne qui conduit un pays et défend l’intérêt supérieur de la nation sera tout simplement l’accepter. Mais non … c’était comme soit son chemin ou pas du tout. C’était lui ou le chaos, ni lui ni l’effusion de sang. Pourquoi faut-il être comme ça? Ne pas les gens ont le droit de dire NON? Il a dit, «attendre quatre ans et puis nous verrons dans les prochaines élections présidentielles». Le pays ne peut se permettre quatre années entières? Ce sont toutes des occasions perdues. Je le répète, le communiqué est venu en texte clair et réglé tous les conflits simplement et tranquillement. Nous avons déclaré que dans les neuf mois une feuille de route bien conçu nous remettre sur la bonne voie. L’un avec une majorité aurait une deuxième chance. C’était une solution simple, sans avoir à recourir à une seule mesure extraordinaire.
Permettez-moi de m’arrêter ici pour répondre à un point extrêmement important. Je ne veux pas prononcer tant de serments solennels, mais témoigne à Dieu de mes paroles ne l’a jamais aucune coordination au niveau international eu lieu avec tous les pays en ce qui concerne ces questions. Quand je dis que nous sommes des hommes honorables, je veux dire. Ce ne sont pas de vains mots. Nous n’avions aucune coordination ou collaboration avec une partie quelconque. Nous n’avons pas non plus demander la permission pour protéger notre pays, à tous.
Juste comme ça une autre occasion a été perdue. Il aurait été possible pour les supporters de se retirer une fois que le communiqué a été publié et réévaluer leur position. À ce carrefour, il faut se demander comment nous sommes arrivés à ce point, ce qui était le meilleur intérêt du pays et de la façon dont nous avons livré. Impartiale, on pourrait démissionner à la circonstance et peut-être des excuses pour la mauvaise gestion du pays au cours de cette année. Oui, des excuses pour la mauvaise performance qu’ils ont livré pour le peuple d’Egypte. Dites merci et s’excuser alors vous mettre ensemble et de progresser. Maintenant, n’est-ce pas une autre occasion encore pour être gaspillé? N’est-ce pas? Parce que ce n’est tout simplement nous aurait épargné ce qui s’est passé, pour dire le moins. Ce temps chaotique aurait pu être évité si cette opportunité été saisis. Ensuite, regardez ce qui s’est passé les jours suivants. Il ya eu des tentatives pour changer la situation par la force. Des innocents ont été attaqués dans les rues. Puis, une autre occasion perdue dans la foulée du 26 Juillet. Alors que les Egyptiens sont descendus dans les rues ce jour-là, un méfait était arrangé du jour au lendemain seulement de laisser les médias étrangers avec un violent dernière impression. Et ils criaient: «Nous sommes tués, nous sommes persécutés». C’est l’image qu’ils faux dans les médias. Je leur dis: «Vous n’avez pas l’intention de servir votre pays. Vous ne prévoyez pas de faire de votre pays une plus grande. Vous ne prévoyez pas de servir vos concitoyens. Vous ne complot visant à les gouverner et rien de plus. Et je vous le dis [et pour tout le monde] les défis auxquels fait face notre pays sont colossaux. Peut-être, je n’ai pas soulever ce sujet avant, du moins pas publiquement. Mais je partage cette préoccupation de tous les pouvoirs politiques que j’ai rencontrés depuis Avril ou plutôt Mars 2011. J’avais un devoir différent à l’époque et j’avais l’habitude de leur dire que la sécurité, les défis politiques, sociaux, économiques et même religieux étaient incommensurables en Egypte. Ce sont des accumulations de longues années. Sauf si les Egyptiens se rassemblent à la solidarité, les défis peuvent submerger Egypte. Mais ils ne peuvent pas battre les Egyptiens. Oui, les défis actuels en Égypte sont énormes, peut-être trop grand pour un pays comme l’Egypte, mais pas invincible avant les capacités de la nation égyptienne et de ses habitants. Les gens sont capables de les surmonter. Si c’est le cas, faire un peu d’imaginer qu’ils puissent gérer tout en s’éloignant des 90 ou 95 pour cent des Égyptiens? Quelqu’un peut-il imaginer que seuls ils peuvent conduire le pays et le prendre à la sécurité et à la paix? C’est impossible. Encore une fois, ce fut un autre exemple des occasions perdues. Oui, des occasions perdues. Ce que nous subissons aujourd’hui est une continuation de ces opportunités si nous arrivons ensemble … à moins que nous devenons comme une seule.
Si il ya une perception que la violence peut sortir le pays ou le peuple à genoux, il est nécessaire de reconsidérer. Non, et je vais le dire encore une fois, il ne va pas se produire tant que l’armée et la police sont sur le qui-vive. Et je vous le dis, l’armée et la police, l’Egypte nous confie totalement, nous tous, donc être de bons gardiens de cette confiance. Il n’est pas comme ça que nous appelons pour l’élimination ou l’attrition. Ce que nous allons faire, c’est que nous allons défendre notre patrie et de notre peuple.
Eh bien, c’est le chemin que nous avons déclaré vulnérables au changement? NO. Il s’agit d’une feuille de route qui offre des Egyptiens une chance de retrouver leur libre arbitre et de leurs votes libres. Celui qui remporte le plus de votes seront dûment reconnus. Encore une fois, cela est pertinent pour les occasions manquées, j’ai été en ne mentionnant que d’espérer qu’il n’y aura pas plus d’opportunités perdues. Ce pays ne peut embrasser les gens au-delà de la limite. Mais, la confrontation ne sera pas servir l’objectif de ses demandeurs parce que nous sommes prédéterminés pour protéger l’Egypte et les Egyptiens. Je le répète, c’est notre engagement indéfectible à garder la nation égyptienne … non seulement engagé, mais capable aussi. Je voudrais dire à mes collègues Egyptiens: vous avez pris les rues pour nous donner un mandat et une commande pour vous assurer la sécurité et la lutte contre la violence potentielle et la terreur. Permettez-moi de prendre un peu de temps sur ce sujet parce que cela ne signifiait pas simplement la dissolution de Raba’a. Cela peut être un effort soutenu, être clairement indiqué. Je dis aussi aux Egyptiens que votre souscription est une obligation pour nous tous, mais vous avez un rôle, aussi. Pour nous, nous sacrifierons nos âmes pour nous acquitter de notre devoir. Et nous allons sacrifier amour pour les Egyptiens, tous les Egyptiens, musulmans et chrétiens tout de même, pour cette patrie. Quant à vous, où que vous habitiez, vous avez des voisins. J’espère que vous prendrez un rôle positif avec des voisins qui ont différents affiliation. Soyez prudent, être bienveillant et demander aux voisins s’il vous plaît rester à la maison. Dites-leur que le pays a besoin maintenant et demandez-leur de ne pas sortir pour rejoindre la commotion. Dites-leur que vous et ils ont besoin pour construire le pays ensemble. Dites-leur que la dernière chose dont nous avons besoin maintenant, c’est plus de violence ou de nouvelles effusions de sang. Si Egyptiens peut le faire partout dans le pays, leur rôle, même si certains peuvent voir peu, sera très important dans la protection de l’Egypte tout aussi important que le rôle que nous faisons en tant que militaire et policier.
Rappelez-vous ce que nous avons dit lors de l’inspection de combat de la 9ème Division. Nous disions heures et des heures debout dans les lignes de vote était beaucoup mieux que toute autre chose. Ces mots n’étaient pas dirigés seulement aux supporters mais aussi à l’opposition. Au lieu de s’asseoir dans Raba’a pendant 45 jours, vous pouvez attendre 10 heures de queue et de voter librement. Oui, c’est un rôle simple mais significatif de la part des citoyens. Un autre rôle des citoyens égyptiens est de ne jamais peur ou de panique … calmer. Personne ne sera autorisé à effrayer le peuple ni les terroriser, jamais. Et s’il vous plaît, doublez votre effort au travail et ne pas donner à quiconque de ce courant la chance d’interrompre votre travail. Disons tous les travaux, nous allons construire notre pays et nous allons aller de l’avant. C’est ce que nous devons faire. Nous voulons que les citoyens égyptiens à jouer leurs rôles, tous les Egyptiens. Dites à ces voisins veuillez pas plus. Si nous pouvons faire cela, nous allons contribuer efficacement à éviter les effusions de sang et de victimes. Nous allons d’ailleurs aider à réprimer cette sédition. Je ne demande pas beaucoup mais il est un rôle positif. Et encore une fois, ne laissez personne d’interrompre le travail parce que c’est une autre forme de déchirer le pays vers le bas. Nous avons tous besoin de continuer à travailler et si certains d’entre eux sont autour, leur demander de travailler le long ou gardent le silence. Mais le travail ne doit en aucun cas être interrompue. C’est le pays de chacun d’entre nous.
Un autre rôle remarquable est assurée par Al-Azhar. Cette institution est l’autorité religieuse en Egypte. Le terrorisme et l’extrémisme ne seront jamais répliqué à moins que Al-Azhar reçoit notre plus grand respect et d’estime. Nous tiendrons Al-Azhar dans la position la plus digne. Je ne devrais pas être compris comme un encouragement Al-Azhar, je ne fais qu’énoncer des faits. Tant Al-Azhar et l’église comme les institutions religieuses devraient avoir la haute main quand il s’agit de l’enseignement religieux. Par ailleurs, nous avons dans les forces armées ont demandé une foule de clercs éminents de nous écrire les sermons du vendredi pour les 52 semaines de l’année pour être diffusés aux unités et lu lors de la prière du vendredi. Ce n’est pas destiné à remplir les cerveaux de certains dogmes, ce n’est pas notre style. Nous ne croyons tout simplement pas que la religion, la partie la plus chère de notre entité, peut être laissé pour n’importe qui. C’est ce que je veux dire quand je dis que nos institutions religieuses, Al-Azhar et l’église, devraient être habilités à enseigner et à éduquer les gens au sujet de leur religion afin que nous n’ayons pas à y retourner cette même route.
La nature égyptienne reflète la simplicité et la tolérance. Pourtant, les Egyptiens ne sont pas oublieux. Ils se souviennent bien qui offensent eux et sont toujours reconnaissants envers ceux qui les aident. Permettez-moi à ce moment pour vous demande à tous d’exprimer notre gratitude et notre appréciation de ceux qui nous ont donné un coup de main à nos frères dans le Royaume d’Arabie Saoudite, et une salutation très spéciale au roi Abdallah, qui a pris le plus fort l’action Arabie pour nous depuis 1973. Je vais citer les frères un à la fois pour que chacun puisse être accueilli. Il s’agit d’une position arabe honorable soit de la part des frères en Arabie Saoudite, les Émirats arabes unis, le Koweït, la Jordanie ou Bahreïn. Nos remerciements à tous ceux qui s’opposent par l’Egypte. Egypte sera toujours reconnaissant.
Dans ce contexte, je voudrais envoyer un message aux autres. Je dis à ceux vouloir reconsidérer. Et si vraiment vous prônez la liberté, la démocratie et la légitimité, sachez alors que la légitimité est dans les mains des Egyptiens qui l’accorder à qui ils veulent et de retrouver à volonté. La légitimité est le droit exclusif des Egyptiens et ils sont les plus à donner et ceux de la reprendre. Alors s’il vous plaît revenir. Seulement Egyptiens décider à qui donner et quand le récupérer et nous devons respecter le peuple égyptien. Nous devons leur montrer le respect et nous devons honorer leur volonté. Encore une fois s’il vous plaît revenir sur vos positions en ce qui concerne le peuple égyptien et personne d’autre.
Je n’ai pas parlé des mesures de sécurité de ces derniers jours. Ils ont reçu beaucoup d’attention des médias. Cependant, très honnêtement, nous sommes désireux de gagner du carnage, sérieusement. Mais les autres tout aussi désireux d’épargner l’effusion de notre sang ou pas? Tout aussi important: sont-ils aussi soucieux d’éviter effusion de leur sang ou pas? Lorsque ces derniers jours quelques postes de police de témoins et des installations échelle du pays sont attaqués martyrs réclamant de la police et de la vie de certains agresseurs, la mort devient le prix d’un faux dogme, une idée fausse. Est-ce que quelqu’un pense que les postes de police et des rues seront laissés tomber et il en sera de l’Egypte? Pour quoi faire? Pourquoi voulez-vous l’Égypte à l’automne? NO. Police des installations militaires et d’État, sont hors limite. Nous n’allons pas rester immobile et nous nous arrêterons cela avec toute la force et de détermination. Nous avons été absorbons coups au cours des derniers mois dans le Sinaï. Beaucoup d’hommes courageux ont été tués ou blessés sur la ligne du devoir et nous a beaucoup souffert de dégâts dans l’équipement bien qu’il n’y ait aucune raison de cibler la police et l’armée au cours des trente derniers mois, sans aucune raison. Nos hommes ont utilisé discrétion et étaient là pour sécuriser cette partie précieuse de l’Egypte. Ils n’ont pas cherché confrontations. Ils ont montré un maximum de retenue et de patience dans l’accomplissement de leurs missions si les choses ne seraient pas sortir de la main. Je re-souligner le degré de retenue et de maîtrise de soi dans toutes nos réactions. Réactions ne actions, car nous ne voulions pas voir les victimes même si certains de ceux qui ont eu la mauvaise idéologie et utilisé des armes contre nous. Je vous le dis, il y aura le plus de cela. Il n’y aura pas plus de retenue et l’absorption des coups parce que finalement la situation va conduire à risquer sérieusement la sécurité nationale de l’Egypte, pour le dire crûment. Nous ne laisserons pas les attaques contre les postes de police, les gares, les bâtiments du Capitole, des actifs économiques de l’Etat et des installations et, également, la propriété privée. Je dis qu’il n’y aura pas plus de cela. Encore une fois je le dis haut et fort: nous nous arrêterons que avec toute la force et de détermination. Les auteurs ne commettent un crime, ils sapent l’État égyptien. Si nous ne nous battons pas en arrière, nous serions complices de la destruction de l’Egypte. Serions-nous détruire le pays avec nos propres mains? Répondez-moi [Audience: non, monsieur]. Je veux dire: Serions-nous détruire le pays avec nos propres mains? [Audience: Non, monsieur]. Ö.K ensuite, nous allons défendre pleinement alerte, vigilant et conscient, équipé avec toutes les connaissances que nous avons à combattre la violence que nous allons faire face. Oui, nous serons prêts, très bien préparé et inébranlable. Nous, les gens, militaires et policiers, sont une main unifiée.
Il y avait des voix qui appellent à la dissolution du sit-in pacifique. Cela a été assurée. Nous avons passé des jours à discuter tous les détails qui nous permettraient d’arriver à une technique libre de victimes. Mais qu’est-ce que je peux faire et ce que mes collègues de la police peut faire quand les forces de sécurité allaient pour effacer les camps seulement de trouver des personnes au-dessus des bâtiments environnants tirant sur eux? Que pouvaient faire la police lorsque des éléments armés se cachaient parmi les manifestants et ont ouvert le feu? Je ne dis pas que tous les manifestants tiraient tir réel; qu’il suffise d’avoir 20, 30 ou 50 tireurs dans une protestation avec cette taille. Pour un sit-in et sa dispersion que beaucoup de voix se réclament, et je veux dire voix étrangères, leur dis-je paisible: retourner à n’importe quel type de sit-in que vous avez eu dans votre pays, voir si un seul démonstrateur réalisé une arme ou violence utilisée, et voir, si tel était le cas, comment votre sécurité s’en est occupé.
Je mentionne cela que je conclus mes mots et je souligne que nous sommes désireux d’éviter l’effusion de sang de tous les Egyptiens. Et nous sommes tout à fait honnête lorsque nous traitons avec eux. J’espère seulement que le courant religieux peut échanger la même honnêteté. Il ya un caractère perfide que certains démontrent, tirant les gens dans le dos et exceller dans le hit and run. Seulement hier, et ce n’est pas un secret, dans le quartier résidentiel du Caire de Ain Shams, tandis que les troupes veillaient le couvre-feu, des tireurs d’élite dans un immeuble d’habitation en vertu de la construction [nouveau] ciblé nos soldats. Je ne vois pas pourquoi.
Pour toutes ces actions, nous sommes prêts et bien préparés. Enfin, je voudrais dire que nous, en toute bonne foi, avons bras ouverts pour tous les Egyptiens tant qu’ils partagent les mêmes sentiments. Dans le cas contraire, nous n’avons pas d’autre choix que de riposter par la force et agressive. Pourquoi? Afin de protéger l’Egypte, de protéger l’État égyptien.
La dernière chose que je dirai est que la protection de l’Etat égyptien repose sur les épaules de l’armée, la police et le peuple égyptien.
Merci
Extrait du texte précédent :
Pour toutes ces actions, nous sommes prêts et bien préparés. Enfin, je voudrais dire que nous, en toute bonne foi, avons bras ouverts pour tous les Egyptiens tant qu’ils partagent les mêmes sentiments. Dans le cas contraire, nous n’avons pas d’autre choix que de riposter par la force et agressive. Pourquoi? Afin de protéger l’Egypte, de protéger l’État égyptien.
C’est d’ailleurs ce que j’ai dit dans un autre post, on ne pourra pas faire autrement en France aussi. La liberté est a ce prix. Tous les Français qui partagent les mêmes valeurs (et logiquement, tous les Français partagent a peu près les mêmes valeurs) seront obligés de riposter par la force et aggression envers l’islamisation de notre beau pays.
Merci d’y avoir pensé mais je n’utilise les traductions google qu’en cas d’extrême nécessité, elles sont trop mauvaises, le français est trop mauvais, on ne peut pas publier comme ça, désolée.
L’Union Européenne et la France ont toujours défendue le droit de manifester pacifiquement, mais ce qu’elles n’ont pas vu venir c’est le sursaut du peuple Egyptien, que l’armée à soutenue, moi je dirais qu’ils ont tout de même été très tolérant face à ces fanatiques que sont les FM, en leur laissant le pouvoir une année pour voir si ils étaient capable d’améliorer la situation du pays, il s’est avéré que non, et maintenant voilà que nous ici on cris au scandale de voir l’armée égyptienne rétablir par la force l’ordre public en matant ces disjonctés du citron que sont les FM, qui sont également armés dans leurs mosquée, et on voudrait les faire passer pour de pauvres martyrs que l’armée persécute, alors que eux ! ils se sont livrés à toutes les exactions que l’on sait ! vis à vis de ceux qui ne partageaient pas leurs idées avec l’accord du gouvernement et de son président non élus démocratiquement comme on s’est ingérer à nous le faire croire depuis plus d’1 an !c’est quoi ce mensonge éhonté des médias ! ils n’ont vraiment pas honte ! ceux là ! bien sûr nous compatissons sur ce qui se passe en Egypte, mais L’UE et la France ferait mieux de s’occuper de leurs problèmes ici chez nous au lieu de s’immiscer dans les affaires intérieures égyptiennes.
Pour ceux qui auraient envie de vérifier, l’article original est accessible à l’adresse:
https://www.facebook.com/henri.boulad/posts/10200916603135082
Cet article a aussi été publié à l’adresse
http://www.libertyvox.com/phpBB/viewtopic.php?f=5&t=1532&start=15
Avec en plus l’indication d’une vidéo de 8 minutes relative à l’interview d’Henri Boulad par un journaliste canadien (joli accent!). Voir:
http://www.dailymotion.com/video/x138ly2_pere-henri-boulad-la-situation-est-horrible-en-egypte_news
Laquelle vidéo a été transcrite par écrit et est lisible à
http://ripostelaique.com/egypte-le-pere-boulad-exprime-son-indignation-devant-la-complicite-de-loccident-et-des-freres-musulmans.html
Début de cet article d’André Galileo
INFORMATIONS QUE VOUS NE VERREZ JAMAIS SUR LES MEDIAS FRANÇAIS !
Merci au CANADA !
Vendredi 16 août 2013 – Publié dans : Orient plus ou moins proche.
Le Père Henri Boulad, Directeur du Centre culturel Jésuite d’Alexandrie, nous parle de la situation en Egypte, comme d’habitude avec son franc-parler et sans langue de bois. Il s’insurge contre la désinformation des media internationaux.
Il est interviewé par Paul Arcand, de la radio canadienne, observez le discours ambigu, pour le moins, du journaliste, qui reflète à mon sens l’état d’esprit de l’occident en général et de la France en particulier !
(pour la suite, voir RL).
Note: Henri Boulad est né le 28 août 1931 à Alexandrie (Egypte).
Plus de 70% de la population égyptienne soutient l’actuel gouvernement provisoire et honnit les frères musulmans qui ont trahi les idéaux de liberté auxquels ils aspiraient.
Aucune démocratie occidentale ne peut se réclamer d’une majorité de 70%.
L’occident serait-il devenu anti démocratique ?
Enfin un témoignage qui résume ce que les médias aux ordres essaient de nous cacher depuis des mois. Pourquoi le tourisme est il au plus bas depuis des mois dans ce pays? Pourquoi n’y a t’il plus aucune mission archéologique depuis des mois? Nos dirigeants sont très mal à l’aise. Les nouveaux dirigeants d’ Egypte sont capables de mettre au pas des millions d’ excités du prophète, alors que chez nous en France, en Europe on s’ aplatit devant quelques centaines d’ islamistes malfaisants dont les revendications sont amplement relayées par les journalistes à la pensée unique. Renvoyés dans leurs pays d’ origine, ces allumés du bocal, ne tenteraient meme pas de faire le centième de se qu’ils se permettent dans leur pays d’ accueil.
Vous avez parfaitement résumé la situation
Bonjour,
Ce qui se passe en Egypte est FONDAMENTAL pour nous.
Car , si les Frères Musulmans sont décapités en Egypte ( Et , espérons le , demain en Tunisie) les serpents de l’UOI » » »F » » » n’auront plus de tête , les 40% de serpents tunisiens en France qui ont voté Ennhada n’auront plus de tête , Tariq Ramadan n’aura plus de tête …
D’ailleurs , dès maintenant , nous devons exiger , chaque fois que cela nous sera rendu possible , des comptes de ces gens-là et de leurs complices (Alain Gresh etc) pour les crimes abominables de leur maison mère en Egypte …
Amitiés.