Oui, les musulmans qui passent à la télé disent qu’ils ne faut pas frapper le visage. La raison est que le fait de défigurer une femme réduit sa valeur marchande, et le visage d’une musulmane est visible (sauf pour les porteuses de niqab). Donc vos voisins se rendent compte que vous avez frappé votre femme/soeur/cousine/nièce.
Si la femme que vous cognez est votre fille ou votre soeur, le fait qu’elle garde des séquelles visibles des coups fait baisser le montant du « mahr » (douaire) que vous pouvez exiger pour la donner en mariage.
Comme vous la savez, le mariage en islam n’est pas valide sans versement d’argent. Le mariage en islam est un contrat, pas un sacrement comme pour le mariage chrétien par exemple. C’est la raison pour laquelle il est déconseillé de frapper une musulmane au visage.
Mais les musulmans ne se privent pas de le faire. Le seul cas qui ait fait du bruit s’est produit en Arabie Saoudite, quand une jeune journaliste de télévision, voilée et ravissante malgré son voile (je ne sais pas comment font certaines pour rester jolies avec ce machin sur la tête, moi j’ai essayé un jour de mettre mon paréo sur ma tête, mon entourage a été horrifié tellement j’étais hideuse).
Bref la journaliste en question s’appelle Zeina el Baz. Elle est célèbre et très aimée du public. Son mari, probablement jaloux de sa popularité, lui a arrangé le portrait de manière à la rendre méconnaissable, même pour ses proches. Alors que TOUTES les saoudiennes au visage tuméfié se cachent, Zeina el Baz s’est laissé photographier avec ses yeux au beurre noir, ses hématomes atroces, ses lèvres enflées, et a accepté de publier la photo. Comme elle est connue, et qu’elle n’avait rien à se reprocher en tant qu’épouse, l’opinion publique saoudienne, une fois n’est pas coutume, lui fut acquise.
Certains musulmans qui passent à la télé nous expliquent qu’il est en effet permis de taper sa femme, mais qu’on doit le faire avec la main (et pas avec un gourdin, par exemple), et qu’il faut donner des tapes assez légères, etc…
Une manière de dire: « Oui, on tape nos femmes, mais on n’est pas des sauvages, tout de même ! On les tape délicatement, c’est codifié tout ça, nous prenez pas pour des primitifs ! »
En ce qui me concerne, je crois que même si un homme me frappait avec une fleur, j’aurais le sentiment qu’il m’infantilise, et je n’apprécierais pas.
Les deux jeunes femmes dont je parle dans mon témoignage m’ont donné le sentiment qu’elle étaient dans une prison à ciel ouvert: elles avaient beau être autorisées à faire une promenade au bord de la mer, je voyais bien que malgré leur éclatante jeunesse et leur remarquable beauté, elle étaient malheureuses comme les pierres, déjà vieilles, car captives.
Je me souviens bien de cette journée, le soleil était radieux, la mer étincelait de mille feux, une délicieuse brise marine transportait l’odeur familière et vivifiante de l’iode. Pour moi, c’était une superbe journée, mais je me suis rendue compte que ces jeunes filles vivaient dans un autre monde que le mien, bien qu’elles soient nées dans le même pays que moi, qu’elles parlent la même langue que moi, qu’elles se promènent au bord de la même mer, sous le même ciel clément. C’est dans des moments pareils que je me rends compte que le fait d’être musulmane peut vous faire sentir à l’étroit dans votre propre peau.
Eva
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Merci Eva car j’ai beaucoup aimé vous lire. JE regarderais certaines de ces femmes voilées avec un autre oeil maintenant. Je trouve qu’elles font pitié. Par contre, celles qui font de la provocation avec leur voile ne m’inspirent aucune pitié.
Je pense à ces femmes qui n’ont pas le choix et qui doivent subir cet accoutrement contre leur gré. Je pense aussi à toutes celles et ceux qui voudrianet quitter cette » religion » mais ne peuvent le faire sans mettre leur vie en péril, comme dans une secte ou l’on peut rentrer mais plus en sortir. Je suis convaincue que de plus en plus d’entre eux se sentent coincés. Il devrait exiter des associations d’accueil pour aider eux qui veulent slsrtir de ce piège, pour les protéger, comme ces associations pour les femmes victimes de violence qui sont hébergées incognito et qui sont aidées à faire une nouvelle vie sous un autre nom….dans une autre ville.
La société est remplie de misère. Quand je vois des cas comme celui que vous avez décrit , j’ai presque honte de me plaindre . Ma vie ressemble à un paradis comparativement à ce qu’à vécu cette journaliste.
Et puis , quand elles veulent divorcer , parce qu’elles en ont certainement marre de prendre des coups , ils les tuent et les enfants aussi !
J’habite à 7 kilomètres , toute la région est en émoi .
De toute façon , s’ils l’atttrapent , il sera , peut être , condamné à perpétuité , ce qui veut dire qu’il sortira bout de 20 à 25 ans pour bonne conduite .
Combien ça vaut 4 vies ?
http://rhone-alpes.france3.fr/2013/06/26/st-paul-trois-chateaux-le-pere-de-famille-toujours-en-cavale-277605.html
Ce que je constate au quotidien dans mon travail , c’est qu’il y a de plus en plus de divorces chez les magrébins , j’espère que dans la foulée , elles jettent aussi leurs voiles et laissent tomber cette religion d’un autre siècle .
Non seulement sauvages mais LACHES ! Tout pour plaire.
Oui Eva, être musulmane en terre d’Islam c’est être prisonnière. Les musulmanes en occident sont impardonnables de collaborer avec ce système mafieux en osant dire « Le voile c’est mon choix. » Il est impossible de revendiquer le symbole d’une idéologie totalitaire au nom de la Liberté.
Que font les féministes en occident ? Pourquoi ne protestent-elles pas contre le Coran et le voile ?
http://unmondesansislam.wordpress.com/je-soutiens-le-soulevement-des-femmes-du-monde-arabe-parce-que-la-liberte-est-universelle/
Mardi 2 juillet : hommage à Dominique Venner
Publié le 21 juin 2013
Le mardi 2 juillet, à 20 heures, à l’ASIEM, 6, rue Albert de Lapparent
75007 Paris, autour de Philippe Conrad, Pierre-Guillaume de Roux, René Marchand et Jean-Yves Le Gallou, un hommage sera rendu à Dominique Vener, à l’occasion de la parution de son livre posthume : « Un samouraï d’Occident ».
Inscriptions à pgrconf@gmail.com
Organisé par les éditions Pierre-Guillaume Deroux
L’affiche : http://img17.imageshack.us/img17/1632/sxka.jpg
Fabrice
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Je vous ai mis plusieurs liens qui contiennent cette même info à choisir mais on peut en mettre aucun aussi .
http://www.islamisme.fr/mardi-2-juillet-hommage-a-dominique-venner/ (SITE TRES INTERESSANT SUR L ISLAMISATION)
http://fr.novopress.info/139607/mardi-2-juillet-hommage-a-dominique-venner-a-paris/
http://www.fdesouche.com/384289-mardi-2-juillet-hommage-a-dominique-venner
http://www.la-meilleure.com/mardi-2-juillet-hommage-a-dominique-venner/
Merci Fabrice je relaie demain
Des « savants » enturbannés expliquent effectivement dans des videos (internet) comment il faut frapper les femmes, pas violemment, notamment avec le « siwak », l’espèce de brosse-à-dents locale des lointaines contrées coraniques. Faut voir les airs qu’ils prennent, le bal des faux-culs.
Comme dit l’autre : « Ils ont tellement une sale gueule que çà en devient de la franchise… »
suite du commentaire transformé en post, Philippe, pour la semaine prochaine
Attention ! la boîte de chocolat va finir par déborder, vous ne pourrez même plus en refermer le couvercle !
Juste en passant, ce hadith : « On ne demande pas à un homme pourquoi il bat sa femme » (Abou Daoud Book 11 -2142).
Et à nouveau celui-ci (déjà posté hier, mais il est trop chouette, on ne peutplus s’en passer) : « Qu’aucun de vous ne frappe sa femme comme on frappe un esclave alors qu’à la fin du jour il coïtera -peut-être- avec elle ». (Al Boukhari (5/1997), hadith n° 4908.)
tu as raison PHILIPPE IL faut abuser des bonnes choses et penser aux lecteurs d’un jour qui passent au bon moment !
le père de famille a indiqué que ce type de châtiment à l’intérieur du cercle familial était parfaitement autorisé dans son pays d’origine.il demande aujourd’hui l’asile à la France VOILA CEUX QU ON ACCUEILLE , et qu’on défend avec nos impôts, traducteur, aide juridictionnelle , qu’on loge toujours aux frais de la princesse. REVOLTANT
Les juges ont finalement infliges quatre mois d’emprisonnement avec sursis au prévenu qui n’avait encore jamais été condamné.
4 MOIS AVEC SURSIS , celui de la manif pour tous A PRIS COMBIEN, sans violence.
Strasbourg Violences intrafamiliales Coups de ceinture : prison avec sursis pour le père
Un père de famille afghan comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Strasbourg pour avoir corrigé sa fille de 8 ans à coups de ceinture.
C’est la maîtresse de la fillette qui a constaté des traces suspectes sur son corps à l’occasion d’une séance de piscine au mois d’avril. L’élève, scolarisée en CE1 à l’école élémentaire Karine de Hautepierre, présentait plusieurs hématomes au dos et à la joue. Particulièrement timide, elle n’a pas évoqué avec l’enseignante l’origine de ses blessures. L’enfant a fini par s’épancher auprès d’une camarade de classe.
Alors qu’elle se disputait avec son frère, son père est intervenu pour mettre un terme à la querelle. Il a frappé sa fille avec la partie souple d’une ceinture en cuir. « Je ne voulais pas la taper, assure le prévenu de 32 ans à la barre du tribunal. Je voulais lui faire peur pour qu’elle ne fasse pas de bêtise. »
Une pratique tolérée en Afghanistan
Aux policiers, le père de famille a indiqué que ce type de châtiment à l’intérieur du cercle familial était parfaitement autorisé dans son pays d’origine. « Vous vous croyez dans votre bon droit, c’est ça ? », gronde la présidente Sophie Thomann. À la suite de l’épisode de violence, le trentenaire a tout de même passé de la pommade sur les parties endolories du corps de sa fille.
« Monsieur doit comprendre que s’il demande aujourd’hui l’asile à la France, il doit se conformer aux lois et aux règles du pays d’accueil, martèle la représentante du ministère public. Aucune chamaillerie d’enfant ne peut justifier qu’on porte des coups de ceinture. » Après avoir incité le prévenu à « mettre en œuvre d’autres mesures éducatives », la vice-procureure Valérie Iltis requiert contre lui six mois de prison avec sursis.
« Le cheminement intellectuel a déjà été fait par mon client », assure Me Nicolas Kihn pour la défense, en admettant volontiers que « la différence culturelle peut expliquer mais pas pardonner les coups portés par un père à son enfant ».
Les juges ont finalement infliges quatre mois d’emprisonnement avec sursis au prévenu qui n’avait encore jamais été condamné
Effectivement le deux poids deux mesures est saisissant….
J’aimerais apporter une petite correction: la dame saoudienne dont le cas a défrayé la chronique ne s’appelle pas Zeina el Baz, mais Rania el Baz.
Ravissante avant que son mari ne la frappe au visage, elle ne l’est plus, car elle a eu 13 fractures au visage, cinq jours de coma…elle est aujourd’hui un peu bouffie, comme on peut l’être quand on est traité à la cortisone, et se maquille trop, probablement pour cacher certaines séquelles. Elle a écrit un livre qui s’intitule « Défigurée », dans lequel elle ne met pas en cause l’islam, mais la violence des maris jaloux dans les pays arabes.
(Etant saoudienne, si elle mettait en cause l’islam, son espérance de vie serait de dix minutes).
Je sais bien que n’importe quel homme de n’importe quelle religion peut avoir la lâcheté de cogner sa femme.
Mais il n’en reste pas moins que l’homme musulman est légitimé à le faire. Le droit de frapper sa femme est précisé dans le coran, et non dans un hadith ou dans les idées d’un courant de pensée au sein de l’islam.
Il faut toujours rappeler que le coran n’est pas la parole de Mahomet, mais la parole de Dieu.
Cette parole n’a pas été inspirée à Mahomet, mais lui a été « dictée » par Dieu. Ce qui veut dire que le contenu du coran est sacré, inaltérable à jamais.
En résumé, le droit de frapper sa femme est non seulement légitime, mais sacré.