Quelques impressions moroses sur mon quartier qui change…par Danielle Moulins

Petit à petit, doucement, inexorablement le quartier s’enlaidit. La pharmacie a renoncé au nettoyage maintes fois recommencé des parements en travertin de sa devanture. La porte cochère et la belle pierre de taille de l’immeuble haussmannien n’ont pas été épargnées par les tags vomis à la bombe comme excréments de chiens marquant leur territoire.Un kebab, puis deux, puis trois se sont ouverts dans le quartier imposant au regard les couleurs vulgaires de leurs vitrines, la spécificité « halal » de leur tambouille s’y inscrivant en français et en arabe, et l’arrogance lymphatique des clients attablés sur le trottoir. Les balcons de fonte ouvragée fleuris de géraniums bichonnés, les façades du 19ème siècle bourgeoisement sculptées, les hautes fenêtre élégantes se patinent lentement aux remugles graillonneux.

Le quartier change. Un grand noir barbu en kamis traîne nonchalamment sa carcasse sahélienne, silhouette encore insolite boulevard de Port-Royal et, après un borborygme guttural, impose au trottoir un crachat jaunâtre. Qui osera faire une remarque ? Personne. On détourne le regard, on presse le pas, on regagne sa frontière digicodée, son confort petit ou grand-bourgeois à l’étage, à l’abri – provisoire – de murs encore solides…

Quelques années auparavant un Mac Do avait remplacé une grande brasserie au carrefour des Gobelins et son aspect bon chic bon genre, évitant les habituelles couleurs criardes de l’enseigne n’avait cependant pas empêché la présence tenace de cette odeur si particulière et écoeurante de frites et de graisse rance. Les pétitions du voisinage se sont avérées impuissantes : le diktat mondialiste a imposé son veto.

Dans le petit jardin public si charmant lorsque tôt le matin il n’accueille que les chats furtifs et les oiseaux chanteurs, on peut voir et entendre, à la mi-journée, une dizaine de nounous ivoiriennes ou togolaises, hurlant dans leurs téléphones portables en langue vernaculaire ou discutant entre elles d’un banc à l’autre. D’un regard distrait elles « surveillent » les jeunes enfants dont elles ont la charge, s’adressant parfois à eux dans un français qui ne déparerait pas aux étalages de pagnes du grand marché de Cotonou. Ce matin même, l’une d’entre elles, convoyant laborieusement deux bambins dans une poussette, envoya de côté, au pied d’un arbre du square, un vigoureux jet de salive et, tout en avançant se saisit de son smart-phone de dernière génération pour entamer une tonitruante conversation.

Sur le boulevard, depuis quelque temps, des personnes âgées peu assurées sur leurs jambes font leur petit tour au bras d’enfoulardées en djellabas ; celles-ci acceptent-elles d’aller chez le charcutier leur acheter leur habituelle tranche de jambon ? Rien n’est moins sûr car on m’a relaté des témoignages de refus. Petit à petit la ville change.

Un groupe de Roms squatte depuis des mois une placette devant l’hôpital Broca, annexant les toilettes publiques à proximité. Un entassement sordide de matelas, sacs et valises sert de décor hideux à leur mendicité insistante. Chaque boulangerie est flanquée d’un Rom saprophyte, assis sur une valise ventouse, la main tendue, le ton geignard, recueillant monnaie, sandwiches et pâtisseries car le bobo du quartier a le porte-monnaie garni et la mauvaise conscience généreuse. La boulangère change jusqu’à quatre-vingt euros de ferraille chaque jour et ses clients lui demandent parfois : « Vous croyez que ça lui plaira un sandwich au gruyère, au monsieur ? ». La poste toute proche a placé un panneau incitant à la prudence au-dessus du distributeurs de billets, des fillettes ayant entrepris de soulager les usagers de leurs retraits.

Au Franprix du quartier, non loin de la fac de droit, le rayon « halal » est toujours bien fourni en pseudo charcuteries diverses, pour le bonheur des étudiantes voilées de trois couches de foulards artistiquement dressés en chignon identitaire. Quel usage feront-elles de notre droit quand plus tard elles revêtiront la robe du juge ou de l’avocat ? Il est à craindre qu’elles s’exercent à bien en étudier les failles et les faiblesses pour mieux le contourner, l’annihiler, et ouvrir grande la porte à la charia.

De nouveaux HLM contribuent au changement de population et les mères arborant hijab et longue jupe noire inscrivent leurs enfants à l’école pour la rentrée prochaine. Elles croisent des mères d’élèves bobos qui, à la sortie des classes devisent, armées de leurs bottes et de leurs sacs à main à 300euros, sur l’intérêt du dernier « projet d’école » ( une des bouffonneries pédagogistes inventées par les scientologues de l’éducation nationale) axé sur la tolérance, le vivre-ensemble et la lutte contre le racisme ; elles envisagent d’adhérer à RESF. Comme chaque année l’école ouvrira ses portes pour la matinée « saveurs du monde » et chacun pourra déguster le couscous « halal » de la maman du petit Mohamed, le poulet yassa « halal » de la maman de la petite Fatoumata et on prendra soin d’apporter une quiche au poisson plutôt qu’aux lardons par respect des différences…C’est formidable le multiculturalisme des papilles le samedi matin entre 10 heures et 13 heures !

Ce vendredi soir les gourous du tout ludique ont une fois de plus imposé leur triste « fête de la musique » et les milliers de décibels de la place Denfert-Rochereau ont soumis chacun au plaisir décadent de quelques uns, hurlant j’ai le droit, c’est mon droit, c’est mon choix. L’ancien ministre de la culture, inventeur de cette journée obligatoire, aujourd’hui recyclé derrière les moucharabiehs du ruineux institut du monde arabe, va-t-il bientôt nous gratifier d’une journée de l’islam des lumières, dernière empreinte pré-sénile de sa personnalité divertissante ? Une djellaba en vichy rose et blanc pour lui, un hijab à fleurs YSL pour Aurélie, des vélibs aux roues voilées pour tous les participants, concerts de oud, dattes et loukoums distribués gratuitement à chaque coin de rue par de charmantes pucelles enfoulardées et de beaux éphèbes au regard illuminé par les merveilles du coran ? On peut rêver, le meilleur des mondes est là…

Rapidement, inexorablement le pays change.

Danielle Moulins

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36 Commentaires

  1. Je suis totalement d’accord avec vous tous, mais comment peut-on réagir, seul? Quel malheur, et tout cela au nom du multiculturalisme, soit- disant preuve de notre tolérance … en tant que français!!!

    • il ne faut pas rester seul, il faut adhérer à une association résistante afin que les patriotes se serrent les coudes et aient les moyens d’agir et de continuer la lutte

  2. Les forces d’assimilation qui existaient dans le passé ont presque toutes disparu (service militaire, colonies de vacances, camps de jeunes, internats). Par conséquent, il n’y a plus rien (à part l’école) pour rendre ces populations immigrées françaises. Si on est patriote, on se doit de phagocyter ces populations pour renforcer la France.

  3. Demandons, ou exigeons tout simplement, que chaque Immigré se plie aux règles et traditions de notre Pays
    la France. Si on ne s’y plait pas, il n’est pas interdit de repartir chez soi, et d’y trouver un mode de vie plus adapté.
    Il faudrait que les citoyens Français et Européens se réveillent avant qu’il ne soit tard.

  4. Que de bonnes précisions dans ce texte. Il est vrai qu’il faudrait envoyer ceux qui veulent partager notre FRANCE,
    ne serait-ce qu’une petite semaine dans les pays de ceux qu’ils ont tant de joie d’ accueillir, et de demander où
    ils peuvent trouver une charcuterie, un restaurant, une épicerie, voire même un lieu de culte.
    La liste serait trop longue, et les désillusions incommensurables au retour de ces illuminés.
    Ce que je sais, c’est que j’ai beaucoup voyagé et je n’ai eu de cesse que de me conformer aux règles et usages
    de tous les pays, quelle que soient leurs religions ou coutumes.

  5. Je suis heureux de voir que beaucoup de mes concitoyens pensent de la meme façon que moi;neanmoins,je crois que notre société est voué a l’echec sur tous les plans:economie,religieux,culturelement,discipline,etc…etc;de part notre propre laxisme et de la part de nos gouvernements successifs depuis l’apres DE GAULLE.Je souhaite beaucoup de courage a la prochaine génération et beaucoup de remords a ceux qui n’ont pas vu arrivé le danger;

  6. Cette impression, on l’a ressent partout dans beaucoup de quartiers dans Paris. Les trottoirs commencent à ressembler aux rues du Caire en Egypte. Lourde atmosphère. Il est grand temps de former notre propre communauté sinon on périra.

  7. Très belle écriture…
    Laurent Obertone, d’après ce qu’il m’a dit un jour en tchat privé, écrira un livre évoquant le whiteflight.
    C’est la seule solution qui nous reste pour ne pas devenir, fous : migrer vers des villages préservés.
    Rester dans ces endroits perdus par la République équivaut à un lent suicide ou à la stupidité.

  8. Excellent article sur la dégradation, l’ensauvagement, la tiers-mondisation inexorable de Paris.
    Cela nous change des articles des pressetiputes professionnelles des grands médias.
    J’ai envie de pleurer.

  9. « C’est bizarre mais je me suis sentie violentée, volée et violée dans mon intimitée, dans ma culture, dans mes valeurs, dans mes racines, dans mon histoire , dans mon pays, dans mon enfance et dans tout mon moi.  »

    Ce n’est pas bizarre,Nini. J’ai le même sentiment que vous. Nombreux sont ceux qui ont le même sentiment et lorsqu’ils manifestent leur détresse, ils sont accusés de racisme ou de fascisme.
    C’est la situation classique de la personne violée qui est accusée par son violeur. Mais ici, c’est tout un peuple qui est violé et dépouillé avec la complicité de ses responsables politiques.

    • @Beate: bien que vos propos soient durs à lire, ils me rassurent dans le fait que je ne suis pas seule à éprouver ces sensations et que donc je me sens parfaitement normale 🙂

      • Je vous conseille de visionner la vidéo de Paul Weston et de la conserver précieusement au cas où elle disparaîtrait…..

  10. Bonjour Danielle, je travaille un plus haut dans ce quartier – Tolbiac – et ne vais que très rarement du côté de Port-Royal, en me promettant d’y aller prendre le temps de flaner, car ce quartier est lourd d’Histoire, la vraie, celle qui a fait la grandeur de la France. Et je me disais naïvement qu’en allant me promener là-bas je retrouverais MA FRANCE. Je vois que je suis à cent lieues de mes rêves…. Celles dont vous parlez, les cracheuses qui traînent les pieds, trop fatiguées pour marcher normalement, je les vois tous les jours et elles ne savent pas parler sans hurler il est vrai. Certaines fois j’ai envie de leur dire qu’elles ne sont pas dans leur pampa et qu’il y a un minimum de respect des autres usagers de la rue, mais malheureusement je ne le peux car je suis responsable d’une agence de grande enseigne avec bien sûr pignon sur rue!! Alors je me détourne pour ne pas les voir.. C’est triste à dire mais j’ai l’impression de capituler et je m’en veux. L’autre jour au Franprix voisin j’ai assisté à une scène qui m’a ravie: l’une d’entre elle vociférait dans son portable et la caissière (croate) s’est révoltée et lui a dit qu’elle refusait de l’encaisser si elle n’arrêtait pas de téléphoner immédiatement, en lui expliquant que nous étions en France et qu’il y avait un minimum de respect à avoir pour le reste de la clientèle. Bien sûr la Daaame a été froissée (pauvre chérie) et a répondu « si c’est ça je ne paye pas » Ce à quoi Angelika (la caissière) lui a dit « mais je m’en fous madame, vous pouvez partir si vous voulez, je ne vous ai jamais demandé de venir faire vos courses ici! » Depuis ce jour cette dame entre au Franprix sans son téléphone!! Je suis bien sûr allée féliciter Angelika dès le lendemain en regrettant de ne pas pouvoir en faire autant…….

  11. Il y a très longtemps j’ai habité dans ce quartier. Ma paroisse était l’Église Saint Médard. Il est triste d’apprendre que ce quartier est touché par le « multiculturalisme » qui n’est en fait qu’un lent changement de population. Dans ma ville, il est arrivé que je marche dans plusieurs rues de suite sans avoir entendu un mot de français, Les restaurants sont presque tous halal, il ne reste qu’une seule boucherie traditionnelle française pour cent mille habitants…
    Oui, Daniel, oui à la Reconquista maintenant.

    • Il y a quelques années, je suis retournée voir la maison de mon enfance, dans le Var. J’ai été traumatisée du changement, j’en ai pleuré pendant des mois et je n’y suis plus retournée depuis car c’est trop éprouvant.
      Inutile de décrire l’endroit : on s’y serait crû ailleurs qu’en France. J’ai très mal supporté le choc que j’associerais à une sensation de viol . C’est bizarre mais je me suis sentie violentée, volée et violée dans mon intimitée, dans ma culture, dans mes valeurs, dans mes racines, dans mon histoire , dans mon pays, dans mon enfance et dans tout mon moi. J’étais venue dans la région pour me recueillir sur la tombe de mon grand-père et , à ma surprise , la mairie avait ordonné d’enlever la dépouille et de la mettre dans l’ossuaire publique , comme de vulgaires déchets, malgré qu’il reposait dans le caveau familial à perpétuité. Je n’en avais pas été prévenue. J’étais déjà très secouée par cette affaire alors quand je suis retournée voir le quartier de mon enfance et que j’ai fais les constats de changements ça a été la cerise sur le gâteau !! ….trop c’est trop !!!…Je n’aime pas penser à tout ça parce que ça me rend trop triste .

      • « …la mairie avait ordonné d’enlever la dépouille et de la mettre dans l’ossuaire publique , comme de vulgaires déchets, malgré qu’il reposait dans le caveau familial à perpétuité. »
        Pardon de revenir sur ce fait horrible Nini, qui a dû vous bouleverser au plus profond de l’âme. Mais les mairies n’ont pas le droit de faire cela pour une concession à perpétuité ! A moins que je me trompe. En tout cas, je suis de tout coeur avec vous car cela n’a pas de nom !

        • @Bretonnedecoeur : la mairie avait accepté de faire réparation de la manière suivante :
          Sachant que le caveau contenait les dépouilles de : mon arrière grand-mére, mon arrière grand-père et mon grand-père ainsi que mon grand-oncle :
          Elle a concédé de ne récupérer QUE la dépuoille de mon grand-pères, laissant les autres dans l’ossuaire.
          Et elle a concédé de mettre la dépouille dans un carré conçu pour ne contenir qu’une seule dépouille.
          Faute de mieux j’avais accepté cela mais à la condition qu’elle me remette les boutons du vêtement que portait mon grand-père ou que soit faite une analyse d’ADN afin qu’il soit bien certain que la dépouille serait celle de mon grand-père. Elle l’a refusé !…comme quoi maintenant , je suis certaine qu’ils auraient mis les restes de n’importe qui se trouvant dans l’ossuaire publique en me faisant croire que ce sont ceux de mon grand-père.
          Et pour clore le tout, mon grand-père avait été maire de ce village et son nom figure encore sur le mur de la mairie !!!
          Après avoir traîté sa dépouille comme de vulgaires déchets et dans l’irrespect total de ses descendants en leur privant de leur droit le plus total d’aller se recueillir sur la tombe !!….&%?$*## !!! Excusez moi, mais je n’en peux plus. Je ne veux plus en parler , ça me rend malade !

  12. rapidement,inexorablement le pays change…..boulversement demographique,boulversement culturel et religieux….a la manière d une coulee de lave en fusion,doucement mais a une echelle gigantesque,notre pays,malheureusement,comme l ecrit si bien danielle moulins,change d aspect…..change de visage….l horreur islamique s est implante,prit racine pour mieux se repandre!!!!!!
    on est la comme des cons a assister en direct sous nos yeux,impuissants que nous sommes,……c est dramatique….

    • @ Templier : vous venez de décrire avec précision mon état d’âme actuel. Qui plus est, j’ai l’impression que chaque geste que je porte est comme tenter de vider , seule, l’océan avec une petite cuillère !…mais pour m’encourager à continuer je me dis que chaque petit geste compte et je me rapelle l’érosion que peut faire une goutte d’eau tombée à répétition sur du roc : elle finit par en venir à bout. Ce genre d’exemple me permet de persevérer et garder espoir.
      Vous savez, on peut perdre un ami et c’est horrible, on peut perdre tous ses avoirs et c’est terrible, mais quand on perd espoir et courage, on a TOUT perdu !… donc, il faut garder le cap :)…pour tenter de redresser la situation si l’on vit dans un endroit ou le mal est très avancé, et pour tenter de freiner la progression si l’on vit dans un endroit en processus d’implantation de ce système.

  13. tiens il me semble que ce reportage peut ce jour venir du 93 Villepinte Sevran Tremblay en France …
    en tout cas c’est la réalité ..pizza hallal …restaurant hallal etc….carrefour avec rayon hallal et comme le ramadan arrive bientôt étalonnage de produit pour ce carême carême qui dure 1 mois pour eux contrairement au carême chrétien qui lui dure 40 jours c’est pas la même chose non….

  14. On pourait croire qe vous faites la description d’un cauchemard, d’un mauvais rêve pour nous qui vivons à la montagne dans un petit village de 140 habitants préservé des envahisseurs par une cinquantaine d’épingles plus les courbes, donc encore épargné mais pour combien de temps ?
    Vous dites le meilleur des monde, je dirais aussi la planète des singes, avec les français comme esclaves.
    Comme je vous plains, comme je préfère encore un hiver comme nous venons d’en vivre un tout au long de l’année, plutôt que ces visions d’horreurs, ces mauvaises odeurs à longueur de temps.
    Les français sont trop gâtés, ils veulent du dépaysement, j’espère qu’ils vont ouvrir les yeux avant le point de non retour.
    Je penserai maintenant à vous, en même temps qu’à Marie Neige.

    • Oui le témoignage de Danielle est propre à ouvrir les yeux de ceux qui vivent encore à l’abri pour que ça change avan tqu’il soit trop tard

    • Je suis originaire de Picardie, ayant travaillé 10 ans en région parisienne et côtoyant quelques fois des grandes villes, maintenant que je suis en retraite dans la campagne bourguignonne, je puis vous affirmer que le court récit de l’ambiance de ce beau quartier n’est que légèrement écrit.
      Je puis vous affirmer qu’il y a toute une racaille organisée et bien mise en place par un gouvernement pourri qui ne fait que de commencer et prend une ampleur très rapide.
      Même dans les campagnes, la charogne court plus vite que la peste.
      Etant donné tous les droits donnés à des étrangers ne respectant pas nos lois, ne fait que de s’amplifier, bien encouragé par des personnes au gouvernement, n’ayant jamais travaillé, et n’ayant même pas purgé des peines de prison suite à leurs propres méfaits, encouragent et votent des lois donnant droit à des étrangers alors que le français ayant travaillé toute sa vie n’a même pas droit.
      Les personnes habitant en campagne ou à la montagne, ne croient, bien sur pas, toutes les images des grandes villes. C’est bien pardonnable, étant donné que cela est abbérant.
      J’ai été dans ma vie professionnelle, a voir des choses que tout le monde ne sait.
      Il n’y a pas de marche arrière possible en France, le gouvernement et la justice étant à ce point pourris.
      Ayant des enfants assez jeunes, j’ai peur pour eux.
      Les seules solutions sont…. sanglantes !!!!!!!!!!!!!!!

  15. Malgré certains termes poétiques, votre texte que je conserverai dans mes notes, m’a inoculé un certain pessimisme….

  16. Quel talent, quelle poésie, quelle regard aérien et malheureusement fort lucide.
    Souhaitons que d’ici peu, le même regard épouse les réalités d’un univers progressant avec détermination dans l’autre sens. Celui de la Reconquista…

  17. Ça me rend fou de rage ! Que les bobos y trempent jusqu’au cou dans leur multiculturalisme à la noix, voyons combien de temps ils en seront bien ravis d’un tel mélange ! En attendant, nous, on trinque et pas du coté littéral et positif, et quand je vois que Marie-Neige Sardin en est réduite à une grève de la faim après une nouvelle attaque et toujours pas d’aide de la part des forces de l’ordre ! Plus possible de continuer ainsi encore et toujours… !

    • Cela fait de nombreuses années déjà que nous sommes les victimes (con)sentantes de la sirupeuse médiocrité des bobos et autres intellos de gôôôôôche. Et ce n’est pas près de s’arranger car ils tiennent le haut du pavé, tout autant que les voilées et leurs barbus en djellabahs ! Je serre les dents en me disant que dans quatre ans, je filerai en Bretagne définitivement, en espérant que dans le coin que j’ai choisi les choses seront plus calmes. Mais j’éprouve tout de même de la peine pour ce pays que j’ai tant aimé dans son intégralité et qui maintenant…
      Arriverons-nous à les chasser ? J’ai bien peur qu’il soit trop tard.

    • @Alain : De Marie-Neige Sardin ils n’en font pas de cas, il la laissent crever . J’ai bien l’impression qu’ils ne lèveront pas le petit doigt. Il semble que de soulever un coin de voile d’une enfoulardée soit mille fois plus grave que quelqu’un qui met sa vie en péril par une grève de la faim. Alain, je devais aller souper mais je n’ai plus faim. Bonne soirée.

      • Pardon de vous avoir coupé l’appétit en rappelant Marie-Neige à notre souvenir Nini, ce n’était mon intention. Les événements nous coupent déjà suffisamment l’appétit, loin de moi l’idée de vouloir en faire de même…

  18. C’est vrai que tout est étrange chez « eux » !
    Avec un portable…ils hurlent !
    Marchent t’ils dans les rues…un crachat tout les dix mètres ! (15 minutes avec leur vitesse de déplacement)

    Dieu que je suis bien dans mon village, et Dieu que je plaint mes concitoyens obligés de (sur)vivre parmi ces machins !

    • @Philippe : je suis en tandem avec vous cher Philippe : Dieu que je suis bien ou je vis et Dieu que je plains les français d’être contraints à subir tout ça. Si ma grand-mère était encore vivante et qu’elle vive là-bas, elle aurait eû à vivre ça ?…non car je ne l’aurais pas supporté. Je serais allé la chercher pour qu’elle vienne vivre avec moi ici. Mais je pense à toutes ces mamées là-bas qui n’ont pas une petite fille comme moi, et qui vivent un enfer de chaque minute, dans l’insécurité, la tristesse, l’isolement et l’horreur de voir son pays s’effacer au crépuscule de leur vie. C’est insupportable. Mon coeur se serre.

  19. quel agréable reportage de Danielle Moulins , lire notre langue, avec toutes ces nuances un vrai bonheur…L’emploi des onomatopées employées en permanence , écrits illisibles si on le lit pas le texte à haute voix !!! hélas, notre FRANCE typique, si belle , aux régions si différentes ressemble de plus en plus aux quartiers misérables d’Alger ou des villes africaines non entretenues…. et l’odeur de l’urine le long des murs ….

  20. Très beau texte, Danièlle Moulins. Votre quartier COMMENCE à ressembler au mien, commence…

    Bises, Christine.

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