Pourquoi les jeunes musulmans allemands réussissent moins bien que les vietnamiens, par Apocalyptus

Depuis des années, à chaque fois que la Ville de Berlin effectue des statistiques -prenant en compte les paramètres ethnique et religieux- sur le niveau scolaire dans ses écoles, les résultats montrent invariablement que :

* la présence accrue d’élèves musulmans (turcs et arabes essentiellement) fait baisser le niveau de la classe, donc itou implicitement celui des élèves allemands.
* la présence d’élèves asiatiques (vietnamiens* essentiellement) fait monter le niveau de la classe pour tous les élèves.

Les faits parlent d’eux-mêmes.

Heinz Buschkowsky, bourgmestre de l’arrondissement berlinois de Neukölln depuis 2001, vient d’écrire une monographie sur ledit arrondissement : NEUKÖLLN IST ÜBERALL (Neukölln est partout) où, soit dit en passant, il existe 20 casernes-mosquées. L’ouvrage est édifiant à souhait, comme le montrent les quelques extraits suivants, ou les conclusions qui découlent de la lecture :
* plus la religion influence ces jeunes musulmans, moins ils réussissent en comparaison avec leurs camarades turcs plus « laïcisés ».
* 80% de la population turque de Neukölln est originaire des basses classes de Turquie.
* le segment de population que constituent ces jeunes hommes est celui qui manifeste le plus d’hostilité à l’endroit des juifs, des homos et des Allemands de souche (page 227).
* les jeunes filles s’en sortent relativement mieux que leurs frères. Pourquoi? La réponse est page 232: « Apprendre, c’est comme habiller des poupées, apprendre c’est pédé ».
* propos du bourgmestre, page 312:
Un métier dans un bureau ne correspond pas, selon leur point de vue, à ce que doit être la tâche d’un homme. Alors que je demandais un jour à l’un de ces jeunes hommes s’il n’avait pas envie de postuler à un poste à la mairie, sa réponse fut celle-ci: « Tu crois qu’je suis pédé ou quoi? ».

* ces élèves vietnamiens sont des enfants dont les parents s’étaient installés dans la partie Est de Berlin, donc communiste, avant la Chute du Mur.

Heinz Buschkowsky: NEUKÖLLN IST ÜBERALL
# Editions Ullstein, Berlin, 6ème édition, 2012, 400 pages, ISBN 978-3-550-08011-1
http://www.ullstein.de

Apocalyptus

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4 Commentaires

  1. @Philippe le routier

    Les dangers de guerre dont vous parlez sont réels, il suffit de voir ce qui se passe en ce moment même à la frontière turco-syrienne.
    Quoi qu’il en soit, même si la Turquie était un pays non-musulman, démocratique, etc, elle reste néanmoins un PAYS D’ASIE MINEURE. Elle ne fait donc pas partie de l’Europe, et n’a pas sa place au sein de l’UE, un point c’est tout! On n’a aucunement à s’en justifier, encore moins à s’excuser.
    Mais Erdogan est tenace. Il vient de rencontrer successivement Merkel et Passos Coelho, le Premier ministre portugais, et a su entourlouper tous les deux afin qu’ils laissent entrer le renard dans le poulailler. Pour rester dans le registre du bestiaire, « coelho » veut dire « lapin » en portugais. La « ferme des animaux » de la politicaille union-européenne est d’une drôlerie sans pareille…

  2. Je CONFIRME ! Ayant vécu à la frontière franco-allemande j’ai bien souvent « profité » de nos voisins d’outre-Rhin, économie, gastronomie, voire juste le plaisir de se promener ne serait ce qu’à Kehl pour marcher dans des rues propres…bref j’aime bien ce pays.

    Mais leurs immigrés valent les nôtres, ils sont à l’image de leur « civilisation », et oui, mention spéciale aux Turcs qui sont, je le pense, les musulmans les plus durs à supporter.
    Combien de ces Turcs ais-je connu ? Je compte plus, mais effectivement, ils venaient des plus basses couches sociales chez eux, beaucoup aimaient les vêtements de marques, les belles montres, les beaux bijoux (volés ou chinés aux puces peut-être car un certain nombre ne travaillaient pas ) les hommes étaient des surconsommateurs des gel pour cheveux, et de teinture car ils voulaient les garder bien noir, quand aux femmes, voilées bien sur, elles évoquaient bien les Balkans.

    Pour ce qui est du « j’suis pas pédé » c’est leur leitmotiv, ils sont obsédés par la pederastie, pourtant notoirement pratiquée par les hommes musulmans au vu des difficultés à se marier jeune et à l’obligation de vertu pour les femmes avant mariage.

    Et puisque j’en suis à parler spécifiquement des Turcs, donc de la Turquie, je trouve insensée cette volonté de l’UE de vouloir faire entrer dans « l’union » un pays dont tout montre qu’il sera en guerre avec ses voisins (pourtant également musulmans) avant très peu de temps.
    Car enfin, si la Turquie rentre dans cette union fantoche, et que la Syrie l’attaque encore, l’UE sera bien contrainte d’aider ce nouveau membre, ce qui sera perçu par l’OCI comme une attaque et risquerait fort de démarrer un troisième conflit mondial…les politiques sont fous.

  3. Et ce n’est pas tout , il y a de cela 2 ou 3 jours je regardais le journal d’Arte et un reportage allemand sur l’éducation y fut diffusé.
    Les allemands étant bien plus pragmatiques que nous français et n’hésitant pas à appeler un chat un chat, le reportage enquêtait sur les pratiques éucatives selon la culture d’origine. LA conclusion était sans appel :
    Les parents issus de pays musulmans , Turquie, Kurdistan, Somalie … ou des enclaves musulmanes dans les Balkans sont bien plus violents avec leurs progénitures que les autres. Frapper son enfant fait partie de la pratique éducative. Une petite jeune fille témoignait ( visage caché ) que sa mère lui avait cassé le coude, lésant le nerf à coup de pot de miel ( ce qu’elle avait sans doute sous la main ) parce qu’elle avait refusé d’obéir.
    Et ce n’est pas une exeption. J’en veux pour preuve ce que mon fils m’a rapporté l’année dernière.
    L’année dernière j’habitais encore en Seine Saint-Denis, département à majorité musulmane s’il en est. Donc, mon fils rentre du collège assez perturbé. Il m’explique qu’un de ses camarades de classe avait eu une mauvaise note et qu’il craignait fort être frappé pour cela. Mon fils croyant bien faire à voulu le rassurer en lui assurant qu’en France on ne frappe pas son enfant pour une mauvaise note. Mais si renchérit le camarade et … le reste de la classe.
    Seul mon fils et 2 autres gamins argumentent que non ça ne se fait pas. En vain, le reste de la classe à majorité musulmane, persiste et signe, c’est normal d’être frappé par ses parents quand on désobéit ou travaille mal à l’école!!!

    ces enfants étaient éffarés de ce que mon fils, ne reçoive pas de coups et trouvaitent cela totalement anormal!!!

    LA biographie de la député Hollandaise Ayan Irsi Ali  » the caged virgin » est très éclairante à ce sujet.

    • Merci Laurence pour ce témoignage, important, qui corrobore tout à fait ce pour quoi je suis poursuivie en juillet « la dénonciation de la violence mahométane » sur notre sol…

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