Au moment où Tocard premier (merci à l’inventif lecteur de mon blog qui a trouvé cette délicieuse et réaliste épithête) prétend être contre les mains coupées et les violences faites aux femmes, au moment où la famille de l’ambassadeur américain torturé et assassiné pleure des larmes de sang, au moment où les polices du monde entier sont sur le pied de guerre pour protéger ambassades, caricaturistes, apostats de l’islam et autres « blasphémateurs » ILS osent continuer de nous bassiner avec les pays musulmans et à essayer de nous imposer de force leur présence dans notre monde.
Dernière étape, le festival de géographie de Saint-Dié, dans les Vosges, a trouvé nécessaire de prendre comme invité d’honneur la Turquie. La Turquie qui est de moins en moins celle du laïque Atatürk mais de plus en plus celle de l’islamiste Erdogan.
Si l’on était sûr de voir ce festival international décrire objectivement la Turquie d’Erdogan, on ne se poserait pas de question. Mais quand on voit que la directrice du festival est Mireille Delmas Marty, qui depuis le 11 septembre 2001 se bat contre la « tentation sécuritaire » et prétend qu’il ne faudrait pas « avoir peur » parce que la conscience des dangers ne saurait exister selon elle, qu’«à condition qu’elle ne provoque ni à la haine ni à l’exclusion, la peur des risques planétaires crée une solidarité mondiale involontaire d’où pourrait naître une volonté de vivre ensemble en une communauté de destin».
Bref, elle dit, autrement, la même chose que ceux qui traînent devant les tribunaux des Pierre Cassen, Pascal Hilout, Jacques Philarchein ou Renaud Camus, avoir peur de l’islam signifierait qu’on aurait peur des musulmans et donc qu’on appellerait à la haine contre eux. D’où les efforts désespérés de nos élites pour nous convaincre de la grandeur et de l’intérêt de cette civilisation arabo-musulamane qui, jusqu’à présent, a apporté à l’humanité bien plus de guerres, d’esclaves, de castrations et d’exploitation de la femme que de prix nobel et de mères Thérésa…
Christine Tasin
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Pour ceux qui aiment l’aventure :
Arabie saoudite :
Un millier de Nigérianes retenues à l’aéroport de Djeddah car non accompagnées d’hommes
Le coran interdit à la femme de voyager sans être accompagnée de son mari ou d’un tuteur.
Un millier de Nigérianes venues en Arabie saoudite pour effectuer le hadj, le pèlerinage annuel à La Mecque, sont retenues à l’aéroport de Djeddah parce qu’elles ne sont pas accompagnées par des hommes, a fait savoir mercredi leur gouvernement.
Cent cinquante autres, qui se trouvaient dans le même avion, ont d’abord été refoulées à leur arrivée «faute d’accompagnateurs masculins légaux», a expliqué Mohammed Bello, président de l’organisme nigérian chargé du hadj. «Cette attitude déplorable s’est poursuivie avec les vols suivants qui sont arrivés dans le royaume», a-t-il poursuivi.
Le parlement nigérian a décidé d’envoyer une délégation sur place pour «faire l’interface» avec les autorités saoudiennes. «On ne nous a rien donné à boire. Il n’y avait aucune nourriture pour nous et nous sommes restées clouées sur nos sièges pendant des heures dans l’avion», s’est indignée une des refoulées, de retour à l’aéroport de Kano, dans le nord du Nigeria.
Source : 20 minutes, 27 septembre 2012
Je vais utiliser, merci Dorothée !
C’est une vielle attirance pour ce qui est nouveau, pour ce qui vient de loin. Et cela ne date pas d’aujourd’hui, mais de la nuit des temps. Une espèce d’instinct pour éviter la consanguinité ?
Cela se traduit à notre époque par le goût pour l’exotisme, les vacances en pays exotique, les petits restos dans le Paris exotique, les applaudissements au joueur de tam-tam, l’émerveillement devant les arts « premiers », terme qui a remplacé le mot « primitif » trop explicite sur leur médiocrité.
Quelques siècles après les femmes tahitiennes, il suffit de voir les yeux des femelles (pardon, des collègues femmes) lorsqu’un nouveau collègue arrive, et que par bonheur il est maghrébin. Et on fait mine de s’intéresser à sa recette du couscous et au village d’où il est originaire.
Plus sérieusement (quoique je l’étais) en ce qui concerne votre sujet, c’est tout bonnement du fayotage pour acheter la paix avec l’ennemi extérieur, et avec celui de l’intérieur. Pour leur dire : « on vous aime ». *
Comme je l’ai dit dans un autre post, c’est le même fayotage factice dans l’éducation, les compliments de toute la communauté éducative à l’élève musulman perturbateur qui se calme un jour (disons plutôt 1 heure), tandis que celui qui travaille dans son coin est totalement négligé.
* c’est un sentiment que je ressens depuis longtemps en voyant les gesticulations des bobos politiquement corrects, et qui à mon avis est typique du véritable racisme. Ces gens là traitent (considèrent) les musulmans comme de grands enfants qui ont besoin d’être aimés. Bref, du paternalisme … Après le colonialisme ?
N’a-t-on pas prononcé le mot maturité suite aux dernières caricatures ? Pourquoi, ils n’étaient pas mûrs avant ?
Alors que ceux qu’on traite de racistes n’ont pas cette opinion infantilisante des musulmans. Ils se contentent de dire que ce sont des emmerdeurs. Nuance. Ce n’est pas humiliant.
D’ailleurs, ces prétendus racistes n’ont certainement pas de colonisateurs dans leurs ancêtres. On en revient au même constat, celui qu’on traite de souchien, de beauf, est le Français qui se contente de vivre pénard dans son petit coin de France qu’il aime, sans jamais avoir cherché à se faire du fric ailleurs dans le monde. Est-ce le cas de nombreux élus célèbres ? Je ne pense pas que leurs ancêtres étaient à l’extérieur pour l’amour de l’autre. Ce sont d’ailleurs les mêmes qui prônent la mondialisation, le brassage de population, la libre circulation des biens, des personnes et des capitaux. Est-ce ce que souhaite le Français chrétien ou descendant de chrétiens ?
Excellente analyse
Je pense que le but ultime non avoué, c’est de lancer une guerre. A force de monter les gens les uns contre les autres, en mélangeant des civilisations non compatibles, cela finira par arriver. Les grandes puissances le savent bien, quand je dis les grandes puissances, c’est 4 ou 5, pas plus. Une guerre apporterait une relance de l’économie, donc des »richesses » à ceux qui ont la technologie, elle permettrait un re-découpage de la carte des pays, donc du partage des matières première, elle permettrait également de réduire l’augmentation de la population mondiale. La crise en Europe va etre le catalysateur de ce processus. A suivre…
Possible en effet…