On ne mettra pas sur le dos du maire de Toulouse les assassinats perpétrés par Mohamed Merah, bien évidemment, mais ce qui se passe depuis quelques années à Toulouse montre que tout est fait pour que cette ville ne soit plus française, tout simplement.
On commencera par rappeler les évènements du 18 novembre 2009, quand le drapeau français est arraché à la Mairie pour être remplacé par le drapeau algérien puis brûlé. Puis, à nouveau, le 21 avril 2010, rue Gayral, un groupe de jeunes a fait brûler un drapeau français. Comment s’en étonner puisqu’en novembre 2009 le maire adjoint chargé de la diversité, monsieur Makengo, avait minoré l’affaire, parlant de la « bêtise » d’un petit groupe ? Quel encouragement à mépriser la France, ses symboles et l’autorité !
Il y a à Toulouse un climat inquiétant pour les patriotes et les amoureux de la France.
Quelques anecdotes ? L’agression sauvage dont ont fait l’objet des adhérents et sympathisants de Résistance républicaine venus pique-niquer sur les bords de la Garonne pour célébrer les 140 ans de la troisième République, celle qui a fait naître la loi de 1905, le 4 septembre 2010. La présence de quelques jeunes venus essayer de perturber la conférence donnée par Pierre Cassen en avril 2010. La censure dont a été victime Anne Zelensky, invitée à donner une conférence en mars 2011 et interdite au dernier moment par les caciques socialistes…
En quoi tout cela concerne-t-il le maire, me direz-vous ?
Indépendamment du fait qu’il soit responsable de l’ordre dans sa ville, ses convictions profondes semblent avoir déteint sur l’extrême gauche de sa ville et on se demande donc si elles ne les ont pas encouragées. Ses dernières déclarations sont incroyables de cynisme : « Tout ce qui est nationaliste, Front National ou autre, je considère que réduire leur présence voire l’éradiquer, c’est important. Il y a deux moyens : par la loi et le rapport de force physique, qui montrent que l’on est très majoritairement contre, mais aussi par le combat idéologique. »
Dans un Etat de droit, où même la légitime défense est passible de tribunal, le maire d’une grande ville ose faire l’apologie de la violence, encourageant l’usage de la force physique pour se débarrasser de ceux avec qui il n’est pas d’accord !
Or, qui sont ceux contre qui il appelle à user de rapport de force physique ? Serait-ce contre les salafistes qui ont envahi la ville rose, qui tiennent des discours comme ceux qu’un certain Mohamed Merah tenait ? Pas du tout.
Non, le diable est ailleurs, il est chez les nationalistes, chez les Identitaires et au FN. Tous des partis autorisés et ayant pignon sur rue. Où sont les kamikazes de ces partis ? Quelles sont leurs victimes ? Où sont leurs messages de haine et d’incitation à tuer ?
Le Maire de Toulouse voudrait faire disparaître tous ceux qui tiennent à la France et surtout leur discours qui semble le gêner énormément qu’il ne s’y prendrait pas autrement.
D’ailleurs est-ce un hasard si c’est à Toulouse qu’on veut remplacer le pont Bayard par le pont du 19 mars 1962 ?
D’ailleurs, est-ce un hasard si c’est à Toulouse que s’est tenue une grande manifestation pour les langues régionales le week-end dernier et si des milliers de gens étaient là pour réclamer, carrément, une loi constitutionnelle pour l’occitan ! Mais sans la présence des Identitaires, qui réclament pourtant eux aussi un vrai statut aux langues régionales !!!! Diabolisation quand tu nous tiens, gauchisme liberticide quand tu nous tiens…
L’occitan, actuellement, n’est pas interdit, chacun a le droit de l’utiliser en famille ou entre amis, peut l’enseigner ou le faire enseigner à ses enfants. Les seuls devoirs de chacun sont d’utiliser dans son métier et dans les actes publics le français, parce que l’on ne peut imaginer la babélisation/balkanisation de la France.
Eh bien cela ne suffit pas à ces manifestants, soutenus, on ne s’en étonnera pas, par Eva Joly ou José Bové, tous connus pour aimer la France… On ne s’étonnera pas non plus des promesses d’un Hollande, décidé, au cas où il serait élu (que les Dieux et les électeurs nous en préservent, par pitié) à ratifier la Charte des langues régionales et minoritaires qui obligerait la France à enseigner dans toutes ses régions en langue régionale, à rendre la justice en langue régionale, à payer moults traducteurs dans tous ses services publics etc.
On rappellera pour la forme qu’une vraie langue c’est bien celle qui a donné une littérature et une philosophie à une nation, qui a acquis ainsi toutes les subtilités de la langue pour traduire sentiments et pensées, faire naître émotion et beauté. Et que les langues régionales ou minoritaires si elles sont un plus, une richesse pour l’individu, ne peuvent la remplacer ni l’égaler.
C’est aussi de cela que ces illuminés veulent nous priver.
Bref, Toulouse, une ville prête à faire sécession pour devenir la tête de pont de l’Occitanie ? L’Europe en a rêvé, le maire de Toulouse le fera-t-il ?
Si Hollande passe, cela sera fait. Qu’on se le dise.
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Monsieur Cohen veut « éradiquer » le Front National?
un jour ce sera le Front National ou n’ importe que Français patriote et républicain qui « éradiquera » Monsieur Cohen.
Just beware, Mister Cohen…