Assassinats, exterminations et génocides en islam. Une terreur vieille de 1380 ans.

De même qu’il convient de regarder dans le rétroviseur pour la conduite d’un véhicule, un regard objectif sur l’Islam historique est de première urgence pour comprendre ou simplement admettre que les attentats de Londres, de Madrid, de Bali, du Bangladesh et de New Delhi sont islamiquement corrects ou coraniquement légaux.

Ayant compris qu’ils étaient distancés et formatés par la civilisation d’Internet, du téléphone portable et de l’A 380, au point d’en être humiliés, que leur splendeur et domination passées étaient des souvenirs vieux de plusieurs siècles, les musulmans sont revenus aux fondamentaux qui avaient étendu leur puissance d’Espagne jusqu’en Inde : au XVème siècle, l’Empire musulman et l’Empire du Milieu se partagent le monde, toisant les états occidentaux comme d’insignifiantes principautés.

Le principe de base d’une telle magnificence était et redevient aujourd’hui la chahada, profession de foi de tout bon musulman: “Non, il n’y a pas d’autre Dieu qu’Allah, et Mohammed est son seul Prophète“, et son corollaire, “Convertissez-vous ou mourez“, aussi vrai qu’il y a 1380 ans, pour les martyrs d‘Al-Qa’ida, de Leeds, du Hamas et du Djihad Islamique, les pakistanais, bosniaques, iraniens, turcs, tadjiks, ouzbeks, et autres moudjahidins cachemiris afgans et tchétchènes. Et parmi d’innombrables autres principes, obligation et prérogative d’avoir femmes, concubines et esclaves.
Aujourd’hui encore, le commun des musulmans prend toujours littéralement le message du Coran, quant aux terroristes, ils ne font que mettre en pratique ce qu’il leur enseigne chaque jour : “Les païens brûleront en enfer pour l’éternité, car ils sont les créatures les plus mesquines

Tuez les infidèles où que vous les trouviez, prenez-les captifs…Ne choisis pas parmi tes amis ceux qui ne renoncent à leur idolâtrie, et s’ils retournent à leur paganisme, attrape-les où qu’ils se trouvent et tue-les“.

Tous ces passages du Coran sont encore aujourd’hui cités par nombre de mollahs et ulémas à leur fidèles dans les milliers de madrasas financées par les saoudiens, avec de sévères rappels à l’ordre comme la toute dernière aimable déclaration d’Abou Moussa Al-Zarquaoui : “Les moudjahidins ont leurs justifications en vertu des principes de l’islam pour tuer des civils, dans la mesure où ce sont des infidèles. Car la différence en islam n’est pas entre civil et militaire, mais entre musulman et infidèle. La vie du musulman est protégée quelles que soient son action et sa position; celle de l’infidèle ne l’est pas, à moins qu’un pacte n’ait été conclu avec lui ou qu’il ne bénéficie d’une protection.“ Depuis le VIIème siècle, ces commandements divins “de paix et de tolérance“, ont ouvert la voie à 1200 ans d’esclavage quasi industriel et à la plus féroce et sanglante série de génocides et de massacres de tous les temps : le plus inoui étant 500 ans d’islamisation planifiée en Inde où 80 millions d’Indous ont été exterminés à partir de quotas de 100000 par an.

Viennent ensuite l’élimination des Indous d’Afghanistan encore appelée Indu Kush, massacre d’Indous, et l’épuration religieuse d’un million de chrétiens arméniens en 1915 et 1916, égorgés, passés au fil de l’épée ou coupés en morceaux pour certains prêtres. Partout le même rituel de temples rasés par milliers et de femmes se jetant dans les flammes ou au fond des puits pour échapper à la souillure du viol. Dedans ou dehors, 114 sourates et 6000 versets tracent à la pointe du cimeterre la frontière entre dâr el-islam, la cité de l’Islam, et dâr el-harb, la cité de la guerre et aucun musulman ne songerait à en changer une seule ligne.

Comme au temps de la rédaction du Coran, les germes de la création d’un nouvel empire sont plantés, à présent sur toute la surface du globe : un nouveau contexte géopolitique inconcevable il y a seulement 25 ans. De Londres à Paris, protestations outragées d’imams et présidents d’associations officielles : “Totalement contraire à l’Islam“…“Pour le Coran, tuer une âme, c’est comme, tuer toute l’humanité“ : elles manquent de crédibilité si elles ne frisent pas la désinformation. Peut-on seulement interroger ces guides spirituels sur une contradiction et un grand écart aussi flagrants ? Feignent-ils de l’ignorer ? L’intégrisme n’est pas la maladie de l’Islam, il est l’intégralité de l’Islam, il en est la lecture littérale globale et totale de ses textes fondateurs : la violence et le sang ne sont pas seulement admis par le Coran, ils sont encouragés, suivant d’ailleurs l’exemple du Prophète qui déclara quatre-vintg-deux djihads, en menant vingt-six personnellement et présidant lui-même à la décapitation de 800 juifs à Médine en 627. Comme l’a demandé Benoit XVI, peut-on à présent débattre du texte sacré, l’élaguer ou le nuancer ? Or il est unique et non contradictoire : tout ou rien.

Si les musulmans “civilisés“ veulent être crédibles, il leur appartient de prendre l’initiative de rédiger, proposer et diffuser une version édulcorée, donc moderne, du texte historique, comme le Nouveau Testament fait comprendre l’Ancien, et n’en garder que ce qui reste actuel, et acceptable. Les théologiens musulmans doivent démontrer qu’ils s’opposent au nazislamisme barbare et a l’Islamintern conquérant. Pour ce qui concerne la France, le président de l’UOIF déclarant “Le Coran est notre constitution“, plus proche de la loi islamique de ses frères bangladeshis que de nos institutions, n’en montre pas le chemin : loi islamique et loi républicaine ne peuvent coexister. C’est un casus belli. Ces signaux les plus aveuglants ne sont pas encore perçus par l’Occident qui persiste à sous estimer le sens réel du militantisme musulman tel qu’il est enseigné dans le livre saint. D’ailleurs, les Empereurs Moghols sont toujours présentés comme de romantiques poètes jardiniers, musiciens et amateurs d’architecture.

Jean-Pierre Ouvrard, responsable de Résistance républicaine Midi Pyrénées. Texte publié par Occidentalis en 206 

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