Bien sûr que la violence des migrants a un rapport avec l'islam !

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29/07 Francfort : Un migrant érythréen tue un enfant de 8 ans en le poussant devant un train.
01/08 Stuttgart : Un migrant palestinien massacre un allemand de 36 ans à coups de sabre japonais.
Hier, à Villeurbanne… http://resistancerepublicaine.com/2019/08/31/villeurbanne-cest-la-faute-du-mort-et-des-9-blesses-ils-netaient-pas-deguises-en-musulmans/

La meurtrière invasion de migrants que nos médias passent sous silence

Je n’ai pas la vidéo de l’attentat de Francfort, mais j’en ai une similaire, où la victime ne meurt pas. Ça doit se passer en Angleterre.

 
Une des vidéos de l’attaque au katana à Stuttgart :

 
« Bien sûr, la violence des migrants a un rapport avec l’islam »
Auteur : Stefan Schubert    Source : anonymousnews.ru, 26 août 2019
Traduction en français : Julien Martel

La violence omniprésente des migrants domine maintenant notre vie quotidienne. Après le meurtre arbitraire d’un enfant par un Africain à la gare centrale de Francfort et la vidéo du sanglant tueur au katana à Stuttgart – un « réfugié » arabe – il n’est plus possible en Allemagne de supprimer un débat sur la violence importée et le rôle causal de l’islam.

Le ministre bavarois de l’Intérieur Joachim Herrmann, l’ancienne ministre de la Famille Kristina Schröder (CDU) et le maire vert controversé de Tübingen, Palmer, semblent presque avoir lu notre dernier livre. Car leurs déclarations sur le sujet coïncident avec la thèse centrale du livre L’islam, risque pour la sécurité : crime, violence et terreur – Comment l’islam menace notre pays.

L’ancienne ministre de la CDU, Kristina Schröder, par exemple, a écrit un article dans le Welt intitulé : « Bien sûr, la violence des migrants a un rapport avec l’islam ». Dans l’introduction de l’article, il est dit : « Il est statistiquement prouvé que parmi les jeunes migrants musulmans, la propension à la violence est supérieure à celle de la population autochtone. Le christianisme et l’islam ne sont pas la même chose. Nous devrions enfin nous débarrasser de notre timidité pour reconnaître que c’est un fait. »

C’est précisément le sujet que nous avons également exploré dans le livre qui vient d’être publié. Au vu des actes graves de ces derniers temps, le débat sur l’islam est à nouveau alimenté, bien que le sujet soit largement tabou dans les médias. Les questions suivantes se posent donc : Une socialisation islamique des criminels déclenche-t-elle une aggravation de la brutalité lorsqu’ils commettent des crimes contre des « non-croyants » ? Les auteurs trouvent-ils une justification à leurs actes criminels dans l’islam ? Les victimes « incroyantes » sont-elles préalablement déshumanisées en tant que « chiens » et « porcs » afin de justifier le recours ultérieur à la violence par l’islam ?

Kristina Schröder prend clairement position sur ces points : « Les différenciations nécessaires doivent être faites pour déterminer la cause de de la plus grande propension à la violence des migrants. Le schéma explicatif de gauche veut que ce soit plutôt le manque d’éducation, l’échec et le manque de perspective parmi les immigrants qui causent la violence… La différence la plus importante, cependant, est que ce ne sont pas tous les groupes de migrants qui ont une plus grande propension à la violence. C’est avant tout ceux qui viennent d’une culture islamique.« 

C’est précisément cette particularité alarmante qui est minutieusement prouvée et documentée dans L’islam, risque pour la sécurité sur la base des faits. Pour de nombreux musulmans, l’islam représente bien plus qu’une religion – comme la doctrine protestante ou catholique – mais divise les gens en musulmans supérieurs et en « non-croyants » inférieurs, qu’il faut combattre, ce qui entraîne une division radicale de la société. Cette haine des juifs, des chrétiens, des « non-croyants » et des habitudes occidentales est le terreau de la terreur, de la violence et par conséquent du crime.

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Violences commises par des « étrangers qui ne connaissent pas la culture ».

Le ministre bavarois de l’Intérieur Herrmann (CSU), quant à lui, a peur d’un choix de mots clair et parle généralement de migrants d’autres milieux culturels dans lesquels « les conflits sont réglés plus rapidement par la force ». « Nous courons ici un risque accru, comme le montrent clairement les statistiques de la criminalité », a déclaré M. Herrmann dans une interview accordée au Passauer Neue Presse.

Ce que le ministre responsable du CSU ne fait qu’insinuer est étayé dans le livre par des faits qui documentent la perte drastique de la sécurité intérieure due à une immigration massive incontrôlée depuis 2015. Selon les statistiques du BKA (« Bundeslagebild Kriminalität im Kontext von Zuwanderung »), un total de 1 085 647 crimes commis par des immigrés sont signalés pour les années 2015 à 2018 seulement. Les responsables de cette vague de crimes sont 621 713 immigrants qui sont inscrits comme suspects par les autorités policières. Même si un double comptage pouvait exister dans des cas individuels – par exemple si un Syrien avait été condamné pour viol en 2016 et 2018 – le chiffre monstrueux de 621 713 criminels dans le flux des réfugiés dépasse tous les records.

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Face aux excès causés par les migrants, le politicien vert Boris Palmer met en garde contre la banalisation de la violence des demandeurs d’asile. Le maire de Tübingen a déclaré que lorsque les demandeurs d’asile devenaient les auteurs de ces actes criminels, beaucoup les considéraient comme des cas individuels ou niaient toute pertinence politique à cette observation. De plus, Palmer certifie que le courant dominant de gauche est aveugle sur cette question. Lorsque les demandeurs d’asile deviennent des auteurs de crimes, ceux-ci sont minimisés en tant que cas individuels et les faits des statistiques criminelles sont tout simplement niés. Par contre, « si un néo-nazi avait tué un Africain avec son épée, les mêmes gens auraient depuis longtemps organisé des concerts contre la droite sur le Cannstatter Wasen« , insiste en conclusion Palmer en s’adressant au milieu écolo de gauche.

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Un timide choix de mots

Mais le choix des mots utilisés par Herrmann et Palmer illustre à quel point ce débat est mené timidement, même par des politiciens que le courant de gauche diffame comme racistes à volonté et sans contradiction sociale. Au lieu de nommer clairement la socialisation islamique des coupables, le ministre de l’Intérieur de la CSU la qualifie timidement d' »autres cultures », et Palmer ne parle qu’en termes généraux de « demandeurs d’asile » en raison d’un manque de courage. Même les politiciens éclairés ne parlent pas de « l’éléphant dans le couloir » qu’est l’islam en relation non seulement avec la terreur islamique, mais aussi avec la violence et le crime.

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Violences des migrants musulmans : quelques exemples en vidéo
Discours lors d’une manifestation en Allemagne de « réfugiés » érythréens appelant au génocide des Allemands : vos jours sont comptés.

Attaque mortelle d’un Syrien sur une jeune femme sortant de discothèque à coups de pied dans la tête (âmes sensibles s’abstenir) :

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4 Commentaires

  1. On peut penser que ces soi disant réfugiés reçoivent des consignes lors de leur mise en route vers l’Europe qu’ils mettent en application dès qu’ils le peuvent en sachant très bien qu’ils ne risquent rien ou très peu en contrepartie….
    Ils servent la cause de leur infâme secte tout en se faisant plaisir !

  2. on remarquera que ces soi disant réfugiés, n’expriment aucune reconnaissance d’avoir été accueillis,
    ils doivent se dire, on entre là dedans comme dans du beurre, y a plus qu’à<<<<<<
    devant l'absence totale de résistance, le djihad peut se répandre

  3. Ils envahissent l’Europe et les gouvernants en place, sensés élus pour diriger et protéger leurs concitoyens, ne prennent des mesures que pour encourager et aider ces assassins bien décidés à nous éliminer.
    Il es impératif que nous organisions nous-mêmes notre défense si nous voulons survivre….

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