Tout est dit ( mais on le savait…).
Critique des journaleux, des philosophes, des politiques… toutes ces élites qui parlent de ce qu’ils ne connaissent pas. »Ceux qui parlent de l’Homme et ignorent les hommes qui meurent de faim » comme le rappelle Pierre Desgraupes au début de la video…
Excellentissime Pierre Desgraupes, excellentissime Paul Nizan qui a écrit Les Chiens de garde en 1932. Serge Halimi, ensuite, écrira Les Nouveaux chiens de garde à propos, cette fois, des journalistes. C’est toujours la même chose….
Ils affirment, péremptoires et menteurs, que les medias sont libres… démonstration :
Note de Christine Tasin
Extrait de la Préface des Chiens de Garde écrite par Serge Halimi lors d’une ré-édition récente.
L’actualité des Chiens de garde, nous aurions préféré ne pas en éprouver la robuste fraîcheur. Nous aurions aimé qu’un même côté de la barricade cessât de réunir penseurs de métier et bâtisseurs de ruines. Nous aurions voulu que la dissidence fût devenue à ce point contagieuse que l’invocation de Nizan au sursaut et à la résistance en parût presque inutile. Car nous continuons à vouloir un autre monde. L’entreprise nous dépasse ? Notre insuffisance épuise notre persévérance ?Souvenons-nous alors de ce passage par lequel Sartre a résumé l’appel aux armes de son vieux camarade : « Il peut dire aux uns : vous mourez de modestie, osez désirer, soyez insatiables, ne rougissez pas de vouloir la lune : il nous la faut. Et aux autres : dirigez votre rage sur ceux qui l’ont provoquée, ‘essayez pas d’échapper à votre mal, cherchez ses causes et cassez-les.«
Tout cela c’était quand Halimi était lucide, avant qu’il ne passe du côté de la force obscure… Il est actuellement directeur du Monde diplomatique, ce torchon palestinophile, islamophile et immigrationniste anti-France.
Cela n’empêche pas Serge Halimi d’avoir fait un excellent travail d’analyse du rapport entre politique et journalisme :
En 1997, Serge Halimi se fait connaître du grand public par le succès que rencontre son livre Les Nouveaux Chiens de garde. En faisant référence à Paul Nizan et son livre Les Chiens de garde, Serge Halimi met à plat les liens entre journalistes et hommes politiques. Il démontre comment un petit groupe « d’intervenants permanents » prescrit l’opinion. Journalisme de révérence, journalisme de connivence, journalisme de marché, telles sont les formes de journalisme décrites dans ce livre : « Un petit groupe de journalistes omniprésents — et dont le pouvoir est conforté par la loi du silence — impose sa définition de l’information-marchandise à une profession de plus en plus fragilisée par la crainte du chômage. » Évoquant la censure, Serge Halimi souligne : « La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de “l’information”. »
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Transmis aux Gilets Jaunes.Nizan n’a pas pris une ride
Bonjour,
Les critiques d’Halimi ont une limite très stricte.
S’il dénonce, à juste titre, dans une très belle langue en plus, la corruption intellectuelle, et bien sonnante parfois, des médias, il se garde bien de toucher à la corruption intellectuelle et matérielle des médias français par l’islam et l’argent musulman.
J’ai eu sous les yeux, comme lecteur de la Presse, des exemples très précis de cette corruption musulmane : je n’ai jamais lu dans les livres ou les journaux d’Halimi la moindre allusion à ce sujet.
Obsessions pro-musulmane, pro-palestinienne et anti-israélienne obligent : il ne faut pas désespérer Gaza et la Mecque ….
Ben oui. Mais ce sera abordé,peut être, espérons le, lors de la Saison 2 des Gilets Jaunes !? Mon p’tit doigt m’a dit qu’elle venait de sortir 😈