Selon 20 Minutes, les racailles seraient capables de lire les sous-titres d’un film en VO !

Source : http://www.20minutes.fr/cinema/2115523-20170810-annabelle-2-conseils-mettre-abri-spectateurs-relous

Résumons. Hier, notre ami Lou Mantely publie un article sur l’impossibilité de voir certains films qui attirent les racailles  au cinéma eu égard aux incivilités, bruits divers, miction sur les sièges, on en passe et des meilleures.

20 Minutes, naturellement, relate les faits sans chercher de solution pour se débarrasser des dites racailles. Apparemment, en France, seuls les Français d’origine sont susceptibles d’obéir à la loi. Les racailles ont réussi la seconde phase du djihad, l’imposition de la terreur dans la vie quotidienne, même la police n’ose pas intervenir quand ce sont les Aliens qui gênent…

20 Minutes essaie tout de même de proposer des solutions à ses lecteurs comme renoncer à voir ce genre de films (on leur laisse la place en renonçant à voir le film, la partition même au cinéma, ils ne demandent que ça ), aller au cinéma le dimanche matin, quand les racailles dorment, elles et…  privilégier la VO. Version originale : les racailles, tellement occupées par la lecture des sous-titres, seraient obligées de se taire… Ou, en tout cas, n’empêcheraient pas le spectateur lambda de lire, lui…  ( ce qui n’est pas gagné, mais passons).

La VO…

Depuis toujours, si j’ai le choix, je prends les films en VO au cinéma, parce que l’on a le son de voix exact de l’acteur, et que les traductions trahissent parfois sinon le film, mais certaines répliques, forcément. Et comme je ne vais au cinéma que dans les salles art et essai pour ne pas donner un centime aux multiplex qui se font des couilles en or avec de la bouse, je n’ai jamais été confrontée au problème de racailles (1).

En tout cas je n’aurais jamais imaginé que la VO fût un moyen efficace de faire fuir les racailles, comme Mozart fait fuir les marginaux (racailles comprises ) des endroits où l’on passe sa musique.

20 Minutes fait preuve d’une hypocrisie incroyable une fois de plus. Il est évident que les racailles n’iront jamais voir un film en VO sauf à vouloir s’en prendre aux “intellos ” qui leur renvoient une image plus que négative d’eux-mêmes. Or, 20 Minutes ne le dira pas, ne l’écrira pas, des fois qu’il mette le doigt sur une tare supplémentaire d’un certain nombre de Chances pour la France, qui, non contents d’être sans gêne, sans éducation, vulgaires, grossiers, agressifs… sont pratiquement illettrés, voire analphabètes (parole d’ancien professeur). Vous les imaginez essayer de déchiffrer les sous-titres beaucoup trop rapides pour eux ?

Non seulement l’immense majorité de ceux qui fichent la pagaille au cinéma sont sans éducation mais ils sont aussi sortis du système éducatif sans diplôme, sans orthographe, sachant à peine lire ou plutôt déchiffrer, et en plus ils ne parlent pas vraiment français, se contentant d’à peine quelques centaines de mots, mélangés avec le sabir des rappeurs, avec des mots du pays d’origine de leurs parents, avec l’argot des banlieues…

Il y a environ 64000 entrées dans le Petit Robert, Guy de Maupassant en utilisait 12000 pour écrire ses livres, le Français moyen en utilise entre 3000 et 6000, un collégien environ 1000, et un bon tiers des jeunes des quartiers se contente de 300, avec les difficultés et conséquences que l’on connaît :

Qu’on l’appelle ” argot des cités “, parler banlieue “ ou ” langage des jeunes “, ce jargon a été beaucoup étudié ” culturellement “. Des chercheurs ont décrypté sa structure, décortiqué son vocabulaire, répertorié ses emprunts aux langues des communautés immigrées. Des artistes en ont fait un sujet en tant que tel, comme le réalisateur Abdellatif Kechiche avec L’Esquive, grand vainqueur de la dernière cérémonie des Césars. Bernard Pivot a glissé des ” meufs “ dans une de ses dictées. Les dictionnaires ont même ouvert leurs pages à certains de ses mots, comme teuf, keum, keuf ou beur (et beurette), également tirés du verlan.

[…]

Le plus étonnant, toutefois, dans cet idiome né au pied des HLM, est son succès loin des quartiers défavorisé. Des expressions comme ” niquer sa race “, kiffer une meuf “ ou ” j’hallucine grave “ s’enracinent dans les centres-villes. L’inimitable accent ” caillera “ (racaille) accompagne le mouvement, de même que certaines onomatopées, comme ce petit claquement de langue lâché en fin de phrase pour acquiescer un propos. ” Tout cela donne un genre, un “zarma”, comme disent les jeunes, observe Alain Bentolila. La langue des cités présente une facilité linguistique assez enviable, qui peut devenir de l’ordre du modèle pour les classes moyennes. Ce qui est un échec ­ parler 350 mots quand il en faut 2 500 ­ devient alors un signe de reconnaissance et de regroupement. Il faut parler cette langue pour ne pas passer pour un bouffon ou un intello. “

” Langage des exclus “ désormais parlé par des non-exclus, cet argot serait-il en train de perdre son âme ? Non, car sa caractéristique est aussi de muer en permanence. Le parler urbain d’aujourd’hui n’a presque plus rien à voir avec la tchatche de la fin des années 1990. Le verlan serait ainsi en très nette perte de vitesse dans le processus de renouvellement du vocabulaire banlieusard. ” On ne l’utilise pratiquement plus, car le verlan est passé dans le domaine public ! “, s’amuse Franck, qui vit dans le quartier du Bois sauvage, à Evry. Avec sept autres jeunes de sa cité, Franck travaille sur l’élaboration d’un ” lexique de la banlieue “. Depuis un an, ces garçons et filles de 16 à 22 ans aux parcours scolaires agités s’emploient à donner une définition et une étymologie à quelque 300 mots et expressions dûment sélectionnés. Les innovations les plus récentes figurent dans cet ouvrage, qu’ils espèrent publier en septembre.

[…]

Quelques extraits ? Un jeune affirme, par exemple, qu’il se sent ” moelleux “, quand il a la flemme de bouger. S’il ” est Alcatraz “, c’est que ses parents lui interdisent de sortir de chez lui. Et s’il ” est en bordel “, il faut seulement comprendre qu’il est train de galérer. Emprunté à l’anglais, le mot ” bad “ ne veut pas dire ” mauvais “, mais son contraire ” bon “ ­ preuve que le jeu est bien de brouiller les pistes. La palme de la métaphore revient toutefois à l’expression ” boîte de six “, utilisée pour décrire un fourgon de police : une allusion aux emballages de poulet frit, de type nuggets, vendus chez McDonald’s. Par extension, une ” boîte de vingt “ désigne un car de CRS.

Lire l’ensemble de l’article, fort intéressant même s’il y a, forcément, des passages discutables, ici :

 http://www.lemonde.fr/societe/article/2005/03/18/vivre-avec-400-mots_628664_3224.html#yCyIqkrP8zAZrjig.99

Bref, imaginez le désastre, des gens quasi illettrés, voire analphabètes, ne connaissant que 300 mots, essayant de  déchiffrer les sous-titres d’un film à vitesse normale… Mais 20 Minutes ne le dira pas, ça ne se fait pas.

Je connais bien des gens cultivés, avec un vocabulaire bien au-delà des 3000 mots du Français moyen, qui n’aiment pas les sous-titres, parce qu’ils manquent les expressions du visage, ne peuvent pas se laisser aller au plaisir de l’histoire, cela se comprend. Mais pour eux, tant que Macron sera au pouvoir, ils n’auront que deux solutions, la VO et/ou les cinémas art et essai. Qui eût dit que ces cinémas, tenus pendant très longtemps, en majorité, par des gauchos ( et merci à eux ) seraient l’abri des  patriotes avides de cinéma, de culture, fuyant les hordes barbares  ?

L’histoire fait parfois de jolis pieds-de-nez…

(Note 1) J’aime l’opéra, et, pendant des années, je ne manquais jamais une représentation de chacun des nombreux opéras qui passaient dans les différentes villes que j’ai habitées, jusqu’à ce qu’un jour, deux  classes de collège  “à la découverte de l’opéra”, venant d’un “quartier”,  pourrissent la soirée de tous les spectateurs. En toute impunité. Les professeurs ne disaient rien, les ouvreuses étaient bien marries mais c’était un accord entre rectorat et théâtre, et les plus enragés des spectateurs ( donc je faisais partie ) ont passé la soirée à essayer de terroriser les gamins les plus proches d’eux… sans parvenir  à faire baisser le niveau sonore de l’ensemble. Les commentaires à voix haute ( apparemment  on ne leur apprend pas chez eux, que lorsque l’on regarde un film en famille, fût-ce à la télé, on se tait ), les ricanements, les bavardages à voix haute pour se raconter le dernier feuilleton pourri de la télé, les cris même… A vous dégoûter de sortir.

J’ai décidé ce jour-là que, sauf situation exceptionnelle ( la garantie qu’il n’y aurait pas de classe ) j’écouterais les opéras sur CD ou les regarderais sur DVD.

Vous avez dit “partition culturelle” ?

N’oubliez pas, vous qui êtes parents, grands-parents… de transmettre notre culture à vos jeunes. Nous, les vieux, nous allons disparaître, tôt ou tard, et il faut former la relève pour le jour où les gardiens du temple ne seront plus là…

 

 

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17 Commentaires

  1. Les racailles privilégient les super productions américaines. Pour éviter l’ambiance “racaille” pendant la projection d’un film la solution est de se dispenser d’aller voir la version 2 ou 3 d’un film américain à gros budget . Généralement c’est ce genre de films que vont voir ce public au comportement pénible.
    Donc j’irai voir en priorité des films français(en langue française) même si la qualité n’est pas toujours là sauf à vouloir privilégier le cinéma américain et à parler couramment l’anglais.
    La VO je la réserve pour les langues rares, un film tourné en serbe ou en coréen par exemple.

  2. Lire : “[…] voire sans ânonner,[…]”. Les touches de mon clavier sont devenues difficiles, parfois il me faut appuyer fortement pour obtenir la lettre souhaitée et je laisse aussi quelquefois passer des erreurs malgré la relecture. 🙁

  3. Authentique et par expérience : Ils ne sont même pas capables de lire un texte d’histoire, de géographie, de français choisi rédigé dans un style des plus simples sans hésitation, voie sans ânonner, et ce en classe de 3ème, et cela touche la quasi-totalité des élèves, alors leur demander de lire des sous-titres…
    Je précise que je trouve cela très alarmant et très triste, et au lieu de prendre le problème à bras le corps, ces media font du négationnisme… et pas qu’eux, d’ailleurs. Les profs avec lesquels j’ai eu affaire sont catastrophés mais malheureusement le mal est fait à la racine et a continué par deux voies : celle naturelle de la famille, et celle du système scolaire imposé en dépit du bon sens par l’Éducation Nationale.

  4. Les seuls bons vieux films que j’aime bien voir de temps en temps à la télé (le cinéma ne les rediffusent plus ou très rarement), ce sont les westerns avec John Wayne, Clint Eastwood, Gary Cooper, James Stewart et tant d’autres…
    Les cordes de la Potence, Rio Bravo, la chevauchée Fantastique, Le train sifflera trois fois, 3 heures 10 pour Yuma, le bon, la brute et le truand (un vrai film comique), il était une fois dans l’Ouest, La charge héroîque, etc… tous ces westerns ont marqué les esprits et montré la vraie vie du peuple amércain au XIXème siècle.
    J’ai toujours aimé les westerns et leur côté pragmatique et réelle de la vie en société. Je possède énormément de DVD westerns. Cependant, d’autres films ont mon appréciation : les films de guerre. Ceux-là, je les aime. Le Jour le Plus long, Paris brûle-t-il ?, le pont de la Rivière Kwaî, la bataille des Ardennes (où tous les commandants de chars allemand entonnent le chant Panzer Lied que j’aime beaucoup), etc…
    J’aime aussi les comiques avec De Funès et Bourvil. On ne s’en lasse pas et on passe de bons moments, car ces acteurs disparus ont marqué des générations de spectacteurs. La Grande Vadrouille, le Corniaud, les gendarmes, le mur de l’Atlantique, ce sont des joies intenses que l’on partagent avec le voisin ou l’ami…
    Voilà, je suis classique et quand je fais les foires à tout comme hier, je peux ramener de bons films bien sélectionnés et pas n’importe quoi (ni de films pornographiques que je n’achète jamais). Hier, j’ai acheté pour 90 centimes trois CD : les musiques des films de guerre, Bourvil et Ivan Rebroff que j’aimais beaucoup…

  5. Ce sont les futurs Montaigne ?
    Vu sous un autre angle , le cinéma contemporain est devenue une machine à propagande pour le camp du bien, je voudrais voir hollywood s’écrouler sous le poids de son politiquement correct.
    Même disney-crap fait de la propagande lgbt machin dans ses dernières productions.
    Finalement que les français civilisés désertent les salles pour regarder un classique tranquillement chez eux , c’est pas mal aussi.
    Brûle hollywood , brûle !

  6. A Strasbourg, il y a “L’odyssée”, très chouette cinéma d’art et d’essai. Ensuite, j’allais à la merveilleuse librairie Kleber. Quels bons souvenirs !

    Pour faire plaisir à un copain de mes enfants, je me suis farci “Angry birds” au cinéma.
    Horrible ! 10€ la place pour n’entendre que des borborygmes et une histoire grotesque.
    C’est nouveau : il font des films sans paroles maintenant… peut-être pour que les djeuns comprennent ?

  7. PS : Quand on pense aux jeunes qui , par le passé , venaient de milieux modestes ( voire même franchement misérable … ) et rêvaient d’étudier pour s’en sortir et pour devenir quelqu’un de respectable on voit bien l’abime entre eux et ceux qui ne cessent de ne rien faire et de geindre aujourd’hui .

    A votre avis , quelle pourrait être la source de cette différence si énorme de réaction face à l’adversité et aux difficultés ?

  8. J’ai une petite remarque à faire concernant l’affirmation suivante :
    “Apparemment, en France, seuls les Français d’origine sont susceptibles d’obéir à la loi. Les racailles ont réussi la seconde phase du djihad, l’imposition de la terreur dans la vie quotidienne, même la police n’ose pas intervenir quand ce sont les Aliens qui gênent…”
    Je crois que le pourrissement de la vie quotidienne que les Aliens excellent à pratiquer est non pas la 2ème mais la 1er phase du jihad. Dès l’instant où ils ont touché le sol de France, ils ont exercé leur art dans les salles de classe suscitant l’admiration des élèves français turbulents. (J’étais professeur de langue dans des établissements peu connus pour leur bon recrutement !) Mais je reconnais qu’à l’époque, ils ne gênaient personne dans les salles de cinéma, étant trop peu nombreux sur le territoire et n’ayant pas encore reçu de renfort.

    • Non la première phase est discrète on s installé on demande des salles de prières des mosquees…

  9. “Grâce” à la religion de paix, d’amour et de tolérance, 18 tués supplémentaires au Burkina Faso, dont un de nos compatriotes. Deux individus, que les médias vont encore appeler terroristes sans préciser “de l’islam” ont lâchement tiré dans le tas à l’intérieur d’un restaurant. Quel courage faut-il, pour s’attaquer ainsi à des gens désarmés qui n’ont plus qu’à se laisser exécuter sans aucune possibilité de se défendre ! Ces ordures de la pire espèce ne sont que des lâches, qui ne seront jamais capables de se battre en face d’une armée régulière, ces femmelettes qui prennent la population civile comme bouclier ! ?

  10. Il faudrait surtout que les parents et même les profs reprennent systématiquement les gamins qui parlent comme des racailles quand j’entends jusque dans les établissements privés du fond de la Bretagne des jeunes parler cité ça me hérisse le poil, j’ai mis les points sur les i aux miens il y a longtemps je peux laisser passer quelques grossièretés bien gauloises, mais pas un seul mot des cités. Du coup ils prennent un malin plaisir à rechercher des mots peu utilisés, le petit dernier a traité une gamine de sa classe de “coureuse de remparts orchidoclaste”, elle n’a même pas compris qu’elle se faisait insulter…
    Heureusement dans ce monde de brutes, quelques profs donnent un peu d’espoir comme la prof d’allemand de 3e qui a passé un film en VO à la classe.

    • +1 ?.
      Je ne suis pas un linguiste distingué , j’essaie de faire des efforts pour causer le français même si je fais des erreurs , mais quand j’entend une jeune française jacter le wesh-wesh je trouve cela horrible , ça donne des :
      “Ouais paye ta hônte quoi, c’est la merd…quoi, ouais machintruc c’est une put…quoi etc…”
      Hum…hum ? .

  11. et un bon tiers des jeunes des quartiers se contente de 300,

    xxx

    quel optimisme 😆

    il faut aussi y ajouter pas mal du dialecte parental d’ origine

    je souris quand un maman maghrébine parle en “arabe” a ses mômes dans la rue et que ceux çi lui répondent en Français….un Français ou le vocabulaire est bien sommaire…

    ces mômes retiendront pas mal de ce vocabulaire, l’ utiliseront entre eux plus tard…un peu comme un “encre sympathique” pour que leurs potes Français racailles comme eux, ne comprennent pas…

    parce que ces “desouche” racailleux, il y en a de plus en plus, avec cet infect accent de bab el oued…bon! on sait au moins qu ils n’ honoreront pas la Sorbonne de leur présence insultante

    destnés au même avenir que leurs potes Momo ou Mouloud

  12. Dans 20 ans je serai octogénaire, si la vie me permet d’aller jusque là. Je n’ose imaginer ce que notre pays sera devenu. Sauf si un jour la majorité endormie se réveille et réagit vigoureusement et salutairement, mais je n’y crois guère.

    • Moi je suis déjà octogénaire et je sais que je ne verrai pas le réveil du peuple français qui sait très bien faire une chose, et une seule chose : GROGNER DE MÉCONTENTEMENT.

  13. la plupart que j’ai côtoyé dans la vie sont incapable de lire a haute voix sans bafouiller,ni mettre un temps atrocement long une page de Oui-Oui écrit en majuscule dans la bibliothèque rose, le niveau d’un CP en milieu d’année scolaire
    dans mon milieu pro,je lis aussi leurs propositions d’emploi du moins pour ceux qui travaillent,c’est kif-kif bourricot du quasi phonétique retranscrit sur l’écran
    le pire c’est que EUX arrivent a me prendre des places avec leurs charabia qui me sont refusé,car ils ne sont pas connu comme étant un méchant dénonciateur de l’islamisation de la France, (si,si c’est vrai, un plus courageux que les autres me l’a laissé entendre) c’est dire combien les chefs d’entreprises pour la plupart sont des collabos,mais ça De Gaulle l’avait déjà dit a propos de leurs présences à Londres

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