Clichy-la-Garenne : prières de rues après l'évacuation d'une mosquée illégale !!!

Stupéfiante photo de ces culs levés. Tous des hommes. Elles sont où les femmes ? Debout, avec leurs voiles… Les femmes ne prient pas, elles ? Si elles sont musulmanes, elles le doivent… Mais elles le font chez elles… Il est vrai que la posture du prieur n’est pas très sexy – à moins qu’elle ne le soit trop -… Bref les hommes comme les femmes peuvent prier chez eux et quand ils ne le font pas c’est pour marquer leur territoire. Point barre. Des canons à eau, vite !

Une fois de plus l’Etat ne se fait pas respecter.

Une fois de plus des musulmans refusent de se plier à la loi.

Une fois de plus la peur de la violence mahométane, la peur des émeutes…. fait son effet.

Ils sont forts avec les patriotes français qui respectent la loi. Ils sont prêts à sortir les canons à eau comme le préfet de Côtes d’Armor qui, l’an dernier les avait préparés au cas où les militants de Résistance républicaine seraient prêts à outrepasser son interdiction de manifester.

Ils sont faibles avec les racailles qui brûlent, cassent, manifestent contre de prétendues violences policières.

Ils sont faibles avec des gens qui

On s’arrêtera quelques instants sur  les 200 musulmans, soutenus pas les dhimmis de service qui criaient « laissez-nous croire en paix ».

Croire en paix… Croire ? Cela se passe dans le secret de son coeur, cela se passe dans la vie privée. Qui, en France, a jamais prétendu interdire une croyance, quelle qu’elle soit ?

Marre de ces gens qui pratiquent les amalgames pour nous islamiser. Croire ce n’est pas avoir une mosquée. D’autant qu’il n’y a pas, en islam, de liturgie, de responsable ecclésiastique, et que chacun peut se contenter de ses 5 prières quotidiennes. Nul n’a besoin d’aller à la mosquée pour prier.

La place donnée au CCIF, payé par Soros, et la lutte mortelle des Ligues de vertu (traduisez associations prétendument antiracistes) pour imposer l’islam et en interdire la critique amène les musulmans au sentiment d’impunité. Et à la réalité d’impunité pour l’occupation de l’espace public.

Occupé illégalement depuis 2015, un lieu de culte qui devrait être transformé en médiathèque a été évacué par la police, malgré la présence de fidèles qui tentaient de s’interposer. Les protestataires se sont ensuite rassemblés devant la mairie.

Après la prière du matin, le 22 mars, des dizaines de CRS ont entamé l’évacuation de la mosquée de Clichy-la-Garenne.

Une cinquantaine de personnes ont tenté en vain de s’interposer, avant d’être sorties de force.

Les portes du bâtiment ont été soudées afin d’empêcher les fidèles d’y retourner. L’entrée sera ensuite murée par des parpaings.

Une manifestation spontanée a ensuite démarré devant la mairie, rassemblant quelque 200 personnes dans une ambiance bon enfant. «Musulmans et Français, droit au respect» ou encore «Laissez-nous croire en paix», pouvait-on lire sur les pancartes.

Les croyants ont ensuite prié en pleine rue, en guise de protestation contre la fermeture de l’édifice.

Le Conseil d’Etat avait validé la décision d’expulsion de la mosquée en novembre 2016, alors que celle-ci était occupée illégalement depuis 2015. Propriétaire des locaux, la municipalité (LR) veut y installer une médiathèque.

https://francais.rt.com/france/35632-police-fait-evacuer-mosquee-clichy-le-garenne-ambiance-tendue

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38 Commentaires

  1. Cette affaire me fait penser à l’argumentation développée autour du bail emphytéotique administratif cultuel dans mon tout premier article sur le site :
    http://resistancerepublicaine.com/2015/06/29/bail-emphyteotique-administratif-pour-les-mosquees-un-espoir-de-les-faire-annuler/
    A l’époque, nous avions envisagé avec d’autres contributeurs les difficultés d’une restitution des locaux donnés à bail dans 99 ans (durée ordinaire de ce genre de bail à loyer dérisoire, les travaux faits par le locataire étant censés être une contrepartie pour le loueur, encore qu’on n’en voit pas forcément l’intérêt quand c’est une mosquée avec une architecture très particulière notamment…).
    Avec les changements démographiques qu’on peut anticiper, cette contrepartie essentielle, car les personnes publiques qui louent des terrains pour construire des mosquées le font à un prix dérisoire, semblait illusoire.
    L’on se disait que le risque que les musulmans louant ces terrains refusent la restitution n’était pas à négliger.
    C’est bien ce qui se passe, aujourd’hui, pour cette salle qui n’était donnée qu’à bail ordinaire, à Clichy-la-Garenne.
    Cela ne fait que souligner davantage l’hérésie de ces baux cultuels, un boulet pour les générations futures, une honte.
    Le programme du FN proposait l’abrogation de la loi les autorisant, je ne crois que ça ait changé, mais si encore des gens hésitent à voter Marine, qu’ils sachent à quoi s’en tenir…

    • Bonjour,
      Il y a des pannes de temps en temps sur le logiciel.
      Merci de le reposter.
      (Le modérateur).

      • c’est incroyable la les drapeaux français sont de sortie ils veulent vraiment , imposer aux français leurs religion coutumes ext .la police prend des pinces pour les sortir alors quand c’est une manifestation ou occupation de français mélanger pour préserver un territoire ont les gaz et ont leurs tape dessus .je suis en France un pays laïque chrétien .la prière peux être faite chez dans le calme et la paix .ces religieux ne sont que religieux que par le nom.ils sont violent et appel a dieu pour leurs méfait ou tuerie pour d autres ou bombardement dieu pour tout excuser

  2. C’est malheureux qu’a notre époque, avec toutes les découvertes scientifiques étant la preuve de l’incohérence et des mensonges et erreurs des affirmations religieuses, que l’on ne puisse pas éradiquer les croyances fortement enracinées et moyenâgeuses. Prières Paradis Enfer que c’est beau que c’est bien. Mais malheureusement comme toujours depuis la nuit des temps, cela ne changera rien de rien.

  3. Bonjour, je pense qu’il faut crée une organisation paramilitaire maintenant car il est clair que l’on va vers un affrontement . Nous devons nous défendre contre cette invasion, nous sommes chez nous et à ce titre rien ne doit nous empêcher de faire notre devoir qui est de défendre notre sol LA FRANCE, ne pouvant pas compter sur ce gouvernement de merde, il faut le faire par nous même avec l’aide de l’armé, de la police et gendarmerie. Moi je suis trop vieux et malade pour en faire parti et je le regrette j’ai fais 68 mais ce n’était pas pareil.

    • Bonjour,
      Rita, votre lien ne fonctonne pas.
      Merci de le corriger.
      (Le modérateur).

  4. rien d’autre qu’une guerre civile ne viendra à bout de ces envahisseurs … car MLP ne passera pas j’en doute, plus de chance en 2022 mais ce sera trop tard … l’ Europe est de plus en plus soumise et ce sera le bordel comme dans tt pays musulmans …

  5. Le coran est le même aussi bien pour les islamistes que pour les musulmans « modérés » Lorsque ces gens là suivent les préceptes du coran en connaissance de cause, qui prêche la destruction des « mécréants » comme ils nous appellent, blancs, juifs, catholiques…on peut en déduire qu’ils sont tous pareils!
    Ils n’ont aucune volonté d’intégration, mais la détermination d’imposer leur « religion » ! Le laxisme depuis 50 ans fait qu’aujourd’hui on à environ 2600 mosquées, des zones de non droit avec application de la shariah, prolifération du voile, halal, attentats, insécurité qui mettent à rude épreuve la vie au quotidien! Bonne chance à MLP si elle est élue, elle a du pain sur la planche! Ce ne sera pas facile!

  6. Avec une vraie démocratie, ces musulmans là ne seraient même ici en Europe, ils seraient restés chez eux, à cause du référendum.
    En vrai démocratie, les élus ne pourraient pas utiliser les autres comme ils disent, car ils sont déjà que les représentants du peuple autochtones et pas celui des autres, qui ne votent pas pour eux.
    Ils ne peuvent pas remettre des cartes d’identités, ni rien faire d’autres, sans consulter le peuple par référendum.
    Si le peuple dit non, ils doivent obtempérer et accepter la volonté du peuple.
    Comme avec la demande d’asile et l’hospitalité, pareilles, référendum!.
    Si c’est imposé, ce n’est plus une immigration concerté avec le peuple autochtone, c’est une colonisation de force, que seul les dictatures Fascistes peuvent se permettre, et de se passer de la consultation populaire par référendum, avec insultent à la place.
    Et à partir de ce moment là, vous savez que vous êtes soumis à une dictature Fasciste et plus en démocratie et en liberté.
    Vous êtes un peuple privé de liberté, car en démocratie, il faut être libre et pas soumis.
    Et donc toutes les personnes d’origines immigrés imposés de force comme français à la France, sont des illégaux au pays, pas des français, mais aussi des colonisateurs en France, des occupants imposés de force par les dictateurs fascistes aux pouvoirs.
    Si nous voulons faire reconnaître l’Islam comme étant une dictature Fasciste et pas une religion, nous devons le faire aussi pour nos escrocs imposteurs aux pouvoirs comme étant une dictature Fasciste aussi, et pas une démocratie et ni des démocrates.
    Et de les appeler pour ce qu’ils sont vraiment :  » Des Fascistes  » et rien d’autres.
    Ils ne méritent pas cet honneur, Fasciste leur va très bien.
    Vous avez le droit, vous peuple autochtone légitime de mettre tous les occupants hors du pays, vous êtes chez vous, même moi le Belge un fois.
    Dire : ‘On est chez nous’ est démocratique, la démocratie est notre paradigme à tous et à toutes à gagner, pas l’Islam antidémocratique, dehors! et vive l’indépendance et vive la liberté, pour nos anciens, pour nous et pour nos générations futurs.
    Bonne résistance et amis résistants pour la liberté.

  7. Et la, bizarrement, aucun déséquilibré au volant d’un camion ne leur roulera dessus en hurlant »Jésus vous aime »…
    À croire qu’il n’y a que les musulmans qui ont lun chromosome déficient…
    Peut être qu’un examen psychiatrique devrait être obligatoire avant de les laisser croître sur notre territoire…

  8. Un sondage donne 60% de français qui pensent que L’ISLAM EST INCOMPATIBLE AVEC LA FRANCE…..les 40% qui restent, étant les mahométans+ les collabos de l’envahisseur…ça fait quand même du monde!
    Marine,je vous en supplie:agissez COMME EUX, façon TAKKIA….l’islam sera INTERDIT…tant que le coran n’aura pas été réécrit,de façon qu’il soit compatible avec nos lois. Dans l’impossibilité de résoudre ce dilemne,les quelques barbus ,survivants des luttes fratricides.n’auront plus qu’à déguerpir.
    Pour les autres,les MODERES,les mesures prévues (législatives,économiques..etc)seront suffisantes pour qu’ils partent d’eux mêmes
    Dans un an ,tout au plus,nous aurons retrouvé notre FRANCE,fière,libre et saine.

  9. une médiathèque seras beaucoup plus salvatrice qu’une mosquée . en effet dans cette édifice on y ‘ soigneras sont ame avec : Epicure, Platon (Socrate), Aristote… et tant d’autres oui une médiathèque c’est la France car cela représente la lumière , alors qu’une mosquée ce n’est pas la France et cela représente l’obscurantisme ! a chacun ses valeurs et celle de l’islam ne sont pas celle de la France ! mais j’oublié , l’islam n’a pas de valeurs .

  10. Vous remarquez que parmi les cuenlair , il n’y a aucun costume-cravate !
    que les chaussures si on pouvait s’en approcher sont plutôt des godasses pas nettoyées (typique ! regardez leur chaussures si vous êtes assis à attendre dans le hall d’une gare ou d’un aéroport )
    Ici ce sont des mimiques , rien de religieux , de sérieux , de concentré ; ils psalmodient , ils récitent , en résumé ils ne prient pas du tout !

  11. Ça résiste un peu, le ménage sera dur à faire l’espace public doit être respecté il faudrait établir des règles claires sur certains dogmes religieux si certains versets prônent la mise à mort des infidèles soient (avec le concours des religieux formés en France )exclus d’un coran qui doit être compatible avec le vivre ensemble ou alors ce sera toujours des exigences qui seront payées pour obtenir des votes de communauté qui impose leur us et coutumes et qui défigurent l’image de la France et des français .si on opte pour certains versets qui sont dictés par la parole sacrée de dieu au prophète pour justifier les enfants qui font de la musique serons changés en singe ou chien…couper la tête des infidèles et autres propos négationnistes sur les autres croyances on rentre dans le domaine de la guerre et au nom d’un pseudo livre saint on peut aussi se marier avec une fillette de 6 ans et attendre ses 9 ans pour les rapports ceux qui critiquent le coran on doit les punir….. Il n’y a aucune solution avec ceux qui appliquent ces versets il y a 57 pays musulmans ,leur place est hors sol de notre France… si nos politiques pour des raisons électorales ferment les yeux on va leur faire ouvrir.sinonc’est la guerre civile il y a trop de choses qui empêchent le vivre ensemble.et la France va vouloir sortir de l’Europe et surtout du Maghreb…

  12. A propos de fermeture de mosquée, la mosquée de Stains a fait l’objet d’une fermeture administrative en décembre. La décision a ensuite été contestée en justice, mais en vain.
    http://www.leparisien.fr/stains-93240/stains-la-mosquee-restera-fermee-06-12-2016-6421938.php
    http://resistancerepublicaine.com/2016/12/18/farid-fillon-et-ses-amis-musulmans-sur-fond-de-priere-islamique/
    http://resistancerepublicaine.com/2016/12/19/farid-fillon-pas-content-declare-la-guerre-a-la-fachosphere-et-senfonce/
    Depuis, l’association gestionnaire a encore essayé de s’évertuer de montrer qu’elle prônait un « bon islam », ce qui n’a pas convaincu le Conseil d’Etat, en janvier, qui n’a pas ordonné de rouvrir la mosquée.
    Voici quelques extraits de la décision, qui a retenu mon attention car les circonstances du litige sont assez rares : jusqu’à présent, je n’avais jamais vu un cas semblable où une association de musulmans essaie de faire rouvrir une mosquée en invoquant des circonstances nouvelles.
    La décision contient, de plus, des éléments intéressants.
    Par exemple, on pourra relever que les locaux destinés à des activités « non cultuelles » n’ont pas été fermés.
    Il me semble qu’on entend généralement par là des salles censées ne pas être destinées au culte, mais puisqu’il n’y a pas de liturgie en islam, comme l’indique l’article sur Clichy la Garenne, elles pourraient a priori servir au culte.
    Dans la décision, il est question d’enseignement de l’arabe et de lieux destinés à des événements « festifs » sans qu’on sache trop de quoi il s’agit…
    Un site internet paraît correspondre à cette structure (sauf homonymie, mais a priori je ne pense pas qu’il y ait plusieurs centres « culturels et islamiques » à Stains) et révèle une certaine imbrication des aspects cultuels et culturels, même s’il existait sur le papier (le plan plus exactement donc la structure matérielle) une apparente dissociation formelle :
    http://www.ccistains.fr/
    Une vidéo vise à présenter ce « CCI » : https://youtu.be/BNs7Byb_Mkw
    On peut lire sur le site du centre « culturel et islamique », notamment :
    « « Celui qui construit une mosquée pour Allah, Allah lui construit son équivalent dans le paradis » Messager de Dieu, paix et bénédiction de Dieu sur lui ».
    Du coup, on a un peu l’impression que l’expression « centre islamique et culturel » signifie ni plus ni moins… « mosquée » ! Bref, pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas fermé AUSSI les parties « culturelles » (sic) du centre ?
    On pouvait tout à fait mettre en avant une indivisibilité.
    L’enjeu de cette distinction cultuel / culturel réside aussi notamment dans le financement, car le site met en avant une déduction d’impôt de 66% pour les dons. Cela a été généralisé avec la Fondation pour l’islam, ce qui indirectement fait peser sur les finances publiques le financement de l’islam.
    Je conseille de consulter le site pour se faire une idée sur le bien-fondé de la décision gouvernementale de fermeture partielle…
    Il est évident qu’il s’agit de ménager la chèvre et le chou, de ne pas trop se mettre à dos les fidèles musulmans (même s’ils savent que c’est la gauche qui fait la part la plus belle à l’islam au point que des théoriciens parlent d' »islamo-gauchisme »). Puisqu’il n’y a pas de liturgie en islam, on peut se demander si vraiment ça tient la route. Qu’est-ce qui empêcherait fondamentalement un imam de tenir des prêches dans la partie culturelle de l’édifice, puisque des musulmans peuvent même prier dans la rue ?
    On peut relever aussi cette constance des juges dans le fait de ne pas du tout s’intéresser au contenu de l’islam.
    Il est notamment indiqué que la liberté de culte comporte le droit de disposer des locaux nécessaires à l’exercice du culte. Or, à aucun moment on ne cite une source islamique indiquant la nécessité d’une mosquée ou d’un culte en commun.
    La fin de l’arrêt du Conseil d’Etat révèle d’intéressantes informations. On pourra notamment trouver étonnant que l’association gérant la mosquée n’ait pas, selon ses dires, été informée de la teneur des prêches !
    Le Conseil n’a pas utilisé le mot « taqiya », mais finalement, n’est-ce pas ainsi qu’on peut résumer la décision puisque ces arguments ne l’ont pas convaincu ?
    Conseil d’État, N° 406618
    ECLI:FR:CEORD:2017:406618.20170120
    Juge des référés
    20 janvier 2017
    L’association  » Centre culturel franco-égyptien – L’association Maison d’Egypte  » a demandé au juge des référés du tribunal administratif de Montreuil, statuant sur le fondement de l’article L. 521-2 du code de justice administrative, à titre principal, de suspendre l’exécution de l’arrêté du 21 décembre 2016 par lequel le préfet de la Seine-Saint-Denis a ordonné, sur le fondement de l’article 8 de la loi du 3 avril 1955, la fermeture jusqu’à la fin de l’état d’urgence de la mosquée  » Al Rawda « , située 39, avenue Monmousseau à Stains, et à titre subsidiaire, de lui permettre d’utiliser les locaux pour les manifestations ne concernant pas la mosquée  » Al Rawda « . Par une ordonnance n° 1610364 du 30 décembre 2016, le juge des référés du tribunal administratif de Montreuil, après avoir estimé que l’arrêté de fermeture litigieux ne concernait que la mosquée et ne trouvait donc à s’appliquer qu’à la partie de l’immeuble loué par l’association abritant cette mosquée, a rejeté sa demande.
    Par une requête, enregistrée le 5 janvier 2017 au secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, l’association  » Centre culturel franco-égyptien – L’association Maison d’Egypte  » demande au juge des référés du Conseil d’Etat, statuant sur le fondement de l’article L. 521-2 du code de justice administrative :
    1°) d’annuler cette ordonnance, sauf en ce qu’elle reconnaît la possibilité d’utiliser les locaux destinés aux cours d’apprentissage privé de l’arabe et à des manifestations festives ;
    2°) de faire droit à sa demande de première instance ;
    3°) de mettre à la charge de l’Etat la somme de 1 500 euros au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative.
    Elle soutient que : (…) l’arrêté contesté est entaché d’erreurs manifestes d’appréciation dès lors que la mosquée  » Al Rawda  » ne constitue pas un lieu de référence de l’influence de la mouvance salafiste, que l’imam, qui aurait tenu des propos radicaux, a été écarté et que l’association s’est engagée à recruter un nouvel imam sous le contrôle de l’Union des associations musulmanes de la Seine-Saint-Denis, que le président de la mosquée, M.A…, n’entretient plus de relations avec ses deux fils depuis 2012-2013 et qu’il condamne le communautarisme et la radicalité et, enfin, que les notes blanches faisant état d’une fréquentation de la mosquée par des personnes radicalisées ne sont pas précises et circonstanciées, alors qu’une simple fréquentation ne permet pas d’établir un lien entre ces personnes et la mosquée ;
    – le renouvellement de la mesure litigieuse par l’arrêté contesté ne tient pas compte de l’évolution de la situation de la mosquée  » Al Rawda  » dès lors que le précédent imam officiant dans la mosquée a été mis à l’écart par l’association et qu’elle entend recruter un nouvel imam ;
    – cette mesure est disproportionnée en l’absence manifeste d’éléments la fondant et parce qu’elle affecte les autres activités pour lesquelles l’association utilise les locaux.
    (…) La liberté du culte a le caractère d’une liberté fondamentale or, telle qu’elle est régie par la loi, cette liberté ne se limite pas au droit de tout individu d’exprimer les convictions religieuses de son choix dans le respect de l’ordre public, elle a également pour composante la libre disposition des biens nécessaires à l’exercice d’un culte. Aussi, un arrêté prescrivant la fermeture d’un lieu de culte est susceptible de porter atteinte à cette liberté fondamentale, il est également susceptible de porter atteinte au droit de propriété.
    7. Il appartient au juge des référés de s’assurer, en l’état de l’instruction devant lui, que l’autorité administrative, opérant la conciliation nécessaire entre le respect des libertés et la sauvegarde de l’ordre public, n’a pas porté d’atteinte grave et manifestement illégale à une liberté fondamentale, que ce soit dans son appréciation de la menace que constitue le lieu de réunion, compte tenu de la situation ayant conduit à la déclaration de l’état d’urgence, ou dans la détermination des modalités de la fermeture.
    8. Pour prendre la mesure de fermeture provisoire contestée, le préfet de la Seine-Saint-Denis s’est fondé, en substance, sur ce que, dans le contexte de l’état d’urgence créé par la survenance sur le territoire national d’actes terroristes d’une extrême gravité, la mosquée  » Al Rawda « , lieu de référence fréquenté par de très nombreux fidèles parfois très jeunes dont une part importante venaient d’autres communes, diffusait un message appelant à la haine et la violence et était devenue un lieu de polarisation de la mouvance salafiste, qu’elle représentait ainsi, par son fonctionnement et sa fréquentation, une menace grave pour la sécurité et l’ordre publics.
    9. D’une part, si la liberté de culte est une liberté fondamentale à laquelle la fermeture d’un lieu de culte est susceptible de porter atteinte et si l’association soutient que les fidèles les plus âgés résidant à proximité de la mosquée, ne peuvent pas se rendre dans un autre lieu de culte pour assister aux prières, il n’a pas été démenti lors de l’audience que la commune de Stains compte deux autres mosquées vers lesquelles se sont reportés la plupart des fidèles qui demeurent.dans cette commune Il ressort en outre de l’instruction que près de la moitié des fidèles qui fréquentaient la mosquée  » Al Rawda  » n’étaient pas domiciliés dans la commune de Stains et ont eu la possibilité de se rendre dans d’autres lieux de culte de la région parisienne.
    10. D’autre part, alors qu’aucune disposition législative ni aucun principe ne s’oppose à ce que des faits relatés par des notes blanches produites par le ministre, qui ont été versées au débat contradictoire et ne sont pas sérieusement contestées par le requérant, soient susceptibles d’être pris en considération par le juge administratif, il ressort d’une note blanche, soumises au débat contradictoire, que la mosquée, ouverte en 2013, et dans laquelle l’imam principal tenait des propos radicaux, a été fréquentée par plusieurs individus jihadistes notoirement connus pour leur engagement et leurs agissements et par des candidats au jihad soupçonnés, pour certains, d’être les instigateurs d’une tentative d’attentat terroriste sur le territoire français et que, par la suite, elle est devenue un lieu de rassemblement identifié pour les individus radicaux ou en cours de radicalisation.
    11. La mesure de fermeture provisoire prise par le préfet a pour objet de prévenir la continuation ou le retour des troubles à l’ordre public découlant des prédications prononcées dans la mosquée et de la fréquentation même de celle-ci. Il en résulte que les circonstances que, d’une part, l’association qui gère la mosquée et son président n’étaient pas informés de la teneur de ces prêches ou de la fréquentation de la mosquée par des individus radicaux et, d’autre part, qu’eux-mêmes auraient empêché ces agissements s’ils en avaient eu connaissance sont sans incidence sur la légalité de la mesure.
    12. A la suite de l’audience de référé, le conseil d’administration de l’association a, le 15 janvier 2017, décidé notamment de se séparer de l’imam radical qui avait officié au sein de la mosquée, d’accepter les imams proposés par l’Union des associations musulmanes de Seine Saint-Denis, d’adhérer à cette association, de mettre en place un système de vidéosurveillance et de créer dans un délai d’un mois une équipe de vigilance chargée d’alerter sur toute expression de radicalité. Par ailleurs, l’un des imams pressentis a accepté formellement le 16 janvier 2017 de participer à un collège d’imams pour cette mosquée. Enfin, l’association a créé un site internet, actif depuis quelques jours et sur lequel elle a fait figurer un message de condamnation des propos radicaux tenus au sein de la mosquée et de certains individus qui l’ont fréquentée. Si ces mesures importantes sont de la nature de celles qui permettraient de faire cesser le risque de retour des troubles à l’ordre public constatés, elles n’ont été prises que très récemment et, pour certaines d’entre elles, notamment la constitution d’une équipe de vigilance, ne sont pas complètement concrétisées. Dans ces conditions et alors même que, comme le relève le ministre de l’intérieur dans une note en délibéré, elle pourraient éventuellement donner lieu à la formulation ultérieure d’une demande d’abrogation, elles ne permettent pas à elles seules, en l’état de l’instruction, de considérer que, compte tenu de la gravité des troubles constatés dans cette mosquée, du risque de retour de tels troubles, de la possibilité pour la quasi-totalité des fidèles de se rendre dans un autre lieu de culte situé à proximité de leur domicile, le préfet de la Seine Saint-Denis a, par l’arrêté de fermeture litigieux, porté une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de culte ni, en tout état de cause, au droit de propriété et à son corollaire le droit de bail dont se prévaut l’association au seul motif de l’impossibilité d’utiliser des locaux pour lesquels elle paye un loyer de 8 000 euros.
    13. Il résulte de ce qui précède que la requête de l’association  » Centre culturel franco-égyptien – L’association Maison d’Egypte  » ne peut qu’être rejetée (…) ».

  13. Hier France Inter en a parlé, par la voix d’une journaliste, énonçant avec une conviction évidente de satisfaction, les unes après les autres, les lois rendues par nos institutions qui, pour la plupart, ne condamnent pas les signes religieux ou les prières de rue… pour telle ou telle raison légale…
    Nos lois se retournent contre nous – et ils le savent !
    Au fait, personne n’a parlé ici, à ma connaissance de la suite du débat politique sur France TV 1, lundi soir… Et notamment de la répartie de Macron à l’attaque de Marine Le Pen sur le burkini à la plage… Elle s’est fait répondre, du tac au tac, par le fringant Macron, que : « le voile à la plage n’était pas une question de laïcité mais une question d’ordre public – que c’était aux maires de régler le problème »…. Comme s’il ne savait pas que les décisions de certains maires ont été contrées par l’Etat… Quelle hypocrisie !
    Mais, ce qui m’ennuie le plus c’est que Marine n’a rien trouvé à répondre à l’arrogance de Macron, ni à celle de Mélanchon, ce qui pour la majorité des citoyens aveugles, valide les arguments de nos adversaires contre ceux de Marine !
    Oui ou non : le port du voile dans l’espace public relève-t’il du domaine de la laïcité ou de l’ordre public ?

    • « Oui ou non : le port du voile dans l’espace public relève-t’il du domaine de la laïcité ou de l’ordre public ? »
      Le port du voile en France relève de la provocation. Ni plus ni moins.

      • Hoplite, je suis bien d’accord avec vous mais, concrètement, vous pensez bien que cet argument ne tient pas face à la loi, aux décisions du Conseil d’Etat, et aux efforts collaborationnistes des diverses associations….

    • Cela relèverait du laïcisme, plutôt, mais on peut toujours invoquer le trouble à l’ordre public EN FONCTION du message que véhicule le signe concerné, sur le fondement de la Déclaration de 1789.
      Sur ce coup, tel que vous le racontez chère Olivia – je ne regarde jamais les débats télévisés donc je me fie à votre récit – Marine le Pen a invoqué à tort la laïcité.
      C’est bien le risque : la laïcité est souvent en cause dans les débats qui nous intéressent, mais il ne faut pas l’invoquer quand ce n’est pas son rôle de résoudre une difficulté.
      Certains ramènent tout à la laïcité, ou bien ignorent certaines conséquences de la laïcité quand ça les arrange, tout est question de mesure et d’honnêteté.

      • Merci Maxime pour cette réponse instructive.
        Marine part à l’attaque mais elle oublie trop qu’elle a à faire à des adversaires de taille, tel Mélanchon, lequel, après Macron, lui a sorti ses arguments massus et elle n’a su que rétorquer… D’ailleurs, avant même qu’il soit question du burkini, Mélanchon a ouvert le débat en étant offensif sur le problème de la laïcité, disant que beaucoup trop s’en servent pour « stigmatiser les musulmans »… Son discours s’adressait implicitement à Marine Le Pen… Mélanchon n’a pas sa langue dans la poche, c’est un adversaire redoutable et Marine ferait bien de réfléchir avant de parler.
        Pour ma part, en toute franchise, je pensais, aussi, que trainer son burkini à la plage était une entorse à la laïcité… Alors si l’autorisation relève du bon vouloir ou non des maires, leurs décisions ne devraient pas être contestés comme ce fut le cas l’été dernier, par le Conseil d’Etat, si j’ai bonne mémoire.

        • Dans la conception actuelle, ce n’est pas la laïcité qui est en cause, sinon les chrétiens et les juifs, entre autres bouddhistes et zoroastres, devraient eux aussi cacher leurs signes en public.
          On y arrivera peut-être si, à force de conflits interreligieux, on décide que la neutralité religieuse soit la règle absolue. Mais les tentatives de dialogues interreligieux infirment l’analyse d’une certaine façon.
          De mon point de vue, il faut en général partir du signe exprimé, l’analyser pour dire s’il doit être autorisé ou pas selon sa signification.
          Toutefois, dans certains contextes, par exemple au travail, le signe religieux devrait n’avoir aucune place car le salarié n’y est pas pour exprimer une opinion, fût-elle religieuse, mais pour exercer une fonction précise.
          Mélenchon n’a pas forcément tort si l’on tient compte de certaines données, par exemple récemment le cas de la chrétienne qui a refusé de prêter serment pour travailler à la RATP. Derrière certaines positions politiques, en matière sociétale par exemple, il y a aussi des motifs inavoués de refus de la laïcité.
          Mais il est indubitable que dans un très grand nombre de cas, la laïcité actuellement est invoquée à propos de musulmans dans les litiges en justice par exemple (établir des statistiques est difficile car la jurisprudence est infinie).
          Quand je cherche de la jurisprudence sur la condition d’adhésion aux valeurs républicaines, dont la laïcité, dans le contentieux de la naturalisation, je constate également que très souvent il s’agit de personnes venant du Maghreb et qui contestent, sans succès en général, le refus de naturalisation lié à leur incapacité d’expliquer la laïcité, de la concevoir.

          • Merci Maxime. C’est plus compliqué que je le pensais… Et je comprends mieux pourquoi certains tirent profit de cette complexité… Alors qu’à mes yeux – et à ceux de beaucoup de patriotes – tout est simple : interdiction du voile dans l’espace public !

  14. Mais non,vous n’avez rien compris :Sodome et Gomorre c’est maintenant. Ce sont les adorateurs du veau d’or ,la Caisse d’allocations familiales.
    On a atteint les sommets du ridicule.
    La France ridiculisée dans le monde entier. Ces gens se prosternent devant
    Macron,Fillon,Hamon,Melanchon, les grands manitous de la CAF;Ils se prosternent devant les plus offrants. . Ces gens sont à vendre.
    Ces gens se prosternent devant les candidats qui leur promettent du fric,c’est tout.
    Soumission à allah?Tu parles, soumission aux allocs. Le plus gransd marché aux esclaves de l’histoire de l’humanité ,c’est la France d’aujourd’hui.

  15. tout ces artichauts le cul en l’air me donne vraiment envie de faire du foot

  16. Les riverains auraient dû descendre et arroser ça avec des seaux d’eau. Mais non, ils laissent faire. Nous n’avons plus aucun honneur, ni fierté.
    Il faudrait envoyer des messages au maire qui a laissé faire ça, en plus.

  17. Quand je les vois tous comme ça le derrière en l’air, je n’ai qu’une envie : leur foutre mon pied au cul. Qu’ils aillent donc faire leurs simagrées dans les pays muzz.

  18. selon certains le visage de la France n’a pas changé depuis le début du 19ème siècle. si!si! je l’ai entendu!

  19. la soumission à une religion ,de l’état Français dans toute ça splendeur !
    combien de temps allons nous supporter, cette remise en cause permanente de nos valeurs.

    • Si rien n’est fait, nous allons supporter ça pendant… 1400 ans environ.

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