Article super intéressant remettant les pendules à l’heure, il ne s’agit pas de discuter du »sexe des anges » ni de qui était là avant qui, non il s’agit de définir qui est « Palestinien » !
Mais qui est « Palestinien » à la fin ?
Michel Garroté – Encore aujourd’hui, en Europe, et, surtout, en France, il est tout simplement impossible d’exprimer un point de vue « pro-israélien » dans les médias classiques. Alors que ces mêmes médias classiques publient, tous les jours, des articles pro-palestiniens sous le couvert d’articles soi-disant « indépendants » et « objectifs ».
Il y a quelques temps déjà, j’avais lu un article audacieux de Harry Mandelbaum, article qui avait l’incroyable audace, la souveraine impertinence de donner un éclairage différent. Par goût de la provocation ainsi que pour ré-informer nos lectrices et lecteurs, , je me fais un plaisir de le publier ci-dessous.
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Harry Mandelbaum : Une erreur typique que même les Israéliens commettent et qu’il faudrait rectifier est d’appeler les Arabes locaux « Palestiniens ». C’est donner aux Arabes des munitions qui sont alors utilisées pour délégitimer Israël. Cela correspond à dire : « Oui, nous sommes d’accord avec vous. Vous étiez ici avant nous. C’est votre pays et nous vous l’avons volé ». Car c’est en fin de compte ce que dit la légende arabe et si le monde et Israël continuent à définir les Arabes comme « Palestinien », nous jouons leur jeu.
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Harry Mandelbaum : Il est temps de faire une mise au point et d’arrêter de définir les Arabes comme « Palestiniens ». Beaucoup d’Arabes qui vivent en Israël et aux environs, voudraient faire croire au monde qu’ils sont les descendantes des Cananéens et/ou des Philistins (pour l’instant, ils ne se sont toujours pas mis d’accord quant à leur origine). Mais en fait, peu importe. Même s’ils venaient à descendre d’une de ces deux racines : ces deux tribus n’existent plus depuis environ 5’000 ans.
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Harry Mandelbaum : Ensuite, il est intéressant de noter que la plupart des Arabes de la région sont musulmans. Quand on sait que le judaïsme a existé depuis plus de 5’700 ans (c’est un fait, pas exactement sous sa forme actuelle), le christianisme est vieux de 2000 ans, mais l’Islam n’a fait son apparition qu’au VIIe siècle. Il est alors juste de se poser la question : mais qui sont ces Palestiniens ?
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Harry Mandelbaum : Si les Arabes ont commencé à se définir comme Palestiniens, c’est tout simplement, car ils n’ont absolument aucune identité par rapport à cet endroit. Ils sont originaires de la Jordanie, de l’Égypte, du Liban et autres, mais pas de cet endroit précis. On n’a pas besoin de faire beaucoup de recherches avant de constater que la lettre « P » n’existe pas dans l’alphabet arabe et encore moins le mot « Palestine ». Et que le nom « Palestine » a été créé par l’Empire romain. Les Romains ont donné ce nom au pays après l’avoir conquis, environ en 75 et donc au moins 600 ans avant la naissance de l’Islam. Le nom de Palestine s’est surtout généralisé après la défaite de Bar Kokhba en 132.
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Harry Mandelbaum : Le mot « Palestine » est inspiré des philistins qui étaient un peuple qui existait dans la région à l’âge de fer (environ 1’175 avant notre ère) et qui a envahi la Judée. Les mauvaises langues disent que si les Arabes ont choisi ce nom, ils ont fait là un choix tout à fait adapté. « Avant 1967 il n’y avait aucun article de journaux ou autre qui parlait des Arabes comme “palestiniens”. Le conflit au Moyen-Orient était tout simplement connu sous le nom de conflit israélo-arabe et non comme conflit israélo-palestinien ».
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Harry Mandelbaum: Avant la renaissance de l’État d’Israël, en 1948, le seul peuple qu’on appelait « palestinien » était le peuple juif. Pas le peuple arabe. Qui plus est, les Arabes ne voulaient pas qu’on les appelle « Palestiniens », car ils ne voulaient être associés ni aux juifs ni à l’État britannique de la Palestine. C’était une insulte. Si on appelait un Arabe « Palestinien », on se voyait répondre un truc du genre : « Du calme, je suis Arabe ! Je ne suis pas Juif ! ».
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Harry Mandelbaum : Les Arabes qui vivaient dans la région sont devenus « palestiniens » après la guerre des Six Jours en 1967. Avant cette période, lorsque la Judée, la Samarie et Jérusalem étaient occupés par la Jordanie et que Gaza était occupé par l’Égypte, aucun Arabe ne se voyait « Palestinien ». Même Yasser Arafat, le si fameux « Palestinien » et ancien leader de l’OLP n’est pas né « Palestinien ». Il se définissait comme « réfugié palestinien » alors qu’il était né au Caire et a parlé toute sa vie l’arabe avec un accent égyptien.
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Harry Mandelbaum : Il a fait son service dans l’armée égyptienne, a étudié à l’université du Caire où il a habité jusqu’en 1956. Il n’a jamais été réfugié de quoi que ce soit et il n’était même pas originaire de la région en question. Le nom complet d’Arafat était Mohammed Abdel Rahman Abdel Raouf Arafat al-Qudwa al-Husseini. Le nom de famille Al-Husseini indique que sa famille venait à l’origine de la Jordanie.
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Harry Mandelbaum : Avant la fin des années soixante, le terme « palestinien » était utilisé par le monde entier pour définir les juifs. Pour tout le monde, tous les médias, tous les politiciens, Palestine était un autre mot pour désigner Israël, tout comme Kemet est un autre mot pour désigner l’Égypte. Jusqu’en 1950, le journal Jerusalem Post s’appelait tout bonnement Palestine Post.
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Harry Mandelbaum : Le périodique pour l’Organisation Sioniste d’Amérique (Zionist Organization of America) s’appelait « New Palestine ». La banque israélienne Leumi s’appelait « Anglo-Palestine Bank ». La compagnie d’électricité d’Israël s’appelait : Palestine Electric Company. On trouvait « Palestine Foundation Fund » et « Palestine Symphony Orchestra ». Toutes ces entreprises, toutes ces organisations étaient dirigées par des Juifs. Aux États-Unis, la Jeunesse Sioniste chantait « Palestine, my Palestine », « Palestine Scout Song » et « Palestine Spring Song ». Les Arabes savaient pertinemment que « palestinien » voulait dire « Juif », tout simplement. C’est bien pour cette raison qu’ils ne voulaient pas qu’on les appelle comme ça.
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Harry Mandelbaum : Puis tout d’un coup, après la guerre de 1967, les Arabes se sont dits Palestiniens. L’idée est venue des experts en relations publiques du KGB de l’ex Union Soviétique. Le plan et la campagne ont été préparés et orchestrés par l’Institut d’État des Études Orientales dont le leader était Levgueni Primakov. Primakov était espion, parlait très bien l’arabe. Il avait travaillé dans différents pays arabes en se faisant passer pour un journaliste pour le journal soviétique Pravda.
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Harry Mandelbaum: Les médias du bloc soviétique ont donc commencé à pleurer les « pauvres palestiniens » et « les méchants juifs qui ont volé le pays de ces pauvres palestiniens ». L’idée des « pauvres palestiniens » fut rapidement reprise par les médias de gauche, surtout pendant la période des années 68, période propice à ce genre de propagande, et après trois ans de matraquage médiatique, l’égyptien Yasser Arafat fit un discours passionné dans les universités européennes et à l’ONU en expliquant comment lui, un « Palestinien d’origine » s’était vu voler son pays et être humilié par ces « khazars de juifs ».
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Harry Mandelbaum : Le « peuple palestinien », venu de nulle part s’est petit à petit installé dans le vocabulaire et dans la compréhension européenne. Soyons honnêtes : tout ceci a bien marché tout simplement, car cela allait contre les juifs. Si l’Union Soviétique et les Arabes avaient essayé d’expliquer au monde que les « Spaniards » avaient volé l’Andalousie aux indigènes. Tout le monde en aurait ri. Mais quand il s’agit des juifs…
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Harry Mandelbaum : Ne nous leurrons pas. Les Européens n’ont jamais aimé les juifs et ils ont donc rapidement accepté cette histoire du « pauvre peuple palestinien éjecté par les juifs ». Israël s’est lancé dans une campagne d’explication, mais n’avait pas les moyens de faire face à la machine de propagande arabo-soviétique bien épaulée par les médias de gauche et par la mentalité des années 68. Surtout qu’il leur fallait travailler dur pour développer ce nouveau pays tout en étant en guerre. Israël ne pouvait pas se faire entendre.
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Harry Mandelbaum Donc aujourd’hui, nous avons des Arabes qui se définissent comme « Palestiniens » et qui pleurent, car « les juifs ont volé leur terre ». Et donc, lorsque je vous dis que : « Les juifs ont volé la Judée aux Palestiniens », c’est une phrase qui a un sens, pour vous ? Ça ne vous fait pas tiquer quelque part ? Vraiment ? Mais alors, pourquoi continue-t-on à appeler les Arabes « palestiniens » ? Tout simplement parce que, encore une fois, Israël et les juifs ont choisi le compromis pour avoir la paix, pour calmer les choses. Vous aussi, apprenez à vos amis à utiliser les mots justes : les Juifs sont les Palestiniens, les Arabes sont les Arabes, conclut Harry Mandelbaum.
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© Michel Garroté pour Europe Israël
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http://www.think-israel.org/mandelbaum.arabsnativesoraliens.html
http://www.europe-israel.org/2016/03/mais-qui-est-palestinien-a-la-fin/
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La preuve qu’ils ne sont pas de la région, ils n’ont pas d’autre nom pour Judée Samarie, qu’un attribut topographique (west bank ou cis-jordanie).
Juif (yehudi en Hébreu, vient évidemment de Judée, territoire attribué par Moise a la tribu de Judah).
Merci a Michel Garroté et a Harry Mandelbaum.
Je pensais que les arabes actuels qu’on appelle palestiniens étaient des descendants de juifs convertis (de la maniére que vous savez) à l’islam et qui veulent s’approprier le territoire en éjectant les juifs restés juifs. Une histoire loufoque: des juifs convertis musulmans qui veulent conquérir leur propre terre pour le compte des arabes.
Cette histoire est arrivée moult fois en Afrique du Nord avec les dynasties musulmanes berbéres. Chaque dynastie s’est lancée à la conquête de son propre pays, tantôt pour le compte de Damas, tantôt pour Baghdad, tantôt pour devenir elles-mêmes des Daghdad et des Damas.
Excusez-moi, mais j’en ris à chaque fois que j’y pense.
l’Arabie ne pouvait pas assurer un apport de populations pour tous les territoires conquis. Les arabes trouvaient la pâte à modeler sur place et se mettent à l’ouvrage. En quelques décennies, il fabriquent des arabes par centaines de milliers. Dans certaines contrées (Égypte, Irak, Syrie, Palestine, Tunisie, Algérie, Maroc…) les les arabes ainsi fabriqués arrivent à annonner l’arabe et tentent même de devenir califs à la place du calif. Leur arabité est visible de l’extérieur, Ailleurs (Turquie, Albanie, Indonésie, Malaisie, les résidus berbéres, la Tchitchounie, Afganisatan, Pakistan et tous les autres machinstans d’asie centrale) les peuples ont été remodelés seulement dans « leur intérieur ». Ils veulent pas annonner l’arabe, mais chacun d’eux est arabe dans ses tripes, et dans sa tête sans que rien ne se voit de l’extérieur. Eux-mêmes ils ne s’en rendent pas compte. En somme, il marche comme un canard, il a des pattes palmées, nage dans la mare mais ce n’est pas un canard car il ne fait pas coin-coin.
Là vous avez un des exemples de la manipulation, non seulement des communistes et de leurs grandes malhonnêtetés habituels avec goulags et autres partis malhonnêtes à surveiller, mais aussi les manipulations des musulmans quand cela les arrangent, se faire passer pour se qu’ils ne sont pas, des victimes, pour avoir des droits sur les autres, se plaindre, habitudes musulmanes.
Imaginez ce qu’ils peuvent faire ici en Europe, et qu’ils disent, vous vous attaquez à votre propre peuple, ils sont français comme vous et moi.
Voilà la supercherie et le soit disant, haine des autres, racisme et autres malhonnêtetés bons prétextes, qui n’existe pas en démocratie.
Le racisme est bien pratique pour les dictatures, pas d’excuses par les escrocs démocrates.
Les gens malhonnêtes cherchent toujours à mettre les autres en défaut pour avoir raison, c’est aussi de la Takkia, la ruse.
Il faut bien comprendre la démocratie, les vrais droits des peuples autochtones du monde entier à rester eux mêmes recommandé par l’ONU, mais aussi l’historique, le vrai héritage du pays pour ne pas oublier et surtout pour ne pas tomber dans la manipulation, et celui réellement des musulmans et leurs véritables places, là où doivent être réellement, dans leurs pays à eux, et pas dans celui des autres et d’arrêter de chercher des excuses qui n’existe pas, qu’ils s’occupent de leurs fesses et chez eux.
Nous aussi, nous sommes des goys contre les musulmans, nos nouveaux Palestiniens chez nous en Europe.
Le chacun chez soi oblige le respect, c’est de savoir que quand je suis chez vous, je ne suis pas chez moi et n’empêche pas d’avoir des invités respectueux et un bon voisinage.
Et les frontières ne gênent que les gens malhonnêtes et un peuple armé peut encore se défendre.
Soyez toujours du côté du vrais peuple, vous serez toujours du côté de la démocratie, sans le trahir.
J’ai posté un commentaire hier, en réponse à Maxime Duval, et ce commentaire n’apparait pas. Aurais-je été censurée ? Et si oui, pour quelle raison ?
Bonjour,
Chère Eva, je ne me souviens pas vous avoir censuré.
Il y a peut-être eu une erreur de manipulation.
Merci pour votre réponse, Antiislam. Je vais tenter de re-poster ce soir.
Le son p n’existe pas en arabe
CQFD
Oui et même Algérie n’existe pas en arabe et bien d’autres choses encore.
WHAT IS PALESTINE? WHO ARE THE PALESTINIANS? https://www.youtube.com/watch?v=W9ReF4UUa4E
THE NAZIS AND THE PALESTINIAN MOVEMENT https://www.youtube.com/watch?v=VjARZPAcATM
Les Réfugiés Oubliés : plus d’un million de réfugiés juifs des pays arabes https://www.youtube.com/watch?v=5JwW1kefTvU
Sauf erreur d’interprétation (et trou de mémoire) de ma part, les divers documentaires TV, parlent en effet de Mont du Temple, en l’occurrence le Temple de Salomon. Les archéologues recherchent les fondations mais la plus grande partie se trouve sous la dite esplanade des mosquées.
Si je me rappelle bien mes cours d’histoire-géo en primaire, les Juifs étaient les habitants de la Palestine une zone de la Judée.
Quelques scientifiques ont même réussi à justifier la traversée de la mer Rouge rendue possible par une surélévation d’un haut-fond lorsque la mer s’était retirée (probablement sous l’effet d’une marée basse exceptionnelle).
Bonjour,
Le « Mur des lamentations » (« Kotel ») est en fait un pan de mur du Temple rebâti par Hérode (« second Temple »), à l’emplacement de celui de Salomon (« premier Temple ») , peu avant la naissance du Christ …
Ben oui, Braves Gens, mais vous venez me raconter ça à moi…
Tout ça ne me regarde pas. Que voulez-vous qui j’y fasse ?
Vous êtes comme moi, face à votre conscience sur le sujet, tous, habitants de ces régions.
La seule chose que je puis vous dire est « arrangez-vous », et là-bas, sur place, de préférence à ici.
Toutes ces histoires me sont étrangères et ne me regardent pas, mais alors , pas du tout.
Bonsoir
Ce n’ est pas les juifs qui importe ces conflits, c’est principalement les medias et donc le gouvernement .
Je suis juif et croyez moi, que votre souhait est le mien.
Ceci dit , l’article est riches d’informations à diffuser.
Cher Maxime,
Je crois que ces histoires vous regardent, indirectement, comme elles regardent tout Européen. Car si le projet sioniste existe depuis la fin du 19ème siècle, l’holocauste qui s’est produit en Europe a néanmoins permis de donner une légitimé à l’idée de la création d’un foyer juif au Proche-Orient.
Et plusieurs pays européens, dont la France, ont permis la création de l’état d’Israël, et l’ont reconnu.
Donc vous avez raison de dire:
« N’importez pas le conflit israélo-palestinien sur le territoire français ».
Mais il n’en reste pas moins que les Européens ne peuvent pas dire que ce conflit ne les concerne pas.
Cela dit, je trouve cet article ridicule, car la quasi-totalité des éléments qu’il avance sont faux. Je vais le commenter dès que j’aurai un moment de libre.
Eva est-ce le commentaire que vous avez perdu ? Je l’ai retrouvé par hasard dans les indésirables ; wordpress pour une raison inconnue l’avait apparemment classé en spam
Oui Madame Tasin, c’est bien mon commentaire.
Merci beaucoup de l’avoir « repêché ».
Article trés informé auquel je vais apporter un correctif ne portant pas sur l’histoire récente
En effet les romains avaient fait de la Judée et les provinces environnantes, une colonie soumise bien avant les années 30 de notre ére, puisque le procurateur Ponce Pilate nommée par le pouvoir de Rome , exerçait le role de gouverneur , c’est à dire de prefet détenteur de tous les pouvoirs régaliens
C’est au cour des années 70 de notre ère que les romains vainquirent une immense révolte juive, et parvinrent à reprendre la main sur cette contrée,
Cette guerre cruelle , au nombre de victimes impressionnant fut à l’origine de la destruction du temple, et de la dispersion d’une grande partie du peuple juif
Bonjour,
C’est surtout lors de l’échec de la seconde révolte, celle de Bar-Kochba (135) que la destruction de l’Israël antique a été consommé.
Il serait intéressant de savoir si des petits noyaux de communauté juive ont pu subsister, sans discontinuité, depuis cette époque: je ne le pense pas.
Il y a quand même des communautés juives anciennement implantées dans l’Israël actuel, à Safed par exemple.
Que signifie la phrase « les Juifs sont les Palestiniens, les Arabes sont les Arabes »? Cela compare le terme « palestinien » qui désigne un gentilé de territoire, et « arabe » qui désigne une dite ethnie.
Une conclusion plus logique ne serait-elle pas « les Juifs sont des Palestiniens, les Arabes sont aussi des Palestiniens » ou « les Juifs sont des Israéliens », les Arabes sont aussi des Israéliens »?
Le judaïsme depuis 5700 ans !!!!!
Les premiers écrits judaïques découverts, 12 ou 13 siècles avant JC !
Il serait intéressant alors d’avoir un Judaïsme des pierres (marques Judaïque dans les pierres, gravures ou sculptures) !
Une lecture intéressante :
http://www.interbible.org/interBible/caravane/voyage/2009/voy_091023.html
Admettons des religions hénothéistes 2000 ans avant JC mais pas plus !
Bonjour,
D’accord à 100% avec ce texte.
Nous nous laissons enfumer par les médias.
Autre exemple: le vieux quartier de Jérusalem était habité par des Juifs des siècles et des siècles avant la conquête musulmane.
N’appelons donc pas « esplanade des mosquées », comme les menteurs professionnels des médias, ce qui est « LE MONT DU TEMPLE ».
Gagnons d’abord la guerre sémantique: ce ne serait déjà pas si mal !