http://resistancerepublicaine.com/2015/magnifique-hommage-de-pierre-gattaz-medef-a-marine-le-pen/
Le Medef se moque des pauvres clandestins… PARDON, DES PAUVRES RéFUGIéS ! Le Medef ne voit qu;une force de travail bon marché. En cela le Medef fait preuve de grande stupidité car l’invasion migratoire va détruire toute la société et l’économie de l’Europe.
Que fera le Medef dans un désert islamique?
La France ne peut pas mettre en danger de mort son peuple et ses institutions pour recevoir les « réfugiés » du monde.
Le retour du franc et celui de la retraite à 60 ans ne mettraient pas en péril l’économie française, bien au contraire, surtout si il y a aussi un grand mouvement de remigration des populations musulmanes installées en France depuis 1976 via le regroupement familial.
Pour les clandestins-envahisseurs il n’y a que l’expulsion vers leur pays d’origine respectif ou bien vers leur terre sainte.
Pour les convertis au culte mahométan, la porte de sortie de France est grande ouverte, car embrasser l’Islam c’est trahir la France, la Constitution et les lois de la République.
Christine Tasin écrit « Marine Le Pen peut être fière de son programme, qui est forcément, anti-Medef, anti-libéral et… cultivant la préférence nationale, ce que nous attendons tous ! »
Ci dessous, voici un article qui confirme que Marine Le Pen et le Front National ont raison de vouloir le retour au Franc.
A DIFFUSER SANS MODERATION :
L’Euro, la peur et Vichy
PAR JACQUES SAPIR · 19 OCTOBRE 2015
Le discours sur les conséquences catastrophiques que pourrait avoir une sortie de l’Euro pour l’économie française, et celle des autres pays de la zone Euro est commun dans une bonne partie du spectre politique français.
On est en présence d’un discours de peur tenu par ceux-là même qui accusent le Front National de jouer sur des peurs. Voilà qui ne manque pas de sel quand certains de ces hommes politiques ne font que reprendre la vieille antienne du gouvernement de Vichy ! Cela montre à quel point la question de l’Euro est devenue une question religieuse dans la politique française. Rester dans l’Euro nous conduirait au paradis et en sortir nous entraînerait en enfer ! Mais ce discours ne repose pas sur des bases solides.
On sait qu’une dissolution de l’Euro poserait deux problèmes immédiats, celui des dettes et celui des flux financiers entre les diverses économies. Ces deux problèmes sont, en réalité, bien moins compliqués que ce que certains hommes politiques, de Nicolas Sarkozy à François Hollande veulent nous faire croire. De plus, est avéré que l’Euro a failli, et dans des proportions importantes, tant à engendrer la croissance qu’à protéger les économies des pays membres contres les fluctuations financières internationales. De cela, on a eu la preuve avec la crise de 2007-2009. On se propose donc de revenir sur ces différents points pour distinguer le vrai du faux.
– La question des dettes.
Pour ce qui est des dettes, on sait aussi que la dette souveraine de nombreux pays, dont la France à 97%, est émise dans le droit de ce pays. Or, la règle, établie par la cour d’arbitrage internationale depuis la fin des années 1920, est que tout titre émis dans le droit du pays « x » doit être payé dans la monnaie du pays « x », quel que soit le nom de cette monnaie. C’est ce que l’on appelle la lex monetae. Cela veut dire que si la France décide de quitter l’Euro et de revenir au Franc, 97% de notre dette publique sera immédiatement et sans contestation possible, re-dénomminée en Franc. De ce point de vue, le seul pays qui serait obligé de faire défaut sur sa dette souveraine serait la Grèce car plus des deux-tiers de sa dette est émis en droit étranger.
Parler soit d’une multiplication importante pour la dette française comme le font Nicolas Sarkozy et les dirigeants de l’ex-UMP, ou au contraire parler d’un possible défaut, comme le fait J-L Mélenchon, n’a aucun sens. Pour les uns, cela relève du mensonge pur et simple. Les dirigeants de l’ex-UMP ne peuvent pas ignorer la composition et la nature de la dette souveraine de la France, et donc ignorer qu’une sortie de l’Euro serait ici indolore. Pour ce qui est de J-L Mélenchon, l’erreur provient de son incompréhension du mécanisme des dettes publiques.
En ce qui concerne les dettes privées, une grande part de ces dernières est placée auprès d’acteurs français. Il n’y aura aucun problème en cas de sortie de l’Euro. Pour les entreprises multinationales françaises, une large part de leur endettement est souscrite par des non-résidents. Mais, ces entreprises font aussi une large part de leur chiffre d’affaires hors de France. Dès lors, en cas de sortie de l’Euro accompagnée d’une dépréciation du « nouveau » Franc, les dettes seraient réévaluées mais le chiffre d’affaires (et les profits) aussi ! Les calculs qui ont été fait par diverses banques indiquent que les deux mécanismes s’équilibrent.
– La question des flux financiers.
Il reste le problème des flux financiers entre pays, qu’ils soient dans la zone Euro ou hors de la zone Euro. Techniquement, les grandes banques internationales se sont déjà préparées à la perspective d’une dissolution de l’Euro. Il conviendrait de suspendre les transactions financières pour une durée de 24 à 72h, puis de limiter les mouvements à très court terme (qui relèvent essentiellement de la spéculation) pour une période d’environ 6 mois.
L’image d’une sortie de l’Euro provoquant un « désastre » relève donc de la fiction.
C’est une fiction dont les partisans de l’Euro se servent pour alimenter des peurs au sein des populations. Il faut remarquer que ce sont les mêmes qui accusent Marine le Pen et le Front National de jouer sur la peur qui, en réalité, tiennent un véritable discours de peur et cherchent à provoquer une réaction de panique chez les électeurs. Ce point est important. En fait, la peur semble bien devoir être le seul argument que les partisans de l’Euro peuvent encore utiliser devant la faillite complète de l’Union Economique et Monétaire.
– Les avantages d’une sortie de l’Euro.
Maintenant, il faut être aussi conscient que les avantages d’une sortie de l’Euro, et ces avantages sont nombreux que ce soit dans le domaine de la croissance, de l’emploi, mais aussi du rétablissement des comptes publiques, seront affectés par les conditions dans lesquelles se fera cette sortie et par la politique qui sera conduite une fois la question de l’Euro résolue. L’Euro peut disparaître par une décision concertée, commune à l’ensemble des pays de la zone, comme il peut disparaître par une succession de crise donnant lieu à des sorties, chacune aggravant la crise et conduisant un nouveau pays à sortir à son tour. Cette hypothèse est la plus défavorable.
Mais, même dans cette hypothèse, et en supposant que la France soit l’un des derniers pays à sortir de l’Euro, notre situation serait meilleure que la situation actuelle. Ensuite, un point important sera celui des politiques à mettre en place une fois la sortie de l’Euro effectuée. Il est clair que si le gouvernement alors en place donnait la priorité au désendettement de la France, et cherchait à maintenir le taux de change à un niveau surévalué, les avantages de la sortie de l’Euro seraient très faibles. Mais ils ne seraient pas nuls. Par contre, avec une politique rompant de manière décisive avec les politiques menées depuis ces 25 dernières années et donnant une priorité à l’investissement, les avantages d’une sortie de l’Euro seraient impressionnants[1]. C’est pourquoi j’ai toujours dit que la sortie de l’Euro était une condition nécessaire, c’est à dire que tant que nous restons dans l’Euro rien n’est possible, mais nullement une condition suffisante. Ce point est important car, trop souvent, nombre des adversaires de l’Euro présentent la sortie de la monnaie unique comme une panacée, ce qu’elle n’est pas.
Quand fut rédigée la brochure pour la fondation ResPublica où ont été estimées les conséquences possibles d’une sortie de l’Euro, une bonne part des discussions qui se sont déroulées avec Cédric Durand et Philippe Murer, les deux autres co-auteurs de cette dite brochure, portaient justement sur l’ampleur des gains que l’on pouvait attendre d’une telle sortie. Les premiers résultats, donnés automatiquement par le modèle nous avaient semblé fantastiques, au point que nous avons délibérément corrigé à la baisse certains de ces résultats.
Même ainsi, une sortie de l’Euro conduirait à près de 2 millions de créations d’emploi supplémentaires à court terme, rien que pour la catégorie « A » de la DARES. Avec les effets induits (plus d’emplois implique plus de cotisation, donc un retour à l’équilibre des régimes retraites et santé, donc la possibilité de baisser les cotisations individuelles, etc…), on arriverait en cinq ans à près de 3,5 millions de créations d’emplois, c’est à dire à un retour au plein emploi.
Il faut avouer que l’on peut avoir des doutes sur de tels chiffres, parce que les changements d’échelle impliquent des changements dans les relations économiques. Mais, on peut considérer qu’une baisse du chômage des deux-tiers constitue une prévision robuste et crédible.
– L’Euro est-il une protection ?
Un dernier argument, fréquemment utilisé dans le débat sur l’Euro, est que ce dernier permettrait aux pays membres de s’affirmer face aux Etats-Unis et à la Chine. Mais, cet argument ne correspond nullement à la réalité. La zone Euro, ou l’Union Economique et Monétaire pour l’appeler par son nom véritable, n’a jamais réussi à s’imposer face aux Etats-Unis voire à la Chine. Dans le domaine monétaire, actuellement l’Euro est, certes, la deuxième monnaie de réserve au monde en ce qui concerne les réserves des Banques Centrales. Mais, son poids est de 20%, ce qui est inférieur aux montants cumulés des monnaies des pays de l’UEM avant 1999. Le tout n’est donc pas supérieur à la somme des parties, ce qui témoigne de l’inexistence d’une dynamique de l’Euro.
Notons aussi que l’Euro a perdu sa deuxième place face au Dollar en ce qui concerne les monnaies de transactions financières internationales. Cette deuxième place revient désormais au Yuan ! Bien sûr, l’UE est un grand marché, mais ce n’est pas une puissance industrielle, en raison de l’incapacité à formuler une véritable politique industrielle à l’échelle de l’UE. En fait, nombre de projets qui sont présentés comme des projets « européens », ont été conçus dans des cadres bi ou multilatéraux. Il en est ainsi d’Airbus ou d’Ariane. En fait, la réalisation de tels projets serait rendue aujourd’hui si ce n’est impossible à tout le moins très difficile tant par les réglementations européennes que par l’existence de l’Euro.
Enfin, il faut se demander si l’UE, et la zone Euro, ont jamais été réellement conçues comme des instruments d’opposition à la politique des Etats-Unis. Cela recoupe la question de « l’Europe-Puissance » dont on a dit qu’elle était un mythe, voire un mensonge. En fait, la CEE et l’UE ont été conçues comme des appendices économiques à l’OTAN. L’UE a été le principal instrument de la mondialisation en Europe, le principal facteur de démantèlement des protections nationales. On le voit encore dans la manière dont se déroule la négociation sur le partenariat transatlantique ou TAFTA. L’UE est en réalité un cheval de Troie des Etats-Unis.
– Vichy c’est l’Euro ?
Il faut ici réfléchir à ce que révèle ce type d’argument dans l’inconscient de ceux qui l’utilisent. Il y a aujourd’hui un pessimisme profond dans les élites françaises à propos de la survie de la France. Ce pessimisme qu’exprime un François Hollande ou un Nicolas Sarkozy, c’est celui qui pense que sans l’Union européenne il n’y aurait plus de France. Ce pessimisme pense que la France ne peut faire face au monde qu’en disparaissant dans une entité plus vaste. Or, ce discours, nous l’avons déjà entendu dans notre histoire, et en particulier de 1940 à 1944. Ce fut le discours du régime de Vichy, théorisant la défaite de juin 1940. Ce fut par exemple le discours de Pierre Laval, ancien socialiste et partisan de la déflation quand il fut Président du Conseil en 1935, deux points qui le rapprochent de François Hollande, quand il s’exclame sur les ondes de Radio-Paris « je souhaite la victoire de l’Allemagne ».
En fait la politique européenne menée par nos deux derniers présidents, que ce soit Nicolas Sarkozy ou François Hollande, s’inscrit, consciemment ou inconsciemment, dans la filiation de la politique de renoncement de Vichy.
Il en est ainsi parce que ces deux hommes se sont toujours opposés en réalité au Général de Gaulle, et ne cessent de le combattre quotidiennement quand bien même ils le louent par la bouche ou la plume. Il faut donc ici revenir sur ce que le désastre de 1940 nous apprend sur les élites françaises, dont on sait qu’une partie préférait Hitler au Front Populaire. C’est en réalité ce vieux fond réactionnaire, pétainiste, héritier de Vichy, qui ressort dans l’argument que seul l’UE pourrait nous protéger face aux Etats-Unis et à la Chine.
http://russeurope.hypotheses.org/4394
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Dès le début j’étais contre l’europe, et malheureusement je ne me suis pas tromper. Quand je disais que cela aller être la ruine de notre pays, car les usines allaient délocalisées vers des pays étranger, beaucoup de monde se foutaient de ma gueule. C’est actuellement bine pire que ce que je pensais.Il faut détruire cette oligarchie qui fait de la France une poubelle.
Je me permets d’ajouter de la lecture à celle proposée par Beate :
» le complexe occidental. Petit traité de culpabilisation ».
Par Alexandre Del Vallé, aux éd. du Toucan.
Voilà un bouquin qui appuie où ça fait mal et accompagne bien, je crois, celui de Jacques Sapir.
Il faut arrêter de dire que nos dirigeants sont des simplistes, c’est des criminels et rien d’autres, ils sont responsables de tout ce qui arrive dans toute l’Europe.
Si l’Europe avec des frontières ouvertes n’est pas une invitation aux criminels djihadistes, c’est quoi?, pour moi c’est de l’incitation à de la haine contre toute l’Europe, et ajoutez les 45 millions de pauvres en Europe, le chômage, les délocalisation et les faillites à tout va, destruction de toutes les cultures et traditions, le remplacement de population par immigration forcé avec insultes du racisme, le métissage raciste forcé, moi j’appel çà de la destruction total, un génocide européens.
Nos dirigeants sont des criminels, ils ont du sang sur les mains, des assassins.
Hier, je revenais de Paris pour regagner la région ouest par la nationale 12…. quelle tristesse……que de villages, que de fermes abandonnés….une impression de mort sociale qui vous serre le cœur tout le long de la route….Plus aucun commerce, même les boulangeries, ferment leurs portes, ne parlons pas des restaurants et routiers , qui ne seront jamais rachetés et laissent leurs propriétaires totalement démunis…. Dés que la nuit tombe, les habitants de ces bourgs qui y restent par obligation ou parce que trop âgés et attachés attachés à ce que fût leur vie ,se retrouvent dans des maisons très peu éclairées , économies obligent …… Quel sentiment de solitude et d’abandon des gouvernants successifs qui ont promis une vie meilleure à tout le peuple français , avec la création de cette EUROPE qui apporté quoi ? la pauvreté, la désertification, des campagnes et l’envahissement de notre pays par des étrangers qui pour la plupart ,ne travailleront pas ,puisque nous sommes submergés par le chômage!!!! quel bel avenir pour notre pays!!!!
J’ai l’impression de lire mon quotidien !
Quand j’ai quitté l’armée et commencé la route, même de nuit, c’était plaisant, je passais devant les maisons, j’imaginais le quotidien des gens qui y vivaient, et même si MA marchandise allait ailleurs, je me disais qu’il fallait forcément des routiers pour que chaque Français, partout, puisse avoir chez lui, un canapé, un lit… Des meubles quoi, à manger aussi.
Évidemment, je ne voyais rien de plus que des lumières allumées.
Mais ces lumières…
… C’était une preuve de présence justement, c’était rassurant, ça me faisait me sentir utile socialement.
C’était dans L’est de la France, aujourd’hui c’est plus dans le nord ou dans l’ouest, mais j’ai la même impression que vous, car, avec un 40 tonnes surtout, j’essaie de prendre les petites routes pour éviter les péages, et Dieu que j’en traverse des villages déserts, c’est démoralisant !
Je vis pourtant dans un village minuscule, je vis même à 8 km du village en fait, mais nous avons encore un marché, des bars tabac (ou les retraités fument malgré l’interdiction, si le patron leur demandait de sortir, il pourrait aussi bien fermer directement)
Il y a encore de la vie.
Les anciens tapent le carton devant leur bière, la gitane coincée entre les lèvres.
Les mômes jouent dans les rues et les places…
Un village français quoi !
Alors oui, en vous lisant, c’est vrai que ces villages fantôme c’est un crève-coeur.
Et je ne comprends pas.
On dirait que les jeunes fuient pour être plus proches des villes, des hypermarchés de leur emploi…
Nous, certes c’est 45 minutes pour aller au grand magasin le plus proche, mais tant pis, on y gagne quand même en qualité de vie… Tout le monde se connaît, et ça, ben ça n’a pas de prix !
Bonjour,
Moi je crois à la finance sans méningite :
En sortant de l’euro la France retrouverait sa Banque Centrale et donc la maitrise de la création de sa monnaie. La dette pourrait être absorbée par l’inflation.
merci pour cette belle démonstration, je confisque pour demain
La grande majorité des pays du monde n’utilisent pas l’Euro. Ils n’en sont pas à la dernière extrémité.
‘Hors de l’euro point de salut, hors de l’Europe point de possibilité’, cela me rappelle ma grand-mère qui me disait que la sorcière allait venir me chercher si je ne mangeas pas ma soupe. Mais voila, j’ai grandi sans soupe et la sorcière de l’Europe, tout le monde la connait.
excellent parallèle !
Franchement même si il y avait de la « casse », rien ne peut être pire que ce qui se passe actuellement !
merci je confisque pour demain