Le coran, c’est mein Kampf : la preuve – Par Daniel Pollett

 coran

            Au début des années trente, le maréchal Lyautey ayant lu le livre d’Adolf Hitler « Mein Kampf », déclara : « Tout Français doit lire ce livre ». Non pas, bien sûr, pour se laisser convaincre par l’idéologie délirante qu’il contenait, mais pour être averti de ce qui allait se produire, qui était explicitement écrit. Eugenio Pacelli, le futur pape Pie XII, avait déclaré quelque temps auparavant :« Ou bien je me trompe vraiment beaucoup, ou bien tout cela ne se terminera pas bien. Cet être-là est entièrement possédé de lui-même : tout ce qu’il dit et écrit porte l’empreinte de son égoïsme ; c’est un homme à enjamber des cadavres et à fouler aux pieds tout ce qui est en travers de son chemin. Je n’arrive pas à comprendre que tant de gens en Allemagne, même parmi les meilleurs, ne voient pas cela, ou du moins ne tirent aucune leçon de ce qu’il écrit et dit. Qui parmi tous ces gens, a seulement lu ce livre à faire dresser les cheveux sur la tête qu’est « Mein Kampf ? »

            Mais le livre d’Hitler ne fut tiré qu’à quelques milliers d’exemplaires en France, le plus souvent lus par des intellectuels, alors qu’il fut publié à plus d’un million d’exemplaires en Allemagne et qu’il était même offert en cadeau de mariage par l’État allemand.

L’histoire de l’édition, des traductions et rééditions de ce livre est longue, complexe, jalonnée de contradictions et de calculs.

            On peut tout de même noter en particulier à propos de la traduction en français que son éditeur Fernand Sorlot y relevait des menaces très lourdes à propos de la France et soulignait que ce livre diffusé en Allemagne « avait eu sur l’orientation soudaine de tout un peuple une influence telle qu’il fallait, pour en trouver l’analogue, remonter au coran ». Hitler ayant refusé de le laisser publier en français, il avait pensé qu’il était de l’intérêt national de passer outre, ce qu’il fit.

            André Calmettes, le traducteur, déclara au début de l’arrivée au pouvoir des nazis : « Certes, cet ouvrage qui fut livré au public allemand en 1926-1928 jette une clarté singulière sur la politique allemande de l’après-guerre. »(comprendre ici l’entre-deux guerres). « En l’ignorant, nous satisfaisant de manière bien facile de révélations au compte-gouttes, nous étions ridicules et stupides ; nous découvrions des fragments minimes d’une vérité que l’on nous jetait au visage en huit cents pages serrées. Certes aussi, les prophéties de cet ouvrage engagent l’avenir. La doctrine d’action politique, complaisamment développée, demeure actuelle. Le livre constitue le dogme du parti qui mène l’Allemagne actuelle, dogme d’une agissante majorité, dogme demain de l’Allemagne entière. Je dis bien dogme, et je pense au coran. »

            Carl Gustav Jung écrivit avant la Seconde Guerre mondiale : « La religion d’Hitler est la plus proche qui soit de l’islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l’islamisme, elle prêche la vertu de l’épée. » (1936, C.G. Jung à propos d’Hitler, Entretiens et Interview, p. 94).

            Au cours de la guerre, en 1943, le Reichführer SS Heinrich Himmler déclara : « Je n’ai rien contre l’islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille : bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. »

            On peut relever, pour cette époque, que la non-lecture de ce livre a participé à l’ignorance, volontaire ou non, des intentions d’Adolf Hitler.


Une traduction en arabe réalisée par le criminel de guerre nazi Louis Heiden, qui adopta par la suite le nom de Luis al-Haj lors de sa fuite en Égypte après la Seconde Guerre mondiale, fut publiée en 1963.

Entre 1995 et 1997, le livre, sur la couverture duquel figurent une croix gammée et une photo d’Hitler, a été réédité par les Éditions du Bisan à Beyrouth. 2 500 exemplaires ont été vendus.

Le livre a été également distribué par Al-Shourouq à Ramallah pour les « Territoires palestiniens ». Ayant été interdit par Israël, il a été autorisé en 1999 par l’Autorité palestinienne. Il a atteint la 6e place dans la liste palestinienne des livres les plus lus. En 2007, il a été présenté à la Foire internationale du livre du Caire par l’éditeur al-Kitab al-Arabi, dont le représentant a déclaré :

« Il représente une grande partie de notre succès, en particulier parmi le public des 18 à 25 ans. »

            On peut relever, pour notre époque actuelle, cette singulière attraction des idées nazies pour la jeunesse de certains pays musulmans. On peut aussi se documenter à propos du nombre d’auteurs occidentaux dont les ouvrages sont traduits dans les langues des différents pays musulmans. Il y a au moins celui d’Hitler.

            L’auteur Craig Winn a déclaré : « Mahomet et Hitler, le coran et « Mein Kampf », l’islam et le nazisme sont des couplets indiscernables excepté par l’époque et le lieu. La duperie était leur monnaie commune. Le sang des Juifs était leur but commun. Se battre y est justifié et même glorifié. Et des millions ont été sacrifiés à l’autel de notre ignorance. »

Craig Winn, auteur de Prophet of Doom (prophète de malheur).                                                     Voir le lien : http://www.coranix.free.fr/114/mein_korampf.htm  

            Lyautey n’avait peut-être pas lu l’intégralité du coran, puisque c’est lui qui posa la première pierre de la première mosquée de Paris. S’il l’avait fait, il aurait sans doute déclaré la même chose : « Tout Français doit lire ce livre. »

                                                                                              Lisons donc le coran afin d’argumenter en connaissance de cause, avec nos notes et références personnelles que nous pourrons mettre sous le nez des « lislamsépaça » et des « padamalgam ». Il est possible de le faire gratuitement sur les sites des mosquées.                         Et souvenons-nous, faisons savoir que ceux qui, dans les années trente, dénonçaient le nazisme, n’appelaient pas à la haine du peuple allemand.

            On peut aussi comparer, en plus de ces deux ouvrages de référence, le mode de fonctionnement des organisations nazies et islamiques : établissement de services sociaux en remplacement de ceux défaillants de l’État, État qu’elles participent à affaiblir ; services d’ordre devenant par la suite une véritable armée et police en plus de celles officielles et légales de l’État.                    Ainsi étaient les milices SA et SS du parti nazi, dont la SS est devenue à la fois un service d’ordre multifonctions (SS générale), une armée (Waffen SS) et une police (Sicherheit Dienst ou Service de Sécurité), la palme revenant au RSHA (Office central de sécurité) administré par la SS… une sorte de « Délégation de Service Public », ces fameuses « DSP » si chères maintenant aux antipatriotes de la politique mondialiste.                                                                                                                                   Ceci peut se comparer aux « Gardiens de la Révolution » (Pasdarans) iraniens, véritable armée et police parallèles à celles de l’État iranien, surveillant tout le monde, même les membres du parti au pouvoir, et bien sûr contrôlant les militaires, disposant des meilleurs armes. Ils ont aussi pour rôle d’empêcher tout retour à la démocratie ou changement de politique. Ce sont leurs unités navales qui contrôlent le détroit d’Ormuz.

            Observons que Youssef al-Qâradawî, président de l’Union internationale des savants musulmans, a été placé sur la liste rouge d’Interpol et est donc interdit de séjour en France, après avoir été pendant des années l’invité phare de l’Union des Organisations Islamistes de France. C’est lui qui a déclaré sur la chaîne Al Jazeera, le 30 janvier 2009 : « Tout au long de l’Histoire, Allah a imposé aux Juifs des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler… C’était un châtiment divin. Si Allah le veut, la prochaine fois, ce sera par la main des croyants. » Il est soutenu par Recep Erdogan, l’ami des Frères Musulmans, président de cette Turquie que les européistes voudraient nous imposer dans l’Union européenne. Cette déclaration illustre ce qui précède dans notre actualité.

            On peut trouver sur Internet un document rassemblant ce que les grands hommes de notre Histoire ont dit à propos de l’islam, eux qui ont eu la chance de ne pas être censurés par le « politiquement correct ».

                                                                                                                      Cela n’empêche pas « Le Canard enchaîné » de cette semaine de fanfaronner à propos d’une hypothétique conversion de l’islam à la laïcité, en ces termes de Louis-Marie Horeau dans son article en une : « Pas laïc, c’est là le hic ! » : « … L’islam d’aujourd’hui a pris un sérieux retard sur la nécessaire conversion laïque. Il faut l’expliquer inlassablement aux enfants des écoles : la République n’est l’amie d’aucune religion. La République laïque interdit toute référence au sacré dans la conduite des affaires de la cité. Et elle garantit l’exercice paisible de toutes les religions. Il a fallu un bon siècle pour faire avaler ça aux curés. Au tour des mollahs : il y a du boulot. »

laic                                                                                                                  Heureusement que les patriotes n’ont pas attendu « Le Canard enchaîné » de cette semaine pour se mettre au « boulot ». Parce que ça fait longtemps que ça dure : depuis le début de l’islam. Si nos ancêtres l’ont combattu pendant plus d’un millénaire, il devait bien y avoir une raison, celle-là même que les mondialistes renient en prétendant mélanger les civilisations. Il y a de cela des exemples dans l’Histoire. Vouloir laïciser les mollahs, c’est aussi réaliste que prétendre avoir un « islam de France », ce serait bien une première ! On peut vouloir expliquer la laïcité aux enfants, encore faut-il que le professeur puisse en parler sans être agressé, mais si les enfants entendent de leurs parents des principes et préceptes contraires, issus de l’islam en l’occurrence, on voit bien à quoi cela mène. Il n’y a pas d’ « islam d’aujourd’hui », il y a l’islam de toujours et, contrairement au christianisme qui a su évoluer avec le temps, lui n’a pas changé. Il a conservé sa vocation de califat mondial, lequel n’a rien de laïc. Demander à un musulman d’être laïc, c’est lui demander de ne plus être musulman. Voilà un domaine contre lequel « Le Canard » va s’abîmer le bec : l’islam n’est pas ce terrain facile parce que tolérant du christianisme auquel son anticléricalisme est habitué, et dont l’avant-dernière phrase de l’article illustre le manque de finesse. Le Dieu des chrétiens est fait pour les humains. Celui de l’islam, ce sont les humains qui sont faits pour lui. Toute la différence est là.

            Notons aussi que lors de la destruction des Bouddhas de Bamiyan, faite au nom de l’islam par des vandales venus du monde entier, nous n’avons pas vu de musulmans protester en nombre et fortement contre ce délire sacrilège, eux qui se sentent offensés dans leur religion par des caricatures ou par une oreille de cochon. Nous n’avons pas vu non plus les bouddhistes saccager et semer le désordre malgré ce que pouvaient représenter pour eux ces statues millénaires. Et voit-on le taoïsme, le shintoïsme, l’hindouisme, le judaïsme ou toute autre religion déstabiliser le monde autant que l’islam ? Ainsi vont les masses que certains se plaisent à qualifier de « modérées ».      Les terroristes n’ont pourtant pas surgi de nulle part.

            À vous qui adhérez à Résistance Républicaine depuis longtemps, comme à vous qui en découvrez le site où l’actualité vous a conduits, je vous invite à lire mon récent livre : « Citoyens ce roman est le vôtre » (Édilivre). Il décrit l’évolution d’un citoyen ordinaire qui chemine d’idées humanistes et sociales à la prise de conscience des tragédies d’aujourd’hui, directement causées par la mondialisation et l’obscurantisme religieux, retrouvant un patriotisme sans cesse renouvelé et justifié. J’y ai volontairement exprimé ma sensibilité et aussi ma détermination, afin de bien mettre en valeur que l’humanisme est et doit être dirigé par la raison ; pas par les émotions. Et surtout pas par des idéologies sans fondements et mortifères.                                                                                                                                 Je sais, il est cher, mais il est édité là où il a été accepté, et je n’ai pas été consulté à propos du prix. Vous pouvez le lire et aussi le faire lire car, puisqu’il s’agit d’un roman, il est accessible à ceux qui répugnent à lire des polémiques, mais qui veulent s’informer ; ils peuvent se retrouver dans des événements, des situations, des réactions… Il est vraiment le roman de tout un chacun.      Si je regrette une chose, c’est que la conclusion ait été si vite rattrapée par l’actualité.

LIVRE

    Daniel Pollett

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7 Commentaires

  1. « Il faut l’expliquer inlassablement aux enfants des écoles : la République n’est l’amie d’aucune religion ».

    La Canard Enchaîné se trompe:

  2. Bonjour,

    On nous parle toujours des bouddhas , en effet , mais je lisais ce matin le nombre incroyable de destructions faites par les Saoudiens eux-mêmes en Arabie Saoudite :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Wahhabisme

    C’est , à mon avis , l’un des caractères les plus inquiétants de cette secte mahométane : elle refuse l’Histoire , elle refuse l’inscription dans le temps.

    C’est très frappant , à la lecture du Coran , ce caractère anhistorique de l’islam …

    • Je trouve votre remarque pleine de finesse, Antiislam, et je suis moi aussi ravie de retrouver R.R. !
      Ces cyber-attaques me confirment dans l’idée que le temps que nous passons à informer sur l’islam n’est pas du temps perdu.
      Si notre travail n’était pas utile, personne ne chercherait à nous réduire au silence.

  3. Je crios que la première publication de Mein Kampf fut préfacée par Lyautey (on retrouve sa référence au début de l’article, donc c’est une vérification).
    Le livre fut adressé aux parlementaires pour qu’ils prennent conscience du danger…
    Par contre, le tribunal de commerce de Paris l’aurait interdit pour atteinte aux droits d’auteur. (On croit rêver aujourd’hui !)
    Plus tard Hitler aurait fait éditer une traduction française expurgée pour ne pas inquiéter les français…
    Pour revenir sur le juridique, j’ai lu quelque part qu’un hollandais avait été condamné en Hollande pour avoir diffamé Hitler !
    Quand on fait un retour en arrière, on a des surprises !

  4. Heureux de pouvoir lire RR de nouveau !

    Merci d’avoir réussi à rétablir l’un des seuls îlots de la liberté d’expression dans ce moment d’abrutissement général organisé , par la Gôche , pour ne pas désigner nos véritables maux …

    Merci aux informaticiens de RR !

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  1. La République est l’amie de toutes les religions, sauf de celles qui sont vues comme des sectes dangereuses – par Eva | Résistance Républicaine

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