Quel triste sire ce Martinez !
Non content d’avoir été candidat face à Louis Aliot aux Européennes de 2009, voilà le quidam qui présente une liste aux régionales, sans avoir la moindre chance d’avoir des élus… juste pour permettre à nos ennemis de l’Herpès de remporter la région Languedoc-Roussillon-Midi Pyrénées…
Et l’infâme de venger ainsi les outrages (ou qu’il considère comme tels ) faits à sa petite personne aux dépens de la France.
Minable.
J’avais déjà peu de sympathie pour ce compagnon de route de Christine Boutin avec qui il avait fait campagne en 2014.
J’avais déjà peu de sympathie pour ce personnage que j’avais entendu pérorer avec des hauts le coeur l’an dernier, alors qu’il était assis non loin de moi au salon de l’Agrif où j’avais été invitée à dédicader des livres de Riposte laïque. Sa façon de parler de l’avortement, du mariage homo… m’avait donné une envie folle de le gifler. Je me suis contentée de ne pas lui parler, de l’ignorer et de raconter aux gens qui passaient qu’il avait osé témoigner contre Marine Le Pen et pour Caroline Fourest au tribunal, par amitié pour Bernard Anthony qui ne mérite pas que l’on fasse un esclandre dans son salon.
Alors quand le zozo fait une liste (avec de grosses difficultés, on le comprend… Qui sont les égarés qui ont accepté ? Comment a-t-il pu les convaincre ? ) avec un programme en point d’interrogation, l’impulsion d’une forte politique familiale régionale naturelle, des routes solaires, des voitures autonomes, une PAM Politique Agricole Méditerranéenne (ben voyons, histoire de travailler avec nos amis de l’autre côté de la Méditerranée et halaliser à tour de bras ce qui ne l’est pas encore ? Rien d’étonnant pour ce personnage qui a longtemps travaillé au Maroc et a même été le conseiller fiscal de Hassan II ).
D’ailleurs, on notera dans wikipedia ces passages très clairs le concernant :
En 2005, Jean-Claude Martinez publie A tous les Français qui ont déjà voté une fois Le Pen, un essai où il explique que la France traditionnelle n’est plus et que s’employer à essayer de la ranimer revient à « ramener Orphée de chez les morts » ou à « renflouer l’Atlantide ». Il y exprime l’idée que le FN doit s’adapter à la mondialisation et renoncer à ses mythes fondateurs, tels que Jeanne d’Arc boutant l’ennemi hors de France. Il faut, suggère-t-il, accepter le changement de population et embrasser les nouveaux modèles culturels6.
En , il publie Mohammed VI, le roi stabilisateur. Il met en lumière les défis que la France et l’Europe « ne peuvent relever qu’avec le roi ». Il y dénonce également « l’attitude de Paris qui ne cesse de critiquer le royaume au nom des droits de l’homme, alors que le Maroc grâce au souverain, est le seul pôle de stabilité de la région »
Comme si cela ne suffisait pas le quidam trahit la France en osant carrément utiliser le mythe de l’Occitanie qui n’a jamais existé… Voir l’article de Ive Gourgaud sur le sujet.
Bref, anti-républicain, mondialiste, adepte de la société multiculturelle, défendant l’indéfendable au niveau sociétal, partisan des régionalistes qui veulent démanteler la France au profit d’une Europe des régions, il a tout pour plaire…
Certes, il ne fera pas grand-chose, comme d’habitude. Mais là où nous en sommes, le moindre pourcentage compte dans la lutte effrénée qui est faite aux patriotes.
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Jean-Claude Martinez s’est fait chasser du Languedoc-Roussillon un peu comme Carl Lang du Nord-Pas-de-Calais, l’un par l’amant de Marine Le Pen l’autre par Marine Le Pen elle même…On peut comprendre leur dent dure contre un parti qui a profité de leur travail militant et de leurs succès électoraux pour placer des favoris parachutés. Quelles que soient les positions de Martinez, c’est un brillant fiscaliste tout comme Carl Lang était promu à un avenir politique certain. La vraie question qu’il faut se poser « pourquoi le FN n’arrive qu’à garder des clones, des moutons sans tête et des militants vraiment « bas de front » qui eux, ne sont jamais inquiétés. L’absence de cerveaux ou de personnalités éclairantes empêchera au FN l’accès au pouvoir ou le confinera comme supplétif à un gouvernement d’union nationale composé d’anciens Républicains recyclés en « plus marinistes que Marine » destiné à sauver le « système » en faillite. Or à ce stade, il faudra une Révolution ou une guerre civile pour faire changer la France.
Coluche disait »un pour tous, tous pourris »
Goudron et plumes.