Que tous les Résistants d’Aveyron aillent dire non aux migrants et à Amnesty à Nauviale le 26 novembre

http://resistancerepublicaine.com/2015/etudie-en-cm1-apres-les-attentats-ouvre-moi-ta-porte-pour-avoir-un-bon-lit/

Merci pour cet article particulièrement utile!
Nous allons de révoltes en révolution de la façon la plus certaine !

Mailler le territoire, être à l’affût du moindre fait de soumission, telle est notre mission en attendant que de véritables hommes d’Etat soient au pouvoir en France. N’ayons de cesse d’être en action tous ensemble avec Christine et d’autres vrais patriotes.

Voici une information qui peut s’inscrire dans cette logique:

Le vendredi 26 novembre 2015 à 20h30 précises aura lieu à la salle Rougier de Nauviale, Aveyron, une réunion sur le thème « Migrants, comment les accueillir? » La seule mise en place de cette réunion est une honte absolue.

Cette réunion est organisée par les association locales connues et d’autres non-connues du grand public. Pour ceux et celles qui peuvent y aller porter les vraies orientations que la France doit prendre, cela se passe en Aveyron et c’est Michel Rey, d’Amnesty International (entre autres !!) qui l’organise.

Il faut savoir qu’un certain nombre d’entreprises locales sont liées au commerce de gros avec la Palestine. C’est le cas des entreprises avec lesquelle M. Rey est en contact. Je vous laisse comprendre la suite…

A tous ceux qui peuvent se libérer, bien patriotiquement!!

Claude Urbain, RR sud-Auvergne et nord-Aveyron

 

Note de Christine Tasin

N’hésitez pas à dire à la Mairie de Nauviale et à la Préfecture  d’Aveyron votre étonnement de voir de telles réunions organisées alors que deux « migrants » soi-disant « réfugiés » faisaient partie des djihadistes ayant tué 130 personnes le 13 novembre. A-t-on le droit de faire courir de tels risques aux habitants de nos villes et villages ? Cette réunion est une véritable provocation.

https://lannuaire.service-public.fr/midi-pyrenees/aveyron/mairie-12171-01

Préfecture de l’Aveyron : http://www.aveyron.gouv.fr/prefecture-de-l-aveyron-a57.html

Faites circuler cet appel au maximum sur facebook, twitter etc.

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7 Commentaires

  1. Comment peut on appeler ce genre de guerre provoqué par nos propres dirigeants contre leurs peuples, la guerre des traîtres, guerre des lâches.
    Ce qui est certain c’est que nos ennemis étaient déjà dans nos sociétés avant l’arrivé des musulmans.
    D’après bat ye’or depuis 1973, les accords étaient déjà en place, décidés et planifiés bien à l’avance, pendant ce temps là nous vivions dans l’insouciance, nous étions loin d’imaginer un tel scénario aussi saugrenu et aussi stupide de la part de nos dirigeants.

  2. Il y a une erreur pour le calendrier : c’est le vendredi OU le 26…
    Selon l’invitation il s’agirait bien du jeudi 26 « Les Jeudis en Questions ».

    • Tous les adeptes de cette épouvantable secte islamiste doivent être mis en échec, mais ne comptons pas sur les associations anti- sectes, toutes acquises à « l’islam c’est pas ca » et toutes noyautées par la Franc Maçonnerie…Laquelle donne le ton, côté immigration…Le désastre est d’une ampleur si considérable que l’on ne sait plus par quel bout le prendre…ou plutôt si, mais…par qui ?
      Artigat, un village autrefois si tranquille…Aujourd’hui si loin du message chrétien des Cathares !

      ISLAM RADICAL – La filière toulousaine, extrait du livre Pour Allah jusqu’à la mort de Paul Landau

      Lorenzo Vidino, auteur d’un livre important sur Al-Qaida en Europe, faisait observer récemment que l’islam radical, traditionnellement implanté dans les grandes métropoles et les villes moyennes, s’étendait au cours des dernières années aux zones rurales européennes [1]. Cette observation a été confirmée par le démantèlement récent en France d’une filière de recrutement de djihadistes à destination de l’Irak, implantée dans la région toulousaine et notamment dans les localités de Colomiers et Capdenac-le-Haut, près de Figeac, dans le Lot. Cette filière fonctionnait depuis plusieurs mois, selon l’enquête menée conjointement par les renseignements généraux, la police judiciaire et la sous-direction antiterroriste (SDAT). Son démantèlement a débuté en février 2007 avec l’arrestation de deux djihadistes expulsés de Syrie, interpellés à leur descente d’avion à l’aéroport d’Orly. L’un des deux est un converti, Thomas Barnouin, albigeois de 26 ans devenu Abdelhakim après sa conversion.

      La maison des époux Corel

      Artigat est un village de 1200 habitants, dans l’Ariège. Jusqu’à récemment, il était connu surtout pour avoir été le théâtre d’une histoire fameuse, qui a inspiré de nombreux romanciers et cinéastes : celle de Martin Guerre, paysan français du XVIe siècle. Mais depuis quelques mois, Artigat est devenu célèbre pour une tout autre raison. Tout a commencé au début des années 1990, quand les époux Corel ont attiré autour d’eux plusieurs familles de musulmans et de convertis à l’islam. Au début, c’était plutôt une espèce de « communauté » installée dans une vieille ferme, puis dans des maisons construites au hameau des Lanes. Mais les apparences sont trompeuses : la vie bucolique de ces familles musulmanes dans la campagne ariégeoise cachait en fait une filière de recrutement de djihadistes à destination de l’Irak…

      Les époux Corel sont tous deux des musulmans franco-syriens. Olivier Corel, la soixantaine, grand et élancé, ressemble à une sorte d’émir égaré dans la campagne, avec sa barbe blanche. Avec sa femme Nadia, née en Syrie comme lui, ils se sont installés dans la région et petit à petit, Corel est devenu un imam autoproclamé pour plusieurs jeunes maghrébins réislamisés et « Gaulois » convertis des banlieues toulousaines. La communauté vit en quasi-autarcie, vendant des poteries et des fripes sur les marchés avoisinants. Mais derrière cette façade inoffensive, plusieurs signes attestent d’une radicalisation. Des voisins se souviendront d’avoir entendu les « cris de joie des mômes le 11 septembre 2001 ». Les femmes de la communauté arborent le tchador et retirent leurs enfants de l’école du village, trop laïque à leurs yeux. Les Renseignements généraux surveillent de près les visiteurs, et multiplient les écoutes téléphoniques et surveillances. « Il y a des kilomètres de littérature sur chacun de ces gars-là », racontera un enquêteur aux journalistes après le démantèlement du réseau.

      Thomas-Abdelhakim, le djihadiste albigeois

      Toulouse, islam L’itinéraire de Thomas Barnouin est significatif de l’engouement que suscitent l’islam radical et le djihad irakien, jusque dans des petites villes de la province française que l’on croyait récemment encore à l’abri de ce phénomène. Fils d’enseignants, Thomas a d’abord été témoin de Jéhovah, avant de se convertir à l’islam en 1999. Les témoignages recueillis par le quotidien local de Toulouse, La Dépêche, le décrivent comme un « garçon calme et discret ». Après sa conversion , il fréquente la mosquée d’Albi. En 2001, il s’inscrit à l’« Institut européen des Sciences humaines » (IESH), à Saint-Léger-de-Fougeret, près de Château Chinon dans la Nièvre. Derrière ce nom anodin se cache le premier centre de formation des imams de France, créé en 1990 par l’Union des Organisations islamiques de France (UOIF), organisation proche des Frères musulmans qui entend ainsi asseoir son emprise sur l’islam dans l’Hexagone [2]. Mais ses études islamiques à l’IESH ne durent pas longtemps : inscrit pour l’année 2001-2002, il est convoqué en conseil de discipline quelques jours après la rentrée. Le responsable de la scolarité explique à un journaliste que Thomas Barnouin « n’a pas fini sa scolarité et n’a pas passé d’examens ». L’institut refuse toutefois de donner les raisons des sanctions prononcées contre son ancien élève.

      Thomas Barnouin décide de poursuivre ses études coraniques à l’étranger. Il se rend en Arabie saoudite, d’abord à La Mecque, puis à Médine où il suit des cours à l’université islamique de la ville sainte. C’est là qu’il rencontre des gens qui « lui ouvrent les yeux sur ce qui se passe en Irak », expliquera-t-il aux policiers français après son arrestation. Fin 2006, Thomas-Abdelhakim entre en contact avec un certain Abou Hassi, « facilitateur » saoudien qui organise le passage vers l’Irak de djihadistes saoudiens, en passant par la Jordanie. Dans le royaume hachémite, il est acheminé par un autre passeur jusqu’à la zone des « Trois Frontières » (Jordanie, Syrie, Irak), et pénètre en Syrie. Mais il a été repéré par les services de sécurité saoudiens, qui ont enregistré ses conversations avec deux autres membres du réseau toulousain, auxquels il a donné rendez-vous en Syrie. Parvenu en Syrie, il rejoint un groupe de djihadistes avec lesquels il s’entraîne au maniement des armes, en attendant de gagner l’Irak. Mais Thomas n’atteindra jamais le pays du djihad : le 12 décembre 2006, son groupe est repéré par les services de sécurité syriens, qui ont été alertés par leurs homologues saoudiens. Ceux-ci donnent l’assaut à la maison où se trouvent Barnouin et ses camarades. Capturé, celui-ci est remis aux services français à Damas et placé dans un vol Air France à destination de Paris.

      Lors de son interrogatoire par les polices de la SDAT (unité antiterroriste), Barnouin reconnaîtra avoir tenté de passer en Irak, « les armes à la main ». L’enquête menée conjointement en France et en Belgique établira des liens entre la filière toulousaine et la filière belge dont faisait partie la kamikaze Muriel Degauque. Après l’arrestation de Thomas Barnouin et de Sabri Essid à leur descente de l’avion en provenance de Damas, la police interpelle onze autres suspects dans la région toulousaine. A leurs domiciles, elle saisit des dossiers de « candidature » au djihad comprenant des lettres de motivation, des lettres de recommandation émanant de responsables religieux musulmans qui attestent de leur sincérité de « croyants », et même des « testaments » de djihadistes en vue de leur « martyre ». Plusieurs des suspects interpellés ont séjourné en Egypte, dans l’école coranique Aziz El-Bila, et en Syrie, officiellement pour y apprendre l’arabe littéraire et le Coran. Dans les mois qui suivent, l’enquête menée conjointement par les policiers français et leurs homologues belges aboutit à de nouvelles interpellations.

      C’est après l’arrestation de Thomas Barnouin – Abdelkrim que la police décide de passer à l’action contre la communauté des Lanes. Au domicile des époux Corel, on ne retrouvera ni armes, ni manuels de formation au djihad. Seulement des livres religieux musulmans. Mais pour les policiers, le rôle d’Olivier Corel a clairement été déterminant : « malgré son discours fondamentaliste, c’est d’abord un intellectuel, un prédicateur et non un cadre militaire du terrorisme », expliquent les policiers qui ont mené l’enquête. « Il n’en est que plus redoutable, d’autant qu’il a un ascendant certain sur ses ouailles âgées de 25 à 30 ans, dont le parcours est quelquefois chaotique et qui n’en sont que plus vulnérables ». Depuis le mois de février 2007, Olivier Corel est placé sous contrôle judiciaire et mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ». Les policiers lui attribuent la direction de la filière de recrutement de djihadistes démantelée dans les environs de Toulouse.

      [1] Lorenzo Vidino, « Current Trends in Jihadi Networks in Europe », Terrorism Monitor, Volume 5, Issue 20, octobre 2007.

      [2] Sur l’UOIF et son mentor, le cheikh Qaradawi, je renvoie à mon livre Le Sabre et le Coran, op. cit., p. 198 s. Le rôle du cheikh Qaradawi est abordé plus en détail dans le chapitre 10, « Les convertis au cœur de la stratégie islamiste ».

      TOUR DU MONDE DES CONVERTIS A L’ISLAM RADICAL
      Muriel Degauque, la première femme kamikaze européenne
      Lionel Dumont et le gang de Roubaix
      Adam Gadahn l’américain d’Al Qaida
      John Walker Lindh, le taliban américain
      David Hicks, le Taliban australien

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