01 septembre 2014
Valls nous fait courir de grands dangers. Relancer la natalité, solution viable ?
L’étau se resserre davantage chaque jour sur nous. Nous, qui, quelles que soient nos origines, quelles que soient nos croyances, quels que soient nos choix politiques, éthiques ou philosophiques avons un élément en commun : nous aimons la France, pour son art de vivre, pour l’esprit gaulois et/ou voltairien qui anime ses habitants, pour la beauté de ses femmes et la séduction de ses hommes, pour les rires, la convivialité, le bon vin ou la gastronomie sans interdits qui nous rassemble et nous permet de nous sentir vivants devant un tableau de Delacroix, un poème de Ronsard, une valse de Chopin, une choucroute, un cassoulet ou un foie gras à se damner.
Et nous nous rebellons à l’idée que nous pourrions ne pas transmettre à nos enfants et à nos petits-enfants la possibilité de vivre des moments savoureux et la capacité d’être grand, d’être amoureux, d’être ému aux larmes, d’être homme, tout simplement.
C’est parce que ce qui se trame au plus haut niveau de l’Etat est révoltant que nous écrivons, informons, et nous nous rebellons, quels que soient les risques.
C’est parce que nos dirigeants, non contents de nous pourrir l’existence au quotidien veulent nous interdire de dire la réalité de l’islam que nous persistons et encourageons chacun à dire à son tour sa vision du système de référence pour les djihadistes de Gaza et de l’EI, qui sont les mêmes , quoi qu’en disent et en pensent les bobos.
Autant dire l’importance du sujet soulevé aujourd’hui par notre ami Philippe le routier : la démographie. Comment nous sauver si nous ne faisons plus d’enfants mais aussi, comment avoir suffisamment foi en l’avenir pour faire des enfants quand on survit à peine chaque jour ?
Nous ne tomberons pas, naturellement, dans la vieille querelle que font les anti-avortements à tous ceux qui ont travaillé à libérer les femmes grâce à la contraception et à l’avortement. Se contenter de remettre en question l’avortement ne repeuplerait pas la France, les faiseuses d’ange et autres tricoteuses reprendraient tout simplement leurs sinistres ouvrages. Non, comme le rappelle, avec de superbes exemples Philippe, faire des enfants suppose et que l’on soit capable de s’oublier, d’oublier l’écran plat à la mode ou les vacances en Tunisie (beurk, un pays où l’on voile les femmes… faut être gonflé d’aller mettre les pieds et des euros là-bas…) mais aussi que l’on ne considère pas que c’est à la collectivité de s’occuper de l’enfant, de le nourrir, de l’habiller, de lui apprendre respect et bonnes manières, de le surveiller quand il est laissé dehors tard le soir… Alors oui des mesures draconiennes contre ceux qui font des enfants et ne s’en occupent pas sont nécessaires, et, au risque de faire hurler, j’avoue que des systèmes anti-conceptionnels greffés sous la peau des irresponsables pour ne pas parler de ligature des trompes ou de stérilisation forcée cela ne me semblerait pas forcément criminel. Ce qui est criminel c’est de permettre à des fous, à des violents, à des irresponsables… de faire enfant sur enfant. Enfant qui, blessé, mal aimé, maltraité dès l’enfance sera dans l’immense majorité des cas un être malheureux toute sa vie.
Et puis, qu’attend-on pour limiter les allocations familiales et mettre ainsi un frein à une surnatalité destinée à faire vivre la famille grâce aux allocations familiales ? Il suffirait de dire qu’au-delà de 3 enfants, on n’a pas plus d’argent, qu’on ait 3, 5 ou 7 enfants… Cela calmerait peut-être certaines familles polygames dont on parle dans les chaumières et une partie de l’immigration, clandestine ou pas.
Par ailleurs, augmenter les allocations familiales, le nombre de places de crèche, les avantages fiscaux pour la famille (rétablir ce que Hollande a supprimé, dans un premier temps…) afin de permettre à tous d’avoir 2 ou 3 enfants et d’avoir les moyens et de les élever, de travailler… Cela permettrait de relancer la natalité sans avoir besoin de compter sur les immigrés. Mais naturellement ce n’est pas le gouvernement Valls 2 qui pourrait faire cela, lui qui ne songe qu’à nous remplacer jusqu’à faire disparaître le seul souvenir de notre existence en Frankistan.
Christine Tasin
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On pourrait particulièrement limiter L’allocation Rentrée Scolaire (ARS) car franchement, et avec trois filles en âge d’aller à l’école… Ben, NOUS, navré, mais on ne renouvelle PAS tout le matériel exigé par la « dé-s’instruction nationale »
je confisque la suite… pour publication demain !