C’est jour de liesse, légère, mais il ne faut pas bouder son plaisir, aujourd’hui. Hidalgo, Pellerin et Julliard ont reçu une tarte à la crème symbolique à la figure.
En dégonflant l’immonde baudruche, véritable étron jeté à la tête des Parisiens, qu’ils avaient imposée et défendue d’une seule voix, les courageux qui nous en ont débarrassés ont fait oeuvre salvatrice et ont fait entendre la voix du peuple de France qui en a plus qu’assez qu’on le prenne pour un con et qu’on l’entube publiquement en sus.
On rappellera pour la compréhension de l’histoire les événements qui nous ont menés à cette douce rigolade euphorique à travers deux excellents articles de Caroline Alamachère et de Paul Le Poulpe :
http://ripostelaique.com/horreur-ils-ont-ose-degonfler-le-plug-anal-geant-de-bruno-julliard.html
On comprendra après cela la jubilation de voir ce qu’est devenue la représentation d’un objet sexuel qui n’aurait jamais dû quitter le secret des alcôves :
Nous en serions volontiers restés là, mais voilà qu’on apprend que Boubakeur, découvrant sur Internet l’oeuvre cochonne de Mac Carthy et voyant un parallèle entre la position du prieur et celle du cochon imaginé par l’artiste aurait demandé à celui-ci de l’installer devant la Grande Mosquée de Paris, afin de montrer aux Gaulois que leur symbole reconnaîtrait lui aussi la grandeur d’Allah…
Après cela, naturellement, il ne saurait plus y avoir de plaintes d’association musulmanes pour des saucisses, têtes et porc et autres tranches de jambon devant les édifices religieux mahométans. C’est la réconciliation du cochon et de l’islam, grâce à Mac Carthy.
Il faut bien que ce pauvre type ait une utilité, parce que, après la journée du prout, après des accessoires sexuels occupant une des plus belles places de Paris, les Parisiens et les Français disent non, tout simplement. Ce n’est pas parce qu’on les gave de sottises et de pubs télévisées à longueur d’année qu’ils sont devenus capables d’admirer béatement l’ouvre d’un pervers, d’un obsédé resté au stade pipi-caca et qu’ils ont envie que leurs enfants en restent au même niveau.
Un enfant ça a besoin de grandir, de maîtriser ses sphincters, d’apprendre peu à peu la sexualité (et la découverte progressive d’un univers qui doit demeurer mystérieux en partie est fondamentale pour ne pas faire des tarés, dégénérés, drogués, blasés, à la recherche de toujours plus d’excitation et de transgression). La vie, comme l’art, ça peut être simple et beau à la fois. Il suffit de contempler La Joconde pour sentir qu’un être humain c’est complexe, qu’il y a au-delà des fluides corporels, des fèces et des perversités un coeur, un esprit, une beauté, et que tout cela mérite que l’on vive et qu’on le défende. Il en est de même de l’Origine du monde de Courbet, qui donne à voir l’invisible mais sans mouvement, sans violence, sans interprétation, sa peinture accroît paradoxalement encore le mystère de nos origines et celui de l’amour.
Rien de tout cela chez Mac Carthy, hélas. D’ailleurs, je retourne m’occuper de mon jardin, enivrée par l’odeur des lavandes à tailler… Histoire de retrouver la vraie vie.
Christine Tasin
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Nous avions compris, Christine, que c’était du poil à gratter pour Boubakeur. Puisque de toute manière, à la TV, certains prétextaient que cette construction représentait un sapin de Noël…double poil à gratter pour Boubou!
Bien vu, Claude !
Hou ben dis-donc, va plus savoir quoi gratter le boubou avec tout le poil balancé
Quand à l’autre tordu de soit-disant artiste, lui ferai bien bouffer son truc moi, et à sec. Y’a suffisamment de crevures Francophobes et provoc comme ça, pas besoin que ce ricain n’ajoute au tas déjà bien puant hein !
je me disais aussi … c’est le retour du vin nouveau bises.
Bises à toi 😉
La photo ci dessus est suggestive, sans vouloir être méchante, elle en dit long sur l’état des mœurs aujourd’hui, elle fait le bonheur des uns mais le malheur des autres, concernant la mosquée de Paris et la demande de Boubaker, c’est tout a fait logique puisque non seulement l’islam et le coran justifient et légalisent la pédophilie, mais en plus cette photo du cochon traduit leurs insanités telles qu’ils la pratique entre eux, a savoir avoir le cul en l’air pou rendre hommage a allah et ensuite en arabe al nikka signifie la baise, alors là on y est, en plein dedans.
je signale tout de même au cas où que naturellemeent boubakeur n’a rien demandé il s’agit d’une gentille provocation de ma part…
très naive je ne savais pas ce qu’était un plug anal mais renseignée par internet j’ai cru m’étouffer d’indignation! faut-il tomber bien bas pour afficher une telle chose place Vendome!nos aîeux se retournent tous dans leur tombes;quel exemple pour nos enfants! je suis indignée et merci à ceux qui ont dégonflé cette abomination
Bravo à ceux qui ont dégonflé ce plug, il est grand temps que les français se prennent en main ! Ce n’est pas à ces salopards de bobos soixante huitards de nous dire ce qui est culture et ce qui ne l’est pas !!!!!!!!!!!
et c’est avec des crétins pareil que la France doit retrouver ça grandeur d’antan ? pervers sexuelle et tarés !!!
il faut rouvrir la Guyane Française et balancer tout ce beau monde à casser des cailloux pour nos routes .. Roland L’Alsacien.
Voici le petit touit que j’ai envoyé au sieur Julliard après qu’il a traité d’imbéciles ceux qui s’attaquent à « l’oeuvre »:
Danielle Moulins ?@DMoulins
@BrunoJulliard une imbécile souhaite le dégonflage rapide de votre ego de Diafoirus suffisant, prétentieux, méprisant et nuisible!
Excellentissime chère Danielle ! Je lui ai quant à moi envoyé un tweet me gaussant qu’il se prenne pour Paris !
Boubakeur a vu juste, il a eu le nez fin; cet objet convient bien à sa religion de pets.
Excellent ! Dommage aussi que MM hidalgo, Julliard et autres Fleur n’aient pas eu le twit aussi prompt et leste lorsque les femen sont « entrées » à Notre Dame. Mais bon ça n’était que de l’art français moyenâgeux et vieillot.
Excellent rapprochement en effet !
Voilà ce qu’une certaine Gauche, devenue au fil du temps post soixante huitard…La Gôche est capable de pondre : des étrons qui se veulent « culturels » et qui chantonne sur les toits de Paris : « parle à mon cul, ma tête est malade… » Ce n’est pas Bruno Julliard qui me contredira…