Marchés de Noël de Berlin-Spandau, Essen etc … sous occupation nazislamiste !

L’athée que je suis a eu du mal à démarrer cet article. A mon âge, et misanthrope comme je suis, je croyais ne plus avoir de larmes. Pourtant, j’ai succombé à une soudaine sensiblerie, ou à une vraie sensibilité, je l’ignore, en observant ce qui se passe dans le pays de mon enfance. C’est effrayant, tragique… pourtant rien ne semble arrêter la destruction de ce pays, dont on s’étonnait déjà avant la guerre, que les nazis aient pu prendre le pouvoir dans ce pays peuplé « de gens si cultivés ». Ce sont bien les aristocrates et grands bourgeois industriels qui ont soutenu Hitler. Pas tous, bien sûr, mais une partie non négligeable.

Noël était attendu par l’enfant que j’étais avec une impatience trépignante. Le calendrier de l’Avent dont la coutume est d’origine allemand, était accroché au-dessus de mon lit et chaque jour, lorsque j’en ouvrais une fenêtre, cela signifiait que je me rapprochais de la veillée de Noël tant attendue. Je regardais avec ferveur chaque illustration dont j’ouvrais la fenêtre et qui évoquait Noël.  La maison était décorée de manière magique. Je me souviens que l’on appliquait à la porte d’entrée en grand « Adventskranz » -couronne de l’Avent. Sur le sapin, l’on appliquait encore de vraies bougies qui faisaient scintiller les fines lamelles argentées qui dégoulinaient de l’arbre. Comme sur cette très ancienne illustration que je trouve sur Google.

On éteignait toutes les lumières pour laisser place à la seule illumination des bougies de l’arbre que je regardais avec une admiration à en attraper le syndrome de Stendal. Je repense avec tendresse à ces moments familiaux chaleureux, bienveillants, où la musique tenait le rôle principal. Les grandes musiques sacrées de Noël retentissaient dans la maison de la Niederichstrasse à Cologne, dont une partie était encore en travaux de restauration la partie en ruines causées par les bombardements intenses des alliés. Nous étions à une courte rue du bord du majestueux Rhin et de sa large promenade. Voilà pour mes souvenirs d’enfance, à cette occasion je vous fais profiter des chants qui émerveillaient l’enfant que j’étais, par leur pureté.

Le Kyrie de l’Avent interprété par ce chœur autrichien du Tyrol, Windsbacher Knabenchor,

Personne ne pouvait imaginer que l’islam viendrait un jour souiller avec arrogance et violences nos fêtes sacrées pour les croyants et tant chéries par les autres qui suivaient la tradition. Il y a bien longtemps que je ne les fête plus.  J’en remets une louche en pleurant, sur l’un des chœurs les plus célèbres au monde avec les Wiener Sängerknaben (petits chanteurs de Vienne), c’est le chœur des Thomaner de Leipzig, qui ici vous interprètent en majesté l’Oratorio de Noël de Johann Sebastian Bach. Voilà ce qui a baigné mon enfance. Thomaner est le nom du chœur d’après l’église Saint Thomas de Leipzig.

Cela c’était avant.

Et voilà Noël en Allemagne en 2024 sous invasion nazislamique. Le marché de Noël de Berlin-Spandau où défilent bruyamment les Syriens et autres islamistes venus dont ne sait ou, qui fêtent la chute de Bachar, qu’ils ont fui, aux cris conquérant de Allah u Akbar, drapés dans leur drapeau. Pour mémoire, c’est à la prison de Berlin-Spandau que Rudolph Hess termina sa vie et que l’architecte préféré d’Hitler a passé 20 ans, Albert Speer.

https://www.tiktok.com/@aiartzoom7/video/7446866313688943894?q=Syrer%20ziehen%20massiv%20durch%20Berlin%20Spandau%20Weihnachtsmarkt&t=1734509582046

Ici, dans les rues de Essen, dans le Land Nord-Rhein Westphalen, (Rhénanie du Nord Westphalie) le Land où se trouve aussi Cologne. Ce Land est particulièrement islamisé.

Pour voir la video en grand, cliquez sur  le. lien ci-dessous

https://www.tiktok.com/@residentevil2.0/video/7446831829140688150?q=Weihnachtsmarkt%20Essen%20Syrer&t=1734522765239

On se souviendra des « taharush gamea» -agressions sexuelles massives- de la nuit de la Saint Sylvestre, 2015, à la gare de Cologne, aux pieds de l’imposante cathédrale où je fus baptisée par le Cardinal Frings, dont le chef de cabinet de l’époque était Joseph Ratzinger, futur Pape Benoit XVI, où des musulmans s’attaquaient massivement aux femmes, les molestant, les violant sans que cela n’émeuve les autorités qui trouvaient des excuses à ces nouveaux arrivants qui « ne maîtrisent pas nos codes ». Le maire de Cologne osa même le fameux : « Que les femmes se tiennent à une longueur de bras des hommes pour se protéger. »

Eh bien, ils sont toujours là et ne maîtrisent visiblement toujours pas nos codes. Les Verts toujours à l’avant-garde de la destruction de l’Allemagne s’opposent à leur retour en Syrie. Ils veulent les garder bien au chaud grâce aux prestations sociales, alors qu’ils devraient rentrer pour contribuer à reconstruction de leur pays et que l’Allemagne n’a plus d’argent pour les entretenir. Il n’y a plus de travail, puisque les industries ferment ou délocalisent pour cause d’énergie trop chère, par suite des « bonnes décisions » de ces mêmes Verts et le reste du ramassis socialo-communiste (Die Linke sont des communistes) au pouvoir, d’avoir infligé des sanctions contre la Russie.

Et là où la situation devient hors sol, c’est que la police qui déambule dans les marchés, demande à de bons citoyens allemands de bien vouloir ouvrir leurs sacs et leurs manteaux pour vérifier, si ces bonnes gens n’ont pas de couteaux sur eux, quand les islamistes qui les effraient marchent comme ils l’entendent. C’est révoltant.

Surtout que le nouveau maître de Damas est bien celui qu’ils soutiennent. Il n’y a donc plus de raison pour eux de rester. Sauf si Damas le leur demande, dans la perspective d’élargir la 5^ème colonne islamique qui consisterait à islamiser l’Allemagne et l’Europe. Leur comportement dans les marchés de Noël démontre bien qu’ils sont là pour rester et propager le nazislamisme au pays des nazis déguisés en vert aujourd’hui. Ça tombe bien, c’est la couleur de l’islam.  Ne jamais oublier qu’Hitler était un grand admirateur de l’islam et que le Grand Mufti de Jérusalem était son allié pour détruire les juifs. Les parasites allemands au pouvoir aujourd’hui ont l’air d’oublier, de nier, ou les deux, leur histoire, c’est la seule explication que je peux donner à leur hostilité de voir repartir ces masses islamisées au comportement conquérant.

Conclusion, Alice Weidel, la patronne de la AfD est au coude à coude avec le va-t-en-guerre de la CDU, Friedrich Merz, dont le parti a bien contribué avec Merkel à sa tête, cette invasion nazislamique. Je reviendrai dans le prochain article sur les élections anticipées qui se tiennent actuellement en Allemagne.

Sylvia Bourdon, 18 décembre 2024

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