Le couple Occidental-musulman est un couple voué au divorce…

 Multiculturalisme ou acculturation ?

De nos jours, un bon nombre de politiques, surtout de gauche, ne laissent pratiquement passer un jour sans vanter le multiculturalisme. Ce dernier nous est présenté comme l’alpha et l’oméga d’une société moderne, nous est servi comme la richesse inestimable d’un pays même lorsqu’il est en lien avec l’islam, une idéologie guerrière, liberticide et misogyne à souhait. Et pourtant, il n’a pas vraiment fait ses preuves sur le terrain, bien au contraire.  Les évènements tragiques de ces dernières années mettent en lumière une situation explosive, à la limite de la rupture. Les attentats terroristes revendiqués par des musulmans, les émeutes urbaines dans les cités fortement islamisées, les agressions sexuelles en constante augmentation, les voies de fait dans la vie ordinaire qui se multiplient et que rien ne freine, et je fais volontairement l’impasse sur tous les petits riens qui mis côte à côte finissent par pourrir l’existence.

http://resistancerepublicaine.com/2018/07/29/les-francais-subissent-un-autre-terrorisme-musulman-celui-du-quotidien/

Toutes ces problématiques montrent assez d’elles-mêmes qu’il y a quelque chose qui ne va pas en France et plus largement en Europe, à moins d’être d’une incroyable malhonnêteté ou stupidité, c’est selon le protagoniste. Pour les politiques, je pencherais plutôt pour la malhonnêteté intellectuelle puissance mille et pour la population je pense que beaucoup sont telle la belle au bois dormant plongés dans un profond sommeil.

Au départ, le mélange des populations pouvait être effectivement un plus car chacun cherchait à s’intégrer, s’assimiler à la société d’accueil. Passées les premières difficultés, les individus finissaient par adhérer aux valeurs de la République Française. Cela ne veut pas dire que les gens avaient oublié d’où ils venaient ou qu’ils reniaient leurs origines. Au contraire, ils gardaient dans une partie de leur cœur de l’amour pour le pays de leurs ancêtres mais comme ils avaient choisi de vivre ailleurs, ils en avaient pris la mesure dans leur vie. Encore de nos jours, on peut vérifier cela. C’est ce que je constate quand  je rencontre des personnes d’origine italienne, espagnole, portugaise par exemple qui lorsqu’elles se présentent me parlent de leurs origines  mais c’est fait d’une manière tellement sereine, détachée que l’on ne peut rien leur reprocher. Rien de semblable avec tout ce qui vient d’un pays dit musulman. Tout de suite, vous sentez la défiance dans la voix de ces personnes, dans leurs propos, un refus de se mélanger, d’adhérer aux valeurs de la France. Cela peut même aller jusqu’à une haine à peine déguisée. C’est ainsi que certaines de ces personnes n’hésitent pas, dès qu’elles se retrouvent entre elles, à vomir leur mépris des kouffars, leur haine de la France mécréante, cela à la moindre occasion. Rien de bien, je dirais à nos chers politicards, de fameux ou d’appréciable dans tout ça, n’est ce pas ? A moins que l’on n’ait pas la même définition du mot richesse. Il y a bien sûr des exceptions à cet état de fait mais je demande aux concernés de se rendre plus visibles pour que l’on puisse se permettre d’atténuer un peu notre propos.

Comme je l’ai déjà dit, il y a un fossé incommensurable entre la France, quoi qu’on en dise d’ascendance judéo-chrétienne, et la planète islam, j’utilise volontairement ce terme. Avec l’islam, vous êtes dans une autre planète, une autre dimension mentale qu’il est difficile de comprendre, d’appréhender si vous n’avez pas été dès votre plus jeune âge dedans. C’est pourquoi j’ai souvent beaucoup de mal à faire passer des messages auprès de nombreux non musulmans. Ces derniers n’arrivent pas à concevoir qu’une telle mentalité puisse exister. Ils pensent que j’exagère, que je suis peut être un peu voire même beaucoup dérangée. La chose qu’ils n’arrivent vraiment pas à imaginer, c’est le meurtre admis, encouragé par l’islam de tout ce qui n’est pas musulman. Ils se disent qu’une religion, comparaison avec le christianisme pour une bonne part d’entre eux, ne peut pas promouvoir de telles aberrations, de telles atrocités. Et pourtant mes petits gars si vous saviez…

Pour ma part, je compare le monde judéo chrétien et le monde islamique à un couple qui n’arriverait pas à trouver un terrain d’entente parce que trop différent et même antagonique. Ces couples qui se composent de personnes avec des valeurs opposées, des valeurs incompatibles font illusion un temps mais finissent toujours par se déchirer et par arriver à la séparation ultime. C’est ce que l’on appelle communément les divorces pour incompatibilité d’humeur. Il y a aussi l’huile et l’eau qui quoi que l’on fasse ne se mélangent jamais, l’un dominant toujours l’autre.

Voilà pourquoi l’immigration européenne judéo-chrétienne a marché quand celle qui provient de pays musulmans ne marchera jamais à moins d’un rejet franc et massif de l’islam de la part de ses adeptes. Les valeurs de la France sont trop diamétralement opposées à celles de ces populations qui arrivent sur le territoire avec un esprit enfermé au 7èmesiècle. Comment voulez vous que ces lobotomisés du cerveau arrivent à adhérer un minima aux valeurs françaises ? C’est impossible avec un cerveau islamique, IMPOSSIBLE !!!

Je suis donc en totale contradiction avec tous ces sociologues, psychologues du dimanche qui visent à culpabiliser ceux qui veulent s’intégrer, s’assimiler à leur société d’accueil. L’acculturation, quelle horreur, provoquerait selon eux des dégâts psychologiques, sociaux chez les populations migrantes. Ils ont élaboré des concepts fumeux visant à discréditer l’acculturation, visant à la faire passer pour  une mauvaise chose qui aurait provoquée tout le mal être actuel, tous les problèmes rencontrés avec l’immigration musulmane.

En sociologie, l’acculturation, ou transport d’idées, désigne les phénomènes qui résultent du contact continu et direct des groupes d’individus ayant différentes cultures, ainsi que les changements dans les cultures originales des deux groupes ou de l’un d’entre eux. Les processus en jeu dans ces rencontres sont principalement : le décalage culturel, la résistance et l’intégration. Ce concept fait l’objet de recherches en anthropologie, en histoire, en sociologie, et en psychologie.

Sa définition classique est celle proposée par Redfield, Melville Herskovitset Linton, adoptée lors du mémorandum du Social Science Research Councilde 1936, comme : l’ensemble des phénomènes qui résultent d’un contact continu et direct entre des groupes d’individus de cultures différentes et qui entraînent des changements dans les modèles culturels originaux de l’un ou des autres groupes.

À partir de la fin du XIXe siècle, des mouvements de population importants ont entraîné des mutations de nos sociétés tant au niveau économique et social que politique. Les chercheurs en sciences humaines et sociales s’intéressent aux problématiques portant sur les contacts interculturels et plus particulièrement à leurs effets sur les groupes et les individus2, en privilégiant les difficultés d’adaptation et d’intégration des migrants.

Dans les années 1980, plusieurs chercheurs français (Mbodj, Vasquez ou encore Clanet) soulignent les limites de ce concept. Dans le champ de la psychologie en particulier, Clanet insiste sur la nécessité de repenser la question de la rencontre interculturelle, plus particulièrement celle du changement psychoculturel en tenant compte de son caractère complexe, ambivalent et paradoxal. Ainsi, il est à l’origine, avec d’autres chercheurs en psychologie interculturelle, d’un nouveau concept, celui d’« interculturation ».

D’accord, mais je dirai à ces pseudo-scientifiques, est-ce que l’on a mis des couteaux sous la gorge aux personnes migrantes pour partir ailleurs, pour aller dans un autre pays; non que je sache. On ne peut pas avoir dans la vie, le beurre et l’argent du beurre. Parfois, il est nécessaire de passer par des moments difficiles pour accéder ensuite à une situation meilleure. C’est ça la vie. On ne peut pas faire croire aux gens le contraire.

En définitive, je l’affirme, sans avoir peur de me tromper, le multiculturalisme prôné de nos jours avec les adeptes de Mahomet est bien un puits sans fond. Il n’apporte rien ou devrais je plutôt dire il apporte beaucoup de sang, de problèmes à tous les niveaux de la société. Mais pourquoi se casser autant la tête pour des gens qui ne le méritent pas, qui ne rêvent que d’une chose, c’est de vous voir crever dans d’atroces souffrances ? Cela me dépasse, je pense parfois à m’exiler sur une île déserte ou une autre planète car je sature de tout ce bazar continuel. Quand j’ai rejeté cette fumisterie d’islam, j’ai cru naïvement que j’allais enfin être tranquille, eh ben non ! Vivre, travailler, éduquer mes enfants, voyager…

PS : Pour les jeunes femmes qui seraient tentées par le multiculturalisme avec un musulman, je leur mets un lien vers un texte d’information. Elles ne diront pas par la suite qu’elles n’étaient pas au courant.

https://kabyles.net/ce-que-signifie-etre-la-femme-dun-musulman/

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45 Comments

  1. ah ! j’oubliais , super l’illustration,

    j’ai vu une vidéo des femmes palestiniennes dans les années 50, petites robes courtes, sans manche, cheveux au vent,
    rien à voir avec les bâchées d’aujourd’hui, les ravages de l’islam sur les populations musulmanes

  2. Quel calvaire pour les femmes françaises ayant épousé un musulman , quand ce dernier part avec les enfants et ne donne plus signe de vie

  3. C’est quand même réconfortant de vous lire, Samia. Continuez à nous en dire plus !

  4. Merci Samia de parler français en usant du terme « acculturation » dans son sens véritable (la préfixe étant ad- qui signifie « vers, en direction de », donc acculturation = approche de la culture d’un autre) ; alors que de nombreux rédacteurs , parfois zintellos reconnus, usent de ce terme pour dire « perte de la culture d’origine », croyant que la a- est privatif (comme dans a-normal).
    Pour le reste , j’ai 2 exemples dans ma famille proche de couples femme occidentale avec homme de culture musulmane… et ce sont 2 catastrophes pour la femme, les enfants et tous les parents qui ont quelque affection pour eux.
    On pourrait lancer un appel à témoigner sur ce thème, ce serait édifiant !

    • J’ai moi aussi pas mal d’exemple autour de moi et comme vous dites c’est édifiant, là où passe l’islam plus rien d’autre n’a le droit d’exister.
      Ma propre mère, tout au long de ma vie, ne m’a jamais accordé son attention et m’a toujours dénigré, simplement parce que j’ai rejeté la pourriture qui lui sert de religion. J’étais un enfant on ne peut plus sage, respectueux, serviable mais malgré cela jamais grâce à ses yeux. Pendant longtemps, j’ai cherché à comprendre pourquoi une telle défiance à mon égard. C’est en faisant de l’hypnose que tout cela est devenu clair.
      Si on veut son bonheur, il faut prendre la fuite dès que l’islam s’approche.

      • Votre mère, ma pauvre Samia (compassion), était simplement une » bonne musulmane », autrement dit une femme complètement endoctrinée.

        L’islam prescrit en effet d’aimer l’islam, Allah et Mahomet plus que tout, et de fuir les contacts avec les mauvais musulmans, les kouffars, fussent-ils ses parents, ses enfants, son mari ou sa femme, etc.

        Il suffit d’aller se promener sur les forums de discussion des mosquées de Paris, Marseile ou Lyon (paraît-il des références en France… ) pour le lire.

        De toute façon, si l’on étudie bien l’islam, le coran etc, il n’est dit nulle part qu’il faut aimer ses parents ou ses enfants. Au contraire, les seules prescriptions sur ce sujet concernent les cas où ceux-ci rejettent l’islam et il est prescrit de rompre tout lien avec eux. .

        D’ailleurs à aucun moment, l’islam, cette « religion d’amour », ne dit qu’il faut aimer les autres, aimer les hommes. L’amour pour Allah, jusqu’au djihad, c’est bien le seul dont il est question.

        Il me souvient d’un article su RR ou RL de Salem Ben Ammar, je crois, où il expliquait que le mot « amour » n’apparaît à peu prés jamais dans le coran ou les hadiths. Seule recension: l’amour d’Allah pour ses adorateurs en particulier ceux qui tuent pour lui.

        Sachez qu’ici, Samia, on vous aime!

        • Vous allez me faire pleurer…En tout cas merci pour votre amitié, elle me va droit au cœur.
          Pour ma mëre, ne vous inquiétez pas, j’ai fini par la zapper. Pendant longtemps, ça me faisait très mal mais maintenant je suis maman et ça change tout. Mon fils et ma fille sont mon horizon et avec eux je suis une maman gâteau. Ils m’ont réconcilié avec l’espoir, la joie de vivre.

    • Non, acculturation en sociologie veut dire « acquisition par un individu des éléments constitutifs d’une culture ».

      L’étymologie ne donne pas forcément le sens d’usage des mots, surtout en science, encore moins quand elle est erronée.

      Ici, le préfixe « ac- » (variante de ad-) exprime l’ajout, l’addition, comme dans acquérir (prendre pour ajouter)… ou additioner!
      https://fr.wiktionary.org/wiki/ad-#la

      Cela signifie donc bien acquérir une culture

      Effectivement, il ne s’agit pas d’un « a- » privatif, il y a pour cela le mot « inculte » (où le in- vient de la négation « ne », et non pas du « in » signifiant « à l’intérieur »).

      Une précision importante pour les personnes n’ayant pas étudié la sociologie : celle-ci est une discipline assez étrange, singulière dans les sciences, aux approches épistémologiques (paradigmes) multiples et souvent incommensurables, où chaque école, et même presque chaque auteur a son propre cadre théorique, aussi bien au niveau conceptuel qu’au niveau de la méthode du sociologue*, et donc ses propres concepts et ses propres usages d’un terme « technique ». Pour comprendre un auteur donné, surtout les « phares » de la discipline, il faut toujours d’abord pénétrer son vocabulaire et ses concepts propres, qui peuvent être aux antipodes de son voisin.

      La définition que je vous donne du terme acculturation sera donc éventuellement divergente de celle de telle ou telle école ou sociologue qui la critiquera. Celle que je propose est générale et synthétise en l’ensemble des utilisations particulières dans la discipline.

      Donc pas la peine de m »opposer tel ou tel chercheur qui me contredirait, je vous en trouve un autre qui va dans mon sens.

      *J’ai écrit dans un autre commentaire qu’il devait être un observateur froid, mais d’autres prétendent au contraire qu’il doit s’immerger dans son objet d’étude : pour étudier les ouvriers se faire ouvrier, pour étudier les Dogons devenir Dogon. En réalité chaque approche est instructive et productive si elle est bien menée, simplement elles ne traitent pas des mêmes questions .

    • Non, acculturation en sociologie veut dire « acquisition par un individu des éléments constitutifs d’une culture ».

      L’étymologie ne donne pas forcément le sens d’usage des mots, surtout en science, encore moins quand elle est erronée.

      Ici, le préfixe « ac- » (variante de ad-) exprime l’ajout, l’addition, comme dans acquérir (prendre pour ajouter)… ou additioner!
      https://fr.wiktionary.org/wiki/ad-#la

      Cela signifie donc bien acquérir une culture

      Effectivement, il ne s’agit pas d’un « a- » privatif, il y a pour cela le mot « inculte » (où le in- vient de la négation « ne », et non pas du « in » signifiant « à l’intérieur »).

      Une précision importante pour les personnes n’ayant pas étudié la sociologie : celle-ci est une discipline assez étrange, singulière dans les sciences, aux approches épistémologiques (paradigmes) multiples et souvent incommensurables, où chaque école, et même presque chaque auteur a son propre cadre théorique, aussi bien au niveau conceptuel qu’au niveau de la méthode du sociologue*, et donc ses propres concepts et ses propres usages d’un terme « technique ». Pour comprendre un auteur donné, surtout les « phares » de la discipline, il faut toujours d’abord pénétrer son vocabulaire et ses concepts propres, qui peuvent être aux antipodes de son voisin.

      La définition que je vous donne du terme acculturation sera donc éventuellement divergente de celle de telle ou telle école ou sociologue qui la critiquera. Celle que je propose est générale et synthétise l’ensemble des utilisations que l’on peut trouver dans la discipline.

      Donc pas la peine de m »opposer tel ou tel chercheur qui me contredirait, je vous en trouve un autre qui va dans mon sens.

      *J’ai écrit dans un autre commentaire qu’il devait être un observateur froid, mais d’autres prétendent au contraire qu’il doit s’immerger dans son objet d’étude : pour étudier les ouvriers se faire ouvrier, pour étudier les Dogons devenir Dogon. En réalité chaque approche est instructive et productive si elle est bien menée, simplement elles ne traitent pas des mêmes questions .

      • Deux sens différents sont donnés à ce terme, selon le domaine qui l’utilise : sociologie ou anthropologie :

        voir encyclopédie universalis

  5. Bonjour chère Samia. Article intéressant comme toujours, mais ayant une formation en sociologie j’aurais des correctifs et des compléments à apporter à votre démarche qu’un sociologue qualifierait de « naïve » c’est-à-dire profane.

    Ceci sans vouloir faire le cuistre, mais pour vous fournir des outils qui vous permettront d’enrichir votre réflexion, en vous acculturant à la culture sociologique (la vraie, pas la bouillasse mal digérée et idéologiquement dévoyée déversée par les « intellectuels » et les médias)

    Pour commencer, un mot sur l’acculturation: vous reprenez une définition réductrice (à mon sens) qui est celle de l’anthropologie culturaliste (Mead, Linton etc.) et qui se concentre sur la rencontre entre deux groupes humains de culture différente.

    Mais en sociologie, le terme d’acculturation désigne plus largement tout processus d’acquisition des éléments constituants et si possible constitutifs d’un système culturel, une culture désignant elle-même des façons communes à un groupe humain d’être, de percevoir, de penser, d’agir et de ressentir qui sont intériorisées et deviennent une seconde nature, formant ce qu’on appelle la personnalité de base (c’est à la fois un système de lecture du monde, permettant de lui donner un sens partagé, commun (ce qui permet de communiquer en se comprenant) et un code de conduite, une manière d’être au et dans le monde. En langage moderne on pourrait comparer cela à un logiciel informatique système, qui fera fonctionner le processeur (ici le cerveau) de telle ou telle façon)

    [en passant, on peut comparer le multiculturalisme à l’idée saugrenue de vouloir faire marcher une application conçue pour Apple sur une machine Androïd ou Windows).

    Ainsi la toute première acculturation dans la vie d’un individu est celle se produisant lors de la socialisation primaire (en langage ordinaire: éducation) et dans l’acquisition de la culture de son groupe d’origine. On peut parler de primo-acculturation

    Par exemple, tout musulman est acculturé dans l’islam,

    • Désolée Adalbert mais votre commentaire est bien trop long pour un commentaire je suis obligée d’en supprimer une parti e

      • Ce qui lui retire une bonne partie de son sens. Il n’était pourtant pas plus long que celui de Pélage.

        • Certes, mais mon commentaire suivant très long est probablement passé à la trappe. Ne craignez rien, ce n’est pas du favoritisme.

        • En effet, celui de Pélage est passé à traversles mailles du filet et a ensuite été envoyé à la trappe où je l’ai récupéré et raccourci

    • Je ne suis pas sociologue ça c’est sûr mais dans mes études, j’ai eu quelques rudiments. Et notre professeur de sociologie nous présentait l’acculturation comme étant un phénomène incontournable à partir du moment où l’on quitte sa société d’origine et qu’à ce titre nous devions faire en sorte avec les personnes accueillies de respecter leur culture d’origine, de s’adapter à eux. Moi ça me dérangeait cette position de sa part car je pense que chaque être humain a les ressources en lui pour s’adapter, évoluer dans une nouvelle société pour peu qu’on laisse les personnes faire leur cheminement. La victimisation des minorités a tendance à m’agacer. Je suis née dans les années 70 et à l’école il n’y avait pas de différence entre les élèves, le résultat c’est que j’ai appris comme tous mes camarades, quelques soient leurs origines, la langue française. Ça n’est plus le cas aujourd’hui.

      • Mon commentaire ayant été tronqué, vous n’avez pas eu la suite qui vous aurait permis de mieux comprendre mon propos, vu que j’y complétais mon développement sur le concept d’acculturation.

        Elle ne se réduit pas à celle des émigrants arrivant dans une autre contrée, au « choc des cultures », celle-ci n’est qu’une des modalités. Et qui d’ailleurs ne se comprend pas sans le phénomène de première acculturation de l’individu. C’est bien parce qu’il a été acculturé dans un système qu’il a du mal avec un nouveau

        Quant à ce que racontait votre professeur, sur l’adaptation dont devrait faire preuve les hôtes, cette position n’engage que lui et ne découle absolument pas de la sociologie comme discipline scientifique, car la sociologie n’est en rien normative ni prescriptrice. Elle se contente d’observer ce qui se passe, d’identifier et de décrire les phénomènes sociaux. Elle n’a pas à dire ce qu’ils doivent être. Après tout, si les humains ont envie de se foutre dessus et se détester pour des raisons sociologiques, ce n’est pas son problème. Au contraire, cela fait un nouveau passionnant sujet d’études.

        Si on commence à dire le bien et la mal, à dire comment devrait être la société, on rentre évidemment dans l’idéologie politique, et c’est malheureusement ce qui se passe aujourd’hui en France, où les « sociologues » (ce n’est pas parce qu’on a un diplôme en carton ou titre de professeur qu’on fait de la bonne science) adoptent une lecture politisée, à travers un prisme idéologique, et pour être précis gauchiste.

        Les pères de la sociologie (Durkheim, Weber) insistaient sur la neutralité dont doit faire preuve le chercheur. Ce sont de « froids observateurs ». Ceux d’aujourd’hui d’abord gauchistes et ensuite « sociologues » prétendent qu’il doit « s’engager ». C’est évidemment la porte ouverte à toutes les dérives, et c’est bien ce qu’on observe: l’engagement prend totalement le pas sur la rigueur et l’objectivité, la « sociologie » est mise au service de la Cause, et devient une sociologie de bazar, une pseudo science digne de l’astrologie.

        On ne peut pas faire de la science en commençant par poser au préalable les conclusions et les résultats des découvertes que l’on est censé faire par l’observation ultérieure.

        En passant c’est ce que faisaient les théoriciens racistes. Nos amis sont donc en bonne compagnie.

  6. Merci Samia, pour cette contribution à l’éveil de votre part. Souhaitons que de nombreux visiteurs de passage vous lisent en plus du grand nombre de croyants/pratiquants de la laïcité.

  7. L’UDMF (Union des démocrates musulmans de France) en est
    LA CONSÉCRATION dans son titre, à savoir: « musulmans de France » et pas: « musulmans français ».

    • Non Christian Jour, revoyez le site cité : https://kabyles.net/ce-que-signifie-etre-la-femme-dun-musulman/
      Ce n’est pas l’origine « algérienne » ici c’est la sécession kabyle, et même berbère dans le même islam, qui n’a pas la même langue, sauf celle du coran. Je vous rappelle que la sinistre Najat Belkassem se revendiquait « berbère »! .Même les fascinantes et splendides Soeurs Djurdjura ont réussi à créer la scission dans leur groupe. C’est l’Islam .Nous ne sommes pas au bout de nos surprises.

      • Matoub Lounès, tué sur l’autel de l’arabo-islamisme. Ferhat Mehenni, fils tué sur l’autel de l’arabo-islamisme. Najat Belkacem paradant dans les salons de la République.

    • Merci Christian Jour, la prudence de nos jours est devenue plus que nécessaire vu tous les « déséquilibrés » qui traînent.

  8. « quoi qu’on en dise d’ascendance judéo-chrétienne »
    Je pourrais dire.
    Vous parlez de monde judéo-chrétien et de monde islamique, pourquoi ne pas dire monde judéo-christiano-islamique alors, si l’on veut rendre à César ?
    L’islam étant partiellement issue du christianisme et du judaïsme, le christianisme issu du judaïsme, et le judaïsme monothéiste des anciennes religions du Levant avec une probable influence égyptienne.

    Ne pas oublier que les juifs en Europe étaient une minorité honnie, accusée de déicide, accusation qui ne fût levée qu’en 1965 avec Vatican II.
    Seule la France républicaine leur a reconnu des droits égaux, les autres états ont attendu longtemps avant de le faire.
    De Gaulle a bien résumé avec son discours Colombey des deux Mosquées de quoi est issue la civilisation européenne.
    « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »

    L’influence politique et intellectuelle des juifs en Europe Christiano-Gréco-Latine était quasi-nulle, comme celle des juifs et chrétiens sur le monde assyriano-egypto-judéo-islamique (ok j’abuse avec les néologismes là).
    Quoique, les musulmans étant ineptes en administration, ils ont effectivement utilisés des juifs, chrétiens, zoroastriens, convertis ou non, comme vizirs, soldats, et scientifiques. Mais ces derniers finissaient souvent mal, au moindre pet de travers de la masse musulmane, qui n’est jamais satisfaite de toute façon, ils se faisaient massacrer.
    Comme en Europe tellement judéo-chrétienne où à la moindre épidémie, mauvaise récolte, disparition d’enfant, on accusait le peuple déicide qui se faisait généreusement pogromer. Moins durement qu’en terre islamique tellement pacifique peut-être, mais c’est une question d’échelle.

    Ainsi, j’estime (je peux me tromper) que l’apport des juifs à la civilisation occidentale ou européenne fût limitée. C’est dans la même veine que l’argument avancé par les pseudo-historien sur l’apport tellement important du monde musulman sur les occidentaux chrétiens barbares, l’Andalousie des 3 cultures et autres. L’occident a toujours eu des liens avec l’empire romain d’Orient, et les barbares chrétiens n’ont pas brûlés toutes les bibliothèques.

    Comme on le voit, les musulmans actuels, qui pour beaucoup viennent étudier et coloniser les pays des mécréants honnis, ne se sont pas imprégnés de nos cultures et traditions. S’ils le faisaient, leurs pays seraient beaucoup plus vivables, et ils ne viendraient pas transformer nos terres en paradis terroristo-islamiques (un peu redondant, je sais) de la paix.
    Mais vous savez tout ça mieux que moi.

    Pour le reste, je suis d’accord avec vous, Vos articles sont une bouffée d’air frais mentale face à toute la propagande multiculturo-droit de l’hommiste diffusée par notre très sympathique gouvernement, cet enfer qui me donne envie de hurler, surtout quand je parle à des gaucho dans un déni total.

    Dommage que la grande masse des moutons européens continuent de bêler alors qu’ils se font égorgés. Dommage que les gouvernements du monde musulman ne fassent aucun effort, il suffirait pourtant d’interdire les mariages consanguins, ce qui ferait grimper le Qi de 15 point et éviterai pleins de problèmes mentaux, de graisser la patte de quelques « docteurs » pour qu’ils réécrivent le Coran, que la plupart des musulmans sont incapables de lire de toute façon.

    • Je suis d’accord avec vous sur à peu près tout sauf sur l apport des juifs à la société occidentale.
      Il faut comparer ce qui est comparable. Les juifs ont toujours été un petit pourcentage de personnes . Et c’est ce qui fait que leur apport fut certes limité mais important de par leur petit pourcentage. C’est comme lorsqu’on dit qu’il y a beaucoup de juifs à la télé, ceci n’est vrai que si le pourcentage de juifs à la télé dépasse celui de la population française. J’ai pris cette exemple comme un autre.
      Il faut aussi ajouter que les juifs ont toujours été accueilli pour redonner un booster un peu l’économie mais qu’ils ont au mieux été chassé pour contenter la population en proie à de grandsimples problèmes financiers.

      • « Il faut comparer ce qui est comparable. Les juifs ont toujours été un petit pourcentage de personnes .  »

        Je n’ai jamais dit le contraire. Et la taille compte, contrairement à ce que certains prétendent. Donc une communauté endogame et très largement minoritaire n’a eu qu’une influence très limitée sur la communauté dominante.
        De plus les juifs étaient honnis, je l’ai écrit.

        Comparons ce qui est comparable, la christianisation fût un processus plus rapide que l’islamisation, car dans le prolongement de la romanisation.
        Donc l’essentiel des lois et sciences qui subsistèrent venaient de la civilisation gréco-romaine. Les chrétiens étant plus nombreux produisaient davantage de travaux intellectuels et n’allaient pas copier ou s’inspirer de productions hébraïques. D’ailleurs de nombreuses professions étaient défendues aux juifs selon les temps et le lieu, comme celle de médecin.
        Donc on voit mal comment les penseurs juifs auraient massivement influencés l’occident.

        Et dans le sens inverse ? Qu’a pris le judaïsme européen de ses rapports avec le christianisme ? et pour les convers ? La mystique d’une Thérèse d’Avila doit-elle quelque chose à une origine hébraïque de ses ancêtres ?
        Quelles ont été l’influence des anciens égyptiens, assyriens, perses, grecs et romains sur le judaïsme ?
        Les experts considèrent que la dualité bien/ mal, paradis/ enfer, le messianisme viennent du zoroastrisme. Après tout, les perses furent bien les seuls à ne pas soumettre brutalement les judéens, ils ont libérés les juifs de l’esclavage babylonien, donc il semble logique que ces derniers aient été plus inspirés par une civilisation qui les a traités plus favorablement que les autres.
        Commentaire trop long, coupé par le robot après publication

        • En revanche, vu la longueur, votre commentaire aurait pu passer à la trappe avec le robot… La prochaine fois, écrivez-le en deux parties ou bien proposez-le en article à la rédaction de RR.
          Après Moix et son voyage en Corée du Nord, certains vont écrire que je ramollis mais le livre d’Attali « Les juifs, le monde et l’argent » apporte un éclairage intéressant (et on ne peut pas le suspecter d’antisémitisme).

          • Oui, je me suis un peu lâché sur le commentaire. Si j’écrit quelque chose valant d’être publié, j’y penserais, là c’était manière de dire que, en dépit de tout ce qu’on nous assène, les européens ne doivent pas tout leur génie aux autres civilisations/ religions/ peuples. Je n’ai pas pensé à le formuler en controverse ou essai.

            Même si on ne peut nier que nombres de cultures non-européennes ont fait preuve de grandeur, et eu un rayonnement évident, elles se sont sclérosées et figées dans un schéma de décadence, phénomène que nous connaissons nous même, à la différence que nous somme physiquement et culturellement menacés, sans pourtant avoir été officiellement envahis.
            Tout ceux qui hurlent à la mort regretteront probablement la disparition des peuples et civilisation d’Europe et leurs héritiers américains et asiatiques, mais il sera bien tard…

          • Mais Pélage les juifs ne sont pas une autre civilisation, ni étrangère, ce sont des Européens! A condition de ne pas adhérer à la fable du peuple endogame d’émigrés et de la « diaspora » qui est une invention du XIXe siècle (comme beaucoup d’autres mythes historiques, nos ancêtres les Gaulois, l’Inquisition, l’Eglise obscurantiste).

            En réalité la plupart de juifs d’Europe sont des Européens convertis dans l’Antiquité basse et tardive ou au Moyen-Âge. .Outre le cas bien connu des Khazars (bon ok ce sont des turcs, mais en tout cas ils ne viennent pas de Judée), les cas de conversion dans les deux sens de villages entiers étaient fréquents au Moyen-Age, en particulier en Allemagne et en Europe centrale (Pologne, Balkans)

            Et contrairement à la légende il y avait aussi des juifs paysans.

            Je rappelle que le royaume des Khazars convertis eu judaïsme a existé pendant 7 siècles avant d’être comme de juste détruit par les musulmans d’amour, soit un peu plus longtemps que la France… Oui la France en tant que nation n’émerge en fait qu’aux alentours du sacre de Charles VII et de Jeanne d’Arc (1429) et surtout la fin de la guerre de Cent (vingt) Ans, soit 1453). Cela nous fait à peine 565 ans.

          • Bonjour,

            Le grand Rachi de Troyes (Xième siècle) était le chef spirituel d’une communauté de vignerons de Champagne.

            Quant aux Khazars : gloire à eux !

            Ils ont bloqué l’invasion arabo-islamique qui aurait transformé l’Europe, à l’époque post-Mahomet , en une partie du Califat …

            Nous, nous avons des traîtres comme Sarko, Hollande ou le pire Macron.

    • Sur l’apport des juifs, je pense que vous le sous-estimez.

      D’abord sur le plan pratique: ils ont façonné l’économie depuis le Moyen-Âge, par leur meilleure compréhension du sujet, du fait qu’ils étaient banquiers et marchands. Ils sont à l’origine de toutes les théories économiques modernes. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la moitié des « prix Nobel » d’économie sont issus de la Communauté.

      Par ailleurs ils ont apporté sur le plan philosophique la pratique talmudique de la controverse et de la remise en question permanente, de la réflexion individuelle, de la discussion, alors que la pensée chrétienne raisonne en terme de vérité divine et de dogme venus d’en haut. Dans ce sens ils sont à l’origine de la démocratie moderne (qui n’a pas grand-chose à voir avec celle d’Athènes ou de Rome).

      Également on leur doit la pratique de la lecture directe, la compréhension et la discussion individuelle, personnelle des textes religieux par tout un chacun, et non réservée aux clercs et aux savants. Ils ont sans doute inspiré les protestants, et donc l’éthique protestante du travail et encore une fois le développement du capitalisme.

      Donc dire qu’ils n’ont eu aucune influence est pour le moins léger.

      En revanche pour l’islam vous avez raison. D’ailleurs très peu d’occidentaux lisaient l’arabe au Moyen-Âge et à la Renaissance (on les compte sur les doigts de la main). Tous les savants et penseurs « arabo-musulmans », qui n’étaient pour la plupart ni l’un ni l’autre et dont on nous rebat les oreilles ont été redécouverts,ou même découverts au XIXe siècle par les orientalistes.

      •  » ils ont façonné l’économie depuis le Moyen-Âge »
        J’ai expliqué que les juifs n’étaient pas les seuls banquiers du moyen-âge, existaient également les italiens (crédit lombard) et les templiers qui délivraient des lettres de change. Ils furent également persécutés quoi qu’ils ne pratiquaient pas le crédit usuraire. Les grands banquiers, économistes et financiers sont également issus des communautés protestantes, il n’y a donc pas de gêne du banquier, c’est juste un rapport différent à l’argent.
        En France d’ancien régime, les protestants (qui furent indéniablement inspirés par le judaïsme, comme prendre des noms issus de l’ancien testament) vivaient d’ailleurs une situation similaire aux juifs, interdiction d’exercer de nombreuses professions, ils se tournaient « naturellement » vers le négoce.

        L’apport à la philosophie est également débattable. Contrairement à la propagande, l’Europe ne fût jamais une théocratie, église et états ne se confondais pas. La liberté individuelle et le libre arbitre étaient célébrés par les pères de l’église (st Augustin), de nombreux penseurs étaient membres du clergé.
        Roger bacon, Albertus Magnus, Abélard qui fût mutilé non pas par la hiérarchie ecclésiastique mais par la famille de sa belle pour « laver l’honneur » etc.

        Pareil en religion, il existait une classe sacerdotale, les kohanim, fonction héréditaire, au contraire de l’église, quoique le haut clergé casait volontier ses bâtards. La plupart des gens de l’antiquité étaient illètrés, surtout les femmes, les autorités maintenant cette sujétion pour des raisons évidentes.
        Le taux d’alphabétisation dans la diaspora était probablement plus élevé, mais ça ne veut pas dire que l’enseignement était librement dispensé, ni que les écrits juifs étaient partagés avec les non-juifs. Quand des juifs se convertissaient et que les contenus des talmuds venaient à la connaissance des autorités, des procès et persécutions s’en suivaient voir Nicolas Bodin et le procès du Talmud.

        Donc je n’ai pas dit que l’influence des juifs en Europe fût nulle, mais limitée. Comme l’influence de la civilisation grecque sur la Chine, ou des vikings sur la Russie.

        • Les Grecs ont diffusé le bouddhisme en Bactriane et Transoxiane (deux royaumes hellénistiques) d’où il a été transmis ensuite en Chine (cf la fameuse statuaire dite gréco-bouddhiste).

          Quant à la Russie, ce sont les Vikings qui ont fondé le royaume de Rus, première nation russe, et pour cause, vu que le mot Rus désignait… les Viking. Appelés aussi Varègues dans ce coin.

          Les Vikings remontaient en effet les grands fleuves russes, en particulier la Volga, pour comme à leur habitude, piller et commercer, tout en établissant des comptoirs. Ils sont, tous les historiens le savent, à l’origine de la nation russe.

          Nous sommes donc tout à fait d’accord : les juifs ont joué un rôle éminent dans l’édification de la Civilisation Européenne. Ou alors vous avez vraiment mal choisis vos exemples.

    • Merci Pélage, les gouvernants musulmans n’ont pas intérêt à faire monter le QI de leurs populations. Pour faire perdurer leurs systèmes dictatoriaux, ils ont besoin de petits moutons bien bêlants.

      • Certes, et les gouvernements occidentaux ont tout intérêt à faire baisser le QI et l’esprit critique de leurs administrés, d’où la propagande incessante et la baisse constante de l’enseignement. Au royaume des aveugles le borgne est roi.

  9. Vous pensez, peut-être, que les femmes auront le droit de se libérer de l’emprise de leurs tortionnaires? Perso, je pense plutôt qu’ils préféreront les égorger.

    • Je ne crois pas non plus que les tortionnaires musulmans laisseront tranquille les femmes eh non !!!

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