En avant, toute !
Pour le Grand Remplacement, aucun secteur ne doit être épargné ……
A l’université d’ Orléans, sur 18 500 étudiants , on compte 1750 étudiants étrangers ( 110 nationalités ), soit 15 % des étudiants.
L’accueil d’étudiants étrangers est, en soi, une bonne chose : à la fois pour le renom de la France et pour l’avenir des pays d’où ils viennent.
Mais à une condition expresse : tous – sauf quelques-uns d’entre eux qui nous seraient nécessaires, qui le souhaiteraient, et qui aimeraient la France – tous devraient retourner dans leur pays à l’issue de leurs études.
Maintenant, on sait bien que tous resteront en France, études réussies ou non.
Ils resteront tous !
Certains ( je n’ose pas dire beaucoup ! ) avec une haine de la France chevillée au corps – » la colonisation crime contre l’humanité » – !
Cette année, un immense progrès vient d’être accompli dans le Grand Remplacement à l’université d’ Orléans :
La directrice des relations internationales à l’université d’Orléans, Jennifer Kroubo-Dagnini l’explique :
« Jusqu’ici, seuls ceux qui profitaient d’une mobilité encadrée, sous couvert d’accords de coopération entre leur université d’origine et celle d’Orléans (comme par exemple via le programme Erasmus), bénéficiaient de cet accueil. Ils étaient déjà près de 400. Dorénavant, celui-ci est ouvert à tous les autres primo-arrivants »
Tous les autres primo-arrivants !
Ont-ils seulement besoin de savoir lire ?
» Le guichet unique facilite l’arrivée des étudiants étrangers à l’université d’Orléans »
titre » la république du centre » pour cet article :
Tous resteront en France, même les plus nases !
Tous !
Sauf ceux qui ne viennent pas d’un pays musulman, ceux là préféreront retourner chez eux, dans leur pays,pour y être utiles, plutôt que de rester dans un tel merdier !
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« L’accueil d’étudiants étrangers est, en soi, une bonne chose : à la fois pour le renom de la France et pour l’avenir des pays d’où ils viennent. »
Ce n’est pas mon avis. D’abord, le système éducatif français a sacrément déchu en quelques décennies. Ensuite, les gouvernements successifs ont toujours eu tendance à privilégier les étrangers au détriment des natifs (numerus clausus etc).
Pour finir, on sait bien que la majorité de ces pseudo-élites étrangères venues se former en France n’en bougeront pas, les visas d’étude n’étant qu’une combine pour l’immigration, notamment africaine.
Les nord-américains, australiens et européens, voir même les étudiants originaires d’asie du sud est, repartiront, eux. Pas assez criminogènes et improductif.
Au temps pour le rayonnement intellectuel français. Importer des sauvages qui par la grâce de la discrimination positive obtiendront des diplômes sans valeur leur permettant de rester toucher les aides sociales, quand les natifs avec une éducation poussée et des capacités évidentes ont le choix entre rester pour payer des impôts ad vitam aeternam qui serviront importer plus de barbares, ou partir à l’étranger.
Moins de rayonnement culturel, plus de pragmatisme.
Rajout: Hé oui, un double- nationalité compte pour deux!
Ce problème des étudiants étrangers qui arrivent chaque année et dont peu repartent, a été soulevé par Marine
Salut Fomalo,
Pour ce qui est des chiffres, ce sont ceux qui sont cités dans » la république du centre » ( voir lien ). Peut-être qu’ils ont compté les binationaux ( il est écrit
» internationaux » dans leur article ).
Je précise :
» la rep » a d’abord donné le nombre d’étudiants étrangers, puis un pourcentage , qui semble ne pas correspondre :15 % , mais en spécifiant
» internationaux » et non plus » étrangers « .
Ce qui,selon moi, inclut les binationaux.
Quand ma fille était entrée en faculté ( pas à Orléans ) , le formulaire demandait :
NationalitéS : …… , …….
Votre remarque est probablement juste. J’en déduis -hâtivement, d’accord- que comme le mot « race », le mot « étranger » va être supprimé d’abord des différentes réglementations, puis du dictionnaire du français et des articles ou publications et,enfin de l’usage verbal.Oui, c’est ce radical « étrange » qui pose problème. Il est vraiment discriminatoire!!
Cette bonne blague,cela a toujours été,et cela sera toujours;la réalité,c’est que les étudiants étrangers arrivent en force,mais je voudrais rappeler ici que le système de sélection français refuse des lycéens français,ayant obtenu leur bac en France,au motif qu’il n’y aurait pas assez de places.
Il doit y avoir un quota d’étudiants étrangers qui doit considérablement augmenter chaque année, ( gauchisme oblige),
« on ne nous dit pas tout »
comme ça des étudiants français , parfois plus méritants sont laissés sur le carreau, il y en a eu plein l’année dernière qui ont perdu un an après le bac, faute de places
Expliquez moi ,cher Claude t.a.l comment, même avec 110 nationalités différentes, 1750 représentent 15%de 18500 ?! Ceci dit, votre article est on ne peut plus opportun, car Orléans était déjà une ville connue à la fin des années soixante-dix pour sa proportion importante d’étudiants musulmans, maghrébins essentiellement, subsidiairement africains.Championne toutes catégories, les filière Sciences économiques, économie internationale, droit, administration économique et sociale. A la fin des études, ils se repliaient souvent sur Paris ou la Belgique avant d’essayer d’intégrer quelques ONG ou établissements internationaux. . On ne peut être surpris depuis maqueron et merquelle des facilités accordées aux « primo-arrivants » pour se disséminer le plus largement possible en Europe, via Erasmus..