Soit nos gouvernants sont inconscients, soit ils sont cyniques… se sachant quant à eux protégés.
La difficulté tient au fait que l’interdiction des discriminations est inscrite dans la loi et que c’est donc à la loi d’intervenir pour y déroger.
Compte tenu des contours que les pouvoirs publics donnent au principe de précaution, le fait que l’agent soit musulman ne suffit pas actuellement à fonder juridiquement une discrimination.
Le Code de la sécurité intérieure ne prévoit pas, en effet, de règle contraire pour les agents de sécurité des transports en commun.
Ce code ne fait état des transports que dans treize articles, pour prévoir qu’un décret interviendra afin de préciser comment les transports en commun seront sécurisés.
Or, un décret n’a pas assez de force juridique pour écarter un principe légal.
De ce point de vue, le Code de la sécurité intérieure est très décevant car la loi n’assume aucun rôle régulateur satisfaisant pour renforcer le principe de précaution.
Un texte seulement se contente de vagues directives ne permettant pas d’écarter la disposition législative du Code pénal interdisant les discriminations religieuses ou politiques.
L’article L. 261-1 (créé par une ordonnance du 12 mars 2012) : « Conformément aux dispositions de l’article L. 1632-1 du code des transports, les autorités organisatrices de transports collectifs de personnes et le Syndicat des transports d’Ile-de-France concourent, chacun pour ce qui le concerne, dans des conditions fixées par décret en Conseil d’Etat, aux actions de prévention de la délinquance et de sécurisation des personnels et des usagers dans ces transports ».
Les politiciens de LREM et assimilés reçoivent des émoluments publics considérables et savent qu’ils n’auront jamais à prendre les transports en commun désormais. Voiture avec chauffeur payé par le con-tribuable, ou véhicule personnel acquis grâce à des rémunérations vertigineuses compte tenu de leur peu d’utilité pour le bien public, les mettent à l’abri des risques qu’ils font courir à d’autres.
Note de Christine Tasin
Députés et sénateurs sont très occupés à voter des lois qui ne servent à rien la plupart du temps, qui sont nuisibles aux Français le restant du temps. Or, voter la discrimination légale dans certaines professions afin que des gens pouvant, par leur « religion », tuer à plus ou moins grande échelle devrait être la première des lois votée depuis que Macron est au pouvoir.
Non seulement il n’en a rien fait et n’en fera jamais rien, par idéologie, par amour de l’islam et de ses amis marocains, mais aussi parce qu’il aurait trop peur que ses amis gauchistes comme Cohn Bendit ne soient fâchés et ne l’abandonnent…
Il y a 3 ans, déjà, j’avais écrit un article expliquant que les vrais musulmans devaient être interdits de certaines professions et activités :
Il y a 2 ans, Jean-Paul Saint-Marc nous parlait de cette femme gendarme qui renseignait les djihadistes
Et quid de cet islamiste travaillant… dans une centrale nucléaire, ce qui avait généré quelques craintes :
A l’origine de ces craintes, deux comportements « suspects » que l’on imputait à l’intéressé : au lendemain des attentats commis en France, l’employé aurait refusé d’observer la minute de silence organisée dans l’enceinte de la centrale nucléaire. Puis, après l’attaque terroriste d’Orlando, aux Etats-Unis, il aurait déclaré : « si la charia était appliquée, il n’y aurait plus de problèmes avec la communauté homosexuelle ».
Faut-il rappeler ces égorgements qui ont endeuillé tout l’été en France, montrant que la peste islamiste est plus que jamais présente et active ?
Le principe de précaution, on ne connaît pas, chez Macron ?
La peur de discriminer, de se faire traiter de raciste, mais, surtout de devoir faire face à des émeutes conduit nos dirigeants à baiser les pieds des musulmans, vrais musulmans ou pas, islamistes ou pas… Elle est pas belle la vie ?
Je ne sais pourquoi, cela me fait penser à Poubelle-la vie…
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Il est de plus en plus flagrant qu’ils attendent que le grand remplacement commence à produire les effets escomptés.
A savoir l’anéantissement moral ,intellectuel d’abord avec une éradication physique des mécréants qui s’en suivra ? »
Pauvre France sur la voie rapide et finale de l’inculture et de l’acculturation organisée ?
Les espagnols avaient bien compris le péril musulman et promulgués un certain nombre de lois et sanctions que certains jugeraient discriminatoires.
Interdiction d’exercer un certain nombre de métiers, d’utiliser l’arabe, détenir des armes, se trouver près des côtes la nuit, car ces chers morisques aidaient constamment leurs coreligionnaires maures dans leurs actes de piraterie.
Evidemment ces mesures ne furent jamais suffisantes, car les morisques refusaient de s’intégrer. La seule solution, la remigration.
Mais pourquoi diable leur donne-t-on la Nationalité française ? Moi qui travaille dans le Golfe Persique il ne me donneront JAMAIS leur nationalité et quand j’y vais je paye
Il ne le feront pas. Bientôt, les Français de souche seront interdit d’emploi pour permettre aux musuls d’accéder à tout les rouages pour pouvoir mieux les gripper. La priorité à l’embauche d’un musul ou d’un noir est d’actualité en ce moment.
Il manque simplement une paire de cou….s à nos dirigeants qui sont eux surprotégés !!!!
Et surtout machinistes d’autocars, co ducteurs de trains ou pilotes d’avion, pendant le ramadan ou même à d’autre moments, ça craint!
il y a déjà très longtemps un roy de France avait interdit aux juifs tout commerces et activités autre que l’usure, cela ne pourrait il pas faire jurisprudence pour une loi interdisant a tous, TOUS les musulmans tous les métiers autres que balayeurs, éboueur et bien sur fossoyeurs…..
Pas de bêtises de Cambray;;;merci
Comme pour les juifs à une certaine époque ?
« La peur de discriminer, de se faire traiter de raciste, » »
« se faire traiter de raciste » 😆 un plaisir de gourmet gastronome, croyez en votre vieil ami…et qui le revendique!
Il leur faut pour modifier la loi (8000) morts?
Nous aurions beaucoup à apprendre en relisant les « Décrets » (= lois de nos jours) pris par la Convention en 1793, alors que les ennemis menaçaient la France à l’intérieur comme sur les frontières. On ne s’embarrassait pas pour désigner et incarcérer les « suspects ».
Or comme à l’époque, nous sommes en guerre (M. Valls en 2015), « On » nous fait la guerre !
Très juste rappel cher Jean, un petit article plus détaillé sur le sujet ?
J’en ai les éléments, mais j’ai tellement de travaux sur l’établi ! Et mes 88 ans samedi en 15 ne sont pas un facteur d’accélération !
En attendant, un peu de lecture :
Décret du 17 septembre 1793
Art. 1er. Immédiatement après la publication du présent décret, tous les gens suspects qui se trouvent dans le territoire de la République, et qui sont encore en liberté, seront mis en état d’arrestation.
Art. 2. Sont réputés gens suspects : 1° ceux qui, soit par leur conduite, soit par leur relations, soit par leur propos ou leurs écrits, se sont montrés partisans de la tyrannie ou du fédéralisme, et ennemis de la liberté ; 2° ceux qui ne pourront pas justifier, de la manière prescrite par le décret du 21 Mars dernier, de leurs moyens d’exister et de l’acquit de leurs devoirs civiques ; 3° ceux à qui il a été refusé des certificats de civisme ; 4° les fonctionnaires publics suspendus ou destitués de leurs fonctions par la Convention nationale ou ses commissaires, et non réintégrés, notamment ceux qui ont été ou doivent être destitués en vertu du décret du 14 août dernier ; 5° ceux des ci-devants nobles, ensemble les maris, femmes, pères, mères, fils ou filles, frère sou sœurs, et agents d’émigrés, qui n’ont pas constamment manifesté leur attachement à la révolution ; 6° ceux qui ont émigré dans l’intervalle du 1er juillet 1789 à la publication du décret du 30 mars – 8 avril 1792, quoiqu’ils soient rentrés en France dans le délai fixé par ce décret, ou précédemment.
Art. 3. Les comités de surveillance établis d’après le décret du 21 mars dernier, ou ceux qui leur ont été substitués, soit par les arrêtés des représentants du peuple envoyés par les armées et dans les départements, soit en vertu des décrets particuliers de la Convention nationale, sont chargés de dresser, chacun dans son arrondissement, la liste des gens suspects, de décerner contre eux les mandats d’arrêt, et de faire apposer les scellés sur leurs papiers. Les commandants de la force publique à qui seront remis ces mandats seront tenus de les mettre à exécution sur-le-champ, sous peine de destitution.
[…]
depuis mon Arrivee au Quebec en 1968 que je ne cesse de le dire et repeter ,,et eux c une trategie Gagnante qui leur permet d avancer leurs pions vite tt en prenant du pouvoir ,,ce que leurs imams repetent tte l annee dans les mosquees , nous sommes tres MAL PRIS AVC NOS COLLABOS qui ne voient que L ETAT D ISRAEL a critiquer , triste mais vrai