Idéologie : folie meurtrière, aberration, extermination des mal-pensants… et bonne opinion de soi.
Je relaie pour les lecteurs de RR un excellent article qui, malgré le constat hallucinant qu’il dresse, nous laisse entrevoir la lueur d’espoir que nous cherchons désespérément, jour après après jour, abreuvés que nous sommes de trahisons et d’ignominies.
Aucune issue ne nous sera proposée par ceux qui sont au pouvoir. Au contraire.
La coupe est pleine, et depuis longtemps. Il faut cependant croire qu’elle n’a pas encore débordé, si l’on se réfère au comportement d’une effrayante portion de nos « compatriotes ». Mais espérons encore qu’un jour, même à ceux-là qui s’acharnent à la taire ou la nier, et condamnent ceux qui osent la dire, la réalité se dressera dans toute son horreur et son urgence. Et qu’alors…
Lien vers l’article : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/07/la-gauche-id%C3%A9ologique-est-elle-capable-de-simaginer-un-adversaire-qui-ne-soit-pas-un-ennemi-du-genre.html
La gauche idéologique est-elle capable de s’imaginer un adversaire qui ne soit pas un ennemi du genre humain?
Extrait d’un entretien donné par Mathieu Bock-Côté dans le Figarovox:
« […] Concrètement,le politiquement correct repose aujourd’hui sur une culture de la surveillance généralisée: tout ce qui entre en contradiction avec l’orthodoxie diversitaire est dénoncé et monté en scandale par des groupuscules à la psychologie miliciennequi se comportent comme des professionnels de l’indignation – et il s’agit d’une profession rentable. Pas une semaine ne se passe sans qu’on ne dénonce telle ou telle rémanence du vieux monde et sans qu’on nous répète que nous avons encore beaucoup de chemin à faire pour accoucher de la société diversitaire idéale. Le politiquement correct carbure aux scandales, de temps en temps réels, la plupart du temps artificiel, qu’il sait mettre en scène pour garder la société vigilante contre l’éternel retour du monde d’hier, même sous la forme apparemment neutralisée de la nostalgie. Jamais il ne baisse la garde, jamais il ne veut la baisser. Souvent, il devient ridicule, comme on l’a vu avec la controverse de l’écriture inclusive, et alors, il feint de s’arrêter, mais c’est pour reprendre sa croisade dès que le cycle de l’actualité a repris son cours. De ce point de vue, toute critique du politiquement correct implique une critique du fonctionnement du système médiatique et une explicitation de ses biais inavoués.
N’a-t-il pas été ébranlé par l’élection de Donald Trump? La gauche intellectuelle américaine a-t-elle entamé un début d’auto-critique sur ce sujet?
Au contraire. La gauche intellectuelle américaine se radicalise. Elle ne doute plus d’elle-même. Devant Trump, qui incarne de manière caricaturale et convenons-en, souvent détestable tout ce qu’elle exècre, elle est ivre de vertu et fait valoir encore plus sa splendeur morale. Jamais elle n’a moins douté que maintenant.Avec un grand esprit de sérieux, elle se demande doctement si l’Amérique ne bascule pas vers le fascisme.On devrait être capable de critiquer la présidence souvent inquiétante de Trump sans verser dans une telle outrance – mais la gauche idéologique est-elle capable de s’imaginer un adversaire qui ne soit pas un ennemi du genre humain? Sa tentation, à laquelle toujours elle cède, c’est la croisade morale pour chasser de la cité ceux qui ne souscrivent pas à ses dogmes.Elle ne croit pas au pluralisme politique: elle distingue entre l’avant-garde, qu’il faut célébrer, et dans laquelle elle se reconnaît, et l’arrière-garde, assimilée au bois-mort de l’humanité, dont il ne faut pas s’encombrer et qui est de toute façon condamnée par le sens de l’histoire. Au fond d’elle-même, elle croit à la vertu politique de l’ostracisme. Ce qui la menace, toutefois, c’est qu’une part de plus en plus importante de la population se fiche désormais des campagnes de salissage médiatique. Plus encore: plus les médias désignent à la vindicte publique un homme ou une idée, plus cette frange de la population s’y identifie. La société se polarise comme jamais.
Cette idéologie étrangère à la culture européenne, en particulier française, peut-elle s’imposer durablement sur le vieux continent? Ne risque-t-elle pas de nourrir, comme aux États-Unis, une réaction «populiste»?
On sous-estime le poids de la révolte contre le politiquement correct dans ce qu’on appelle la poussée populiste contemporaine.Le commun des mortels s’exaspère avec raison contre le contrôle tatillon du langage, contre le culte immodéré des minorités quelles qu’elles soient, contre les délires idéologiques comme l’écriture inclusive, contre un certain féminisme radical qui n’en finit plus d’en appeler à la charge contre le patriarcat alors que nos sociétés n’ont jamais été aussi égalitaires, contre la mouvance trans et queer qui veut déconstruire les fondements même de la différence sexuelle, et ainsi de suite. Le commun des mortels sent qu’on veut transformer radicalement sa culture et naturellement, il se braque. Il y a des limites à faire semblant de rien devant un tel matraquage idéologique. Nos sociétés, avec raison, sont prêtes à s’ouvrir à une pluralité de modes de vie, c’est la grandeur des sociétés libérales, mais n’ont pas particulièrement envie d’être transformées en un grand camp de rééducation idéologique à ciel ouvert avec des sermonneurs sur toutes les tribunes qui les accusent d’être arriérées. Permettez-moi aussi une petite réflexion sur le « populisme ». Le « populisme » est un gros mot, très rarement définit, dont on fait usage pour disqualifier moralement et politiquement ceux qui affichent leur dissidence avec l’orthodoxie diversitaire. On s’alarme de sa montée sans jamais nous dire exactement de quoi il s’agit. Et on peut croire que la dénonciation désormais rituelle du populisme dans les médias contribue à cette exaspération populaire, qui pousse aux révoltes électorales comme l’élection de Trump, le Brexit ou l’élection italienne.
[…] Mais je suis convaincu d’une chose: plus le discours dominant fonctionnera au déni de réel et plus il diabolisera ceux qui cherchent à en rappeler l’existence, plus il poussera à la révolte de grandes couches de la population et dégagera un boulevard pour des entrepreneurs politiques qui sauront canaliser cette exaspération.En fait, cette recomposition est déjà commencée. Reste à voir quel visage elle prendra.
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J’attends une sorte de Churchill qui tiendrait pour tout le continent un discours lucide, éclairé, sans insultes mais sans concessions avec un ennemi qui doit être vaincu, un Wilders, un Orbàn, un Salvini?
En tout cas, malheureusement, il n’est , pour le moment ni grec ni français ni espagnol, ni encore anglais (sauf un Tommy Robinson).
Voilà l’espoir.
Les peuples suivront, non,ils ne seront pas sauvages, violents, mais seulement déterminés à rester libres et maîtres chez eux, maîtres de leurs lois.
Nous cherchons tous un chemin qui nous permettra de refuser la soumission et de retrouver un sursaut, l’islam doit être refoulé au nom de la liberté et il le sera.
L’islam cherche à destabiliser notre conti ent depuis les années 1970 (cf. les travaux d’exégèse des faits d’un Alain Wagner), à l’Europe de renverser la vapeur comme les doru grecs qui s’allongent pour devenir de piquantes sarisses macédoniennes.
La censure commence à se fissurer devant la vérité des textes, des dicours et des faits de plus en plus violents émis par l’islam.
Nous alons encore souffrir quelques années encore mais les pensées sont libres et traversent les murs.
Sans insulte la vérité avancera comme une phalange ou une tortue, tranquille, mais hérissée de piques.
J’ai parfois des moments de désespoirs mais la simple évolution du traitement , un peu plus favorable d’un Tommy Robinson commence à redonner de l’espoir.
On va avoir du mal à traiter Donald Trump que je n’apprécie pas forcément sur tous les dossiers (remarquable quand-même sur la Corée pour le moment, subtil sur la Syrie avec sa fausse fâcherie contre Assad pour donner un sucre à ronger à l’Etat Profond, guignolisation de Macron à la Maison Blanche et du G7 avant d’aller rencontrer Poutine), de raciste, …, ah ah ah ah, il est le premier chef d’Etat américain aà nommer une femme afro-améri aine général de corps d’armée, ce que même le « gentil » Obama n’avait pas fait auparavant.
Quelque chose est en train de se passer et la Saint Donald suit le 14 juillet sur le calendrier.
Trump farceur nomme la première femme noire américaine général du corps des Marines, une certaine Lorna Mahlock, quelle claque pour ceux qui l’accusaient de racisme!
Il vont devenir de plus en plus hystériques, le type est bien moins stupide que son opposition ne l’a cru et cette fois-ci il s’installe pour durer.
Sa politique étrangère et intérieure n’étaient , c’est un avis personnel qu’en apparence confuses, il y a bien , comme chez Poutine une profondeur stratégique dans ses actions.
Il va falloir suivre ces nouvelles nominations.Il ne donne plus de gages, il agit plus en finesse.
En revanche , il reste à trouver de la clarté par rapport à l’Arabie Saoudite, le locataire du bureau ovale peut-il être dupe d' »alliés » aussi détestables?
Je peux me tromper.
Le populisme, c’est la vraie démocratie, c’est aussi la vraie république, le pouvoir au peuple,
Le pouvoir est actuellement séquestré par une bande de politicards évanescents, déconnectés , cupides, bornés, à côté de leurs pompes,
ils finiront par comprendre par la force, s’il le faut, qu’ils doivent laisser leurs bonnes places chaudes à des dirigeants plus aptes et plus compétents, issus du peuple et à l’écoute du peuple
Le populisme est utilisé comme un gros mot, il désigne les attardés qui n’ont pas compris que le mondialisme est l’avenir merveilleux des peuples, il désigne les gens qui comme moi veulent garder leur France telle qu’elle existe et telle que nos parents l’ont connue, il désigne les rétrogrades qui veulent rétablir un état passé, des nostalgiques qui s’opposent à l’évolution, au progrès
En fait le populisme c’est le patriotisme quelle horreur !
Le visage qu’elle prendra « , mais c’est évident mon cher Watson .
M.Macron se trompe complétement et ne comprend pas ce que lui disent les Français , comme tous les Peuples européens à leurs dirigeants ,ce qui n’est ni raciste , ni xénophobe : » mettez tous ces réfugiés dans des bateaux et renvoyez les , illico presto d’où ils viennent , les Européens n’ont pas à se laisser asservir par des Peuples qui ne viennent pas en amis et qui veulent ( ils ne manquent pas de culot )nous imposer leurs us et coutumes )
Messieurs les dirigeants continuez comme cela et très rapidement apparaîtra quelque part en Europe un M. Hitler qui mettra notre Continent à feu et à sang . C’est ce que vous voulez ? Vous vous expatrierez en Amérique ; merci pour nous .
M. Macron continuez les réformes ( il faut réformer ce malheureux pays , que ce soit M. Macron ou que ce soit un autre , un autre le fera sans doute beaucoup mieuix , en empathie avec son Peuple ) , c’est bien , mais arrêtez d’aller voir l’ahuri à Rome , il ne vous sera d’aucun secours .et lâchez les baskets aux Patriotes , ces nationaux que vous exécrez , que vous ne comprenez pas ( aimer la France , c’est abject devez – vous penser )et qui sont sans doute beaucoup mieux que tous vos amis
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dystopie
meme modele obsolete que la suede UTOPIE DEVENUE DYSTOPIE https://www.courrierinternational.com/article/2010/09/30/la-face-sombre-d-un-pays-modele
« … Ce qui la menace, toutefois, c’est qu’une part de plus en plus importante de la population se fiche désormais des campagnes de salissage médiatique. Plus encore: plus les médias désignent à la vindicte publique un homme ou une idée, plus cette frange de la population s’y identifie. La société se polarise comme jamais. »… Plaise à la destinée, Ulysse, que votre conclusion sur une possible recomposition ne prenne pas le visage que tous les Français européens redoutent!
Bien sûr… Et franchement, vu l’état actuel des choses, je ne vois que du côté de cette (nécessaire, vitale ?) résurgence des droits naturels de la raison, de la vie, de la nature qu’il y a encore quelque chose à espérer, pour l’homme et « malgré lui-même ». L’opinion est morte, comme sont morts les dogmes, les partis, les échanges, les « valeurs », etc.
L’invasion de l’islam a déchaîné les forces et les médiocrités les plus noires, avec le soutien de ceux qui devraient nous en protéger.
Nous vivons donc une époque de folie pure. Et peut-être la nature reprendra-t-elle ses droits comme elle l’a, semble-t-il, toujours fait au cours de l’histoire. Par le sang et les larmes, sans doute, encore une fois. Mais elle le fera.
Très belle analyse.
Merci.