Récapitulatif ci-dessus, très clair, du Parisien, du coût du scandale…
En sus des coûts d’aménagement, ré-aménagements, déménagements, compensation, policiers et services d’ordre, n’oublions pas Vinci qui avait remporté ( merci qui ? ) le contrat.
Quelles seront les indemnités qui devront être versées au géant du BTP ? Selon nos informations, Vinci, qui n’a pas souhaité répondre à nos questions sur ces négociations ultra-confidentielles, espère encaisser un chèque de plus d’un demi-milliard d’euros.
En fonction de l’accord qui sera trouvé, le montant de la note pourrait se rapprocher de celle d’un des plus gros fiascos financiers, l’abandon en 2014 de l’écotaxe. D’ici à 2024, l’État va devoir reverser 924 millions d’euros au consortium franco-italien qu’il avait chargé du dispositif, avant de déchirer le contrat. À l’époque, la ministre de l’Écologie avait promis que la somme de 800 millions d’euros, alors avancée, était surévaluée.
Quant au reste… Panier de crabe, discussions, engueulades, querelles d’expert… Tout ça pour que le con-tribuable paye encore et toujours. Combien de jours fériés passés à travailler faudra-t-il pour compenser la gabegie de nos élus sur ce seul dossier ?
Loin d’être anodine, la décision d’abandonner le déménagement de l’aéroport de Nantes-Atlantique engendre des dépenses en cascade, qui pourraient dépasser le demi-milliard d’euros.
Tous les joueurs de poker le savent : se coucher peut coûter cher. L’abandon de Notre-Dame-des-Landes, annoncé par le Premier ministre Édouard Philippe en janvier, n’était certes pas une décision comptable. Elle était d’abord motivée par des raisons politiques et écologiques. Il s’agissait de permettre à un dossier enlisé depuis une quarantaine d’années de sortir de l’ornière : le transfert de l’aéroport actuel de Nantes (Loire-Atlantique) à une vingtaine de kilomètres plus au nord, en plein milieu du bocage.
Mais, alors que la situation est en passe de se normaliser sur le site où devait être réalisé le projet avorté, la facture s’annonce de plus en plus salée pour le contribuable, comme le montre le calcul auquel nous nous sommes livrés. Selon nos estimations, la note pourrait grimper jusqu’à 699 millions d’euros.
Bien que la contestation se soit déplacée vers le Sud, de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) à Saint-Aignan (Loire-Atlantique), où les habitants risquent de subir de nouvelles nuisances en raison de l’augmentation du trafic prévu au-dessus de leurs têtes, les forces de l’ordre continuent, elles, de se déployer massivement au Sud, à grand renfort de moyens matériels : hélicoptères, blindés, bulldozers… L’objectif : mettre fin à l’occupation illégale des parcelles par une poignée d’irréductibles.
Sans l’aéroport, des besoins supplémentaires
Parallèlement, les collectivités locales impactées par l’abandon ont commencé à sortir les calculettes. « Avec les acteurs économiques, nous évaluons en ce moment nos besoins. Nous allons par exemple devoir améliorer l’accessibilité ferroviaire, notamment en modernisant les lignes Saint-Nazaire-Nantes-Paris ou Massy-Valenton », pointe Fabrice Roussel, vice-président (PS) de Nantes Métropole. Il faudra aussi compter des aménagements pour les riverains, plus nombreux à être exposés au bruit des réacteurs que si le tarmac avait été déplacé dans le bocage.
Pour Julien Durand, agriculteur à la retraite et opposant historique au déménagement, c’est le prix à payer pour « éviter une terrible perte de biodiversité et un gâchis de terres agricoles ». « L’option d’un réaménagement de Nantes-Atlantique revient tout de même deux à quatre fois moins cher que s’il avait fallu sortir un aéroport de terre ex nihilo », relativise Françoise Verchère, autre figure la contestation. Pas si simple.
Les travaux de Notre-Dame-des-Landes étaient certes en partie financés par de l’argent public tandis que la modernisation de Nantes-Atlantique sera entièrement supportée par le concessionnaire privé. Mais, d’après les estimations du député (LR) de l’Oise (LR) Éric Woerth, auteur d’un long rapport sur les conséquences de l’abandon, l’État et les collectivités auraient pu engranger en contrepartie de 200 et 600 millions d’euros de retombées sur 55 ans, la durée de la concession accordée Aéroports du grand ouest, filiale de Vinci.
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Mme Tasin, il faut savoir ce que l’on veut: des projets nuisibles
et inutiles qu’on fera quand même au prétexte qu’ils sont déjà
engagés…sur le papier? Dans ce cas on ne pourra plus rien arrêter.
Tout crasseux qu’ils soient, les zadistes ont imposé le bon choix.
Assez de béton! On ferait bien mieux de s’occuper de notre
agriculture en train de couler en même temps que l’indépendance
nationale.
J’étais contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, car il y a trop de pollution aérienne et de gênes occasionnées vis-à-vis des riverains. Je ne suis pas pour les Zadistes qui ont occupé illégalement des terres ne leur appartenant pas et c’est bien fait pour eux, s’ils de font chasser par les gendarmes.
Trop d’avions dans le ciel provoque beaucoup de catastrophes aériennes.
Il vaut mieux limiter le nombre d’aéroports par régions… Celui de Boos et de Deauville-la-Touques suffisent pour l’ensemble de la Normandie.
Depuiq que la Normandie est réunifiée, la situation est plus favorable au maritime qu’à l’aérien. Il y a davantage de traversées entre la Normandie et les îles anglo-normandes qu’avec un avion.
Il n’y a qu’un seul aéroport sur l’île d’Aurigny mais le reste des autres îles se visitent grâce aux ferrys. J’ai visité jadis Jersey, Guernesey et Sercq et ai découvert des traditions so british. La plus britannique de ces îles, c’est Sercq. On se balade à pied ou en carriole tirée par un cheval ou un tracteur.
Le systême de l’île est féodal…J’aime beaucoup le féodalisme et au moins le seigneur de Beaumont est très aimé de la population de Srrcq. Ce sont tous des Anglais…
Une chose à vous dire : dans cette île, je n’ai pas remarqué contrairement à Jersey ou à Guernesey de populations allogènes. A Sercq, on est entre Blancs en très grande majorité. Il n’y a que des Blancs européens et je n’ai pas vu l’ombre d’un minaret. Que des clochers d’églises ou des temples protestants. Rien d’autre.
Et les taxes foncières et d’habitation non encaissées par Bercy depuis plus de 10 ans, ça compte pas ?
Qu’est ce que c’est que ces histoires ou Vinci doit être indemnisé pour avoir perdu un chantier ? il faut arrêter ce genre de magouilles , un petit patron ne touche rien quand un client se désiste !
Eh oui,ils n’auraient pas du,avant d’être sûrs de pouvoir construire…Dans cette histoire on a tout de même préservé des terres.Mais à part cela,il va y avoir encore une fois, plein d’argent du contribuable qui va finir,comme d’habitude, dans le lobi du BTP.Il y a,comme ça,des protagonistes,que,pile,ils gagnent,et face,ils gagnent.
le contribuable n’à pas a payé comme sa été fait comme d’habitude en complicité et en traite sans demandé l’avis des contribuables demandons a ceux qui ont fait cela avec Vinci entre copain de rembourser Vinci de leur poche on ne va pas se laissé baisé la gueule a chaque fois que le gouvernement fait des conneries dans le dos des contribuable Vinci ,ils ne faut pas se laissé faire il faut riposté contre ses démons ,qui a fait le coup Fillon avec la morisé et l’ancien maire de nantes
pourquoi avoir fait un appel d’offre avant d’être sûr d’avoir les terrains, et aussi d’avoir eux tout les résultats des expertises pour pouvoir construire cette aéroport, je n’ai jamais compris pourquoi, je ne sais pas moi, mais ci je veux construire une maison je ne signe aucun contact et devis avec un constructeur avant d’avoir trouver et acquis un terrain, et aussi d’être sur de pouvoir la construire sur ce terrain, car en matière d’environnements ils y a des règles et des normes aussi bien en surfaces qu’en sous sols, c’est encore une histoire obscur et bizarre.
tu feras ça, car tu sais que tu es le seul responsable, et que si tu te trompes c’est foutu pour ta pomme, tu en paieras les conséquences
or, nos élus, se fichent pas mal des conséquences, ce n’est pas leur argent qu’ils engagent, c’est l’argent de monsieur tout le monde,
de plus, leur mandat sera échu quand les conséquences tomberont, ils ne seront plus là pour se faire du mouron ,
je trouve suspect que ce soit VINCI qui va bénéficier de ce retrait comme pour les portiques, les contrats sont-ils aussi mal ficelés ?
y a-t-il magouille pour verser frauduleusement l’argent des contribuables dans les poches de VINCI ?
Un journal pourrait enquêter : quels sont les actionnaires ? qui sont les directeurs de Vinci ? qui se cachent derrière ce nom ?
et dire qu’à une époque je vous trouvais honnête (je veux dire dans votre argumentation, pour le reste je n’ai pas de doute)
Mais là ce calcul est complètement foireux, en particulier les redevances sur 55 ans, que vaudra l’euro dans 10 ans , 20 ans , par rapport à maintenant ?
Il faudrait que vous retrouviez cette honnêteté, c’était mieux…
… avant
tout à fait d’accord,
un peu d’honnêteté , tout de même !
qui pourrait gober ces calculs du Parisien ?
ils sont contre la décision, on l’a bien compris, et ils le démontrent en avançant des chiffres sortis du chapeau, que personne ne va aller vérifier,
Un peu de bon sens permet de comprendre qu’une construction complète d’un grand aéroport coûte moins cher qu’une extension d’un aéroport existant,
les plaintes des riverains, dont on parle souvent, représentent un faux problème, ces gens se sont installés à côté d’un aéroport, ils le savaient, ils ont peut-être payé moins cher leur maison, ensuite ils se plaignent pour qu’on leur enlève la nuisance sonore, cela ferait monter le prix de leur bien
ont pourraient leurs vendre la grande mosquée de Paris, à condition qu’ils viennent la démonter à leurs frais.
bon va encore falloir vendre des « bijoux de famille » par exemple aux qataris pour rembourser les frais de cet abandon
Après les portiques ça commence à faire.
Mais le gouvernement y fera face en ponctionnant un peu plus les retraités et les travailleurs, ils ne manquent pas d’idées les godillots de la Ripoublique !!
De toute façon, maintenant, pour un milliard d’euros, t’as plus rien … ( y a qu’à voir les milliards déversés sur les villes de banlieues du Peuple Nouveau, pour s’en convaincre ).