A Sciences Po, on empêche aussi l'expulsion des squatteurs… tant pis pour le proprio

Un collectif d’étudiants de Sciences po a aussi empêché la libération d’un squat dans une affaire qui traine depuis 2016 :
http://resistancerepublicaine.com/2016/08/30/poitiers-30-roms-squattent-un-immeuble-ils-sont-intouchables-le-proprietaire-va-peter-les-plombs/
En mars 2018, le squat perdure à cause de l’action des gauchistes internationalistes malgré la Déclaration de 1789.
http://www.centre-presse.fr/article-592726-expulsion-d-apos-une-famille-a-poitiers-laquo-il-faut-un-relogement-raquo.html

« Expulsion d’une famille à Poitiers : « Il faut un relogement »
Poitiers. Soixante personnes ont empêché l’expulsion d’une famille roumaine hier, devant un squat de l’avenue de Nantes et demandé un relogement.
Sedra et Remus Covaciu ont pu compter sur une forte mobilisation citoyenne.
Lui travaille sur les marchés de Poitiers. De quoi subvenir comme il peut aux besoins de leurs cinq enfants, âgés de 4 à 13 ans, scolarisés dans les écoles Jean-Mermoz et Jean-Moulin. Elle est enceinte de 4 mois. Et depuis hier cette famille roumaine est potentiellement expulsable d’un squat situé au 96, avenue de Nantes qu’elle occupe depuis août 2016 (lire plus bas).
« Nous demandons un relogement décent » Soixante personnes ont manifesté hier, pour réclamer le relogement d’urgence de cette famille roumaine menacée d’expulsion. « Nous avons décidé de mener une action contre cette expulsion. On ne défend jamais les conditions de vie dans un squat mais on ne peut pas laisser cette famille dans la rue. Nous demandons un relogement décent. Il est assez invraisemblable qu’on puisse laisser une famille à la rue », a expliqué Yvon Plaçais, porte-parole du collectif D’ailleurs nous sommes d’ici (DNSI). Plusieurs dizaines d’étudiants du collectif Tzig’in et Buddy système, du campus latino-américain de Sciences Po Poitiers, étaient également présents sur place.
« Juridiquement, il y a un appel possible contre l’expulsion qui prendra plusieurs mois mais il n’est pas suspensif. Ils risquent donc d’être expulsés à tout moment, en particulier au moment où nous ne serons pas présents », a précisé Yvon Plaçais. DNSI a pris contact hier avec la Direction départementale de la cohésion sociale pour trouver une solution de relogement. L’expulsion n’a pas eu lieu hier. Mais les manifestants n’ont pas prévu de renoncer à l’empêcher.
« Avez-vous parlé du propriétaire du bien qui a rénové cette maison et voulait la vendre, qui a probablement des frais énormes à supporter pour le loyer et les travaux suite aux dégâts engendrés par le squat ? Pourquoi ne parle-t-on pas de lui ? », a demandé un lecteur à notre rédaction, hier.
En septembre 2016, nous avions rencontré Vincent, l’un des copropriétaires du 96, avenue de Nantes (SCI ACM). À l’époque, il estimait que ce n’était pas « aux petits propriétaires de subir la problématique du logement. J’avais signé un compromis de vente, il a capoté le 22 juillet (2016, N.D.L.R.). Chez moi, ce n’est pas insalubre. Le dernier locataire avait quitté le logement en 2015. Notre droit de propriété est bafoué, on s’assoit sur la vente de nos biens et ils sont restitués dans un état lamentable. »

Que va-t-il se passer ?
Les copropriétaires vont sans doute être fondés à demander une indemnisation à la puissance publique… après un long parcours juridictionnel.

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6 Commentaires

  1. Que de sollicitudes dans ces pépinières de nouvelles zélites …
    Les hausses de taxes, d’impôts, de carburants, de csg etc…seront-elles suffisantes pour faire face à l’importation de tant de nouveaux allocataires ??…
    Vous voulez dire une « étude d’impact » ?
    Boff, à quoi bon c’est l’Etat qui paye ….(tiens, aurait-il repris ce postulat dans « Les leçons du pouvoir » ??……)

  2. Avec tout l’argent qu’ils doivent avoir avec les aides diverses vu le nombre d’enfants et l’état de grossesse, ils auraient largement les moyens de se payer un logement en toute légalité. S’ils squattent c’est qu’ils ne sont pas clairs.
    Il serait temps que squatter soit puni réellement par la loi, car c’est illégal.
    De plus il y a troubles à l’Ordre Public avec leurs soutiens (bizarre oui qu’ils ne les prennent pas dans leur famille, ce serait logique), il n’y a pas de poursuites ?
    Il y a aussi violation de la propriété privée (je plains les propriétaires avec tous ces hurluberlus).
    Cela fait donc trois délits… et rien au niveau de la Justice ?

  3. Ce qui serait vraiment utile c’est de les expulser jusqu’en Roumanie. Au pire les loger dans les familles des étudiants. Je suis sûr qu’elles seraient ravies de les accueillir.

  4. sciences popo kk de Toulouse c’est aussi ça :
    https://www.lemondejuif.info/2018/04/video-haine-disrael-en-france-les-grevistes-de-sciences-po-hissent-le-drapeau-de-lentite-terroriste-palestine/
    ça donne immédiatement une idée de la tendance et l’origine des « contestataires » encore des « discriminés positivement » comme d’ hab….
    quand aux squatters , Bravo avec leurs 5 mômes…le cinquième en route…va donc faire ça en Roumanie ou dans un de ces pays encore sains de l’ europe de l’ est….juste pour voir…
    je peux t’ assurer que ce sont les probloques et leurs voisins qui videront les inconscients qui s’ y livreraient a coups de gourdins !!
    j’ ai des potes Roumains, vivant en France..ils m’ ont appris que dans toutes les écoles du pays, le matin, les elèves impeccablement rangés dans la cour, entonnent l’ Hymne National, pendant qu un (e) élève monte les couleurs nationales au sommet du mat !!!!!!!!!!!!!!
    avant de rentrer en ordre et en silence en classe
    debout prés de leur pupitre en attendant que l’ enseignant leur donne le signal pour s’ asseoir
    comme quelques vestiges içi, j’ ai connu ça, sauf le drapeau et l’ hymne…
    encore un trés gros péché d’ envie…..
    comme devant un Israel et ses grandioses et si populaires manifestations de joie pour le 70 eme anniversaire de leur état…leur Fête Nationale………symbole de l’ union nationale et de leur formidable patriotisme, des centaines de milliers de gens dans les rues….les gosses qui courent partout, les musuiques, les drapeaux, les attractions bon enfant…
    chez nous, les 14 juillet sont devenus l’ occasion de « statistiques » ou on va tenter de dissimuler le nombre de bagnoles incendiées….comme pour la veille du nouvel an….
    je pense que l’ intervalle est trop long entre les deux…nos joyeux drilles devraient bientot nous réjouir en intercalant le Lundi de Paques pour les « brûlements »

  5. ça coûte moins cher de faire intervenir des officines spécialisées dans les déménagements de squatteurs.

    • je ne sais pas si elles existent, mais il clair qu’il vaut mieux expulser sans tambour ni trompette, si on veut récupérer son bien

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