Vous avez dit racisme ? Il y a même des arbres racistes, des arbres de gauche…

Quand la simple description de particularités, de différences… s’est appelée racisme.
« Nicolas Dupont Aignan accusé de racisme »…

Chacun sa vision. Personnellement, je considère que ça fait partie de mes lettres de noblesse et qu il n’y a rien de plus normal dans l’ espèce humaine que le Racisme. Même les animaux sont racistes, c’est inscrit dans le « vivant »,  même le végétal est raciste !

Habitué des forêts, n’as tu jamais remarqué que sous le hêtre il ne pousse rien,  absolument rien  ? C’est que le hêtre est un gros raciste : il défend son espace vital, ne veut pas de concurrence, et il secrète une hormone, un produit qui élimine toute vie sous sa frondaison.
C’est un arbre « patriote » et ils sont nombreux a agir ainsi…Les Pins se comportent pareil.

Et il y a aussi des arbres de gauche,  comme le bouleau, le chêne, le peuplier, l’aulne, qui acceptent la concurrence d’ autres arbres, et en meurent…
L’ homme, le forestier, doit alors intervenir et réguler les populations de faiblards, en général, tordus, frêles, il met un coup de rouge aérosol, parfois un léger coup de hache…en « humain » on appelle ça « eugénisme ». En sylviculture c’est du bon sens pour sauver le patrimoine génétique d’une espèce.

Alors, je suis trés heureux d’ etre en plein accord avec la Nature en étant « raciste » c’est une garantie de survie  que de reconnaître ce qui est vérité !

Un homme, diplomate français et écrivain qui vécut à Saint-Petersbourg, le Comte Gobineau a fait le portrait des trois « espèces » hors normes d’humains à la moitié du 19 ème siècle, les Noirs, les Juifs et les musulmans, en n’oubliant pas que Juifs et « arabes » musulmans sont blancs et son « essai sur l’ inégalité des races » qui vise les Blancs, les Noirs et les Jaunes convient totalement.

Lisez-le! même s’ il est souvent soporifique, c’est un devoir.

Et vous vous gratterez pensivement le crâne en essayant de comprendre où est le « racisme » de cet homme… qui fait pousser des cris d’ orfraie à des personnes… qui ne l’ ont jamais lu ?
Un Coran à l’ envers, comme ce « livre sacré » dont tant de fayots épousent la défense sans l’avoir jamais lu en entier, ou même feuilleté!
Fiche sur l’oeuvre de Gobineau sur Wikipedia

L’Essai sur l’inégalité des races humaines se présente sous la forme d’une longue récapitulation de l’histoire des civilisations humaines, ordonnée par le concept de « race » et marquée par une philosophie de l’histoire à la fois déterministe et pessimiste22. Gobineau y postule l’existence de trois races primitives, dont les métissages, nécessaires selon lui à l’épanouissement des civilisations, conduisent toutefois inéluctablement en retour à la décadence de l’espèce humaine.

Ces « trois éléments purs et primitifs de l’humanité »23 que sont pour Gobineau les races jaune, blanche et noire sont conçues comme fondamentalement inégalitaires, non pas tant de manière quantitative que qualitative24.

La race blanche se voit octroyer « le monopole de la beauté, de l’intelligence et de la force »25 et, au sein de cette race blanche, la « race ariane », placée au-dessus de toutes les autres, fait l’objet d’un éloge tout particulier26. Dans sa description de la race noire, il « accumule », selon Pierre-André Taguieff, « sans la moindre distance critique, les préjugés et les stéréotypes négrophobes les plus bestialisants et criminalisants »27. Sur le plan de l’intelligence, il lui attribue des « facultés pensantes […] médiocres ou même nulles ». Elle possède l’avantage dans le domaine des sens, où certaines de ses facultés, « le goût et l’odorat principalement », sont développées « avec une vigueur inconnue aux deux autres ». « Mais », ajoute Gobineau, « là, précisément, dans l’avidité de ses sensations, se trouve le cachet frappant de son infériorité »28. Avec la race jaune, enfin, « le Créateur n’a voulu faire qu’une ébauche »29. Gobineau souligne « en toutes choses », leurs « tendances à la médiocrité ». Notant qu’ils sont « supérieurs aux nègres », il assigne aux « jaunes » la place de la « petite bourgeoisie que tout civilisateur désirerait pour base de sa société »30, industrieuse mais trop limitée pour la créer ou en prendre la tête.

Placée au sommet de la hiérarchie des races primitives, la race blanche se voit dénuée selon Gobineau d’un principe indispensable à l’épanouissement des civilisations, et plus particulièrement des arts, celui des sensations. Pour acquérir cette propriété, « cachée dans le sang des noirs »31, le métissage, auquel la nature civilisatrice de la race blanche la pousse infailliblement, s’avère indispensable : car si la race blanche est dépourvue des qualités sensuelles, la race noire manque pour Gobineau des « aptitudes intellectuelles » nécessaires à « la culture de l’art »32. Ce métissage a toutefois son envers : il « mène les sociétés au néant auquel rien ne peut remédier »33. Aboutissement de cette perte de vitalité causées par le métissage, la « démocratie égalitaire » apparaît comme le produit d’une passion pour l’égalité vers laquelle tendent naturellement les peuples dégénérés par les « apports des races étrangères »34. Le régime démocratique est ainsi désigné par Gobineau comme le cimetière des civilisations, dont la valeur dépend essentiellement de caractères héréditaires corrélés aux propriétés du sang35.

 

L’interprétation de l’Essai est extrêmement disputée : quand certains tendent à le ranger dans le seul champ de la littérature, le désignant comme une longue variation, qualifiée d’épopée36, sur le postulat inébranlable de la décadence de l’humanité, d’autres insistent sur son rôle dans la filiation des théories racistes.

L’ambition de Gobineau était de « faire entrer l’histoire dans la famille des sciences naturelles »37 ; il développa ainsi une sorte de « matérialisme biologico-historique »38 qui rejetait la catégorie humaniste abstraite de l’Homme pour faire de la race le déterminant principal du comportement humain39. Sa théorie ne reçut toutefois pas un accueil favorable des tenants de l’anthropologie physique qui dénoncèrent des développements fantaisistes et sans rigueur, eux qui entendaient fonder la « science des races » sur les méthodes des sciences naturelles.

Largement ignorées lors de la parution de l’Essai en France40, c’est en Allemagne que les théories de Gobineau suscitèrent le plus d’intérêt. Introduites par Richard Wagner dans sa revue Bayreuther Blätter, elles connaissent un certain écho dans les milieux wagnériens, notamment après la traduction de l’Essai par Ludwig Schemann (1899-1902). Houston Chamberlain, tout en s’emparant de son idée de race aryenne, se démarqua toutefois d’une théorie qui lui paraissait manquer de rigueur et qui, surtout, ne permettait pas de fonder la politique de « régénération raciale » dont il se faisait le promoteur. L’Essai de Gobineau, qui fait de la décadence de l’espèce humaine un destin inéluctable et même déjà partiellement accompli, ne contient aucun programme qui aurait pu inspirer directement les politiques eugénistes ou d’hygiène raciale, lesquelles s’imposèrent dans l’esprit des idéologues allemands et trouvèrent leur application dans les politiques nazies26.

La thèse de Michel Lémonon sur « Le Rayonnement du gobinisme en Allemagne »41 montre qu’en réalité, ce sont les œuvres littéraires de Gobineau qui assurèrent sa notoriété dans ce pays à une époque où elles étaient totalement ignorées en France. Les Nouvelles asiatiques et surtout La Renaissance connurent des dizaines d’éditions des années 1890 aux années 1920, et leur diffusion approcha voire dépassa les 100 000 exemplaires. Elles connurent par ailleurs de nombreuses adaptations scéniques voire lyriques42, qui firent de Gobineau un véritable auteur populaire. En dépit des efforts de Schemann, l’Essai n’avait quant à lui pas dépassé les 4000 exemplaires en 1939 – une grande partie d’entre eux ayant par ailleurs été achetés par son association, la Gobineau-Vereinigung, afin de les offrir aux lycées allemands.

Dans le contexte du développement de la pensée völkisch, les efforts publicitaires de Schemann devaient toutefois faire de Gobineau une figure tutélaire de l’idéologie racialiste, au prix de déformations ou de simplifications de sa théorie initiale43. Otmar von Verschuer, principal théoricien des politiques racistes du Troisième Reich loua ainsi son génie dans l’application de « la science raciale à la constitution historique des peuples et des États »44. En France, le crédit dont Gobineau jouissait en Allemagne contribua à son rejet par les nationalistes qui, comme Charles Maurras, voyaient en lui un avatar du « germanisme », si ce n’est du « pangermanisme ». Un mouvement inverse s’opéra pendant l’Occupation chez les collaborationnistes français qui tentèrent d’attribuer à la France, via la figure de Gobineau, la paternité du racisme allemand.

Après une vague de rééditions et de publications dans les années 1920 et 1930, la réception de Gobineau en France est brutalement compromise par son association au nazisme. Une tentative de réhabilitation naît progressivement après-guerre à l’instigation d’écrivains comme Jean Mistler puis Jean Gaulmier. Ce dernier, fondateur avec A. B. Duff de la revue académique Etudes gobiniennes et coordinateur des Œuvres de Gobineau dans la Bibliothèque de la Pléiade (3 volumes, 1983-1987), anime des recherches universitaires transdisciplinaires qui donneront lieu à une série de thèses ayant profondément renouvelé et approfondi la connaissance de son oeuvre et de sa pensée. Cette démarche tend à réduire l’importance du thème de la race dans la pensée de Gobineau (insistant notamment sur son absence totale d’antisémitisme), et à le comprendre comme un motif relevant de l’imaginaire de l’auteur (voir par exemple les travaux de Pierre-Louis Rey45).

L’interprétation de l’Essai sur l’inégalité des races humaines continue de faire débat. Le philosophe Christian Delacampagne émet ainsi de « sérieuses réserves » quant à la réhabilitation de Gobineau. Elle minore selon lui le fait que Gobineau est le premier auteur de cette importance chez qui le racisme constitue le centre de gravité de la pensée, et qui consacrera « la pièce majeure de sa production à l’exposé d’une théorie raciste »46. Sur la même ligne, le philosophe Jean-Paul Thomas estime pour sa part que « le racisme de Gobineau est éclatant, manifeste et central »47. Pierre-André Taguieff remarque qu’il apporta une « contribution décisive au racisme biologique » et à la construction du mythe aryen26. Léon Poliakov, commentant un ouvrage de Jean Boissel, l’un des principaux défenseurs de Gobineau, juge enfin que la « détestable gloire posthume » de Gobineau n’est « pas entièrement imméritée ». Moins que la hiérarchisation des races, très commune à l’époque de rédaction de l’Essai, ce sont l’« horreur des métissages », l’« eschatologie crépusculaire », « le culte […] d’une race d’homme immaculée et blanche » et le néo-paganisme de Gobineau qui peuvent expliquer l’attrait qu’il a exercé sur les théoriciens nazis48.

L’ethnologue Claude Lévi-Strauss estime de son côté dans Race et histoire que, dans le système de Gobineau, les races ne sont « pas tellement inégales en valeur absolue que diverses dans leurs aptitudes particulières ». Il reproche cependant à Gobineau son biologisme.49. L’historien des sciences André Pichot réfute au contraire que la notion de race chez Gobineau ait la moindre valeur biologique, et qu’on puisse en déduire des implications politiques.50

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13 Commentaires

  1. Pour en savoir plus sur la « question raciale, » il est tres instructif et divertissant de regarder les émissions de Jared Taylor( American Renaissance) sur you tube. « A Short History of US-Race Relations, » « Race differences in intelligence , » « What is race realism?, » « Race in Post-Racial America » sont tres bien faits. Et ses livres, comme « White Identity » ou « Paved with Good Intentions » sont également recommendables.

    • salut@Machinchose,
      j’ai trouvé deux noms, mais pas ceux de mes deux grand-mères qui sont probablement d’origine italienne,
      très intéressant, merci

  2.  » ce qu il a écrit a propos des Arabes et des Noirs, il vaut mieux ne pas le copier…ça peut être dangereux, toutes vérités n’ étant pas bonnes a dire  »
    Ah ! c’est si grave que ça ?
    ça éveille ma curiosité…

  3. J’aime beaucoup la comparaison avec les arbres, bonne rigolade,
    mais comme quoi, la nature a toujours raison

  4. Il y a même des médicaments racistes. En effet, je lis sur une posologie qu’il y a lieu d’adapter la posologie et donc augmenter la dose pour une personne d’origine africaine. Je savais le soja bon pour le jaune et pas bon pour le blanc mais ici il se confirme que nous ne sommes pas tous identiques et ne n’est pas moi qui le dit.

  5. J’avais jusqu’à une certaine époque trois bouleaux qui trônaient dans mon jardin. Quand je passais devant où à proximité, je toussais, éternuais sans arr$t et ùes yeux pleuraient.
    Un jour, mes voisins me voyant dans cet état, me proposèrent d’abattre les trois bouleaux. J’en parlais à mon frère et des problèmes que cela me posaient (éternument, toussotement, pleurs) et il m’autorisa à couper ces arbres dangereux pour ma santé. Je prévenais mes voisins pour leur dire qu’ils pouvaient agir et éliminer les bouleaux de mon jardin. Depuis, ma santé s’est améliorée et je ne tousse plus.
    A la place, un pommier m’a été offert par mes voisins et il donne de belles pommes à l’automne. J’ai même un jeune cerisier qui me donne de bonnes cerises…

  6. ce que je retiens des théories de Gobineau, et a propos des Hébreux, le Peuple Juif:
    « Et dans ce misérable coin du monde, que furent les Juifs ? Je le répète, un peuple habile en tout ce qu’il entreprit, un peuple libre, un peuple fort, un peuple intelligent, et qui, avant de perdre bravement, les armes à la main, le titre de nation indépendante, avait fourni au monde presque autant de docteurs que de marchands «
    ce qu il a écrit a propos des Arabes et des Noirs, il vaut mieux ne pas le copier…ça peut etre dangereux, toutes vérités n’ étant pas bonnes a dire
    et
    «  » il écrit « Et dans ce misérable coin du monde, que furent les Juifs ? Je le répète, un peuple habile en tout ce qu’il entreprit, un peuple libre, un peuple fort, un peuple intelligent, et qui, avant de perdre bravement, les armes à la main, le titre de nation indépendante, avait fourni au monde presque autant de docteurs que de marchands «
    ………et là, je cite Vercors, sur Dreuzz
    «  »La thèse de Gobineau repose sur l’existence de races humaines ( noire, jaune, blanche) chacune dotée de capacités inégales, et dont le métissage conduit à une inéluctable dégénérescence. Gobineau n’était pas antisémite et ne prônait pas l’extermination des races inférieures ou des Juifs; ce sont ses disciples les nazis qui s’en sont chargés. » »

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