Ils pendent les homos mais sont pédés comme des phoques

Non, non, ils sont pas homos, ils sont juste pédérastes, ou plus exactement pédophiles (puisque le sens étymologique de pédé(raste)  évolue et prend trop souvent le sens d’homosexuel). Et c’est seulement une coutume… C’est beau l’ouverture à la culture de l’autre, c’est beau le respect des traditions…

Christine Tasin

Afghanistan : une tradition permet de transformer de jeunes garçons en objets sexuels (VIDEO)

Appelée bacha bazi, cette coutume consiste à acheter des apprentis danseurs avant leur puberté et à les déguiser en filles pour qu’ils se produisent lors de soirées pour hommes. Souvent, ces garçons deviennent l’esclave sexuel de leur maître.

«Certains hommes préfèrent les garçons aux filles, c’est leur culture» explique à RT Japar, un ancien commandant afghan aujourd’hui retraité, et fournisseur de «bacha», ou garçons en farsi. 

Filmé par les équipes de RT, parties en Afghanistan enquêter sur cette coutume controversée, Japar plante le décor, et évoque sans tabou une pratique sanctionnée par le code pénal en Occident mais justifiée Afghanistan, au nom de la culture et de la tradition. 

Agés de 6 à 16 ans, les bachas bazi, littéralement «garçons-jouets» incarnent en effet le fantasme absolu de nombreux afghans. Cette coutume pédophile permet aux hommes, même mariés, d’assouvir leurs pulsions, tolérées envers les garçons même si le sujet est tabou, mais impensables sur de jeunes filles.

Fait étonnant : les adeptes de bacha bazi nient farouchement être homosexuels, même s’ils fantasment sur de jeunes garçons et couchent avec eux. «Etre gay est un concept occidental, c’est une revendication. Les hommes qui couchent avec des garçons ne sont pas forcément homosexuels. Dans le jargon, on les appelle les MSM [Men Sexually Involved with Men]», explique Qasim Iqbal, président de l’association LGBT Naz Pakistan, auteur d’un rapport sur le bacha bazi. 

Les bachas : un substitut aux femmes

En Afghanistan, la pratique d’un islam stricte et le respect des traditions limitent, voire interdisent, les interactions entre hommes et femmes, surtout dans les zones rurales où se déroulent la majorité des bacha bazi.

Les femmes, invisibles sous leurs burqas, inaccessibles et cantonnées le plus souvent aux tâches domestiques dans ces zones, représentent la mère, l’épouse convenable. Elles ne peuvent en aucun cas être l’objet de fantasmes, puisque leur rôle est avant tout d’assurer la descendance et de garantir l’honneur de la famille. Alors pour les fantasmes, il y a les jeunes garçons, pré pubères et imberbes, aux visages fins et aux poignets délicats, qui rappellent les filles. 

Chaque soir ou presque, au son des tambourins, un ou plusieurs bacha dansent, clochettes aux pied et maquillés de façon outrancière, devant une assistance composée exclusivement d’hommes mûrs barbus qui les dévorent des yeux et attendent avec impatience la fin de la soirée pour passer quelques heures avec le garçon de leur choix. 

La pauvreté, terreau de la prostitution infantile

Présentée comme une pratique culturelle, le bacha bazi s’inscrit néanmoins dans un contexte socio-économique marqué par les inégalités et la pauvreté. En Afghanistan, les bacha sont toujours issus des mêmes couches sociales : ce sont des enfants issus de familles trop pauvres pour subvenir à leurs besoins, ce qui les met à la merci des hommes de pouvoir, chefs de guerre ou riches hommes d’affaire, qui rôdent dans les villages à la recherche de nouvelles «recrues». 

Pour ceux qui dansent, c’est une question de survie : nourris, logés, et entretenus chez leur maître, sous le toit duquel ils cohabitent avec sa femme et ses enfants pendant plusieurs années, jusqu’à ce qu’ils soient jugés trop vieux pour être encore désirables, les bachas n’ont guère le choix. S’ils tentent de s’enfuir, ils risquent d’être retrouvés et tués par leur maître. S’ils partent, même avec le consentement du maître, ils retrouveront une vie misérable où chaque jour, ils auront faim. Alors certains, bon gré mal gré, se font à cette vie, qui leur permet au moins d’avoir le ventre plein et d’avoir un toit sur la tête. «Je veux être capable de m’assumer financièrement», explique Mohamed, un jeune bacha de 17 ans. «Je ne veux pas que les gens se disent que je suis pauvre», justifie-t-il. 

Vendus comme «apprentis» par leur familles qui feignent d’ignorer ce à quoi les acheteurs les destinent, danser et se prostituer devient un échappatoire à une vie misérable, même si le prix à payer est très lourd. 

Pour ceux qui exploitent les garçons, c’est à la fois un moyen d’avoir un esclave sexuel à domicile, mais aussi un signe de prestige : en Afghanistan, entretenir un ou plusieurs garçons permet de montrer qu’on a de l’argent. 

Pratique interdite… et pourtant intouchable

Si les adeptes du bacha bazi ont longtemps pu s’adonner à leurs soirées ouvertement, il n’en n’est pas de même aujourd’hui. La pratique a en effet été successivement interdite par les talibans après leur accession au pouvoir – paradoxalement, les talibans ont pourtant la réputation d’être en secret de grands amateurs et consommateurs de bacha bazi – puis par le gouvernement afghan.

Il s’agit donc de rester discret, car dans les faits, la coutume reste vivace : souvent impliqués dans les bacha bazi, les représentants des autorités et de la police poursuivent rarement les propriétaires comme ces «play boys» rendant le problème quasi insoluble. «En Afghanistan, si vous avez de l’argent, vous êtes intouchable», déplore Qasim Iqbal. 

https://francais.rt.com/international/26279-afghanistan–tradition-permet-recruter

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44 Commentaires

  1. Bien évidemment ces pratiques sont dégoûtantes,d’ailleurs ces peuples ne produisent que du négatif,quel que soit le sujet,ils n’ont aucune empathie,et donc aucune consideration pour l’etre humain.Toutefois,cet article soulève des problèmes qui existent également en France,et moi,en tant que médecin généraliste je ferais les remarques suivantes.La société française n’est pas parfaite non plus,même si c’est à des années lumières de ce qu’est l’Afghanistan.Par exemple la pédophilie existe et est répandue,elle n’est vraiment combattue que depuis quelques décennies,auparavant c’était le silence qui régnait.Il y a toujours le tourisme sexuel.La maltraitance a enfants également.Tout le monde connaît des histoires terrifiantes sur le sujet.L’etat,bien sur, ne peut pas tout empecher,mais pendant longtemps,l’enfant etait considere comme la propriete de ses parents.Il y a egalement la question de l’homophobie qui est une source de suicides chez des jeunes garçons,et des jeunes filles.Dans les revues médicales ,les psychiatres évaluent la population adulte homosexuelle à 10 à 12 pourcents,et,ils n’en parlent pas pour dire qu’il s’agirait d’une maladie mentale,mais pour dire qu’il y a chez eux un risque suicidaire 10 fois plus élevé que dans le reste de la population à cause de l’homophobie,c’est tout de même un comble dans un pays soucieux, jusqu’a l’obsession,des droits de l’homme.

    • L’individu ne compte pas dans les systèmes totalitaires qu’ils s’intitulent islam, communisme, fascisme. Ces idéologies de mort ne peuvent produire que du négatif. Les marginaux sont les plus vulnérables et font les frais d’un système juridique aussi douteux qu’expéditif tout en satisfaisant les pulsions sadiques des idiots utiles du système.
      En France et en Occident en général rien n’est parfait, mais les lois ont été modifiées pour que les homosexuels, entre autres, ne subissent plus de cruelles persécutions.

  2. Padamalgam voyons voyons, ça n’a rien à voir avec l’islam … quelle bande de sale pervers !

  3. Sylvie d.

    Le tourisme sexuel est un fléau mondial, mais seul l’islam autorise l’esclavage sexuel, la traîte d’êtres humains, et la pédophilie.
    L’islam est une secte dangereuse qui hypnotise ses adeptes au point de leur enlever toute possibilité de révolte face à un système parfaitement rôdé d’exploitation de l’homme par l’homme.

  4. En effet: “c’est leur culture, ça les regarde” CHEZ EUX ! ce qui est inacceptable c’est qu’on impose à notre culture des gens qui ont ce genre de culture – et que, pour comble, après, on s’étonne de leur comportement chez nous.

  5. Le paradis dans le coran sourate 51:
    « 22. Nous les pourvoirons abondamment des fruits et des viandes qu’ils désireront.
    23. Là, ils se passeront les uns les autres une coupe qui ne provoquera ni vanité ni incrimination.
    24. Et parmi eux circuleront des garçons à leur service, pareils à des perles bien conservées. »

  6. Mais soyons clairs, à mes yeux, ce viol de l’enfance est immonde et mériterait la peine de mort pour cette vie détruite.
    Leur pédophilie évidemment me répugne et me révolte.

  7. Personnellement, je vais choquer, mais il y a un aspect sur lesquels je suis totalement en phase avec eux, mais totalement, sans aucune mauvaise blague. Ils ont raison de ne pas se revendiquer homosexuels. Ils ne le sont pas. Leur pratique ne les définit pas. Ils peuvent avoir ces pratiques là, jusqu’au jour où ils se marient puis les abandonner. Cette pratique n’étant qu’une façon de régler leur frustration. Pour moi, c’est un point capital et positif : ne pas s’enfermer dans une définition identitaire qui corresponde à une pratique. Un homme qui vole de temps en temps est porté sur le vol, mais ce n’est pas une identité, c’est certes une seconde nature, mais ce n’est pas une identité. Je sais que peu de gens établissent la nuance entre « seconde nature » et « identité » mais elle est bien réelle : un toxicomane consomme de la drogue, c’est une addiction qui lui colle à la peau, qui le mènera éventuellement à la tombe, mais ce n’est pas une identité, c’est-à-dire que ce n’est pas ce qui le définit. Homme ou femme sont des identités. Une nationalité ou une appartenance ethnique peut constituer une identité, mais pas une « habitude de consommation » que ce soit pour les choses de la chair, ou que ce soit pour son alimentation. Il n’y a, de mon point de vue, pas de personnes homosexuelles ou hétérosexuelles. Il y a des pratiques homosexuelles ou hétérosexuelles, c’est très différent.

    • Je suis d’accord avec vous sur les pratiques des Afghans qui ne sont pas plus homo que d’autres. Leur frustration sexuelle est telle qu’ils doivent l’assouvir d’une façon ou d’une autre. Les femmes sont inexistantes dans ce pays avant le mariage. De plus, ces hommes se marient souvent tard puisqu’ils n’ont pas les moyens d’acheter les présents qu’ils doivent offrir à la famille de leur promise.
      Par contre, je ne suis pas du tout d’accord sur votre dernière phrase  » Il n’y a, de mon point de vue, pas de personnes homosexuelles ou hétérosexuelles. Il y a des pratiques homosexuelles ou hétérosexuelles, c’est très différent. » J’ai des amis homosexuels. Ce n’est pas un choix de vie ni une pratique homo choisie. Ils sont incapables d’avoir des relations avec une femme. Avoir des amies femmes ne leur pose pas de problème, mais avoir des relations intimes avec elles n’est pas possible. Ils sont comme ça, c’est tout. Demandez à des homosexuels de vous expliquer ce qu’ils ressentent.

      • Merci Sylvie de votre commentaire. Je n’ai pas, comme vous, ce retour d’expérience de personnes qui ont ce vécu. Cependant, je pense que d’un point de vue existentiel, l’étiquetage « homosexuel » ou un autre étiquetage qui se voudrait « identifiant » c’est-à-dire statuant sur l’essence d’une personne est faux et problématique.
        C’est un peu long à expliquer mais disons qu’à partir du moment où vous « identifiez » une personne, alors vous l’enfermez ad vitam eternam dans ce qui n’était peut-être qu’un écart passager. J’avais été très perturbé par le témoignage de femmes ayant été victimes de « tournantes ». Quelques unes d’entre elles avaient pris ce chemin étrange, par la suite, de faire des films pornographiques; Comme si elles donnaient raison à postériori, à leurs agresseurs qui les avaient rabaissées au rang de « choses sexuelles ». Le regard de l’autre (ou pour les viols en réunion de dix ou vingt autres) devient votre « miroir ». L’image qu’ils vous renvoient de vous-même, vous l’intériorisez (« vingt personnes unanimes pour me voir comme une p..e ne peuvent pas avoir tort »), vous définit et vous enferme. Cela devient votre essence. Un jeune homme en quête d’une image paternelle et qui sera abusé par un manipulateur qui lui donnera cette relation paternaliste bienveillante (pour en réalité obtenir « autre chose ») enfermera ce jeune homme dans une « définition » de lui-même qui est un mensonge, mais ce mensonge servira alors de « self-fulfilling prophecy », (prophétie qui se réalise d’elle même). On voit la même chose avec bon nombre d’enfants : si on leur répète suffisamment longtemps qu’ils sont des incapables, alors ce diagnostic se réalisera de lui-même.
        On voit clairement dans le monde musulman, que des personnes ont temporairement des pratiques sexuelles entre hommes, qui disparaîtront avec leur mariage, simplement du fait qu’ils n’ont jamais considéré que cela les définissait. Ils ont donc emprunté, après mariage, une autre voie.
        Les lobbys gays ou autres discriminés (on parle beaucoup de grossophobie en ce moment), par militantisme, sont intéressés à priver leur « membres » de rélle liberté et préfère jouer sur une soi-disant identité qui définit alors tout un groupe, de manière le plus souvent abusive. On peut être gros toute sa vie. On peut aussi, malgré une prédisposition génétique, décider d’adopter une alimentation différente : l’obésité est une « épidémie » récente qui n’existait pas en tant que telle (en tant qu’épidémie) dans les siècles précédents.

        • Qu’il y ait un lobby gay stupide on est d’accord, il n’empêche que, sur toute la planète, quel que soit le pays, quelle que soit la civilisation, quelle que soit la religion du pays, il y a un pourcentage ( que j’ai oublié 0,6 pour cent je crois ) d’homos…

          • Christine, je ne sais pas ce qu’il en est de ces études, je sais qu’il en existe de nombreuses et que ce domaine est souvent piégé (car le militantisme l’investit, un peu comme l’encyclopédie « objective » Wikipedia), mais j’ai tendance à abonder dans votre sens, je crois que le fameux « one in ten » est du pur pipeau et votre chiffre bien plus crédible (les chiffres ronds, comme 10% allument toujours chez moi, un voyant rouge). En fait, je me rends compte que je parlais d’accident, au sens originel versus essence.
            Les lobbys « communautaires » bidons sont intéressés à transformer l’accident en essence et c’est très exactement un des sens de la Gay Pride : « aider » les personnes en question à sauter le pas, à « sortir de l’armoire » et se définir comme tels publiquement.
            A cet égard, un point très intéressant est le récit biblique et la tradition orale juive concernant Sodome et ses habitants.
            La question de leur pratique sexuelle est très secondaire dans le récit biblique et dans le midrash : le point central de ce monde qui sera détruit par D.ieu est leur fermeture, leur matérialisme extrême (c.-à-d. le culte de la richesse). En gros, dans la tradition juive, Sodome pourrait se résumer par « à mort les pauvres ! ». Et le reste en découlerait, à savoir un contrôle des naissances pour conserver ce niveau de vie, tout à fait comme la Chine actuelle avec sa politique de l’enfant unique pour devenir économiquement performante.
            Dans les deux cas, la même ambition économique générera des comportements asociaux : en Chine, on peut s’attendre à la formation d’une humanité auto-centrée du fait de l’absence de fratrie dans laquelle grandir, à Sodome, les mêmes ambitions induisaient des effets secondaires sur le plan des relations entre hommes (et encore, dans l’épisode biblique, la question du viol des hommes hébergés par Loth tient plus dans la volonté de « punir », de « donner une bonne leçon » que dans la rercherche de plaisir).

          • Bien sûr, on ne pas nier qu’il y a des homosexuels partout dans le monde. Est-ce un problème génétique ? Un problème au niveau du cerveau ? Je crois qu’on n’en sait rien. C’est comme les gauchers. Pourquoi certains ne sont pas comme les autres ?
            Dans des sociétés civilisées comme la nôtre, ils sont acceptées mais cela n’a pas toujours été le cas…. Dans d’autres pays, malheureusement, ils sont interdits. Alors que ce n’est pas un choix de vie, ni une déviance.
            On peut se demander pourquoi ceux qui ne sont pas comme tout le monde dérangent ? La peur de la différence, donc de l’inconnu, parce qu’on ne les comprend pas ?

        • Je comprends ce que vous voulez dire Pikachu. On a vite fait d’enfermer les gens dans des cases et de leur coller un étiquette. Mais ces groupes ou associations, tels que les groupes d’obèses, ont aussi une certaine utilité pour ces gens qui se sentent mal dans leur peau et sont malheureux. Se retrouver et parler de leurs problèmes leur permet de s’accepter tels qu’ils sont parce qu’ils ne sont pas seuls. Ceux qui sont à l’aise avec leur problèmatique n’ont pas besoin de ces groupes.
          À propos des homosexuels, certains n’ont pas besoin d’étiquettes ni de faire partie de groupes. Ils sont à l’aise avec ça et vivent en couple normalement. Mes amis vivent ainsi et rien ne les définit comme tel.
          Il y en a d’autres qui se collent eux-mêmes une étiquette. Ils sont manièrés et cherchent à faire ressortir leur côté féminin. C’est ridicule ! Mais ils ont besoin d’être reconnus en tant qu’homo par la société.
          Le lobby gay est très important et a un certain pouvoir. Sans lui, il n’y aurait jamais eu de mariage pour tous.

          • @Sylvie d.

            La problématique de l’inversion a été retenue (entre autres) car les tendances « homosexuelles » apparaissent très tôt dans la vie bien avant la puberté. Souvent les homosexuels sont l’objet de rejets et moqueries sans qu’ils aient passé à l’acte.
            La condamnation de l’homosexualité commune à plusieurs sectes (protestants évangéliques) relève donc de la pure injustice puisque les homosexuels ne peuvent pas (plus que les autres) réprimer l’instinct de procréation.
            Un véritable homosexuel accepte son sexe biologique, mais n’éprouve pas d’attirance pour le sexe opposé mais pour les personnes de son sexe, et l’asexuel n’éprouve aucun désir pour les deux sexes https://www.allodocteurs.fr/sexo/l-asexualite-l-absence-de-desir-envers-les-autres_10388.html.

  8. leur paradis selon leur
    coran :

    sourate 52, verset 24 :  » Et parmi eux circuleront des garçons à leur service, pareils à des perles bien conservées.  »
    sourate 56, verset 17 :  » Parmi eux circuleront des garçons éternellement jeunes, »
    sourate 76, verset 19 :  » Et parmi eux, circuleront des garçons éternellement jeunes. Quand tu les verras, tu les prendras pour des perles éparpillées. »

    ( https://www.coran-francais.com/ )

    • Tu sais, un jour j’ en parlais avec une amie d’ origine Syrienne, chrétienne, et professeur d’ arabe dans un quelconque établissement du 95
      sa réponse m’ époustoufla

      ça ne la choquait pas du tout et elle se mit a m’ expliquer qu en ces temps là c’était un « don » de grand choix,me dit elle, comme si aujourd’ hui on te promettait une Ferrari au Paradis, avec l’ essence gratuite……et qu il fallait que je me mette dans l’ esprit de l’ époque….

      Bigre!!

      heureusement qu on n’ est pas remonté a Homo Faber pour qui un semblable était un kazdal de choix 😆

  9. Pour donner un point de vue sur la chose et faire court :
    Ce sont les conséquences d’ un rejet voire d’un interdit radical de la femme et l’ homosexualité consécutive qui en découle car chez ces primitifs il n’y a que la mère ou la putain tout cela est associé aux représentations qui circulent et qui ne sont pas remises en cause depuis des millénaires et qui perdurent dans la transmission phylogénétique.

    Enfin, on peut décrire le développement de la sexualité humaine à partir de deux points fondamentaux :
    Le premier qui est la différenciation sexuelle cad la perception que le petit garçon n’est pas fait comme la petite fille dés que le petit enfant peut s’en rendre compte vers l’âge de l’école maternelle par exemple au moment du pipi,
    et la seconde période qui est bien entendu marqué par la puberté ou la poussée instinctuelle de la préadolescence va chercher un objet pour sa satisfaction pulsionnelle. Les paroles tenues sont essentielles pour l’humanisation ( et pas l’oumanisation )
    Dans nos sociétés la réalisation sexuelle est repoussée grace aux disciplines scolaires sportives qui permet des investissements culturels et un retard de la réalisation génitale ( qui se rapproche de plus en plus de l’âge pubère vu le niveau culturel dans lequel on baigne ) c’est d’ailleurs pour cela que nous ne sommes pas des primitifs.
    Eh bien chez ces peuples il n’y a rien de tout ça

  10. Reportage de France 5 diffusé en 2010.

    https://tune.pk/video/3592952/islam-pedophilie-12-esclavage-barbarie-bacha-bazi-bacha-bereesh

    https://www.youtube.com/watch?v=Bb2g-s7c30w

    Il y a quelques années, j’avais lu qu’une fusillade avait éclaté dans un commissariat de police en région éloignée. Résultat : plusieurs policiers morts et blessés par des tirs de fusils mitrailleurs. Cause : Dispute entre les policiers qui se battaient pour passer la nuit avec le bacha du commandant, ce dernier étant parti en ville rencontrer ses supérieurs.

    Le bacha bazi n’est pas une pratique répandue seulement en Afghanistan.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Bacha_bazi

        • Oui, mais j’ai connu des coutumes en Afrique qui nous feraient sortir les yeux de la tête. D’autres pays, d’autres mœurs, et il n’est pas question qu’ils nous imposent leur façon de vivre.

          • Oui, c,est surtout ça le problème ! Qu’ils ne nous imposent pas leurs traditions ! Leurs coutumes, chez eux, je m’en fiche !
            Bien sûr, je trouve çà ignoble, mais la prostitution des jeunes garçons existe aussi ailleurs, la Thaïlande, par exemple, où de nombreuses personnalités masculines françaises se rendent régulièrement pour assouvir les pulsions qu’ils ne peuvent soulager en France…..
            Cette prostitution n’est pas réservée à l’Islam, mais si cela se pratique plus chez eux….

  11. Il n’y a pas qu’en Afghanistan que cela se passe , cela semble culturel . On a décidément pas les mêmes valeurs . Gardons les nôtres , si ces coutumes arrivaient chez nous ! Peut -être que c’est fait .

  12. Je mettrais bien un véritable phoque mâle a la place des jeunes « danseurs » pour voir si ces dépravés vont ensuite essayer de jouer a main chaude avec lui …il risque d’y avoir de la bidoche collée aux murs !

  13. L’occupation turque en Grèce a fait le bonheur des occupants turcs qui avaient chacun leur jeune garçon attitré.
    Relire « Les frères ennemis  » de Kazntzakis .

    • la « devchirmé » fut l’ âge d’ or pour ces pratiques ignobles dont les jeunes grecs enlevés faisaient les frais -voir google-

      ces garçons étaient convertis et adultes versés dans le corps d’ élite des Janissaires
      imaginez ce que devaient rééditer ces hommes ayant été violés adolescents par les Turcs

  14. « Pédés comme des phoques … »
    Il ne s’agirait pas de phoques mais de focs . Sur un voilier , la voile triangulaire de l’avant s’appelle foc , et est suivie de toutes les autres à son derrière . D’où l’expression par les marins initialement : « pédé comme un foc . »

    • oui c’est une des interprétations mais l’un et l’autre se disent et s’écrivent et celle que j’ai adoptée est plus claire pour la plupart des gens qui ignorent le mot foc, pas plus clair que l’autre pour expliquer la chose

    • on dit comme un phoque car souvent les phoques en manque violent des pingouins, j’ai vu quelques vidéos de phoques se tapant un pingouin, avant de le bouffer je pense….

  15. Et après on me parlera du vivre ensemble et du multiculturalisme. C’est cette secte nauséabonde et satanique qui est en train de dominer l’Europe par l’intermédiaire de nos gouvernement traître et vendu. Quelle honte.

  16. Eh! pas de femmes, pas de prostituées,les chèvres et les ânesses au bout d’ un moment ça va bien….

    alors? hé bé alors on encule les jeunes garçons…

    ça existe aussi au Maghreb, sans prendre l’ allure que ça atteint en Afghanistant ( tu penses aux valeureux Afghans, décrits par Joseph Kessel, dans son roman « les cavaliers »…les héros du Bouse-Kachi…bouze kachi…..baise bouzouk,….bachi bouzouk…Bacha bazi…..pacha baiseur …..

    que du baize et Zouk!

    dégénérés!

    je me souviens il y a quelques années d’ un reportage d’ une chaine française dans ce pays de merde et de l’ effarement du reporter qui se faisait peloter le cul par trois afghans hilares derrière lui
    l’ histoire ne dit pas s’ ils ont conclu 😆
    mais ça te donne une idée des ces rats pour qui « a hole is a hole »
    tu rêves de voir un et pourquoi pas plusieurs champignons atomiques sur Kaboul et le reste

    on finira bien par y arriver……………….y a trop de monde de toutes façons pour la planète qui n’ en peut plus, alors commençons par les nuisibles

    PS: la pire de toutes les conneries on la doit aux Occidentaux qui ont appris a ces cloportes les bienfaits de la médecine et des médicaments, détruisant a jamais les si utiles sélections naturelles qui laissaient deux momes survivre sur une dizaine de naissances

  17. apres cela ces sous merdes s’étonnent que l’on puisse les mépriser et les détester voir les haïr. et c’est nous qui sommes traités de barbares par ces detritus….

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