Systématiquement et sans répit, les gauchistes essaient de multiples façons d’écarter du champ culturel ceux dont ils ne veulent pas, ceux dont ils n’apprécient pas les idées. Le brouhaha ridicule lors de ma venue à Stanford, n’est qu’un autre exemple de ce phénomène : les gauchistes sanctionnent l’opposition à la terreur djihadiste, alors qu’ils s’entendent pour la soutenir (comme Aarab Barghouti et Mads Gilbert qui se sont exprimés à Stanford). Cette attitude est inqualifiable, mais l’intelligentsia gauchiste est de mèche avec les suprémacistes islamiques, et est déterminée à marginaliser et à bâillonner tous les dissidents.
Leur but ne se limite pas à nous réduire au silence, mais en tout premier lieu les gauchistes voudraient que nous n’ayons jamais existé – que ceux qui n’approuvent pas leur politique soient, et cela depuis toujours, écartés de l’espace publique, que leurs discours ne soient pas et n’aient jamais été entendus, qu’ils n’aient pas et n’aient jamais eu de supporters. Le projet des gauchistes est de démotiver ceux qui partagent nos points de vue, en leur donnant l’impression d’être isolés et anormaux, et que personne sur Terre ne se lèvera pour faire entendre leur voix. Ainsi, le livre de Pamela Geller a été exclu de la liste des bestsellers parue dans le New York Times, bien que ses ouvrages se vendent bien mieux que d’autres présents sur la liste. Les éditons Regnery qui ont publié dix de mes livres, ont cessé de se référer au New York Times, parce que ce n’est pas la première fois que ce journal pratique cette politique d’exclusion. Si on prend en compte le monde de la culture élargie, les humoristes qui se produisent en fin de soirée sont tous de gauche, les acteurs célèbres sont tous de gauche, les principaux porte-parole de pratiquement toutes les organisations ayant pignon sur rue sont de gauche, et tous phagocytent l’espace publique, ne laissant que très peu de place à ceux qui ne partagent pas leurs opinions.
Rien de nouveau sous le soleil. Déjà en 1952, lorsque la politologue allemande naturalisée américaine Hannah Arendt, préparait sa cinglante critique du livre autobiographique de Whittaker Chambers intitulé Witness (témoin) [NDT : Whittaker chambers après avoir été un membre du Parti communiste des États-Unis et espion soviétique, a renoncé au communisme et y est devenu un opposant sans réserve. Il a témoigné dans le procès pour parjure et espionnage d’Alger Hiss.], ouvrage qui est devenu rapidement un symbole du conservatisme contemporain, la romancière Mary McCarthy écrivit à Arendt, que l’œuvre de Whittaker Chambers Témoin « n’est pas qu’un simple livre. Cette nouvelle droite cherche à se faire accepter comme étant [une droite] ordinaire, et veut que ses publications soient considérées comme normales … et tout cela doit être étouffé dans l’œuf si tant est que cela ne soit pas déjà trop tard. Qu’en penses-tu ? Je sais que tu es d’accord sur le principe, cependant il reste à savoir comment nous allons nous y prendre. ».
Après toutes ces années, Mary McCarthy a fait des émules qui essaient encore maintenant « d’étouffer dans l’œuf » toutes les opinions contraires aux leurs.
« Le New York Times refuse d’inscrire le livre de Pamela Geller dans sa liste des bestsellers », Milo le 13 novembre 2017 :
Le New York Times ne cache pas ses choix politiques en refusant d’inscrire l’ouvrage de Pamela Geller : Fatwa: Hunted in America (Fatwa : être traqué aux Etats-Unis), dans sa liste (qui fut un temps prestigieuse) des meilleurs ventes de livres reliés de « non-fiction ».
Hillbilly Elegy et Why We Sleep (respectivement à la 14 ème et 15 ème place) figurent sur la liste des bestsellers du New York Times ce qui n’est absolument pas le cas de Fatwa: Hunted in America.
La raison de ce choix est simple : le New York Times est sélectif quand il procède à l’élaboration de la liste des bestsellers, il omet d’y inscrire les livres que les rédacteurs du magazine ne veulent pas promouvoir.
En septembre, les éditions Regnery (orientation politique : conservateur) ont rompu toutes relations avec le New York Times soupçonné de partialité du fait de son orientation politique à gauche.
Le Washington Times rapporte que les éditions Regnery ont décidé de se fier au magazine hebdomadaire américain Publishers Weekly, pour déterminer le succès d’édition d’un bestseller. Les éditions Regnery n’autorisent plus les auteurs qu’elles publient à figurer sur la liste des meilleures ventes du New York Times, ni de citer les critiques positives sur leurs œuvres parues dans ce journal.
Marjy Roos, directrice des éditions Regnery, a publié un communiqué : « De plus en plus il apparaît que le New York Times constitue sa base de données sur les ventes de livres en privilégiant les ouvrages politiquement de gauche aux détriment des ouvrages de droite. Ce mode de sélection a abouti à l’élaboration d’une liste de bestsellers de moins en moins pertinente pour nos lecteurs, et elle n’est pas représentative des succès d’édition aux États-Unis indépendamment des choix politiques de chacun. ».
Le New York Times nie ces accusations, affirmant que les rédacteurs du magazine ont reconnu, du moins dans le passé, les écrivains conservateurs à leur juste valeur. Un porte-parole du journal a déclaré que les listes de bestsellers sont également établies en collaboration avec des librairies.
Jorden Cohen, porte parole du New York Times, a déclaré à l’Associated Press : « Les opinions politiques des auteurs n’ont aucune incidence sur le classement dans la liste des meilleures ventes que nous publions « , ajoutant que ces allégations de partialité politique étaient « tout simplement ridicules« .
Peu importe, comme le rapporte le Washington Times, ses propos sont vains si on prend en compte la politique du journal, qui ces dernières semaines, voire ces derniers mois, a été anti-Trump, pro-islam, contre Israël et notoirement raciste.
Le New York Times a publié des éditoriaux sur des terroristes qui ont été l’objet de condamnations comme Marwan Barghouti, qui a écopé de cinq peines à perpétuité en Israël pour sa participation à une attaque terroriste qui a fait cinq victimes. Ce week-end, le journal a publié une tribune sur un professeur noir qui excluait toute amitié entre Afro-Américains et Blancs [maintenant que Trump est président] …
Robert Spencer
Traduit de l’anglais par Lavéritétriomphera.
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C’est incroyable que des deux côtés de l’atlantique, on retrouve les mêmes enflures, les mêmes butors, acharnés à détruire notre civilisation et toutes les valeurs qui ont présidé à sa construction,
et toute cette haine déversée contre les malheureux qui essaient de résister à cette mise à mort systématique, orchestrée, et à l’instauration de l’islam en remplacement.
C’est tout le travail de leurs ancêtres qu’ils veulent mettre à bas, c’est le reniement de leur lignée, c’est le renoncement à être soi-même, au profit de l’autre, cet inconnu islamisateur et destructeur
C’est une folie collective et communicative, un très grand danger que nous allons subir tous ensemble, malheureusement
N’ayant pu anéantir, par eux-mêmes, notre système de société qu’ils détestent (on se demande bien pourquoi …la haine de soi ?) lequel s’est construit autour des valeurs judéo-chrétiennes, toute cette gôchiasse friquée a trouvé une masse de supplétifs qui fera le travail à sa place : les fous d’allah ….
Alors, n’allez pas leur demander de faire figurer dans la liste des best sellers les ouvrages qui viennent justement dénoncer cette co-allahboration ….
Ce n’est pas faux d’accuser la gauchistes. Mais c’est extrêmement simplificateur, la situation est bien plus grave que cela. Le New York Times est avant tout au service des la propagande de ses actionnaires qui sont des grandes .groupes mondialistes donc immigrationistes et islamophiles.
Haa Clint Eastwood dans « Gran Torino »…
ce véritable torche-fesses new yorkais est le pire gaucho connu
un frère jumeau de Haharetz en Israel
fondé par un Juif (bien sur) mais une variété de Soros de l’ époque!
toujours entre les mains de la même famille
http://www.noemiegrynberg.com/pages/genies-juifs/adolph-simon-ochs-l-empire-de-presse-du-new-york-times.html
…. a tout hasard, Pamela Geller est également Juive!
une preuve que les contaminés par le Gauchisme ne respectent rien! absolument rien!
le NYT a plus souvent encensé les terroristes palestiniens que les patriotes israéliens
toujours présent pour cracher sa haine de l’ état juif…et de tout ce qui ressemble au patriotisme, au nationalisme
un veritable empire gigantesque et teigneux!
Robert Spencer, Pamela Geller, Brigitte Gabriel, Waffa Sultan, etc… etc… font un boulot formidable, mais aucun de leurs articles ne parait dans le torchon gauchiste New York Times qui, il y a quelques semaines, réservait une page entière de publicité à un mouvement contre Trump dit « antifasciste » avec un lien pour s’inscrire. J’ai arraché la page et l’ai donnée à un ami américain activiste. Merci Lavéritétriomphera pour cette traduction.
Les liens ne paraissent pas c’est dommage.
c’est corrigé
Merci car c’est un important travail de mise en page. On m’a reproché sur un autre site de balancer des propos odieux sur la toile sans citer mes sources. Reproches qui ont également été adressés par voie de conséquence à RR.
Les méthodes de contamination dont un dissident ex-espion expliquait le mode et les effets produits sur le commun des mortels (vidéo que vous aviez diffusée en son temps) ont donc connu un grand succès. Puisque nous pouvons en vérifier les excès aujourd’huien occident, en constatant l’impact de ce néobolchévisme sur les esprits. Esprits faibles qui sont hélas trop nombreux et qui peuvent empêcher ceux qui possèdent encore le « discernement » d’agir Mais en général, ceux qui possèdent le discernement, possèdent aussi « l’acharnement, le bon Soyons tous des acharnés.
J’ajoute que ce dissident dont je parle plus haut était un ex-espion soviétique. Petit oubli réparé.
On ne comprend pas qui parle dans cet article… Qui en est l’auteur, l ersonne qui parle de sa « venue à Standford » ?
j’ai ajouté le nom de l’auteur Robert Spencer