Je défie l'artiste Asad Raza d'installer un court de tennis dans une mosquée, comme dans l'église San Paolo

Messieurs les zartistes, allez donc faire ça dans une mosquée !

« Un artiste a transformé le sol de l’église San Paolo Converso de Milan en un court de tennis où tout le monde peut jouer. Créé par l’artiste new-yorkais Asad Raza, le sol, le filet, les raquettes, les balles de tennis, le thé glacé et les entraîneurs font partie d’une œuvre d’art interactive intitulée Untitled (Plot for Dialogue), qui encourage les visiteurs à jouer au tennis. Le but de Raza est de remplir l’espace d’une nouvelle pratique sociale, non de recevoir des messages d’en haut, mais de s’engager dans un échange et un jeu d’égal à égal.
Le but de Raza ( le zartiste ) est de remplir l’espace d’une nouvelle pratique sociale, non de recevoir des messages d’en haut, mais de s’engager dans un échange et un jeu d’égal à égal. » http://www.20minutes.fr/insolite/diaporama-3065-bizarre-dit-bizarre

Messieurs les zartistes, c’est trop facile !
Vous n’avez pas de c…… !
Vous ne feriez même pas le centième de ça, ni à l’intérieur, ni même à proximité d’une mosquée.

Moi, qui ne suis ni chrétien ni croyant, nom de dieu , je ne supporte pas !

Note de Christine Tasin

Les lâches ! Ils tirent sur des ambulances en se prenant pour des rebelles. Mais en se gardant bien de toucher à l’islam, le vrai, danger.

Les municipalités et Etats d’Europe dépensent un argent fou (merci le contribuable ) pour construire des courts de tennis, pour les mettre à disposition des citoyens, mais cela n’a aucun intérêt. 

Le seul intérêt pour ce crétin de Raza, ce pauvre type, qui ne jouit que de s’en prendre au christianisme, c’est de régler ses comptes avec Dieu sur un court de tennis blasphématoire dans un lieu sacré pour les chrétiens. 

La gueule d’Asad Raza ?

Connard ! Et c’est une athée qui le dit. 

Le pire ? C’est que cet imbécile est sans doute fortement subventionné pour ce qu’il fait…

Pour en savoir plus sur le guignol, de nationalité américaine  :

Marqué dans ses jeunes années par une exposition de l’artiste conceptuelle américaine Jenny Holzer à la Albright Knox Art Gallery de sa ville natale, Buffalo, NY, Asad Raza (1974) développe depuis un travail fait de collaborations pour repenser l’apprentissage à travers l’art et les moyens d’expérimenter dans un contexte artistique. Asad Raza se situe à l’intersection des disciplines artistiques. Des disciplines qu’il explore après des études en littérature et en cinéma, une brève carrière dans l’industrie du film – il réalise toujours avec sa sœur Alia Raza – et comme journaliste sportif spécialisé dans le tennis. Des disciplines avec lesquelles il ne cesse de jouer, en incessant inspiré devenu inspirateur.

Producteur de Tino Sehgal (Guggenheim, New York, 2010 ; Palais de Tokyo, Paris, 2016) Asad Raza est aussi curateur avec, notamment, un Home Show sur rendez-vous en décembre 2015, dans son appartement new-yorkais. Il s’occupe en outre du programme artistique de la Villa Empain – Fondation Boghossian à Bruxelles (Mondialité, en collaboration avec Hans Ulrich Obrist). Artiste également, Asad Raza a développé ces dernières années des pièces remarquées, que ce soit son projet inspiré du dieu grecque Pan lors de Frieze London en 2015 ou, désormais, au Whitney Museum of American Art, avec Root Sequence. Mother Tongue. Pour cette dernière, vingt-six arbres disposés dans des boîtes de bois clair sur une moquette cramoisie sont répartis dans une pièce aux larges volumes, une baie vitrée en ouverture. Des arbres sélectionnés pour leur singularité, comme autant d’organismes dont prennent soin des horticulteurs et les différents médiateurs qui se relaient. Arbres et personnes coexistent dans cet espace éclairé par des lampes ultraviolettes permettant aux arbres de poursuivre leur croissance – plus d’un mètre après un mois de biennale. Root sequence. Mother tongue agit, par la configuration spécifique des végétaux dans  le Whitney Museum, sur l’attention que les visiteurs vont porter aux nombreux détails.

Comment maniez-vous vos activités de producteur, dramaturge, artiste, éditeur, écrivain, etc. ?

« J’exerce des compétences proches dans chacune de ces fonctions. Il y a une certaine similarité puisqu’à la fin, il y a toujours une exposition. J’ai fait des expositions de différentes manières : d’abord comme producteur, ensuite impliqué dans des expositions collectives puis, ces dernières années, comme artiste. Je m’intéresse au moment, à l’expérience du moment, à l’expérience de choses artistiques et ce que cela peut déverrouiller, ce que cela peut rendre possible. J’aborde cela de différentes manières sans me limiter à un seul format. Jusqu’à récemment, les personnes de l’art étaient souvent identifiées par une seule activité et cela, je pense, change petit à petit.

L’important travail éditorial que vous menez est une manière d’archiver certaines de ces activités, de prolonger leur existence. Vous avez déjà publié plusieurs livres cette année…

« (Rires) Cela est plus difficile qu’il n’y paraît. J’ai publié quatre ouvrages en lien avec les quatre expositions que j’ai monté à la Villa Empain – Fondation Boghossian. J’ai fait une exposition nommée Répétition [avec Nicola Lees], puis Décor, avec Tino Sehgal et Dorothea von Hanthelmann, sur l’art contemporain comme décoratif. La troisième, plus petite, était une exposition de peintures Zen, Seeing Zen, et la quatrième, curatée avec Hans Ulrich Obrist, Mondialité, est à propos d’Édouard Glissant. J’ai fait les photographies et le travail d’édition pour ces livres. J’ai aussi fait des livres de coloriage pour le Whitney Museum ainsi qu’un livre à partir de mon « Home show » [Asad Raza, The Home Show, 2017]. Les livres peuvent être forts par leurs côtés immersif et portable.

Votre travail en général est une réflexion sur les façons d’attirer l’attention du visiteur ou, au contraire, de la détourner. Pourriez-vous m’en dire un peu plus ?

« Vous prêtez une attention différente à Root sequence. Mother Tongue au Whitney qu’à une peinture au mur. En ce qui concerne la peinture, vous êtes supposé regarder droit devant et penser à la composition mais si vous allez dans l’installation conçue pour la biennale, tout ceci est moins clair. C’est autour de vous, c’est cette personne vous parlant, c’est l’odeur des parfums élaborés avec ma sœur Alia Raza [qui a cofondé avec Ezra Woods la marque de parfums « Régime des Fleurs »], votre interaction avec les arbres, la manière dont ils vous procurent une sensation. C’est intéressant que l’espace promeuve une autre appréhension, peut-être moins rationnelle, moins critique ; une expérience lors de laquelle vous n’êtes pas obligé d’émettre un jugement à propos de tout immédiatement.

Dans Root sequence. Mother Tongue, comment avez-vous envisagé l’intervention des médiateurs ?

« Je voulais que le soin des arbres prenne place dans le musée et aux horaires d’ouverture. Cependant, je ne voulais pas que les personnes qui prennent soin des arbres soient là uniquement pour informer sur les arbres et la manière d’en prendre soin. Je voulais qu’elles prennent de l’importance comme individus.

Les situations de Tino Sehgal portent sur l’humain, seul, en interaction dans l’espace. Pour cela, il élimine tout le reste, enlève tous les objets, pour qu’il n’y ait plus que des personnes en interaction. Dans Root Sequence. Mother Tongue, il y ces arbres, il y a ces boîtes, il y a ce tapis. La médiation est un élément dans un ensemble d’éléments.

Le musée est ici utilisé pour attirer l’attention sur la croissance des végétaux et l’implication de l’humain dans un environnement. Certains des arbres peuvent vivre plusieurs centaines d’années, comme le Black Gum Tree. Ces arbres sont en pots et peuvent donc, contrairement à des fleurs coupées, être replantés. L’accent est mis sur l’expression « art vivant » : ces arbres continueront à croître après la biennale.

Comment vos projets vont-ils évoluer ?

« Toutes les semaines, j’organise des conversations au Whitney jusqu’à mi-juillet en lien avec Root sequence. Mother Tongue. J’ai demandé à des personnes qui m’ont influencé ou dont le travail m’intéresse de parler avec moi. C’est une manière de dire, à la suite de Philippe Parreno, dont l’exposition au Palais de Tokyo [Anywhere, Anywhere Out of the World, 2013/2014] incluait des œuvres d’autres artistes. Non pas comme un groupe show, mais pour dire « Il n’y a pas que moi » : « Il y a moi plus l’influence des autres ». Cette approche de lui-même a eu un grand impact sur moi.

Cet été, je fais également une petite exposition collective au Texas, à Dallas, ainsi qu’une exposition à Milan, à Converso, le nouvel espace d’Alexander May. Je fais aussi la dramaturgie de l’exposition de Philippe Parreno à Shanghai. Une autre exposition à la villa Empain est prévue en octobre. Faire quelque chose lié à l’éducation m’intéresse aussi. J’ai monté ce projet à Ljubljana en 2015 durant la biennale [31st Biennial of Graphic Arts], qui était une école expérimentale dans l’espace du musée [MG+MSUM] dont les étudiants s’occupaient ainsi qu’une chorégraphie de nuit avec les lumières d’une allée du parc principal de la ville. Je souhaite refaire cela à New York, en 2018 probablement.

Quel message politique développez-vous à travers vos travaux sur l’attention et l’organisation de communautés ?

« D’une certaine manière, ces travaux concernent une identité individuelle sans avoir peur de laisser cette identité individuelle échanger et se brouiller légèrement avec d’autres identités – voire de perdre son identité. »

http://www.mouvement.net/teteatete/entretiens/asad-raza-interlocuteur-en-serie

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25 Commentaires

  1. Il n’est pas plus choquant de faire d’une église désaffectée une salle d’exposition d’art contemporain, que d’en faire une mosquée – comme cela arrive de plus en plus souvent, malheureusement …
    Les église, on s’en fout … On est athée, quoi!

    • Je suppose que c’est de l’humour se moquant des soi-disant laïques islamo-collabos !

  2. Se type est pakistanais et ça ne m’étonnerais pas qu’il soit musulman. C’est pour ça qu’il n’hésite pas à salir notre religion. Qu’il retourne dans son pays ce zartiste de merde.

  3. Bonsoir Claude
    Assad (deux S pour tous ceux qui portent ce blaze, il en a supprimé un, pour noyer le lion))
    signification en Arabe et en Ourdou : Lion (comme les Assad de Syrie)
    Raza…en réalité c’est Ridha (dh a prononcer comme le Th anglais) a la manière Iranienne رضا si vous lisez l’ arabe
    en Farssi ça veut dire « satisfaction »
    un musslim qui tente de noyer, faire diversion sur ses origines…tout simplement 😆
    mais …. attention !! un Nartiçte !! (j’ ai pas osé insulter l’ Art pour ecrire Artiste)
    bah! nous sommes infestés de ces profiteux de la naiveté boboïste
    a la Lanterne !! (non! pas celle de nos nouveaux « rois » de la République a Versailles…..vous savez: celle dont le parc sert de Père Lachaise aux clébards de nos Rois-présidents …)
    celle qui servait a éclairer les reverbères au 19 eme siècle

  4. TOUT N EST PAS DIT LES BALLES DE TENNIS sont peintes a l effigie DU CHRIST DE MAHOMET DE BOUDDHA ET DIVERS DIEUX ET DEESSES KALI PAR EXEMPLE BUT DE L ARTISTE L IDENTITE RELIGIEUSE AVEC SES INTERRACTIONS PLANETAIRES REPRESENTE PAR LE COURT DE TENNIS BIENTOT EXPOSE A DUBAI

  5. C’est une église désacralisée depuis quelques années, une de plus, hélas.
    Donc les bobos peuvent y faire leurs conneries autant qu’ils le souhaitent.
    Mais je suis d’accord avec vous : dans une mosquée, vous imaginez? Ils seraient déjà morts, les « artistes », même pas le temps de poser un bout de moquette !!!

  6. Je cite :
    « Les lâches ! Ils tirent sur des ambulances en se prenant pour des rebelles. Mais en se gardant bien de toucher à l’islam, le vrai, danger. »
    Eh oui Christine, c’est ça le courage chez ces artistes des égouts. Artiste ??? Qui ça ? Et si je mettais des chiottes au milieu de son séjour pour dire que tout le monde est égal quand assis sur le pot ? Ca lui va mon art ? Ce serait une bonne idée d’artiste non ? Alors rendez-vous dans le séjour de Raza avec vos papiers culs. Nous n’allons quand-même pas lui consommer le sien !
    Ne m’en-voulez pas résistants. Je fais de l’art…

  7. Cela vous étonne ?
    d’abord ce type n’est pas chrétien
    les pseudo artistes d’aujourd’hui on pour but de vous vendre du vent sinon de la merde , un escroc en sommes
    ensuite vous avez la nationalité de l’artiste vendeurs de merde
    et sa gueule de crétins pervers !
    Tout est là

  8. Essayez seulement d’entrer dans une mosquée avec vis chaussures!
    Je m’étonne que les ecclésiastiques en charge de cette église n’aient pas perçu, sans même parler de blasphème, au moins le côté négatif du symbole.
    À moins que cette église ne soit plus consacrée et tombé dans une gestion communale.
    En même temps le peuple italien est suffisamment majoritairement catholique pour réagir.
    En tous cas, le moins qu’on puisse dire c’est que l’artiste n’a pas un nom très catholique.
    Si un artiste catholique s’amusait à ce genre de chose dans un lieu de culte de la religion de paix et de tolérance, il serait immédiatement victime d’une fathoua.

  9. Que fait la Curie face à se sacrilège , à cette profanation d’un lieu sacrée ?

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