L’Union Européenne a reporté au 25 octobre sa décision concernant le renouvellement ou non de l’autorisation du glyphosate. « Ils » ont encore botté en touche
« Ils », ce sont les technocrates de Bruxelles. « Ils » voudraient bien faire plaisir à leur pote Monsanto et renouveler pour dix ans l’autorisation d’utilisation de ce poison pour les « mauvaises » herbes mais pas que… Seulement il y a des pays qui ruent dans les brancards. Et notamment la France, mais aussi l’Italie et l’Autriche. Quels mauvais coucheurs ces pays ! Pourtant Monsanto, dont on connaît l’altruisme exemplaire, n’a pas lésiné pour porter la « bonne parole » chimique auprès des décideurs européens !
L’exécutif européen prévoit donc de soumettre le dossier à un vote auprès des experts des États membres représentés au sein d’un comité technique chargé de ce type de décision. Combien de voyages au Bahamas ou plus si affinité pour les « zexperts » ?
En 2015 cette molécule a été classée comme « cancérogène probable » par le Centre international de recherche sur le cancer, branche de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) basée à Lyon. Selon la législation européenne et au nom du principe de précaution, son autorisation qui expire à la fin de l’année ne devrait donc pas être reconduite. Mais ce risque est contesté par les industriels. Et pas que Monsanto puisque la molécule est tombée dans le domaine public et que de nombreux concurrents ont mis sur leur marché leurs propres merdes… Ben voyons ! L’OMS elle-même, après avoir donné le glyphosate « cancérigène probable », a subi des tonnes de pression et, dans une étude contradictoire, juge « peu probable » le risque de cancer chez les consommateurs « exposés par l’alimentation ». La encore, combien de voyages au Bahamas ou plus si affinité pour les « zexperts » ?
Le lobby des empoisonneurs a trouvé un allié de poids avec la FNSEA qui, il y a quelques jours, a organisé sur les Champs-Élysées une manif « spontanée » de pauvres agriculteurs « sur la paille » réclamant à cor et à cri le renouvellement de l’autorisation de leur cher glyphosate. Après ça, on s’étonnera du fossé qui se creuse entre les agricolos canal FNSEA et les cochons de con-sommateurs !
Nicola-libi Hulot a payé de sa personne en allant rassurer les FNSEA-boys. C’est d’ailleurs un sacré foutoir au gouvernement à ce sujet : Hulot leur a dit n’être « pas sourd à leurs revendications », Travers (le ministre de l’agriculture) est lui favorable au poison pour « cinq à sept ans », Castaner, le bavard officiel du gouvernement, dit : « avant la fin du quinquennat, le gouvernement s’engage à obtenir des progrès significatifs pour tous les pesticides », dont le glyphosate. Pas d’interdiction stricte, donc, mais « trouver des produits de substitution d’ici à la fin du quinquennat ». Bonjour la clarté…
Cinq ans ? Sept ans de plus de poison ? Baratin que tout ça puisque la proposition de la commission européenne est de dix ans de prolongation. Assez pour refiler de belles malformations aux lardons glyphosatés, assez pour générer de beaux cancers made in Monsanto.
Mais soyons optimistes. Peut-être bien qu’« ils » vont finalement l’interdire le glypho. Vous savez quand ? Lorsque arrivera sur le marché son petit frère, qui se fait déjà une belle santé aux Zuessa : le « Dicamba » ! En voilà un joli nom. On dirait une danse brésilienne bien sensuelle genre samba ou lambada ! Mais soyons rassurés : la plupart des individus ayant subi un empoisonnement grave au Dicamba et ayant survécu ont récupéré dans les deux à trois jours sans effets durables apparents. Les symptômes d’empoisonnement chez l’homme, par le dicamba sont : perte d’appétit (anorexie), vomissement, douleurs et contractions musculaires (spasmes, battements de cœur) essoufflement, effets sur le système nerveux central, traces d’acide benzoïque dans l’urine, incontinence, cyanose (peau bleue), et épuisement induit par spasmes musculaires répétés. L’inhalation peut être suivie d’irritation des cloisons nasales, des poumons et d’une perte de voix. Le dicamba ne semble pas être mutagène, mais est suspecté d’être tératogène chez l’homme. C’est pas sympa tout ça ?
(Une substance dite « tératogène » est susceptible de provoquer des malformations chez les enfants dont la mère a été traitée pendant la grossesse.)
Et qui c’est qui fabrique cette petite merveille ? Ben, Monsanto et BASF. Monsanto qui est en passe d’être racheté par Bayer, d‘occuper une position de monopole et ainsi – en disparaissant – échapper à la palanquée de procès qu’elle a au cul…
Vous voulez avoir une idée des « bienfaits » de ce fils putatif du glyphosate ? Voir ici
Allez-y, vous n’en reviendrez pas.
par (son site)
Sources :
https://livre.fnac.com/a2607630/Marie-Monique-Robin-Le-monde-selon-Monsanto
https://www.arte.tv/sites/robin/
https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20/l-invite-de-8h20-13-octobre-2017
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dicamba
https://www.infogm.org/6346-etats-unis-dicamba-nouvel-herbicide-deja-sellette
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Un vrai écologiste est une personne qui a au moins quelques notions de BIOLOGIE sur la nature et les animaux et pas ces fantoches de colonels ou d’ouvreur de braguette ni du moustachu acheté par les lobbyings…
En réponse à l’article, si le procès du glyphosate a lieu actuellement, après avoir fait des ravages pendant des années, c’est qu’apparemment il sera remplacé par le dicamba
Mais si le glyphosate est interdit, maintenant qu’il est tombé dans le domaine public, c’est que Monsanto est derrière cette mascarade, c’est tout bénéf pour Monsanto, qui va pouvoir commercialiser sa nouvelle molécule tueuse, sans aucun concurrent
le glyphosate est cancérigène, tératogène et mutagène (poussin à deux têtes)
un excellent reportage sur Arte concernant ce produit qui s’applique dans les champs plantés en OGM, les plants OGM ayant été modifiés pour résister au glyphosate, l’un ne va pas sans l’autre pour les semenciers qui gagnent sur les deux produits,
Le plus grand danger actuellement , c’est la diminution très importante du nombre d’ insectes, il pourrait y avoir 90% d’insectes en moins qu’il y a seulement 20 ans,
et ces insectes pollinisateurs comme les abeilles, sont utiles à la fécondation des fleurs en fruits et en légumes, pour certains,
On va donc , directement, vers une catastrophe écologique de grande ampleur, et surtout des FAMINES qui toucheront le monde entier, toute la planète et pas seulement comme aujourd’hui certaines régions subissant la sècheresse,
Mais la hulotte, fidèles à l’idéologie socialo écolo, ne voit que l’intérêt des taxes et impôts divers pour régler le problème
Bonjour,
Tous les insectes sont beaux et utiles …
j’irai pas jusque là, je pense au moustique tigre,
l’ennui, c’est que le glyphosate ne « discrimine pas » l’insecte nuisible
Hier, il y a encore eu un reportage sur la mortalité des abeilles. La production de miel de thym, d’acacia et d’autre, cette année, en France, est encore à la ramasse, et il y aura une probable pénurie. Or, sans abeille, plus de pollinisation. La nature s’effondre.
Mais sur les marchés français, pas de panique, le miel chinois arrive en force… Coupé avec du sirop et autre saloperie.
…….on ne pourra même plus dire « courbe toi, fier Dicamba » !!!!
D’accord avec gamma 100 %.
Il va falloir se résoudre à produire sa propre nourriture.
Mes grands-parents et mon père le faisaient encore; pour eux, cela faisait partie de la normalité.
Le mulot est un écolo de mes deux , s’occupant de faux problèmes , alors qu’il y en a un gros à traiter d’urgence , c’est d’interdire tous les insecticides , pesticides , désherbants et autres produits phytosanitaires qui font crevés tous les insectes , abeilles , guêpes etc..et qui rende la Terre stérile , la se trouve le vrai combat pour les soi-disant écolos de mes deux .
https://www.notre-planete.info/ecologie/alimentation/pesticides.php
https://www7.inra.fr/lecourrier/assets/C29Tasei.pdf
http://www.pan-europe.info/old/Resources/Briefings/Pesticides_and_the_loss_of_biodiversity_FR.pdf
THÈME : Précarisation
SITE : theguardian.com
ARTICLE : Après les coursiers à vélo, Deliveroo veut « ubériser » cuisiniers et restaurants
URL : https://www.theguardian.com/business/2017/oct/08/deliveroo-battles-councils-over-pop-up-takeaway-food-kitchens
DATE : 20/10/2017
AUTEUR : Rachel Knaebel
TRADUCTION : http://multinationales.org/Apres-les-coursiers-a-velo-Deliveroo-veut-uberiser-cuisiniers-et-restaurants
Malgré ses pertes, Deliveroo vient de réussir une nouvelle levée de fonds de plusieurs centaines de millions d’euros. Signe que les marchés financiers sont séduits par la « vision » de ses dirigeants, qui envisagent, après avoir précarisé les livreurs, de s’attaquer aux restaurants eux-mêmes. La prochaine étape est la multiplication des « RooBoxes » (aussi appelées Deliveroo Editions), des cuisines installées dans des containers pour accélérer les livraisons de repas. Le dispositif est sur le point d’être déployé en France.
Les livreurs ultra-précaires, sous-payés et sans aucune protection sociale qui travaillent pour l’entreprise de livraison de repas Deliveroo (lire notre article) apprécieront : en 2016, le dirigeant le mieux payé de l’entreprise – qui a son siège à Londres – a reçu 125 000 livres sterling (environ 141 000 euros) en salaires et bonus, soit une augmentation de 22 % comparé à l’année précédente. C’est certes moins que nombre de chefs de grandes entreprises, mais beaucoup au regard des bénéfices réels de la start-up. Sans oublier que cette généreuse augmentation ne concerne bien évidemment pas les rémunérations des livreurs. C’est ce que révèlent les résultats 2016 de l’entreprise britannique, publiés fin septembre.
Que nous apprennent par ailleurs ces chiffres sur le business des startups de livraison de repas à domicile ? Deliveroo, aujourd’hui présent dans 140 villes, a multiplié par six son chiffres d’affaires, qui atteint 145 millions d’euros en 2016. Le bénéfice opérationnel de l’entreprise n’atteint, lui, qu’un seul petit million de livres car les coûts liés à l’augmentation de l’activité se sont parallèlement accrus. Comme la start-up a aussi investi plusieurs dizaines de millions supplémentaires pour son développement futur, elle affiche au final une perte abyssale de 143 millions d’euros ! Pourtant, quelques jours après l’annonce de ces résultats, Deliveroo a récolté 321 millions d’euros lors de sa nouvelle levée de fonds. Quelles sont les motivations des investisseurs à placer des dizaines de millions dans une entreprise qui réalise si peu de profits, dans un contexte de concurrence toujours plus sauvage entre plateformes similaires ?
Ouverture de cuisines ubérisées à Paris
« Les investisseurs parient peut-être sur les ambitions plus grandioses de Deliveroo », analyse l’observatoire britannique des multinationales Corporate Watch. Fin 2016, la plateforme annonçait un nouveau projet de développement de ses propres cuisines pour produire les plats ensuite livrés par ses coursiers. Ce concept s’appelle « RooBox » ou « Deliveroo Editions ». Plus besoin de véritables restaurants, juste des recettes et des cuisiniers, fournis par les restaurants partenaires. Au lieu de penser à ouvrir leur propre restaurant, les chefs en herbe sont encouragés à passer directement par une RooBox. La « vision » affichée par les dirigeants de Deliveroo est de « rendre les repas livrés à la demande tellement plus pratiques et tellement meilleurs qu’il n’y ait plus aucun sens à ce que les gens cuisinent à la maison ». Ils semblent décidés à porter cette logique encore plus loin en « ubérisant » directement les restaurants eux-mêmes.
Deliveroo a déjà ouvert des cuisines RooBox à Londres et dans plusieurs autres villes de Grande-Bretagne. Les cuisines sont installées dans des containers ou des bâtiment industriels vacants, souvent sans prévenir les autorités locales ni leur demander les autorisations nécessaires [1]. L’entreprise a annoncé à ses investisseurs qu’elle était en train de créer des « Deliveroo Editions » à Melbourne, Hong Kong, Singapour, Dubai… et Paris. L’entreprise a d’ailleurs récemment publié des offres d’emploi en vue de la création « de cuisines Editions à Paris et dans le reste de la France ».
Corporate Watch attire aussi l’attention sur une source possible de gains que les financiers qui placent des millions dans Deliveroo perçoivent probablement déjà. C’est « l’argent qui peut-être fait à partir de toutes les informations que Deliveroo collecte » . « Comme le plupart des compagnies, Deliveroo veut les données de ses clients, pour améliorer le service mais aussi pour les vendre. Les conditions d’utilisation de Deliveroo disent bien qu’ils transmettent ces informations à des “tiers sélectionnés précautionneusement, dont des compagnies de marketing et de publicité” ». Ce sont toutes ces informations sur les clients – leurs préférences alimentaires selon leurs profils – qui donnent de la valeur à Deliveroo aux yeux de ses actionnaires.
Si vous avez un jardin, plantez ! Même si le sol est plus ou moins touché, plantez car ce sera toujours meilleurs. C’est ce que j’ai fais. Ca ne fera pas la ration de l’année, mais…
Concombres, tomates, poivrons, pommes de terre,fraises. Trouver les graines chez un marchand de graines et s’assurer de leur provenances.
Par ailleurs, bannir tous ces produits de scélérats. Faire sa terre soi-même et en plus bon pour la santé. Partager si votre production est large.
Des petits gestes de ce genre. Car ce sont les goutes d’eau qui font la rivière.Surtout passer la main aux enfants.
Ou acheter local chez l’agriculteur du coin à qui on peut fait confiance.
je ne vois pas comment on peut retrouver des traces de glyphosates dans les végétaux car cette molécule se dissocie après exposition de quelques jours a la lumière et n’a plus aucune efficacitée puisque l’on peut semer 10 jours après désherbage sans aucune trace sur ces végétaux issus de ces semis.
le glyphosate à l’état pur peut ètre dangereux mais après exposition à l’air ce produit ne correspond plus à sa composition au moment du traitement.
Par contre cette campagne contre l’utilisation de ce produit peut très bien ètre orchestrée par Monsanto pour le remplacer par un produit plus lucratif pour l’obtenteur le glyphosate étant maintenant dans le domaine public
Bonjour,
Je suis très attaché aux insectes et on ne peut que constater que leur population globale s’est effondrée au cours des 30 dernières années : il y a bien une raison précise.
Merci pour les infos, ça ne va nous rassurer tout ça. Qu’est ce qu’on peut encore manger, Des pesticides, il y en a partout, on a même trouvé des traces dans le bio…
« Il n’y a que la vérité qui blesse » dit-on, et aussi « que la vérité ne plaît pas à tout le monde ».
En voilà encore une preuve.
Nous, on était contents ; très contents même ; mais pas ceux qui devraient nous consiédérer comme des rois puisque nous sommes clients.
Nos sujets se rebellent et portent plainte contre notre fou ; nos majestés laiseront-elles agresser son fou ?!
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Cash Investigation : Lidl va porter plainte contre X pour “transmission de documents confidentiels”
:: https://www.24matins.fr/cash-investigation-lidl-va-porter-plainte-contre-x-transmission-de-documents-confidentiels-624965
IMG : Elise Lucet sur France 2.Crédits photos AFP/Archives MIGUEL MEDINA
:: https://media.24matins.fr/2017/10/4b35be3a941437d865db4ccf3dd3a5e553f3efec-660×443.jpg
Le 26 septembre, le magazine de France 2 « Cash Investigation » présenté par la journaliste Elise Lucet faisait son retour avec une enquête intitulée « Travail, ton univers impitoyable », qui mettait -notamment- en défaut l’enseigne Lidl France.
Lors de son enquête, Cash Investigation pointait du doigt les méthodes de management aux conséquences parfois lourdes lors d’un reportage de deux heures produit par “Premières Lignes”.
Nous voulons porter plainte contre X pour “transmission de documents confidentiels” à France 2
« Tu vas mourir ! » Un dirigeant de Lidl est mis en difficulté par @EliseLucet à l’écoute d’un enregistrement choquant.#CashInvestigation pic.twitter.com/FBMzILdxq3
— CASH INVESTIGATION (@cashinvestigati) September 27, 2017
Lors d’une réunion du Comité d’entreprise (CE) extraordinaire, la direction de Lidl a indiqué vouloir porter plainte contre X pour “transmission de documents confidentiels” à France 2, selon les informations de franceinfo.
De plus, lors de ce CE, la direction de l’entreprise de distribution a donné son accord pour améliorer le fonctionnement de la société, après les divers abus révélés par le reportage, en particulier sur le management.
Dès le lendemain de l’émission, la direction de Lidl avait prévu de réagir après la diffusion d’une séquence entre un manager et un chef de magasin durant laquelle ce dernier se fait menacer à de multiples reprises “Si je viens et que le magasin est mal tenu, je te promets que toi et moi on se verra toutes les semaines. (…) Ça va être à feu et à sang (…). Je te mettrai six jours de mise à pied à longueur de temps, tu vas mourir“, entend-on dans ce passage enregistré.
Suite à cette diffusion, l’enseigne avait promis de répondre en assurant sur Twitter : “Nous ferons un communiqué demain avec des éléments de réponse aux différents points soulevés, après avoir visionné l’émission“.
Nous ferons un communiqué demain avec des éléments de réponse aux différents points soulevés, après avoir visionné l’émission
— Lidl France (@lidlfrance) September 26, 2017
«…combien de voyages au Bahamas ou plus si affinité pour les « zexperts » ?…».
Votre phrase résume très bien la situation, et je sais de quoi je parle, Le monstre Monsanto va payer ce qu’il faut, sous une forme ou une autre, les sois-disant experts qui vont très probablement donner l’absolution au glyphosate afin de préparer l’arrivée du petit dernier le Dicamba. Et notre connard de Hulot si prompt à vouloir sauver la planète en créant moult taxes et malus écologiques sur le gasoil et les maisons mal isolées du petit peuple, ne fera rien contre Monsanto et ses saloperies. Il nous expliquera certainement que, finalement, les poisons chimiques de ses copains de Monsanto ne sont pas si méchant/hs que ça, ça lui permettra d’avoir de belles vacances et de payer les pleins de son bateau qui consomme 90l/h.
La sauvegarde de la planète c’est pour faire payer le petit peuple, mais les empoisonneurs géants et pleins de fric ne risquent rien. De toutes façons Monsanto, Bayer, technocrate européens et nationaux, politicards, tout ça c’est la même race, une bande d’ordures pour qui les réglementations, la morale et l’intégrité n’existent pas, ils laissent tout ça pour la plèbe.