Le 25 octobre 732, Charles Martel nous sauvait de la barbarie islamique

La date n’est pas absolument certaine, la seule certitude est que c’était un samedi et que c’était en octobre, certains défendent même la date du samedi 17 octobre 733 !  Mais la certitude est que cela mit fin à l’expansion arabo-musulmane vers le nord ! 

On doit une reconnaissance éternelle à CHARLES MARTEL, le courageux, le brave, le franc, qui nous a sauvés de la ruine et de la barbarie islamique.
En tant que patriotes, en butte à l’invasion islamique, on devrait instituer un jour de commémoration de cette glorieuse bataille et une statue qui glorifierait le DÉFENSEUR de l’humanité.

Je dis l’humanité, en ce sens que l’islam en est la destruction pure et simple, l’islam  détruit tout ce qu’il y a d’humain en nous. Pour preuve, les derniers assassinats commis ces dernières années par la secte maudite et satanique, la secte laveuse de cerveaux, la secte conditionneuse aux crimes les plus abjectes, la secte qui transforme un humain en machine tueuse

 

Complément de Jean Lafitte

En faisant le ménage sur mon Mac, je retrouve le texte ci-dessous, que j’ai depuis juillet 2012. C’est de l’histoire romancée, l’auteur ne s’en cache pas, mais c’est si bien écrit et l’évocation est si parlante que je ne résiste pas à l’envie de le partager avec vous, amis lecteurs de Résistance républicaine.
 

Déjà le pays se montre ravagé par les Sarrazins. Ces infidèles ont parcouru la Gaule romaine en tous sens. On les a vus à Châlons-sur-Saône, à Lyon, même à Sens ; ces hordes de barbares dévastent à présent Poitiers. Puis- se le maire les atteindre bientôt ! puisse-t-il délivrer tant de jeunes filles et de jeunes garçons menés en captivité ! Les Maures veulent leur faire embrasser leur culte abo- minable !

Quels sont ces cavaliers d’un costume bizarre, aperçus au faîte d’une colline ? Ils s’éloignent avec précipitation. Quelques leudes burgondes reconnaissent en eux des vedettes sarrazines. Cependant l’armée arrive sur le pla- teau. A peine jette-elle les yeux au-delà, ô spectacle ! jamais camp n’offrit un pareil coup d’œil : toute une nation est là.

Des cymbales aux sons d’airain résonnent à coups pressés ; les triangles retentissans, les tambours chargés de clochettes, tout cela forme une harmonie qui fait dres- ser tous les Maures. A l’aspect des Francs, ils courent à leurs coursiers, qui sont si richement caparaçonnés qu’ils brillent d’or et de pierreries, et échangent des rayons avec le soleil. Les barbares ! cet or, ces pierreries, se disent les chrétiens, ce sont les dépouilles des saints temples du Seigneur.

Il est, vers le centre du camp, des multitudes sans ar- mes : ce sont les esclaves, les eunuques, les captifs des émirs. Ces pavillons de soie qui jouent avec la lumière comme le cou de la colombe, recèlent les odalisques. Combien de Gothes aux blonds cheveux, de Frankes au teint blanc, peuplent ces retraites de volupté ! Et peut- être, se dit Karll, vont-elles abandonner la foi de leurs pères pour celle des Africains, comme la trop faible Nu- mérance, fille d’Ods. Le duc d’Aquitaine l’avait donnée en mariage à Mugnoz : celui-ci vaincu, sa femme tomba entre les mains d’Abd-al-Rahman, qui, frappé de la beauté de cette belle Wisi-Gothe, l’envoya au kalife de Damas, à Hacchan, dont elle est devenue la favorite. Un autre souci trouble Karll : il appréhende que, dans le cas où ces barbares fuiraient devant ses Francs, ils ne massacrent les enfans et les femmes en captivité dans leurs tentes. Il réfléchit sur ses deux mains, puis il ordon- ne au plus hardi de ses leudes, à Sighe-Berth, d’aller, pour traiter du rachat des captifs, en ambassade vers le miramolin 1.

 
[…]

A peine le vent frais de l’aube se jouait-il dans les arbres, que les Francs et les Germains lacent leurs cour- roies autour de leurs jambes, endossent leurs peaux de bêtes ; ils peignent leurs cheveux avec du beurre fondu 1. La hache à la ceinture, le hang d’une main, le pavois de l’autre, voyez-les se former en ligne de bataille : la plaine est couverte de leurs tribus. Ici s’étendent des lignes ; là les Saliens se pelotonnent en coin pour enfoncer les lignes des Musulmans. Leurs voix rauques, qu’ils poussent dans la concavité de leurs pavois d’acier, rappellent aux Sarra- zins leurs forfanteries de la veille. Ceux-ci, en effet, ne tardent pas à sortir de leurs retranchemens, quand ils ont fait leurs prières ; leur camp les vomit au bruit tumul- tueux de leurs cymbales et de leurs triangles sonores : ce qui, mêlé aux mugissemens des Francs, assourdissait tous les environs et portait la terreur jusqu’au ciel.
Les tribus de cheval, Zégris, Almoraves, Abencer- rages, s’étendent sur les ailes, volant comme des tour- billons sur de souples coursiers. Le gros des Musulmans se forme en trois lignes ; mais que de combattans ! ils étaient près de quatre cent mille. Aussi se promettaient- ils bien d’envelopper les Francs avec leur maire, et de n’en laisser pas échapper un seul ; mais ceux-ci, remplis de confiance, vont combattre sous le vaillant Karll ; de plus, les évêques qui étaient dans l’armée à la tête de leurs leudes, assurent avoir vu saint Nicolas descendu de l’azur céleste, et donnant de sa dextre la bénédiction aux fidèles soldats de Jésus-Christ.
On s’attaque. Les Francs, si redoutés par la manœuvre de l’angle aigu, enfoncent le centre des Sarrazins. Les cavaliers maures venaient à toute bride contre cette cita- delle mouvante ; mais les hangs alongés leur opposaient de profondes moissons de fer ; vainement ils jouaient de leurs cimeterres ; ces piques, couvertes de fer dans toute la longueur du manche, résistaient pour la plupart au tranchant affilé des sabres ; au moment où ils croyaient enfoncer les Francs, les barbares étaient eux-mêmes as- saillis par une contre-marche du triangle, renversés et foulés aux pieds, écrasés à coups de massue. Toute la matinée on combattit avec un avantage à peu près égal. Vers la sixième heure du jour, quand le soleil était au plus haut du ciel, Karll fit porter dans les rangs la chape de saint Martin, et en même temps il fit donner une réserve de cavaliers austrasiens et burgondes. Tout plia devant eux. Aussi loin que la vue s’étendait, les Sarrazins fuyaient en désordre, quand sur leurs derrières on enten- dit un grand bruit : c’était Ods. Le voilà avec ses Aqui- tains ; il arrive, il les prend en revers : plus de résistance. L’ennemi veut fuir dans ses retranchemens, mais le duc d’Aquitaine cerne ce passage : carnage épouvantable ! Karll se trouve partout, assénant de sa massue de fer aux pointes hérissées des coups qui brisaient armures et os. Ses exploits furent tels ce jour-là, que d’une voix unani- me on lui donna le surnom de Martel quand on l’éleva sur le pavois.

Peu de musulmans parvinrent à se sauver. Ainsi furent détruits en France les ennemis de Dieu. Leur miramolin lui-même périt ce jour-là. On pénétra dans leur camp. Jamais tant de richesses n’avaient été la proie des Francs. Karll-Martel ordonna de mettre tout en commun, comme c’était l’usage ; le partage s’en fit équitablement, et chaque soldat y acquit de grands trésors.

Scipion MARIN.

L’ensemble à télécharger :
Scipion Marin – Karl Martel à Poitiers 1836

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14 Commentaires

  1. Vu le raz de marée migratoire arabe , on peut dire que Charles Martel a arrêté les arabes à MOITIE , pas à Poitiers !!!

  2. Charles Martel, qui comme tout Franc qui se respecte est issu des tribus d’Allemagne méridionale, bien qu’étant né lui même en « Germanie Inférieure » (Wallonie)…Je me suis laissé dire qu’il parlait un sabir germain d’ailleurs le Tudesque en plus de la langue romane…

  3. Charles Martel est aujourd’hui trahi par tous les nouveaux parvenus qui nous dirigent et dont l’objectif est de faire disparaître la civilisation chrétienne en supprimant les croix partout ou elles se trouvent et bientôt en revisitant l’histoire de France.

  4. Si certains signes ne trompent pas et s’il est vrai que commémorer peut servir à préparer un évènement semblable et/ou à tirer un enseignement pour l’action de l’expérience des siècles, comme de cette victoire de la civilisation sur la barbarie islamique …
    Voir : Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ! [ MAJ 25/10 ]
    http://cril17.eu/rendez-a-cesar-a-cesar-a-dieu-a-dieu

  5. Charles Martel est un vrai héros
    Nous pouvons être fier de lui
    à l’heure ou nous sommes de plus en plus envahit par la secte satanique
    il nous faudrait un nouveau sauveur
    Vite

  6. On accorde le titre de chevalier de la Légion d’Honneur maintenant à n’importe quel zozo… au contraire de ce que faisait l’Empereur. On devrait lui donner le titre de commandeur à titre posthume…

  7. On devrait lui donner la légion d’honneur à titre posthume. Ça au moins, c’est du mérite éminent.

  8. Aujourd’hui, au lieu de raconter cet épisode de l’Histoire, en expliquant les circonstances, les méfaits des Sarrazins, l’Education Nationale occulte volontairement le Grand Charles Martel, voire crache dessus, tout ça pour « ne pas stigmatiser certains élèves ». Voilà l’une des raisons pour lesquelles les Français perdent tout amour de la Patrie, de leur identité : conditionnés aux idées islamo-collabo-gauchistes depuis l’école.

    • oui, également, ils perdent leur fierté d’être français, descendants de ces preux chevaliers, sans peur et sans reproches,
      ils en viennent même à perdre leur dignité, sous les coups de boutoir de l’idéologie de repentance, qui vise à les affaiblir, les mépriser, les reléguer au rang de « méchants colonisateurs , odieux criminels responsables de génocide, et autres calembredaines

  9. Je pense que Charles Martel aurait mérité d’être béatifié, il a sauvé en son temps la France de l’invasion de Satan et de ses « z’élites » et le monde en même temps. Il a sauvé la Chrétienté.
    Charles Martel au secours ! viens finir le travail que tu as si bien commencé !

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