Près de la moitié des collégiens de ZEP victimes de violences : qui va oser dénoncer l’islam ?

Un article de plus qui lève les cheveux sur la tête… Merci à Marcher sur des oeufs de nous l’avoir signalé.

Près d’un collégien sur deux est menacé dans l’école de la République. 20% victimes de violences physiques, 40 % de violences morales…

Libé, pour une fois, ne nie pas, mais accuse : c’est la non mixité sociale qui serait responsable ( tu parles, Charles ), et notamment ces parents dits de gauche qui votent pour les autres ce qu’ils refusent pour leurs enfants ( ce qui n’est pas faux).

Que dire des témoignages sur le genre de violence qui attend NOS filles, traitées de putes si elles sont en jupe ou portent un décolleté ? On sait, forcément, que ces insultes, ces menaces, viennent de jeunes musulmans, filles ou garçons. On sait donc que la violence est essentiellement d’origine musulmane… Mais pas un mot sur le sujet, pas d’amalgame… Et pourtant le rapport Obin, qui a près de 15 ans était déjà fort clair…

Que dire de la donzelle « Clémence », payée par une association ( donc par nos sous ) pour faire de la prévention en région parisienne qui relativise, plaint les malheureux fauteurs de trouble (incompris, forcément…), qui seraient pour certains récupérables  ? Elle a trouvé la solution. Que chaque proviseur se transforme en assistante sociale-psychologue pour passer ses journées à discuter avec ces jeunes « abandonnés  » par leurs familles…

Et le coup de pied au cul ? Et l’expulsion, à charge pour la famille de trouver un autre établissement ? Et la suppression des allocations familiales des familles qui n’élèvent pas correctement leurs gosses ? Jamais ?

Et le pire, c’est que la violence, les insultes, les menaces… se répandent partout, bien au-delà des établissements ZEP. Demandez donc aux responsables d’établissements privés pourquoi ils sont pris d’assaut. Partout.

 

Agressions physiques, insultes… Une enquête révèle l’ampleur des violences à l’école en France
:: https://francais.rt.com/france/43498-enquete-revele-ampleur-violences-ecole
20 sept. 2017

Une étude réalisée auprès de collégiens de quartiers de ZEP montre que 20% d’entre eux ont été victimes de violences physiques. Des chiffres évoquant une réalité que de plus en plus de parents tentent d’éviter en contournant la carte scolaire…

L’enquête en partenariat avec l’AFEV (l’Association de la Fondation étudiante pour la ville), publiée le 20 septembre, ne concerne que 447 élèves scolarisés dans des collèges de ZEP (zone d’éducation prioritaire), mais elle fait grand bruit. Elle révèle des faits que parents, enfants et personnel éducatif n’ignorent pas : la violence en milieu scolaire. Les chiffres sont éloquents : 20% des collégiens de ZEP disent avoir été victimes de violences physiques, tandis que 40% se plaignent de violences morales telles que des moqueries ou des insultes. Près de la moitié des élèves interrogés affirment avoir été témoins d’un acte d’humiliation ou de cruauté de certains élèves envers d’autres.

La violence fait-elle tant partie du décor qu’elle finit par ne plus choquer ? Outre ces chiffres, en effet, les élèves sont 90% à se sentir bien dans leur collège, et pensent se trouver en sécurité à 91%. Néanmoins, 38% souhaiteraient qu’il y ait moins de violence dans leur établissement.

A la suite de la publication de l’étude, le quotidien Le Parisien a quant à lui calculé un chiffre à partir des données de la Direction de l’évaluation de la prospective et de la performance (DEPP), qui recense 12,8 incidents graves pour 1 000 élèves par an. Il en déduit que 442 incidents graves surviennent chaque jour de classe dans les collèges et lycées de France.
La violence scolaire, presque taboue ?

La sortie de cette étude intervient deux jours après la publication d’une tribune publiée par Michel Becquembois, rédacteur en chef adjoint de Libération, dans le quotidien. Celui-ci y accuse les parents de gauche de détourner la carte scolaire afin de sélectionner les meilleurs établissements où faire évoluer leurs enfants.

L’argument de la violence invoqué par les parents est condamné dans l’article : «Vous avez présumé que, peut-être, il allait se faire casser la gueule. Vous avez appliqué à l’établissement le délit de faciès contre lequel vous éructiez jadis

Ces petits arrangements avec la carte scolaire semblent néanmoins s’appuyer sur d’autres considérations que le fantasme ou le préjugé. La violence est longtemps restée un sujet tabou dans l’Education nationale, qui ne recense les délits en son sein que depuis 1993. Au fil des années, les agressions se sont faites plus dures, et sont opérées en groupe, comme l’atteste le chercheur Eric Debarbieux dans plusieurs ouvrages dédiés au sujet. A tel point que fin 2012 a été installée la mission ministérielle chargée de la prévention et de la lutte contre les violences en milieu scolaire.

Des faits que Clémence (le prénom a été modifié), qui officie dans une association faisant de la prévention en milieu scolaire en banlieue parisienne (92), a repéré. «Le harcèlement, la violence psychique et verbale, le sexisme, les propos discriminatoires, racistes ou homophobes et la radicalisation sont partout», explique-t-elle à RT France. «Il y a la violence des filles entre elles, il faut être populaire, et elles se jugent en permanence. Tu portes une jupe, tu es une prostituée, tu portes un décolleté, tu es une prostituée, ton petit ami t’a mis une gifle : tu es une prostituée et tu l’as bien mérité…» Les garçons étant de leur côté selon elle victimes d’isolement, de rumeurs, de coups de pied et poing. «Je ne sais pas si c’est pire qu’avant ou pas, mais c’est que c’est de plus grande ampleur à cause d’internet. Car le harcèlement ne cesse pas quand ils rentrent chez eux, ça devient tentaculaire», estime-t-elle.
Des établissements scolaires paralysés par les fauteurs de trouble

De l’avis de Clémence, les groupes de parole de son association organisés dans les établissements améliorent grandement la problématique : «On n’est pas là pour juger les enfants, donc ces derniers se montrent gentils et la parole se libère, les prises de conscience se font.»

Son propre fils ayant été victime d’une agression dans son lycée du 92, elle a été confrontée à la passivité du système scolaire. «J’ai dû porter plainte contre X et contre le lycée, donc la proviseure, pour que les choses avancent. Face au problème de la violence, les directeurs d’établissement ont tendance à mettre les problèmes sous le tapis, car ils sont notés par les académies. S’il y a des problèmes dans l’établissement, leur note stagne», explique-t-elle.

La solution ? Pour Clémence, il faudrait que les proviseurs s’occupent des agresseurs individuellement afin de les aider à se restructurer : «Ces élèves violents sont très peu nombreux au final, et ne sont pas tous irrécupérables, mais ils entraînent les autres. Ce sont souvent juste des enfants qui ont besoin d’être valorisés. Je sais que l’école ne doit pas palier les carences de la famille, mais sinon, qui le fera ?», conclut-elle.

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16 Commentaires

  1. christian et zipo ont raison : cessez de geindre !
    n’importe quel enfant peut maitriser les quelques techniques et prises qui le feront respecter
    à la cantine un garçon , se croyant tout permis , a passé le bras sur le plateau de ma petite belle-fille ( un poids plume ) et la façon dont elle lui a crocheté les muscles du bras l’ont vite fait changer d’avis alors qu’il faisait au moins le double de son poids

  2. Dans la secte islam, ils sont élevés à la sauce halal avec toute l’agressivité que cela implique ! C’est leur culture ethnique! Un mal pour un bien, cela va peut être réveiller certains collégiens !

  3. Arrètez de réver l’école a toujours été un lieu ou il fallait se faire respecter ,car il y a toujours eu des élèves non éduqués par leurs parents et qui voulaient faire leur loi! Il suffisait de quelques coups de poings et c’était fini l’on était copain!
    Maintenant c’est pire une religion veut faire sa loi par l’intermédiaire de ses adeptes ,notre pays basé sur la laicité se révéle incapable d’imposer sa loi!
    Mais a qui la faute, eh bien a nos élus ,et toutes ces associations payées avec nos impots !Donc apprenez a vos enfants a se défendre et a défendre leur pays et ses valeurs !Sans cela il faudra qu’ils fassent leur valise vers un pays qui refuse cette religion et il y en a qui le disent haut et fort ,si vous n’étes pas heureux chez nous qui vous avons accueilli alors retournez de la ou vous venez et retrouvez votre misére due a un dogme anti démocratique!

  4. Ils sont en train de dénaturer tous les paysages français, de construire sur les terres agricoles pour URBANISER – et comme vous dîtes, nous savons à qui ces nouveaux logements seront destinés !

  5. N’appelez plus votre garçon : « Léon » on pourrait le confondre ! Fawke ou non ?
    ______________________________________

    ARTICLE : Joyeux Léon : dans les quartiers, à cause de l’islam, on ne dit plus « Noël », mais « Léon »
    URL : http://www.al-kanz.org/2017/09/20/lydia-guirous/
    AUTEUR : Al-Kanz
    DATE : 20/09/2017

    Joyeux Léon : dans les quartiers, à cause de l’islam, on ne dit plus « Noël », mais « Léon »

    A l’occasion de la sortie de quatre ouvrages contre les musulmans, Le Figaro a décidé de relayer les inepties d’une islamopathe.

    L’information nous vient du Figaro, officine médiatique qui depuis des années façonne l’opinion publique française contre l’islam et les musulmans.

    Lire – Pourquoi le Figaro est en guerre contre les musulmans { http://www.al-kanz.org/2015/09/12/figaro-musulmans/ }

    Dans un publireportage, servi par Anne Fulda qui y fait la basse réclame de quatre ouvrages salués sur Twitter par la gauche FN et tout ce qui se fait d’islamophobes, on apprend que « dans les quartiers […] on ne prononce même plus [Noël] ». On dit : « Léon ».

    Ce changement de nom serait dû à l’islam (dites « radicalisation »). La journaliste tient cela de l’ex-faire-valoir des Républicains, Lydia Guirous, qu’elle cite le plus sérieusement du monde.

    Cela dit, qu’importe la réalité, Fulda rédige un publireportage, pas un article journalistique. Voici l’extrait.

    IMG : « C’est aux musulmans de s’adapter »
    :: http://www.al-kanz.org/wp-content/uploads/2017/09/lydia-guirous-noel-.png

    Non contente de relayer cette ineptie, Anne Fulda cite une autre affabulation de L. Guirous, qui a décidé d’innover. D’habitude, « les quartiers » sont accusés de s’en prendre aux femmes qui ne portent le voile.

    Là, celle que Nicolas Sarkozy a très vite virée du porte-parolat de son parti Les Républicains choisit comme victimes de « la radicalisation » les petites filles des mamans ne portant pas le voile, dans les quartiers : « une petite fille peut se faire attaquer verbalement parce que sa mère n’est pas voilée ».

    Ni Lydia Guirous ni son attachée commerciale Anne Fulda n’apportent plus de précisions. Comment le pourraient-elles ? « Fake news », vous avez dit « fake news » ?

    #Islamophobie : Le Figaro ne craint toujours pas le ridicule.
    :: https://twitter.com/share?text=%23Islamophobie+%3A+Le+Figaro+ne+craint+toujours+pas+le+ridicule.&via=alkanz&related=alkanz&url=http://www.al-kanz.org/2017/09/20/lydia-guirous/

  6. Bonjour,

    Tant que le mensonge régnera en France.

    Autre exemple : long reportage sur l’histoire du logement social en France au 13h de France 2.

    Histoire d’une lente et continue dégradation en fait.

    Pas un traître mot sur le rôle de l’immigration dans cette dégradation.

    Pas une voilée, pas un barbu à l’horizon dans le reportage: disparus, volatilisés ! !

    (Comme tous les islamophobes en rêvent d’ailleurs).

    Que des Blancs dans le reportage …

    La propagande gouvernementale actuelle pour le logement social n’a qu’un but : construire et construire encore pour recevoir encore et encore de nouveaux immigrés.

    • bravo belle analyse sur une chose évidente depuis 2010 à savoir l’allégeance des merdias aux GBLB (gauchos bobos leche babouche).

  7. SITE : bvoltaire.fr
    ARTICLE : Alain de Peretti : « La polémique du CFCM sur le halal est une nouvelle manifestation de notre aveuglement »
    URL : http://www.bvoltaire.fr/polemique-cfcm-halal-nouvelle-manifestation-de-aveuglement/
    AUTEUR : Alain de Peretti – (Dr vétérinaire ; Président de Vigilance Halal)

    Alain de Peretti, président de Vigilance Halal, revient sur la polémique du CFCM qui critique la norme halal décidée par l’AFNOR. Rien d’étonnant puisque les normes, pour l’islam, ne peuvent provenir que d’un calife, puisqu’il n’y pas d’autre autorité.

    L’islam essaie d’établir partout une contre-culture. Et l’AFNOR est pressée de fournir des normes par des industriels attirés par le juteux marché du halal.

    BANDE SON : https://soundcloud.com/bvoltaire/alain-de-peretti-5

  8. Et les ,petits blancs ne se rendent pas, ils encaissent les coups sans rien dire, c’est pas normal. Les miens se sont toujours rendu et ont fait face aux musuls et de ce fait ils ont eu la paix car les musuls savaient qu’ils allaient dérouiller.
    Si vous avez des enfants ou des petits enfants qui subissent les attaques de ces morpions installez dans votre sous-sol ou votre garage un sac de frappe 50 à 70 euros à décathlon ou dans d’autre magasin de sport et des gants de boxe et entraîner votre enfant. Il ne mettra pas longtemps à acquérir une certaine technique qui lui permettra de se défendre.
    https://www.amazon.fr/dp/B01NGTVVUP/ref=asc_df_B01NGTVVUP46120972/?tag=googshopfr-21&creative=22698&creativeASIN=B01NGTVVUP&linkCode=df0&hvdev=c&hvnetw=g&hvqmt=

  9. Si bec en bois et mouchard sont de la partie,tout devrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes possible,enfin,celui du plus fort.

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