En ce jour de commémoration de l’esclavage et grâce à Christine qui m’en a donné l’idée, j’ai sorti de ma bibliothèque un livre paru en 2007:
https://www.amazon.fr/sujet-mamelouk-Esclavage-pouvoir-religion/dp/2755500395
Ce livre est écrit par un historien marocain et préfacé par Régis Debray.
Il nous fait découvrir un univers effroyable, l’univers des sociétés arabo-musulmanes qui ont eu, pendant un millénaire et demi, l’esclavage comme unique projet de société.
Univers effroyable dont la réalité nous est « voilée » par les abominables mensonges de Taubira, Belkacem, Bouteldja et autre Bouamama …
(Lisez d’ailleurs les textes de la Bouteldja : elle n’est pas sortie du tout de cette histoire. Ses textes haineux respirent le fantasme de ses aïeux de (re)mettre les « Blancs » (sic) que nous sommes en esclavage)
Un univers qui est totalement étranger à nos conceptions.
Il n’est d’ailleurs pas anodin de remarquer que, quand les Européens se sont trahis en pratiquant l’esclavage « moderne », ils l’ont fait toujours fait au contact des sociétés musulmanes.
Cette dette européenne aux arabo-musulmans n’est pas souvent évoquée …
Pour en revenir au livre, il est difficile à lire, pour un non-spécialiste, car truffé de mots, de concepts arabes ayant trait à l’esclavage.
J’en donne une idée ci-dessous avec une liste de dénominations des différents types d’esclaves.
On sait que les Eskimaux ont des dizaines de mots pour désigner les différents types de neiges, les Arabo-musulmans, ont, eux, des dizaines de mot pour désigner les esclaves:
Al-ajami = l’esclave étranger, razzié.
Al-laquîte=l’enfant trouvé assimilé à un esclave
Al-mâquite = l’esclave du précédent
Al-sâquite = l’esclave de l’esclave du précedent
Al-nâquite=Al-nâquile=l’esclave de l’affranchi
Al-miltu= l’homme aux origines inconnues, assimilé à un esclave
Al-saâfika =homme non-arabe, méprisable, tout juste sorti de la servitude
Baghiya= nom générique désignant la femme esclave
Al-abanquass=celui dont les grands-mères et l’épouse sont esclaves.
Al-falanqass=Al-falquass=comme le précedent mais d’épouse arabe
A-hajîne=individu de père arabe et de mère esclave
Al-mahyouss= individu de mère esclave avec une seule grand-mère esclave.
Al-mukarkass= descend de deux ou trois générations d’esclaves.
Al-musha = la pire horreur, il descend de sept générations d’esclaves.
Etc, etc
Tout ce livre est tissé de concepts, de mots arabes ayant trait à l’esclave, à l’esclavage avec, en prime, un racisme omniprésent visant à séparer l’Arabe du non-Arabe.
Ce racisme de séparation que nous retrouvons avec les voilées.
Retenons une chose: l’esclavage est consubstantiel au monde arabo-musulman.
Il est d’autant plus abominable de nous voir accusés par des gens venant de cette « civilisation » dont la seule « industrie » n’a toujours été que l’esclavage de masse.
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Ami de la Résistance française, Bonjour !
Un oubli de l’auteur : « Abid » qui signifie aussi bien esclave que serviteur, en arabe, est devenu synonyme de « Noir » au fil du temps à partie du VIIIème siècle …Ce qui est révélateur de l’ampleur de la pratique négrière chez les arabo-musulmans.
Et de leur côté, le mot « repentance » n’est sans doute pas traductible en arabe …sinon, gare à la fatwa !!…
Enfin, pourquoi nos « gouvernants » omettent-ils de rappeler, lors de ces commémorations, que c’est la colonisation—pas toujours exempte de reproches, c’est vrai— qui a mis fin à ces pratiques?
A la fin du 19ème siècle des esclaves devenus inutiles étaient vendus sur les marchés d’Oubangui comme viande de boucherie !!!….Les enfants étaient les plus recherchés !!!…(Henri Servien « La fabuleuse épopée de l’Afrique française »)
Et c’est la France qui devra verser des indemnités pour réparer ses crimes contre l’humanité !!!!……
il faut lire l’autobiographie de Tipo Tipp le celebre négrier de Zanzibar qui allait chercher ses esclaves jusque dans le Congo.
Un des buts de l’explorateur Livingstone a été la lutte contre l’esclavage
lisez aussi le livre de Stanley
Une des premières tâches des soldats belges arrivés au Congo a été la guerre contre les négriers arabo-musulmans principalement vers Zanzibar. Un monument le rappelle dans le Parc du Cinquentenaire à Bruxelles.
Merci Anne pour ce complément d’informations, amitiés à toi
Des réseaux d’esclavages se sont reconstitués, notamment avec la manne des flots de migrants et grâce à la complicité des passeurs qui les leur livrent.
Chassez le naturel, il revient au galop… surtout quand c’est génétique.
Et les musulmans sont aussi des Al musha, car eux ils l’acceptent sans savoir qu’ils le sont des esclaves, des toutous bien obéissants à leur maîtres lève la patte.
Nous sommes des toutous infidèles pour eux, pas pour nous les européens bien sûr, car nous on se prend pas pour des chiens comme eux.
Et 27 pour dire « chameau » en arabe !
;o)
On trouve encore des « tronc d’esclaves » dans lesquels on glissait de l’argent qui ensuite servait à racheter un esclave …. Mais « ça » , nos bien pensant soumis aux envahisseurs , se gardent bien d’en parler ….. Nous devons rester dans la repentance !!!
Tant que les français auront en tête le fantasme de l’islam de paix et d’amour, et non l’image d’un arabe en train de leur brûler les balloches avec un tison, et exigeant d’être remercié pour sa miséricorde, on est très, très mal barré.
@Antiislam ,
Le voile de Marie et encore aujourd’hui porté par les nones n’a jamais signifié une différenciation entre arabe et non arabe, de même pour les juives othodoxes au canada qui également le portent, ainsi que pour les Chrétiennes d’Orient, comme les coptes qui le portent également dans leurs sociétés depuis des millénaires. Seulement ces femmes ont su adapter leurs tenues dans les sociétés différentes culturelement des leurs.
Et c’est pour cela que je ne suis pas d’accord que le voile soit la différenciation de l’arabe du non arabe, par contre cette invasion faite par les salafistes en France par leurs tenues, est une agression. Je pense que ces femmes auraient très bien pu se couvrir avec une tenue adaptée à la France, au monde occidental. Un chapeau, un bonnet comme celui porté dans les années 30 , par exemple, plusieurs façons de s’habiller sans se mettre en avant en exibant sa religion avec cette ostentation notoire, agressive et imposante, et c’est là que je suis d’accord avec vous sur l’invasion du voile islamo-salafiste. Mais c’est l’ignorance dans laquelle baigne la culture islamo-arabe-salafiste qui est restée figée, depuis l’èred’avant l’Islam-même, de ne pas réflechir avec justesse et intelligence qui ne leur permettra jamais d’évoluer tout en vivant en toute dicrétion leur religion, cette dernière qui n’a d’ailleurs pas besoin d’être exhibée et ne doit pas l’être justement !
Bonjour,
Le voile de la religieuse catholique a la signification : je suis interdite à tous les hommes. C’est une position universelle. Par ailleurs, les religieuses voilées ne sont pas (plus) très nombreuses.
La mère supérieure, par exemple, d’une congrégation religieuse catholique est à la tête d’une véritable petite entreprise avec, souvent, de grandes responsabilités.
Le voile de la musulmane a la signification : je suis interdite à tous les non-musulmans.C’est une position à caractère ethnico-religieux.Les musulmanes manifestent ainsi leur soummission.Elles n’ont, dans la pratique, aucune autonomie.
La nuance est de taille.
Le voile des Religieuses Catholique fait parti de leur uniforme car elles sont rentrées dans les Ordres, elles font parties du clergé Catholique qui preche l’Amour de son prochain et se différencient ainsi des autres femmes en ne se mariant pas avec un homme, leur vie est dédié à Dieu et à la prière.
Le voile islamique porter par les musulmanes est d’une tout autre nature,il est le symbole de ces femmes musulmanes qui ne valent que la moitié d’un homme, qui n’hérite que d’une demi part et non d’une part comme un homme, de meme que pour leur témoignage dans la Charia ou il leur faut 2 témoignages concordant contre 1 seul pour un homme, qui doivent accepter que leur mari puisse avoir jusqu’à 4 femmes dès qu’elles sont règlées…, qui n’ont pas le droit de se marier avec un non-musulman, qui n’ont pas le droit ne serait-ce que de parler ou de regarder un autre homme, qui doivent accepter d’etre battu et répudier, effectivement, la nuance est de taille car en plus, elles sont utilisées pour marquer un territoire, les chiens pissent sur les troncs d’arbres, les musulmans voilent leurs femmes…
Est-il donc si difficile de laisser la vérité s’exprimer sur tous les sujets touchant le monde arabe-musulman. Cet exemple de l’esclavage est flagrant, on ne peut l’évoquer sans s’attirer les foudres de nombreux « bien pensants ». Et pourtant les faits sont là, l’histoire en garde des traces indélébiles. Si la vérité blesse, nous n’y pouvons rien c’est la vérité ! Dès lors pourquoi n’évoquer que l’esclavage dont les blancs seraient responsable ? N’y a t-il pas l’expression d’une discrimination qui parait évidente ? …. le méchant blanc ….et le seul ?
Correction
Al-ajami = veut dire Le non arabe (les perses, les francs, les byzantins, les gracs etc .. étaient appelés Ajami ) si c’est l’auteur de ce livre qui a en donné la définition, alors il a donné une définition fausse.
Bonjour,
C’est bien justement le problème.
Et cela se retrouve dans le livre : le non-Arabe est assimilé à un moins que rien, pour ne pas dire un esclave, par le musulman arabe.
Le racisme est permanent.