Trop fort, Trump… Quand on veut, on peut. Qu’on se le dise pour les Présidentielles en France.
Mis sous pression par Trump, Ford annule son projet d’usine au Mexique
Le groupe a annoncé ce mardi 3 janvier qu’il renonçait à son projet de construction d’une usine à 1,6 milliard de dollars au Mexique et va, à la place, investir 700 millions de dollars dans le Michigan.
Ford fait marche arrière. Le constructeur américain a annoncé ce mardi 3 janvier qu’il allait annuler la construction d’une nouvelle usine à 1,6 milliard de dollars au Mexique afin d’investir dans une de ses installations dans le nord des États-Unis pour y fabriquer des véhicules autonomes et électriques.
Cette annonce intervient alors que le président élu américain Donald Trump accentue sa pression sur les grands groupes américains afin qu’ils rapatrient leurs usines aux États-Unis, prenant tout particulièrement pour cibles leurs investissements au Mexique.
700 emplois à la clé
Deuxième groupe automobile américain, Ford semble avoir entendu le message en revenant sur sa décision annoncée en avril de construire une usine à San Luis Potosi, au centre du Mexique, où il devait créer 2.800 emplois directs et investir 1,6 milliard de dollars.
Dans un communiqué, le groupe assure désormais qu’il utilisera près de la moitié de cette somme (700 millions de dollars) pour augmenter les capacités de son usine de Flat Rock située dans le Michigan, un État du Nord des États-Unis durement frappé par la désindustrialisation et où Donald Trump avait obtenu une victoire cruciale dans la course à la Maison Blanche.
Cet investissement étalé sur quatre ans devrait créer 700 nouveaux emplois et a été aussitôt salué par un des responsables du grand syndicat de l’automobile UAW chez Ford.
Peu après la victoire de Donald Trump le 8 novembre, le groupe automobile américain avait pourtant affirmé qu’il poursuivrait ses projets de délocalisation au Mexique, où la main d’oeuvre est bien moins coûteuse qu’aux États-Unis.
Son grand rival General Motors s’est retrouvé mardi dans le collimateur du futur président américain qui l’a menacé de sanctions douanières s’il ne fabriquait pas aux États-Unis les voitures qu’il y vend.
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Trump s’adresse maintenant à Toyota,
il agit rapidement, avant même son investiture,
Mais l’autre » tache » aussi se manifeste pour lui couper l’herbe sous les pieds avant son départ : rapatriement de 4 détenus de Guantánamo en Arabie Saoudite,
le muzz met ses frères à l’abri en les renvoyant dans leur famille
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THÈME : Bibliographie – Politique internationale – Perspectives
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ARTICLE : Le difficile accouchement d’un monde multipolaire
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AUTEUR : Jacques Sapir (de la page web et du livre)
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Le difficile accouchement d’un monde multipolaire
3 janvier 2017
– Va-t-on vers un nouvel ordre mondial, ou plus précisément vers une nouvelle configuration des relations internationales ? Cette question apparaît aujourd’hui évidente, alors que la Russie marque des points importants dans le jeu mondial. Cette question se pose, en réalité, depuis plusieurs années, depuis que les Etats-Unis ont échoué à faire du XXIème siècle un « siècle américain ». Elle était au cœur du livre je j’ai publié en 2009 Le Nouveau XXIè Siècle[1]. Ce n‘était pas pour rien que j’avais donné à cet ouvrage comme sous titre Le retour des nations. Car, le rôle des Nations, et disons le tout de suite leur rôle positif, est au cœur de l’accouchement actuel du monde multipolaire. Cette question, j’ai eu l’occasion d’y revenir dans le débat organisé sur France-Culture le lundi 2 janvier 2017, en compagnie de Bertrand Badie, professeur à l’IEPP. Derrière cette question se dessine en réalité celle du « siècle politique ». Les 52 minutes du débat n’ont ainsi pas été de trop. Elles ont mêmes été insuffisantes, eut égard à l’ampleur des interrogations.
– Qu’est-ce qu’un siècle politique ?
– La nature du « nouveau » XXIème siècle
– Pourquoi le XXIème siècle ne sera pas le « siècle américain »
– L’impact de la crise de 1997-1999
– La réaction des Etats-Unis
– Une globalisation mise en cause ?
—— La première mondialisation, celle qui va du milieu du xixe siècle (avec l’accord franco-britannique dit Cobden-Chevalier sous le second Empire) à la guerre de 1914-1918
—— La seconde mondialisation n’est pas en réalité très différente. Les décisions, en Chine, en Inde ou en Russie, de se risquer à de grandes transformations systémiques sont essentiellement d’ordre stratégique et politique. Le développement du capitalisme moderne est perçu comme un instrument dans la marche à la puissance (ou vers son retour) et non comme un objectif en soi.
– Les oubliés de la globalisation
– Pourquoi le « siècle américain » a-t-il avorté ?
SONORE : émission de 52 minutes consacré au nouvel état du monde à l’adresse suivant
::https://www.franceculture.fr/emissions/culturesmonde/2017-vers-un-nouvel-ordre-mondial-14-vers-une-sortie-du-modele-liberal
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Comme quoi si on veut faire pareil en France c’est possible hein carlos gohsne patron de Renault qui préfère faire travailler les étrangers plutôt que les Français avec la bénédiction de simplet premier.
Trump etait annonce comme le tare de l annee n en deplaise a certains ll faut s en servir comme modele en France marine devrait s en inspirer pour ses arguments de campagne.Produire Français en france est une neccessite.Trump restaure meme les relations avec taiwan.De toutes facons il faut choisir son camp avant qu il ne soit trop tard.Le patriotisme economique c est possible mais pas du gout des vermines qui nous dirigent .
« »qui l’a menacé de sanctions douanières s’il ne fabriquait pas aux États-Unis les voitures qu’il y vend…………….
xx
tout simplement 😆 😆
Bien sûr que ça marche, J’ai vue aux infos, que beaucoup d’entreprise américaine délocalisé en Chine et d’ailleurs,revenait aux USA, il suffi d’un chef,et d’un vrai chef,et lui il le sera, ce n’est pas un de ses pantins de politicards formaté comme cher nous à science po, celui la connais le monde des affaires, il sais comment cela fonctionne, ont le trouve peut être trop âgé pour être président des états unis, mais dernier son cul il y à une énorme expériences que l’autre tocard que je crois muss avant tout n’a pas.
L’économie sauvage et le cartelisme des voyous, c’est terminé.
Ces gens là ont assez fait du mal aux peuples.
UN GRAND PATRIOTE comme quoi !…. premier coup de frein aux mondialistes , comme V POUTINE