» Où est Charlie ? » est une série de livres-jeux pour enfants dans lesquels ils doivent réussir à retrouver un personnage, Charlie, à l’intérieur d’une image. La difficulté vient du fait que les endroits où se trouve Charlie sont très colorés, et surtout remplis de personnages et d’objets divers.
Pour voir un exemple de ce jeu, cliquez ici
Ce débat est une sorte de » où est Charlie ? » dans lequel, avec beaucoup moins de personnages , il faut découvrir la » fasciste, intolérante, dictatoriale, et dangereuse « .
Si vous avez des difficultés, je vous donne un petit coup de main :
Elle est brune, intolérante et à gauche de l’écran.
Vous avez trouvé ?
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Quelle m……!
PITOYABLE vous voulez dire !!!
« elle aurait dû être fermée dès le début sans ouvrir »
Mais si elle avait été fermée, il fallait quand même ouvrir pour aérer, quoique si un local est fermé, logiquement il n’est pas ouvert 😉
Moquerie à part, cette personne infatuée m’est insupportable. C’est une grossière mal éduquée qui si elle n’a pas le respect de ses interlocuteurs, ne l’a pas non plus des auditeurs car même D Pujadas ne parvenait pas à l’interrompre.
Il est frappant de constater que N. V-B; ne cesse de couper ou couvrir la parole à M. L.P. sans que les animateurs n’interviennent. Elle n’a visiblement pas acquis les fondamentaux de la courtoisie.
Et puis il est insupportable de constater qu’une ministre de l’Education nationale émaille si souvent son discours de fautes de français. Florilège pour ce soir-là :
« elle aurait dû être fermée dès le début sans ouvrir »
« vérifier dans tous les établissements scolaires hors contrat ce qu’il s’y passe » (ouïe, elle fait mal aux oreilles celle-là).
La preuve par l’exemple de l’échec de notre système scolaire !
excellentes remarques en effet la honte…
Bof ! Elle sort de son douar et de ses chèvres ! Faut pas lui en vouloir, c’est une gourdasse…doublée d’autre chose !
Mais puisque le damoiseau Macron a décrété que la culture française n’existait pas, il n’y a plus de langue ni de grammaire ni de littérature françaises, Du passé faisons table rase ! Des esclaves, producteurs consommateurs interchangeables,roulés dans le tambour de la machine à laver de la mondialisation, ces esclaves, dis-je, ont-ils besoin d’une culture, et donc d’une identité ? Surtout pas !