Je pense que l’islam pourrait et devrait imploser mais cela peut aussi ne pas arriver, parce que nous sommes entrés en compétition avec l’islam.
Cette compétition est celle de la médiocrité. Tant que notre civilisation cultivait l’excellence, la supériorité intellectuelle, les vraies valeurs qui fondent une civilisation, alors l’islam, confronté à la modernité avait enfin la possibilité de se voir dans sa nullité, dans sa crasse, dans son retard.
Depuis que l’Occident est entré en déclin civilisationnel, l’islam sans avoir rien fait pour, se croit supérieur et est persuadé de sa supériorité.
Je vous invite à lire cet article que je trouve excellent :
http://townhall.com/columnists/johnhawkins/2014/09/16/the-real-sickness-at-the-heart-of-american-culture-n1892235 ( pour les non anglicistes, on peut avoir une idée du sens avec google traduction, qui donne un texte abominable mais ça permet au moins de savoir de quoi ça parle).
Ce qui y est dit pour l’Amérique, par un Américain peut être appliqué, mot pour mot à notre civilisation.
C’est, il me semble, le vrai problème de communautarisme, de refus de s’intégrer qui se joue là : pourquoi un étranger d’un univers très différent s’intégrerait/s’assimilerait à une civilisation qui ne croit plus en elle-même, qui se dénigre et qui valorise la médiocrité. Il est donc naturel que les musulmans de France ne voient plus la France que comme une vache à lait, mais pas comme un modèle lumineux.
Le combat est en nous, nous devons retrouver le goût de l’excellence. Aujourd’hui, dans les écoles, il est « cool » d’être un mauvais élève. Les cancres n’ont plus honte de l’être, ce sont les bons élèves qui souffrent désormais. Le monde à l’envers mais qui s’explique par cet haine de l’excellence et cet amour de la médiocrité dont parle très bien l’article précité.
Tant que ce cancer, notre cancer, n’aura pas été vaincu, alors il sera difficile d’imaginer que l’islam s’effondre. Leur nullité n’est pas remise en cause par notre excellence, elle est confortée parce que supérieure à notre nullité selon le principe qui veut qu’au pays des aveugles, les borgnes sont rois.
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tout le monde est d’accord pour dire que notre éducation n’est plus un tremplin social .En effet c’est devenu une des plus mauvaises du monde et celle ou l’on dépense le plus d’argent pour des résultats catastrophiques ,95% de bacheliers dont 75% ne savent ni lire ni écrire correctement .A mon époque avec le BEPC l’on passait le concours de l’école normale pour étre instituteur ,maintenant il faut étre bac+4 soit six années de retard mais quel progrès!
Depuis 40ans le budjet de l’éducation a plus que triplé et celui de notre Armée réduit a une peau de chagrin§!
Pour nous défendre armons nos enseignants !
La médiocrité est de mise ,on ne veut plus faire de controles pour rentrer en sixième et attribuer les bourses a ceux qui les méritent comme a mon époque sur concours .D’une mule on n’a jamais fait un cheval de course :!
Mais grace au nivellement par le bas les chevaux de course se font doubler par les mules !vive l’égalité maintenant il n’y a plus de problèmes car nous sommes tous nuls .c’est plus facile de descendre que de monter!!!
PLACE AUX CANCRES!!
oui, la décadence a commencé,(qui s’en étonnera?) avec l’arrivée de mitteux au pouvoir en 1981, dès ce moment-là, il ne fallait plus « enseigner » dans les lycées et collèges, il fallait « laisser les élèves s’exprimer », adieu grammaire, orthographe, poésie, littérature… même décadence dans l’art, très justement cité plus haut et dans l’architecture et j’en passe, puis nivellement par le bas, les bons élèves ne devaient plus avoir le droit d’être bons, c’était une injustice pour ceux qui ne foutaient rien, l’ignoble pensée gocho était en marche et mise rapidement en application, en primaire acquisition de l’orthographe par syllabes, tout cela a contribué à ce que des générations de français arrivent au bac avec des fautes de français que les tenants des certificats d’étude d’autrefois n’auraient pas commises,
il serait temps de remettre les pendules à l’heure, abandonner le culte de la médiocrité, et revenir à l’excellence,
ça date d’avant déjà avec Giscard c’était la bérézina, 1975, la réforme Haby c’est clairement le début
Un des « symptômes » criants de cette médiocrité portée au pinacle est bien évidemment le rap : des es discours aigris, agressifs, aboyés.
Je discutais avec un vrai jeune musicien de gauche et qui était coincé dans le dilemme suivant : d’un côté son engagement de gauche le forçait à défendre le rap comme « production culturelle authentique ». De l’autre, sa formation musicale le forçait à reconnaître la nullité de ce genre.
Il réussit à s’en tirer avec cette pirouette: le rap est ce genre musical (musical, vraiment ???) qui permet à quiconque de s’exprimer, même sans formation musicale.
Notre discussion me rappela cet échange fabuleux entre Gainsbourg et Béart : Guy Béart, dans un monument de bien-pensance, refusait que l’on puisse hiérarchiser les arts (posture que l’on a appelée depuis le « relativisme culturel » : tout se vaut, un étron ( cf. http://tinyurl.com/p4pqgtu ) vaut un Rodin). Gainsbourg, intransigenant dans sa vérité, dans son exigence refusait ces basses compromissions.
A revoir ici : https://www.youtube.com/watch?v=zj5pF8dsOuM&t=1m16s
J’aimais bien Gainsbourg, paix à son âme. A sa mort, j’apprenais cet élément de sa biographie, qui en disait long sur sa valeur : enfant, il fut confronté aux lois de Pétain, du port de l’Etoile. Il devait donc se présenter au commissariat pour se voir affubler du sigle infamant. Il se présenta dès la première heure avec cette justification (je le dis de mémoire) : pour rien au monde, je ne serais arrivé en retard pour un tel honneur. Il réussissait donc ce tour de force de résistance consistant à renvoyer à ses oppresseurs le résultat inverse de celui attendu.
Bref, cette courte séquence, si elle devait être le testament artistique de Gainsbourg nous enjoint de refuser le rap en bloc, même pas art mineur, mais supercherie.
La gauche « culturelle » a insufflé la médiocrité partout.
Un des « symptômes » criants de cette médiocrité portée au pinacle est bien évidemment le rap : des discours aigris, agressifs, aboyés.
Je discutais avec un vrai jeune musicien de gauche et qui était coincé dans le dilemme suivant : d’un côté son engagement de gauche le forçait à défendre le rap comme « production culturelle authentique ». De l’autre, sa formation musicale le forçait à reconnaître la nullité de ce genre.
Il réussit à s’en tirer avec cette pirouette: le rap est ce genre musical (musical ?Vraiment ???) qui permet à quiconque de s’exprimer, même sans formation musicale.
Notre discussion me rappela cet échange fabuleux entre Gainsbourg et Béart : Guy Béart, dans un monument de bien-pensance, refusait que l’on puisse hiérarchiser les arts (posture que l’on a appelée depuis le « relativisme culturel » : tout se vaut, un étron ( cf. http://tinyurl.com/p4pqgtu ) vaut un Rodin). Gainsbourg, intransigeant dans sa vérité, dans son exigence refusait ces basses compromissions.
A revoir ici : https://www.youtube.com/watch?v=zj5pF8dsOuM&t=1m16s
J’aimais bien Gainsbourg, paix à son âme. A sa mort, j’apprenais cet élément de sa biographie, qui en disait long sur sa valeur : enfant, il fut confronté aux lois de Vichy du port de l’étoile. Il devait donc se présenter au commissariat pour se voir affubler du sigle infamant. Il se présenta dès la première heure avec cette justification (je le dis de mémoire) : pour rien au monde, je ne serais arrivé en retard pour un tel honneur, porter l’étoile juive. Il réussissait donc ce tour de force de résistance consistant à renvoyer à ses oppresseurs le résultat inverse de celui attendu.
Bref, cette courte séquence, si elle devait être le testament artistique de Gainsbourg nous enjoint de refuser le rap en bloc, même pas art mineur, mais supercherie.
La gauche « culturelle » a insufflé la médiocrité partout.
Oui bien vu ! Nous étions au sommet et nous éclairions le Monde par le flambeau de Notre Liberté. C’était la faute à Voltaire, c’était la faute à Rousseau, c’était la faute à Montesquieu. Notre République ne dormait jamais sur tous les Continents. Et par péché d’orgueil (place aux historiens) nous nous sommes repliés devant ce que nous prônions, justement, à nos ultra-marins. Socialisme triomphant qui passe, coup de saucisses dans la poitrine et balle dans le pied nous avons rejoint les eaux basses de ce qui était et qui est UNE DES MEILLEURES CIVILISATIONS HUMAINES, la Civilisation Occidentale !
Ce que je veux dire, c’est que pour la Française musulmane traditionaliste, la publicité « utilisez la contraception, cela augmentera votre qualité de vie » a quasiment le même impact, le même résultat que « mangez du cochon, c’est un bon rapport qualité/prix pour un très bon apport protéinique », à savoir un impact nul. Dans le pire des cas, il me semble que si elle veut biaiser et avoir le meilleur des deux mondes (rester vierge avant le mariage mais consommer quand même), elle saura utiliser une contraception naturelle, et je ne m’étendrai pas sur les options que la « contraception naturelle » recouvre.
Sans vouloir sombrer dans le désespoir Sarisse, je me souviens d’un sourire sur un quai de métro. Je venais de tomber sur une pub, placardée sur le quai d’en face, adressée aux jeunes filles pour les informer sur la contraception, le planning familial: comment garder le contrôle de sa vie. Quelque chose de ce goût. Ca m’a fait sourire et ma première réaction, pardonnez-moi : « que ces Français sont cons ! ».
Il était clair, d’une totale clarté pour le fils de pied-noirs que je suis, que ce genre de pub consiste à creuser sa tombe : effectivement, le message sera reçu, reçu cinq sur cinq même. Par les « de souche », qui en conséquence feront encore moins d’enfants. Quant aux musulmans, aux immigrés ou fils d’immigrés originaires du Maghreb ou d’Afrique noire, cela glisserait comme de l’eau sur les plumes d’un canard. Le suicide national donc, incité par la publicité d’Etat. Sourire amer, et je crois en avoir discuté avec mes collègues qui me prenaient pour un extra-terrestre en me parlant de féminisme, sans comprendre que le fond du problème c’était leur disparition. Le double effet kiss cool: d’abord l’incitation à disparaître, puis le soutien heureux de français ravis de disparaître dans la joie et la bonne humeur. « Que ces français sont cons ! » me suis-je dit.
Houellebecq avait bien capté ce point, dans son livre quasi pornographique (et franchement écoeurant) : « les particules élémentaires »…
Pikachu, la contraception est quelque chose de normal et de souhaitable si on veut avoir une vie épanouie et élever ses enfants correctement sans compter sur la rue ou la puissance publique. Je n’ai pas envie de ressembler à ces poules pondeuses qui ne sont que des poules pondeuses ; il est magnifique pou run enfant d’avoir des parents épanouis qui ont aussi un e vie à côté. Se battre contre la contraception c’est être aussi barbare que les musulmans et sans considération ni pour les femmes ni pour les enfants.Et qu’on ne mette pas sur le dos des femmes la disparition des nôtres, disparition due aux hommes majoritairement qui aux manettes depuis 50 ans font entrer des immigrés remplacent nos programmes etc. Sans parler des imbéciles qui aident les pays musulmans en voie de développement ce qui fait augmenter l’espérance de vie et la démographie de nos ennemis…
Christine, la question n’est pas celle de la contraception du tout. La question est : tout le monde joue-t-il le même jeu.
Oubliez le sujet contraception et pensez au libre-échange, zéro taxes de douane. Est-ce acceptable ?
Oui, si tous les pays ont la même politique sociale. Si vous avez des pays d’Asie pour lesquels les travailleurs n’ont que peu de protections sociales, un salaire de misère, alors le libre-échange est un suicide économique : on ne peut tout bonnement pas faire face.
Promouvoir la contraception est exactement la même chose en France aujourd’hui. Nous avons peu ou prou deux France : la civilisée et l’islamique.
Cette publicité ne sera reçue que par un seul de ces groupes, l’autre, le groupe « musulman » ne la verra pas. Elle sera absolument invisible pour eux.
Ce faisant on crée donc une inégalité qui joue en notre défaveur.
Votre opinion est acceptable dans une configuration dans laquelle nous n’aurions pas eu deux France. Dans la réalité, c’est notre disparition que nous accélérons. Sachez-le, pour une nombre très conséquent (peut-être la majorité ?) des musulmanes « ghettoisées » qui vivent avec leurs propres règles qui sont principalement familiales et communautaires avant d’être individualistes, la pub pour la contraception est réellement invisible.
Vous ne touchez donc qu’une population et la faîtes disparaître au détriment de l’autre. C’est mathématique, pas une question de jugement moral, une question purement comptable.
non pas d’accord vous faites la même erreur que ceux qui ont conçu TCE, traité de Lisbonne et autres usines à gaz. Vous mettez au centre le système, ou l’idéologie et oubliez l’humain. On ne fait pas des gosses pour préserver l’espèce en tout cas pas consciemment. L’homme doitêtre au centre c’est le cas chez nous ou plutôt c’était. Sous prétexte que des tarés font des gosses tous les ans il faudrait qu’on renonce à ce que nous sommes à notre conception de la femme et de l’enfant ? monstrueux. quand nous avons les moyens de mettre dehors les autres ou de les empêcher de procréer
L’Occident attend le retour de ses Miltiade et Thémistocle , j’en suis certain , un nouveau Miltiade (ligne dure et efficace de Marathon) ou un Thémistocle (ligne plus subtile et non moins efficace de Salamine), se dresseront et redonneront à nos peuples la fierté tant émoussée par nos décadents et nos traîtres.
Quand je parle de Miltiade ou de Thémistocle, de Jean Parisot (de la Valette) ou d’Eugène de Savoie, de Patton ou de Joukov (même s’il était communiste) ils ne seront pas que militaires mais éminemment politiques!
Courage nous redeviendront grands , respectés , craints si nécessaire.
les masses sont atomisé par un système qui tire vers le bas . a une époque (avant l’islamisation ) le prolétariat avais une vrais culture , les théâtres n’étais pas encore devenue le sanctuaire des bobos, beaucoup d’ouvriers y allées ( mes parents ) , la littérature prolétariennes en fut un bel exemple, la musique , quant j’étais gamins mes oncles écoutés des trucs comme Gérard Manset , les spoutniks, pau verdier ,ange… mon frère ainé et mes cousins c’étais le hard rock ils étaient musiciens , ils lisais des romans, de la poésie …. c’étais ça la classe ouvrières quant j’étais enfants et vivre en hlm c’étais encore sympas, car on étais en majorités ( de souche européennes ) . j’en garde un bon souvenir. j’ai quitté les hlm au milieux des années 80 . de nos jours se serais l’enfer de vivre en hlm avec l’islamisation et les français qui y sont encore ils y vivent l’enfer . l’ immigration ( arabo – musulmane ) et la gentrification ont tirés la société vers le bas. ( et les programme , si cela est pas fait pour abrutir les gens ? )
C’ est vrai,Ulysse,la mise à sac de la culture a commencé en 1981 avec Monsieur Lang et sa politique de la culture pour tout et n’importe quoi comme l’Art Factuel,on vendait ,encadré par un beau cadre des morceaux de fourrure synthétique,à chacun de la transformer avec les doigts et c’était soi disant de l’ Art,et puis « touche pas à mon pote »,on s’est bien moqués de nous..Le pire c’est qu’on y croyait! Ils ont dû bien rigoler les « potes » en question,maintenant c’est eux qui nous touchent avec des Kalachnikovs.L’acculturation,c’est la faculté qu’a une civilisation de se faire bouffer par une autre.C’est comme ça que de grandes civilisations ont disparu,Athènes entre autres.
Excellente analyse – hélas.
Des monstres de médiocrité à tous les niveaux.
Et ça a commencé par la « culture », il y a bien trente ans…
Très juste!
Oui, c’est le règne du « je veux donc j’ai le droit ». Pour nous contrôler et nous abêtir, nous sommes bombardés de ces concepts droitsdel’hommistes (concepts au départ valables mais détournés depuis) qui transforment la sociétés en enfants pourris gâtés n’ayant plus aucune mesure. Il n’y a plus de bien ou de mal, seulement du légal ou illégal, et comme les lois sont faites pour être contournées, on voit la dérive. Mais une société qui n’a plus de repère, plus de valeurs, plus de limites, est vouée à l’effondrement. Soit nous résistons pour réimposer les valeurs morales qui faisaient la grandeur de notre civilisation, soit c’est la catastrophe.
Mais c’est bien qu’il y en ait aux USA qui s’en rendent compte aussi.