Rentrée : vos enfants vont chercher si Gargantua et Emma Bovary mangent équilibré

Voyage au pays du non-sens : la réforme des collèges…
L’absurdité des EPI, ces « enseignements pratiques interdisciplinaires » destinés à croiser des cours qui n’ont a priori rien en commun.
Objectif : grossir les effectifs de crétins des Alpes ? Il est vrai qu’avec la baisse générale du QI, due aux perturbateurs endocriniens, il ne faut pas être trop exigeant !
Lisez c’est édifiant !

Réforme du collège : voyage en absurdie
Les enseignants s’arrachent les cheveux face aux nouvelles directives. Même les formateurs et les inspecteurs semblent n’y rien comprendre.
PAR LOUISE CUNEO

« Et si #college2016 était un vaste complot ? » signe LeChat, le pseudo d’un professeur sur Twitter.  © AFP/ GERARD JULIEN

C’était il y a quelques mois. Comme dans les 7 100 collèges de toute la France, Marie Lamfroy a suivi une des journées de formation destinées à expliquer aux professeurs la réforme du collège : chaque prof doit obligatoirement suivre huit journées de formation, dont trois réservées au numérique. Cette jeune mère d’un petit garçon de deux ans, qui a toujours voulu enseigner, n’est pas une novice. Professeur de lettres modernes dans la banlieue de Lyon, à Feyzin, cela fait sept ans qu’elle applique les directives du ministère. Elle a toujours fait avec. La réforme du collège, elle n’y était pas opposée par principe. Mais après ces journées de formation, elle a compris que son métier ne serait plus comme avant… et qu’elle allait s’arracher les cheveux. Elle ne s’en est toujours pas remise.

Ce jour-là, pour présenter la réforme, trois inspecteurs, une chef d’établissement et un envoyé du rectorat étaient sur l’estrade. C’est ce dernier qui a pris la parole. Et a commencé par flatter l’auditoire avec cette phrase : « Vous êtes des ingénieurs, des bac + 5. » « Il a ensuite tenté de démontrer que cette réforme n’avait absolument pas pour but de faire des économies. Tout en nous expliquant que les mesures idéales ne pouvaient être prises, faute d’argent », se souvient Marie. Une des inspectrices a pris le relais : « Elle était extrêmement agressive, elle nous réprimandait dès qu’on posait des questions, en répondant à coups de virevoltes rhétoriques. » Jusqu’à l’absurde : « Ce n’est pas à nous de vous armer pour appliquer la réforme, nous ne sommes là que pour vous donner des clés ! »

« Gargantua, Emma Bovary… mangent-ils équilibré ? »
Le plus surprenant restait à venir, avec l’explication des EPI, ces enseignements pratiques interdisciplinaires destinés à croiser des cours qui n’ont a priori rien en commun. Et les formateurs de suggérer que deux enseignants, l’un de sciences de la vie et de la terre (SVT) et l’autre de lettres modernes par exemple, pourront l’an prochain se retrouver à travailler ensemble autour d’un sujet commun : « Gargantua, Emma Bovary… mangent-ils équilibré ? » (sic). À l’énoncé de cet exemple érigé en modèle, Marie et tous ses voisins ont été stupéfaits. L’une des inspectrices a poursuivi la présentation du PowerPoint : « Vous pourriez mettre en place un exercice de réécriture de menu mangé par Gargantua, façon bio… » À la lecture du document rétroprojeté, il apparaissait clairement que les deux enseignantes de français et de SVT qui avaient rédigé ce sujet n’avaient pas réussi à se mettre d’accord, puisqu’une autre problématique sur « les enjeux de l’alimentation » était également notée. Deux titres étaient même suggérés : « Je me nourris, tu te nourris, il se nourrit » ou « Faut-il manger végétarien à la cantine ou pas ? ».
Marie était consternée : « Je n’ai pas su comment réagir : au-delà de la syntaxe douteuse, c’était tellement creux sur un plan littéraire… » Puis le débat a repris, le PowerPoint ne déterminant pas s’il fallait proposer cet EPI « SVT-français » en quatrième ou en troisième. Marie a alors osé une question : « Comment trouver un lien entre les thèmes d’EPI et le programme des deux disciplines ? » Pour une fois, les intervenants du jour étaient d’accord : « Vous êtes censés prendre vos distances avec les programmes. Avec la réforme, vous n’êtes plus leurs esclaves ! »

« Vous n’avez qu’à changer de métier ! »
Dans la salle, certains étaient bouche bée, d’autres atterrés, la plupart n’écoutaient plus du tout. Quelques professeurs vociféraient. Les formateurs ont continué leur exposé, en parlant du cadre horaire : « Sur deux périodes de deux heures par semaine, dont certaines en co-animation… » Le chef d’établissement juché sur l’estrade a interrompu ses collègues : « Cette co-animation prendrait beaucoup trop d’heures sur la répartition globale, c’est inenvisageable ! » À la fin des trois jours de formation, Marie s’est étonnée de ne toujours pas avoir de précisions sur la mise en place de la réforme. Réponse de la formatrice : « Si cela ne vous plaît pas, vous n’avez qu’à changer de métier ! »
Didier Jodin, 50 ans, est prof de lettres classiques dans l’académie de Strasbourg. Il en a vu passer, des réformes. Mais il est aujourd’hui excédé. « Il y a un côté sectaire dans ces formations. On est tenu d’y croire, comme à une divinité. Ceux qui mordent à l’hameçon et y croient ont une rhétorique simple : il y a des choses qui ne marchent pas actuellement, donc la réforme est bonne. Quel sophisme ! »
Agnès, professeur d’anglais à Paris dans le 18e arrondissement, se souvient de sa – pénible – première journée de formation : « On nous a parlé comme à des abrutis. On n’a pas attendu qu’on nous dise de bosser avec les collègues pour le faire ! Mais dans le cadre défini par la réforme, c’est infaisable. Lorsque j’ai demandé à l’inspectrice quand nous étions censés nous organiser, elle m’a répondu : Pendant la récré, en salle des profs, vous n’avez qu’à marcher avec vos collègues vers la machine à café pour discuter de l’EPI ! C’était totalement infantilisant. » Sans compter les intimidations. À la pause, l’inspectrice en avait assez des interrogations de la consciencieuse Agnès et lui a lancé : « Je peux vous demander votre nom et celui de votre collège ? » Réponse d’Agnès : « Mais, oui, allez dire à mon inspectrice que je pose des questions, j’assume pleinement ! »

« Hashtag Désillusion »
Certains profs ont imaginé des stratagèmes pour attirer l’attention sur leur désarroi : l’un a conçu un calendrier avec des profs déguisés en divinités grecques, un autre s’est mis en vente sur Le Bon Coin. Ils ont été convoqués par leur rectorat. Quant à ceux qui refusent d’aller en formation pour aller faire cours à leurs élèves, ils sont considérés comme grévistes.
La journée de formation de Stéphanie, une professeur de latin, à Paris, dans le 18e arrondissement, n’a rien eu à envier à celles de ses collègues. À l’entrée de la salle, un syndicat d’inspecteurs tractait contre la réforme. Le bavardage du public ne couvrait pas totalement la voix des formatrices qui scandaient des sentences édifiantes – « Il faut faire lire les élèves » –, tout en tentant de projeter un PowerPoint… qu’elles n’ont jamais réussi à ouvrir. L’après-midi, la salle s’était vidée de moitié. La deuxième journée de formation a été reportée sine die la veille… et n’a toujours pas à ce jour été reconduite, plus d’un mois et demi plus tard. Mais ce qui inquiète surtout cette professeur de lettres classiques, c’est moins ces cours communs avec des collègues que le contenu des programmes. « Nous étions censés recevoir les nouveaux programmes il y a quatre mois. Mais nous n’avons toujours aucune nouvelle. » Et Stéphanie de résumer la situation dans le langage de ses élèves : « Hashtag Déprime. Hashtag Désillusion. »
« Et si #college2016 était un vaste complot ? » signe LeChat, le pseudo d’un professeur sur Twitter. Depuis des mois, les profs de collège se lâchent, hurlent leur désarroi et jettent leurs dernières billes. Ils ont eu beau lutter contre cette réforme du collège qu’ils renient, qu’ils honnissent, l’heure est à sa mise en place. Fini les débats sur son contenu : le ministère l’a imposée, il va falloir l’appliquer. Pourtant, malgré les formations destinées à la mettre en place, les critiques continuent.
Une « aide personnalisée » en… classe entière

Il y a d’abord ces nouveaux programmes. On parlera désormais de « notions » à étudier par cycle de trois ans d’étude et d’« axes » par niveau… Pour Didier Jodin, la mise à l’écart de la culture est actée : « On a des indications de corpus qui donnent des repères, qui s’accrochent de manière artificielle à des thèmes qui n’ont aucun sens. Comme en cinquième : Se chercher, se construire ou encore Le voyage et l’aventure : pourquoi aller vers l’inconnu ? » Les manuels vont devoir être modifiés et préparés dans l’urgence. Nombreux sont les enseignants qui voient dans la synchronisation de la refonte des programmes et de la réforme un moyen pour « alléger les programmes » et « niveler par le bas ». Une crainte qui prend corps en langues, des disciplines dans lesquelles les inspecteurs recommandent désormais de « passer par le français », alors que jusqu’à présent il était interdit de prononcer un mot dans la langue de Molière en classe, pour favoriser le « bain de langue ».
Et que dire de l’« accompagnement personnalisé » ou AP, une autre innovation de la réforme. Fini les petits groupes : désormais, l’aide personnalisée se fera… en classe entière. Dans les formations, cette nouveauté est justifiée de la manière suivante : « Peu importe le nombre d’élèves, si on passe d’une posture de face-à-face à une posture de côte-à-côte »… « Dans mon collège, raconte Marie Lamfroy, on avait réussi à faire de l’AP en demi-classe, voire par groupe de huit ou neuf pour ceux qui étaient le plus en difficulté. Maintenant, la réforme l’impose en classe entière, et on doit l’intégrer aux heures de discipline, alors qu’elle était dissociée de l’enseignement de la matière jusque-là. En somme, il faudra choisir entre un cours de français et un cours de méthodologie ! »
Le désarroi des profs de collège est profond. « Plus ça va, et plus je me dis que ce n’était pas cela, le métier que je voulais faire », se désespère Sophie, enseignante d’histoire en réseau d’éducation prioritaire. J’imaginais qu’il y avait une forme d’exigence intellectuelle dans la transmission. Lorsqu’on voit l’exemple de Gargantua et de Madame Bovary, on se rend compte qu’il n’est jamais question de littérature. En première et en terminale, très peu d’élèves ont lu les œuvres au programme. Mais ils s’en fichent, ils ont lu les noms des personnages sur Internet ! » Il n’y a plus qu’à espérer que Gargantua et Emma Bovary ne soient pas sur Facebook.

http://www.lepoint.fr/societe/reforme-du-college-voyage-en-absurdie-30-08-2016-

Christine, heureusement que tu as pris ta retraite !
Note de Christine Tasin

J’ai décidé de demander ma retraite courant 2010, au cours d’une séance houleuse de décryptage des nouveaux programmes de lycée… J’ai fait ce choix, malgré la perte financière énorme. Mais je ne me voyais pas aller travailler à reculons alors que j’avais passé des décennies à aller travailler en chantant. Si j’étais restée, si j’étais toujours en activité, je pense que j’aurais eu pas mal de problèmes et mon chef d’établissement avec, bien que j’aie paraît-il fait partie tout au long de ma carrière des « meilleurs profeseurs de l’Académie selon les inspecteurs. Mais j’aurais pété les plombs et, pour la première fois de ma carrière, je n’aurais sans doute pas appliqué les programmes, je n’aurais en tout cas pas pu faire des EPI, je les aurais refusés, j’aurais bidouillés pour faire du français, du latin ou du grec sans en le dire à la plac e, bref, ça aurait été la partie de bras de fer.

J’ai eu la chance de partir mais je pense avec le coeur serré aux élèves de 2016 et aux professeurs en place.

Est-ce que cela dissuadera ces imbéciles de continuer à voter socialiste  ? Ce n’est même pas sûr…

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32 Comments

  1. non,ils y à des personnes comme moi qui ne mérites pas de patauger dans cette melasses nauséabondes,ils y à longtemps que nous avons perdit tout ce qui ce passent actuellement,nous avons votés correctement et en conséquences,nous avons essayés de réveiller les consciences,mais ont ses fait traiter de fachos,aujourd’hui tout ses connards qui ont mal votés pleures sur leurs conditions de vies, et elas c’est même personnes en 2017 voteront pour les même salops.

  2. Ave c cette tête on a encore plus envie de la baffer :
    Ce qui n’est pas peu dire !

  3. Nous sommes vraiment diriges par des malades mentaux ? Oui !
    A qui la faute?
    Nous avons les dirigeants,que l´on merite,puis que nous les avons elus.
    Je ne me fais pas d´illusions.Au second tour des presidentielles,nous aurons droit a un duel Marine le Pen contre Juppe et nous aurons Juppe et la descente
    aux enfers continuera.
    Je suis ancien militaire de carriere et reside a Fribourg en Brisgau et je travaille
    d´une maniere benevole comme educateur a l´Ecole Primaire Franco-Allemande
    de Fribourg.A ma grande surprise,dans cette ecole,il n´y a pas au programme
    la theorie du genre et les enfants apprennent comme autrefois et parfois d
    une autre maniere a lire a ,compter, a calculer,a apprendre par coeur les tables de x e.t.c.Les eleves sont en plus dans l´ensemble tres polis,bien
    eduques.Une ecole,que je recommande aux parents francais du Haut-Rhin.

  4. Je demandais à Christine de nous parler plus longuement de ces écoles privées semi-parentales.

    • j’ai fait ily a pas mal de temps un article sur une école de ce genre qui s’ouvrait dans le sud (ouest ???) je ne sais plus, pas le temps de me pencher à nouveau sur le sujet pour le moment désolée

    • c’est de l’ironie, de la provocation et non à prendre au premier degré

  5. Je ne connais pas ces écoles. Tu peux nous en dire plus? Pour mes petits-enfants.

      • j’ai peut être réagi trop vite :
         » ces écoles « , j’ai compris qu’il s’agissait de l’enseignement public, et des établissements où la réforme était appliquée.
        à relecture, je ne sais pas si Philiberte parlait de l’enseignement public ou privé.

  6. aujourd’hui, j’ai décidé d’être vulgaire :
    après Gargantua, Bovary …..
    j’ai une idée d’  » EPI  » (  » enseignements pratiques interdisciplinaires  » ) qui mêle la géographie, les SVT, et la gastronomie écologique :
    – évolution de la population mondiale ( géographie )
    – rôle de la bite dans cette évolution ( SVT )
    – valeur nutritive du sperme ( gastronomie écologique )

  7. personnages bien choisis comment eduquer un gros cretin et l emancipation sexuelle de la femme reunis autour de la gastronomie francaise BIEN TROUVE

  8. C’est aussi décourageant pour ceux qui voudraient préparer ces concours. Cela ne donne pas envie de devenir enseignant.
    D’ailleurs, le niveau des enseignants est-il le même qu’à l’époque où vous avez eu votre concours ?
    Pour ma part, j’en doute à partir d’une expérience personnelle. Je connais quelqu’un qui vient d’avoir son CAPES dans une matière littéraire. Lorsque nous avons abordé le sujet de la lecture, il m’a confié n’avoir lu aucun livre depuis qu’il a eu son bac, parce que la lecture, « c’est rasoir » comme il m’a dit. Il a préparé son concours à partir de fiches, wikipedia etc.
    Moi qui suis juriste et qui suis à titre personnel très intéressé notamment par la littérature et l’histoire aimerais pouvoir préparer un concours de l’enseignement car cela correspondrait bien à mon tempérament, et puis, au bout d’un moment, le droit, on finit par en voir les limites…
    Mais tout ce que je lis ici et là me fait fuir, d’autant plus que la remise à niveau supposerait un travail colossal… si c’est pour finir dégoûté, le jeu n’en vaut pas la chandelle. Cela aussi contribue à la mort de l’esprit républicain.
    Le risque c’est aussi d’avoir des enseignants formatés, bêtes à concours, qui une fois le concours en poche feront leur métier sans passion, un « gagne pain » avant tout alimentaire.

  9. Bonjour,
    A quand une révolte ouverte, comme la tienne Christine, et massive chez les professeurs ?

  10. Merci Christine pour ton avis d’enseignante laïque. Je vais faire de mon mieux cette année, si je ne trouve pas de place dans le privé, ce sera pour l’année prochaine en CM2, je ne vais pas attendre la 6 ème, comme je comptais le faire.

    • sinon il s’ouvre de plus en plus d’écoles totalement privées, semi-parentales, Claude Urbain nous en parlait ilya peu veux-tu que je vous mette en contact ?

      • Merci Christine , mais j’attends une réponse d’une école privée. La directrice doit me rappeler. Je l’ai choisie pour le côté pratique ( ramassage scolaire privé passant près de chez moi), en plus cette école fait collège, ce qui m’évitera de le changer en 6ème .

        • ce serait excellent je crois les doigts pour qu’ils aient encore une place en CM1

          • Bon, ben réponse négative . Je vais prendre mon mal en patience et faire travailler mon fils le mieux que je peux pour que ses notes se maintiennent et même s’améliorent.
            La photo de classe cette année va être parlante je crois ! Je ne sais pas si je vais l’acheter ! Par ailleurs, je ne pense pas que je vais donner les 15 € à la coopérative scolaire comme chaque année. Toujours les mêmes qui donnent. Et dans cette classe cette année il y en aura très peu . Alors ….. Je ne vais pas payer pour les autres.

          • Bon courage, mais surtout inscrivez-le très vite pour l’an prochain, les places en privé sont de plus en plus rares…

  11. Mon fils a fait sa rentrée en CM1 . Je suis complètement écœurée. La nouvelle directrice a fait les classes par niveau. Les « bons  » sont dans une classe CM1-CM2 avec un maître, sans aucun musulman. Mon fils a été mis parmi les nuls avec les 3/4 arabes. L’année dernière mon fils avaient quelques difficultés. Mon père qui était enseignant et moi même avons tout fait pour qu’il atteigne un niveau correct, on y est arrivé. Par ailleurs j’ai du assister à des réunions avec psychologues, instit, directeur, etc, trainer mon fils chez des pédo psychiatre, orthophoniste, psy et j’en passe. Bref la grande mode.( Alors que mon fils est normal , il a même un QI au dessus de la moyenne.) Tout cela pour parquer aujourd’hui mon fils dans une classe faible qui va le pousser vers le bas au lieu de le stimuler. Je suis dégoutée, en colère. Je vais essayer de le mettre dans une école privée s ‘il y a encore de la place, en tout cas il ne fera pas son CM2 dans cette école. Et les réunions entre psy et cie, cette année ils ne me verront pas. Voilà mon coup de gueule de la rentrée ! Fallait que je le crie !

    • Oui Colomba il faut crier et il faut à tout prix trouver une place en école privée, foi de professeur laïque du public. Nos enfants n’ont pas à supporter la mixité sociale qui devient un handicap quand une majorité d’enfants de la classe d’origine étrangère ne parle pas bien le français (voire pas du tout), crache sur notre culture et notre enseignemnt et, communautarisme oblige, malmène les nôtres

  12. Gargantua et la couscoussière, Gargantua a décidé de se mettre au hallal.
    Réécriture des banquets afin que ceux ci soient conformes à la charia.
    Tenir compte du mois de ramadan
    Remplacer le vin par du thé à la menthe.
    Bio, équilibré ok mais enfin ils avaient oublié l’essentiel les inspecteurs : l’hallal.
    Allez 100 coups de fouet.

  13. Ouf, j’ai échappé aux cours de maths en allemand. Déjà que je comprenais rien aux maths et que j’étais nul en allemand! Bon d’un autre côté au lieu d’avoir 2 mauvaises notes, je n’en aurais eu qu’une seule.

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