Bravo Trump ! Thierry Breton persona non grata aux USA !

Illustration générée par l’IA

Dehors l’affreux Breton ! Bisque, bisque, rage…  L’arroseur arrosé, on ne s’en lasse pas.

Enfin ! L’administration Trump frappe fort en interdisant l’entrée sur le sol américain à Thierry Breton, l’ex-commissaire européen et cerveau du Digital Services Act (DSA), la machine à censurer made in Bruxelles. Avec ses menaces directes contre Elon Musk (rappelez-vous sa lettre destinée à l’intimider avant l’interview Trump-Musk en 2024) Breton avait  osé exporter la censure européenne pour museler les voix américaines sur twitter.

Ne doute de rien, le quidam. Les cons, ça ose tout… Certaines idées dérangent ? Obligeons les géants du web à supprimer les voix américaines jugées comme de la désinformation par l’UE de Der Leyen.!  

Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a expliqué que cette décision était une réponse aux « idéologues européens (qui) mènent des actions concertées pour contraindre les plateformes américaines à sanctionner les opinions américaines auxquelles ils s’opposent ». Plus précisément, Washington sanctionne l’engagement de Thierry Breton en faveur des législations européennes (DSA et DMA) pour mettre au pas les géants du numérique Amazon, Apple, Google ou Meta. Source huffington post.

Les États-Unis de Trump disent donc ouvertement stop à l’ingérence étrangère ! Pourquoi accueillir un bureaucrate qui veut contraindre le net à supprimer des opinions légitimes au nom d’une « désinformation » définie par l’UE ? Cette sanction vise cinq Européens impliqués dans ces efforts de coercion, envoyant un message clair : la liberté d’expression, protégée par le Premier Amendement, n’est pas négociable. Parmi les autres personnes sanctionnées figurent des représentants d’ONG luttant contre la « désinformation et les messages haineux » en ligne dont Imran Ahmed (Britannique, dirigeant du Centre for Countering Digital Hate), Clare Melford (Britannique, dirigeant le Global Disinformation Index), Anna-Lena von Hodenberg (Allemande, leader de Hate Aid),Josephine Ballon (Allemande, leader de Hate Aid). Bon débarras ! 

Breton pleurniche sur une « chasse aux sorcières maccarthyste » ? Hypocrisie totale : la vraie censure vient de son DSA, qui force la modération massive et cible les conservateurs. America First, et tant pis pour les pleurnicheries européennes.

Une décision ferme, juste et nécessaire qui nous venge un peu, un tout petit peu de la dictature bruxelloise !

Christine Tasin

 

 

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