Ségolène Royal : L’exil doré chez l’« ennemi » Tebboune, quand la France dit basta !
Ah, quelle magnifique reconversion pour notre Ségolène nationale ! Après avoir essuyé plus de défaites électorales qu’un candidat LR aux législatives – l’Élysée en 2007 (boum, Sarkozy), la primaire PS en 2011 (Hollande, merci), les législatives 2012 (re-boum), et j’en passe jusqu’à rêver encore de l’Élysée en 2027 – voilà que le 18 décembre 2025, elle est enfin élue à une présidence… mais pas en France, non ! Chez nous, les urnes lui font la grimace depuis des lustres. Non, c’est l’Association France-Algérie (AFA) qui l’acclame, alors qu’elle va succéder à Arnaud Montebourg comme on passe le relais dans une course à l’échalote trans-méditerranéenne !
Et qui l’a adoubée publiquement comme une « personnalité respectée » capable de jouer les médiateurs entre Paris et Alger ? Le vieil ennemi de la France, Abdelmadjid Tebboune en personne, dès février 2025, dans une interview où il la place aux côtés de Villepin et Chevènement comme représentants d’une « certaine France qui avait son poids » (sic !). Traduction libre : en France actuelle, elle pèse surtout sur les zygomatiques des commentateurs, mais à Alger, elle est une icône anti-cabale française, toujours prête à dénoncer l’extrême droite et à plaider pour l’apaisement… du côté algérien, bien sûr. S’il croit que ça va nous mettre en colère qu’il nous la pique il se met le doigt dans l’oeil jusqu’au au tréfonds !
Ségolène, émue aux larmes (ou presque), s’empresse de poster sur X : Je ferai pour le mieux pour l’amitié France-Algérie ! On imagine Macron à l’Élysée : Encore elle ? Mais qu’elle aille donc à Alger si elle aime tant Tebboune ! Pendant ce temps, la droite patriote hurle à la trahison : Ambassadeur officieux d’Alger sans salaire ? Quelle aubaine pour le régime !
Soyons honnêtes : quand les Français ferment systématiquement la porte à ses ambitions, Tebboune ouvre grand les bras et lui offre un poste sur mesure – bénévole, hein, pour ne pas froisser les susceptibilités. À 72 ans, elle trouve enfin un endroit où on l’élit sans bulletin de vote : de l’autre côté de la Méditerranée, chez celui que certains appellent encore l’ennemi historique…
Moralité de cette comédie geopolitique : en France, Ségolène collectionne les « non » en Algérie, c’est un grand « oui » flatté par le président lui-même.
Prochaine étape ? Une médaille algérienne pour services rendus à l’amitié… ou une naturalisation express ? Après tout, avec Tebboune comme fan club présidentiel, pourquoi pas un petit poste à Alger pour 2027 ?
Allez, bon vent, Madame l’Ambassadeur officieux !
Jeanne La Pucelle
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SVP, modifiez le titre, cette socialo n’a jamais travaillé. Comme son ex.
le pognon n a pas d odeur pour ces TRAI TRES de gauche !!aucun honneur ces gauchieux !!
Mais qu’ils la gardent. Avec grand plaisir en plus. De toute façon elle a bouffé à tous les râteliers.