Le retour du bourreau en blouse : Mathias Wargon, le chasseur de vieux pas piqués !

Illustration IA 

Ô miracle de la télé-poubelle ! Voilà-t-y pas que ressurgit des limbes le sinistre Mathias Wargon, ce médecin de plateau si souvent invité sur BFM qu’on peut se demander s’il est parfois présent aux urgences de son hôpital de Saint-Denis !

Mari complaisant de l’ex-ministre macroniste Emmanuelle Wargon – celle qui nous imposait l’écologie punitive pendant que son cher et tendre jouait les inquisiteurs sanitaires-  ce clown tragique nous refait le grand numéro du chantage vaccinal. Pour les plus de 65 ans.

Et le croque-mort des libertés de cracher, la bave aux lèvres  : Vaccinez-vous contre la grippe, obligatoirement, sinon on ne vous reçoit pas à l’hôpital !   !

Comme c’est touchant, ce souci soudain pour les vieux (on avait pourtant bien compris que Macron nous déteste et voudrait nous faire clamser plus vite) ! Eux qui ont cotisé toute leur vie pour une Sécu qu’on laisse crever – lits supprimés, urgences en chaos, personnel en burnout –, voilà qu’on les traite en parias s’ils osent refuser la piqûre magique. Et le vaccin antigrippal, ce chef-d’œuvre de Big Pharma, qui n’empêche ni d’attraper la grippe ni de la transmettre ? Wargon s’en fout : l’important, c’est d’obéir, bande de vieux récalcitrants ! Sinon, crevez chez vous, ça dégagera les brancards pour les obéissants.

Déjà-vu ? Évidemment ! Ce même Wargon, star du Covid-show, recyclait la même soupe coercitive : pass sanitaire, suspension des soignants non-vaccinés, menaces à peine voilées… 

Et ces vaccins Covid, ces miracles mRNA imposés à coups de terreur ? Comme le clame haut et fort Robert Kennedy Jr, ils n’étaient ni justifiés ni efficaces contre la transmission, et ont causé bien plus de mal que de bien : myocardites à gogo, thromboses, morts subites, effets secondaires balayés sous le tapis par les valets de Pfizer ! Kennedy, ce courageux pourfendeur des lobbies pharmaceutiques, dénonce ce scandale planétaire où des injections expérimentales ont servi de cobayes à des milliards, tout ça pour engraisser les actionnaires et museler les peuples.

Wargon, ce népotiste en blouse blanche, marié au pouvoir macronien, incarne la pourriture d’un système : autoritarisme médical, copinage politique, soumission à Big Pharma. Hier le Covid, aujourd’hui la grippe : demain, quoi ? Refuser les soins aux non-vaccinés contre le rhume ? Aux mangeurs de charcuterie ? Aux conducteurs imprudents ?

Français, réveillez vos vieux os ! Refusez ce chantage abject, envoyez-moi ces Wargon et leurs seringues forcées au diable !

Notre corps n’est pas leur propriété. Liberté ou mort – mais pas par piqûre obligatoire !

Quant à l’ignoble chantage, même si je sais que l’immense majorité  des lecteurs de Résistance républicaine fait et fera un doigt d’honneur à Wargon et toute la clique, je tiens à rassurer les personnes âgées fragiles qui vont trembler… C’est humain et les salopoards le savent bien. Imaginez que votre vieille maman en train de faire une crise cardiaque décède, refoulée à l’hôpital car non vaccinée… Cela pourrait faire un sacré scandale et coûter très cher aux médecins et à l’Etat, non ?

Christine Tasin

 

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4 Commentaires

  1. Ces malfaisants vivent à crédit : leur temps est compté. Qu’ils déversent leur haine sur les non-alignés, qu’ils éructent, qu’ils menacent — leur parole ne mérite guère plus d’attention qu’un pet échappé à la sauvette. Leur opinion n’asservit que ceux qui s’y accrochent.
    Ils se croient issus d’une prétendue aile divine, investis d’une mission sacrée, alors qu’ils ne sont que des êtres frustrés, en quête d’une reconnaissance qui leur échappe obstinément. Jaloux de toute pensée libre, haineux jusqu’à l’écume, ils s’agitent, vocifèrent, espérant faire taire celles et ceux qui refusent de marcher au pas.
    Incapables de créer, ils cherchent à dominer. Incapables de convaincre, ils menacent. Leur seule foi est celle de l’obéissance, et leurs dogmes ne produisent qu’une chose : la mort de l’esprit.

  2. Bonjour Christine. Encore un! Dès que le vent d’une épidémie se fait sentir, dès qu’une effluve morbide atteint leurs naseaux, ces vautours charognards se perchent sur les pieds des micros de ces médias pourris car seules l’odeur putride les attirent ! Si c’est cela être médecin, moi, je suis moine ! Joyeux Noël.

  3. Un beau salaud, je ne vois pas d’autres mots à lui appliquer. Sa femme ne vaut guère mieux. Les cafards au stéthoscope du COVID ressortent de la naphtaline : Marty et compagnie. Ils ont des têtes à faire peur. Peut-être le vaccin?