On l’aime bien, Ivan Rioufol. Il fait partie des rares journalistes qui ne jettent pas la France et les Français dans le bain du multiculturalisme et de l’européisme béat.
Il écrit, ici ou là, des articles ou coups de gueule remarquables, qui font du bien aux patriotes.
Mais…
Mais le moins que l’on puisse dire c’est qu’il n’est pas clair sur l’islam… Et pourtant il est au courant.
Je me souviens d’avoir été étonnée, que dis-je, surprise, choquée même lorsque, il y a deux ou trois ans, invitée comme lui sur le plateau de France 5, il avait tout de go dit que manger halal ne le dérangeait pas…
Alors, lorsque j’ai vu les tweets qu’il a envoyés sur l’islam, je n’ai pu que soupirer…
Qu’un Rioufol puisse même avancer l’idée que l’islam pourrait être innocent du terrorisme musulman, cela dépasse l’entendement.
Qu’un Rioufol puisse attendre des musulmans qu’ils rejettent visiblement l’islamisme quand tout montre que islam et islamisme c’est la même chose, cela agace.
Bref, il est gentil, Rioufol, mais il répète finalement tout simplement ce que voudraient nous faire croire un Valls, un Hollande, un Cazeneuve, un Tariq Ramadan, un Amar Lasfar…
A-t-on besoin, aujourd’hui, d’un journaliste indépendant qui hurle avec les loups et les cautionne ?
Pourtant… il y a deux ans, en décembre 2014,le même Ivan Rioufol avait écrit un texte fort intéressant :
Le vrai clivage passe par l’islam
Extraits
FIGAROVOX/BLOC-NOTE – Pour Ivan Rioufol, le vrai clivage n’est plus d’ordre politique, entre la droite et la gauche, ni d’ordre économique, opposant les libéraux aux dirigistes, mais d’ordre identitaire, entre la nation laïque et le communautarisme islamisé.
À droite comme à gauche, les élites ont avalisé un multiculturalisme de fait, en renonçant à maîtriser l’immigration de masse et à l’intégrer dans la société d’accueil.
Sous couvert d’un discours républicain présentable, le PS a choisi le camp du différentialisme, théorisé par son think-tank Terra Nova. Le parti héberge les procureurs en «islamophobie», ce concept imposé par l’islam radical pour réfuter toute critique. Si Manuel Valls sait dénoncer l’idéologie islamiste, le premier ministre ne manque jamais une occasion de saluer l’islam, en étalant ainsi une préférence politique. Défendre les chrétiens d’Irak, martyrisés par le Califat, peut être présenté à gauche comme la manifestation d’une droite «dure» et «raciste». La promesse récurrente d’un droit de vote aux immigrés pour les élections locales est une autre manière de vouloir flatter un électorat conscient du dynamisme de sa démographie. François Hollande lui doit en grande partie son élection.
Les Français musulmans n’ont pas droit à plus d’égard que les catholiques, protestants ou juifs. C’est pourtant ce que soutient l’ancien premier ministre lorsqu’il dit espérer «inventer une identité heureuse» dans «le respect des différences», comme si la France millénaire était devenue un laboratoire pour l’Homme nouveau. D’autant que Juppé reconnaît: «Jamais, tout au long de mon parcours scolaire et universitaire, on ne m’a proposé d’ouvrir le Coran, dont j’ignore à peu près tout.» Une lecture de Claude Lévi-Strauss (Tristes tropiques) lui ferait peut-être prendre conscience de ce que l’anthropologue appelait «l’intolérance musulmane», qui «adopte une forme inconsciente chez ceux qui s’en rendent coupables».
Cette religion n’est pas un problème, quand elle est contenue dans la sphère privée. La difficulté tient à la démission de responsables politiques qui, comme Juppé et ses néogaullistes, croient pouvoir acheter la paix civile en tenant un discours sur «l’apaisement». Cette crainte du conflit revient à admettre une inaptitude de cette «diversité» à se fondre chez l’autochtone, prié de s’effacer. Or la démarche, approuvée par les sermons sur la non-discrimination, est une soumission à l’islam politique qui exige sa «visibilité» et ne supporte pas la contrariété. Refuser ces intimidations n’est pas s’opposer aux musulmans, comme le soutiennent les «antiracistes» qui hurlent au retour des années 1930. La plupart ne réclament rien. Comparer leur sort à celui des Juifs est une outrance qui n’effraie pourtant pas ceux qui ont choisi d’accélérer la balkanisation de la nation affaiblie.
Il y avait quelques éclairs de clairvoyance mêlés à des rêves de père Noël : distinguer islam et islam politique, imaginer une seconde que l’islam pourrait être contenu dans la sphère privée, ce qu’interdit le coran, mais au moins l’intolérance et le communautarisme musulman étaient pointés du doigt…
Il ne se faisait pas d’illusions, non plus, sur l’échec de l’assimilation en juin 2O14
Le patriotisme algérien en France révèle l’échec de l’assimilation
Extraits
Ivan Rioufol: On ne peut pas se contenter de s’attendrir devant ces «scènes de liesse», ainsi décrites complaisamment par les médias. Ce qui se passe est choquant. Un étranger regardant la France hier soir pouvait se demander légitimement: dans quel pays suis-je tombé? Sommes-nous encore en France?
Ce que nous avons sous nos yeux sont des manifestations d’appartenance et de fierté patriotique, singulièrement à travers l’exhibition des drapeaux algériens. Dans certaines mairies, le drapeau français a été décroché et remplacé par le drapeau algérien. Ce n’est pas «faire le jeu du Front National» de le dire, comme on l’entend. C’est la réalité. Il n’y a pas eu de telles manifestations lorsque la France s’est qualifiée en huitième de finale.
A cette volonté d’appartenance, s’ajoute une recherche de visibilité. Ces jeunes veulent montrer et faire comprendre qu’ils sont Algériens avant d’être Français.
Ces manifestations de patriotisme algérien sont-elles le signe de l’échec de la politique d’assimilation?
Bien sûr, c’est un échec flagrant qui nous est donné de voir. Si l’assimilation fonctionnait, ces jeunes seraient descendus dans les rues pour fêter la victoire de la France! Nous assistons aujourd’hui à un phénomène de communautarisation de la société française, à sa fragmentation, à son éclatement. Toute une jeune génération se comporte comme si elle voulait prendre sa revanche sur la France colonisatrice. Leurs parents ayant refusé l’Algérie française, ils veulent la France algérienne. Leurs drapeaux brandis dans les rues expriment un refus du vivre-ensemble, voire une volonté de contre-colonisation. La question qu’il faut se poser est: la France doit-elle accepter de se faire ainsi cocufier?
Il a pourtant lui aussi bénéficié de l’attention du CCIF qui l’a poursuivi en justice en 2013, lui démontrant ainsi directement que l’islam n’accepte pas la liberté d’expression.
Pour la première fois de ma carrière journalistique (débutée en 1976), j’ai reçu, samedi, une convocation pour être entendu par la Police Judiciaire, suite à une plainte déposée par leCollectif contre l’islamophobie en France (CCIF). Je vais devoir répondre de propos tenus le 15 novembre 2012 dans l’émission On refait le Monde, animée par Marc-Olivier Fogiel, sur RTLégalement visés par la plainte. Le CCIF, qui oeuvre à l’islamisation des musulmans, me reproche d’avoir critiqué sa campagne d’affichage : « Nous sommes la nation ». Il s’agit du détournement du tableau de David, Le serment du Jeu de Paume. Se substituant aux acteurs de la Révolution française, l’image représente très majoritairement des femmes voilés, des barbus, des encapuchonnés et des jeunes des cités. Financée à hauteur de 35.000 euros par l’Open Society Institute du milliardaire américain George Soros, qui a des comptes à régler avec l’Europe, la campagne avait pour but de promouvoir la visibilité islamique dans la République laïque, en revendiquant un refus de l’assimilation et de l’intégration, au profit d’une « inclusion » intimant d’accepter les musulmans tels qu’ils sont. Avec sa plainte, le CCIF porte évidemment atteinte à l’élémentaire liberté d’expression. La lutte contre l’islamophobie dont il se réclame revient à interdire tout débat.
Inutile d’insister, j’imagine, sur l’extrême gravité de cette tentative de pénaliser l’esprit critique, d’intimider des journalistes, de censurer des médias, de réintroduire le délit de blasphème. Mais je m’étonne néanmoins de l’indifférence générale qui est portée à ce genre d’organisme, qui respecte si peu la France, son histoire et ses valeurs, sinon pour instrumentaliser les droits de l’homme dans le sens de ses intérêts propres. Dans son livre déjà cité (Islam, épreuve française) Elisabeth Schemla rappelle cette déclaration d’août 2011, à la mosquée d’Orly, de Marwan Muhammad, porte-parole du CCIF : « Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française ». Il est d’ailleurs intéressant de s’arrêter au logo du CCIF ; il est stylisé de telle manière qu’il peu se lire Sif, c’est-à-dire « Le glaive de l’islam ». Pour ma part, je vais évidemment répondre à ma convocation. J’espère néanmoins pouvoir y dénoncer ces inqualifiables méthodes et le danger qu’elles représentent pour la république. Elles ne me feront évidemment pas taire. Tout au contraire.
Comment un homme comme Rioufol, avec sa culture, sa lucidité, son intelligence, peut-il devenir de moins en moins lucide, de plus en plus islamo-collabo au fur et à mesure que le temps passe et que le vrai visage de l’islam apparaît avec les horreurs de l’Arabie saoudite, de l’Iran, du Pakistan, bref, de tous les pays musulmans ? Horreurs développées au plus haut point par l’EI et les attentats qui font couler le sang et les larmes chez nous ?
Je suis frappée de voir que Michel Onfray a un parcours presque parallèle, véhément sur l’islam il y a quelques années, il s’est lui aussi bien calmé…
Que faut-il en conclure ? Que ces messieurs ont peur de ne plus pouvoir manger car boycottés par les medias s’ils ne pensent pas juste ou peur de se retrouver dans le peau d’un Redeker, d’un Rushdie ou d’un Charb ?
Une chose est sûre, ce n’est pas avec eux qu’on va gagner la guerre… Et pourtant on aurait grand besoin d’intellectuels, de journalistes, qui ne manient pas la langue de bois et appellent un chat un chat.
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Si un journaliste venait à dire qu’il à discuté avec un SS modéré en 40
mon grand père maternel Officier Prussien venu en notre France pour
crever de silicose et d’infirmité sans pension .éxilé de cette nazie Allemagne
l’aurai sabré
mon père ce héros prisonnier 3 fois prisonnier aurai vidé son barillet
Ce jour la France crève de ces ordures venues d’ailleurs
moi qui trouvait méchants ces pieds noirs
je pense qu’eux seuls savaient parler à ces sournois
avec nos frères Juifs nous n’avons jamais connu de conflit
bien au contraire
seuls ces arrivants de mentalité et secte arriérées conditionnés par le coran et prenant la femme pour plus bas qu’une chêvre nous EMMERDENT alors BASTA debout les FRANCAIS
Peut-être se fait-il aussi taper sur le stylo par sa direction du Figaro ? laquelle soutiendra certainement le Juppé « islamocompatible ». Mais je serai bien le dernier à taper sur Rioufol pour 2 raisons :
1. Il n’est pas sûr du tout qu’en appelant des musulmans à désavouer l’islamisme il croie à cette possibilité ! Ce peut être plutôt une « mise au défi »…
2. On ne peut abandonner complètement l’idée (même si sa réalisation est improbable) qu’une majorité de musulmans se détache sincèrement des crimes commis. Encore faut-il le leur demander et, de la part d’un Etat digne de ce nom, l’exiger.
Pourquoi ne peut-on l’abandonner ? Parce que ce serait le désespoir le plus radical. Si tel est le cas, nous aurions déjà perdu la première partie de la guerre : à 15 % de la population bien armée et unie, on contrôle et asservit facilement les 85 % restant, population désarmée militairement et idéologiquement, surtout avec la complicité active des socialauds. On ne peut donc espérer gagner qu’à l’issue d’une Résistance souterraine capable de durer une décennie.
Le coût humain et économique d’une occupation de longue durée et d’une Résistance souterraine est tellement élevé qu’on peut légitimement appeler de ses voeux cette dissociation/fracture entre terroristes et musulmans même si on ne lui donne pas beaucoup de chances de se produire… Pascal avait fait ce pari !
rêver au lieu d’être lucide et de se préparer au pire risque de nous coûter bien plus cher, bien trop cher. Il vautmieux savoir qu’un vrai musulman ne peut pas changer et s’il y en a certains qui dévieent et deviennent apostats ce sera une excellente chose, mais ne comptons pas dessus.
Je crois qu’Ivan Rioufol finit par se rendre compte que l’Islam est devenu le mode de vie majoritaire en France : on naît musulman, on est musulman, à vie, et ça doit représenter au moins 18 millions de personnes en France, 500 000 nouveaux musulmans par an, alors il pense que les autochtones devront composer avec.
J’aime bien votre chute, Christine, « il faut bien manger ».
Vous avez tout résumé.
😉
L’exemple de ce journaliste démontre que même les meilleurs d’un moment peuvent ensuite connaitre des période de lâcheté et de renoncement , dont parfois ils ne se reméttreront jamais .
Peut on s’en étonner franchement ? à vrai dire non, car dans le passé , bien des journalistes ou des intellectuels , ont commencé par prendre des options louables ,pour ensuite passablement modérer leur position, en raison de motivations simplement humaines ou d’hésitations idéologiques .
Cependant s’agissant de l’islam, tous ces grands penseurs , tentés par une approche inspirée par la mensuétude , passent à coté d’une réalité essentielle : Mahomet au sens du coran officiel, était un vrai bandit du désert , avides de richesse, commanditaires de trés nombreux et horribles massacres , et cultivant un gout immodéré pour les pratiques sexuelles inspirant un sentiment de répulsion, même chez les observateurs peu soucieux de chasteté !
Mahomet était un des pires criminels de l’histoire et toute personne lui accordant sa foi, se fait donc complice des horreurs qu’i a commis , quand bien même serait elle la plus paisible des ménagères, ! fin de démonstration , et il n’y a rien à ajouter !
L’énumération atroce des exactions du sieur Mahomet est un préalable obligatoire , auquel devrait se soumettre tout intellectuel sérieux étudiant l’islam , et le fait de se soustraire à cette nécéssité , le prive de la recherche éxacte de la vérité
Sous le soit disant respect des différences, on ne prend pas la maison ou le pays du peuple par la force.
Aucun pays au monde n’aime de se faire coloniser et envahir par d’autres sans respect, et bien nous non plus, vive l’indépendance.
Il y a eu des tas de pays colonisés, qui ont eu droit à l’indépendance ce sans se faire traiter de raciste, et bien nous aussi.
Si des politiques ont des idées, tout le monde en ont, mais pas sans consulter le peuple.
Le Yvan prend peut être un peu ses distances, car cela devient un peu chaud pour lui.
Car si l’Islam est une saloperie de dictature, nos dirigeants aussi car ils l’imposent de force et avec les attentats, ils ont du sang sur les mains!, c’est des assassins, des criminels.
Et aujourd’hui se taire est participer avec les assassins, et jamais je me tairai, car se taire est un crime!.
Et je refuse de me taire devant le génocide européen, devant les meurtres que nos peuples et dans le monde subissent.
bonsoir PARA D’AVANT , exact il en parle sans langue de bois .
EXACT MEME LE FN SEPARE L ISLAM DE L ISLAMISME IL. SUFFIT DE VOIR LES DIFFERENTS SONDAGES DU POURCENTAGE DE MUSULMANS VOULANT LA CHARIA ET SOUTENANT LE CALIFAT A VIRER AVEC LES DELINQUANTS IL NE VA PLUS RESTER GRAND MONDE LES SS NAZIS N ONT RIEN A VOIR AVEC HITLER ET MEIN KAMPF DIFFERENCE ENTRE UN NAZI MODERE ET UN NAZI RADICALISE,,,??
Lire un jeune con, envie de le lancer en orbite et qu’il finisse par s’écraser sur la kaaba https://www.change.org/p/csaudiovisuel-pour-l-anonymat-des-terroristes-dans-les-médias et sa pétition à la con est signée par 45 000 moutons de Panurge qui n’attendent qu’une chose se faire égorger par des anonymes !
Yvan Rioufol, à bien changer son discours depuis un certain temps je l’ai remarqué et cela me gêne au plus haut point car je fondais beaucoup d’espoir vis à vis de notre combat mais que voulez vous, le courage de dire la vérité n’est pas à la porter de tout le monde. Bien évidemment, il reste un homme fort sympathique et je le pense, peut être qu’il faut lui laisser un peu plus de temps pour qu’il soit éclairer de la plus belle des lumières !!! Peut être aussi qu’il a une certaine crainte des autorités en place et ne veut pas se retrouver devant le tribunal à la 17eme chambre correctionnelle à Paris, pour atteinte à l’islam.
Nous verrons bien avec le temps !!!!
Affaire à suivre !!!!
Je pense que l’islam, avec des associations comme le CCIF ou d’autres, est passé au stade de l’intimidation ! Intimidation des réfractaires à l’islam, des opposants de tout poil, pour les réduire au silence, et ainsi avancer, le glaive de l’islam en bout de bras !
Pour Ivan RIOUFOL, j’ai beaucoup de respect, je pense que c’est un homme sincère ! Peut-être a-t-il reçu des menaces qu’il souhaite taire ? Peut-être a-t-il peur pour un avenir incertain sur le plan pécuniaire, boycotter tout azimut ? Plus invité sur des plateaux de TV comme France 24 ou d’autres ?
Quant à Michel ONFRAY, notre philosophe à la mode (de chez nous) je serai plus réservé ; pourquoi s’est-il calmé à propos de l’islam ? Je le connais mal, donc j’arrêterai là mon propos !
Tout ceci me laisse perplexe et m’interroge ! En attendant, le bateau FRANCE coule sous les coups de boutoir d’un islam de plus en plus barbare, sur de sa conquête mondiale ! Charles MARTEL, où es-tu ?