Isaac Herzog, président pour tous ou Marionnette de la gauche israélienne ?

Certains disent que le président israélien Isaac Herzog manque d’épine dorsale, de sincérité, de droiture et même de fidélité à sa patrie. En y réfléchissant, on a beaucoup de mal à comprendre les raisons de son attitude nettement biaisée, non seulement envers le Premier ministre Benyamin Netanyahu, mais aussi envers certains cadres militaires de l’armée israélienne. Le harcèlement judiciaire ininterrompu mené à tambours battants contre Bibi, non seulement annihile ses forces, sa lucidité, mais aussi, risque de perturber son agenda/devoir envers la sécurité du petit pays juif. C’est dégradant, c’est humiliant, c’est diabolique, c’est inhumain.

Nous l’avons vu lors de l’initiative d’une réforme judiciaire qui finalement s’évapora par manque de doigté, d’habileté et de profonde considération afin de s’ouvrir à une solution raisonnable au problème de la réforme judiciaire – réforme, qui rappelons-le, est devenue indispensable et extrêmement urgente.

Son inaptitude à opter pour le bien-être du peuple juif dans son ensemble, révèle l’incubation du Deep state, défendue par la gauche politique israélienne.

Que savons-nous sur Isaac Herzog ? Il a été chef de l’opposition de 2013 à 2018 et candidat du Parti travailliste – parti de gauche – au poste de Premier ministre lors des élections législatives israéliennes de 2015. Herzog a été élu président d’Israël en 2021 et a pris ses fonctions le 7 juillet 2021.

Son affiliation à la gauche politique l’a mené directement vers une collision avec le parti de droite, le Likoud de Netanyahu, nonobstant ses quelques oscillations déroutantes vers le parti centriste.

Le parti travailliste préconise et œuvre pour l’instauration d’un État pour tous ses citoyens, réplique identique des démocraties occidentales. Avec une minorité de plus de 20% d’arabo-musulmans israéliens, polygames et extrêmement féconds, le danger d’une bascule vers un État mixte qui plafonnerait en une perte inéluctable de démocratie et la création d’un nouvel État arabo-musulman, est imminent. Quelques familles d’arabo-israéliens ont donné naissance à plus de 60 enfants. C’est vous dire, qu’appliquer la démocratie, c’est le suicide inévitable et la substitution de population.

Il suffit d’observer les ravages du vivre-ensemble au sein des démocraties européennes pour comprendre qu’une situation analogue culminera en guerre civile. Israël se verrait contraint de se mesurer à l’éventuelle intervention des Arabes de Gaza, de Jordanie et d’Égypte, sous le regard scrutateur du Hezbollah libanais et de Bachar el-Assad ou son remplaçant en Syrie. Le comble.

Il faut vraiment être dingue pour ne pas procéder à un petit calcul et se découvrir face à face à une situation sans retour. Les Juifs d’Israël n’abandonneront jamais leurs terres promises tant convoitées par leurs voisins arabo-musulmans.

La vague de manifestations visait en fait, à faire pression sur Netanyahu et le contraindre à démissionner sous l’accusation d’être le facteur majeur des crises politiques israéliennes, culminant en l’attentat du 7 octobre 2023. Archi-faux. Vinrent ensuite les otages, et même l’accusation de génocide qu’Israël doit à la gauche irresponsable et inconsciente.

C’est du n’importe quoi puisque Israël vit sous l’égide de la terreur depuis sa création en 1948. Herzog le sait, le peuple juif d’Israël aussi, les Arabes de même. Comment peut-il adhérer à la Gauche, se demande-t-on. Déteste-t-il sa patrie ? Ses frères juifs à cause de leurs croyances, foi, de leur droit de vivre en qualité d’orthodoxes ?

Inutile de se creuser les méninges – l’intention des arabo-musulmans de tous bords, leurs tactiques, leur taqiyya, leur fécondité, leur terreur se traduisent aujourd’hui par leurs slogans : La Palestine du Jourdain à la Méditerranée. Et à ce train, il est fort possible que leur projet se réalise.

Pourquoi alors cette tendance d’Herzog d’aller à contre-courant ? La Droite politique est composée de juifs croyants et pratiquants en général, tandis que la gauche est athéiste, progressiste, et aspire à copier les démocraties défaillantes de nos temps. Tout est bon pour la gauche – tout sauf Bibi Netanyahu et la droite politique… Cette gauche n’est absolument pas consciente que ses agissements les mèneraient vers la perte totale de refuge, d’État… et d’accepter l’islam et ses aléas.

L’exiguïté du territoire ne permet pas aux Juifs d’Israël, d’ouvrir ses frontières aux migrants ou aux chercheurs d’asile qui les feraient simplement disparaître de la mappemonde.

Inutile de crier au viol, c’est la triste réalité, d’autant plus que les pays arabes appliquent l’apartheid sans remords, ni regrets. Aucune réciprocité. C’est d’ailleurs la cause principale de la dissolution des démocraties européennes et du monde libre entier. Tous ceux qui fuient la dictature se déversent au sein des démocraties qui, en l’espace de quelques années, se verront transformées en républiques islamiques.

Les arabo-musulmans ont bien fait leur compte. Ils ont bloqué la démocratie et malheur à tout citoyen qui s’en inspire. Il est soit incarcéré, soit exécuté. Que l’on ne nous dise pas qu’on se trompe ! L’Arabie saoudite, l’Égypte, la Jordanie, tous les pays arabes ont refusé l’asile aux Gazaouis qu’ils ont abandonnés dans le froid de l’hiver et les pluies diluviennes dans leur abris temporaires – des tentes.

Aucune pitié, aucun reproche, l’ONU aveugle et sourd, les droits de l’homme partis en fumée, la CPI n’accuse aucun d’eux de génocide, de fratricide.

Quel monde d’hypocrites !!! Quelle horreur. Où es-tu justice ? Où es-tu humanité ? Elles ne signent « présent » que lorsque les juifs et Israël sont concernés.

Que faut-il vous souhaiter hypocrites et menteurs ? Que justice triomphe…

Thérèse Zrihen-Dvir

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