La chute de l’Europe, des grandes puissances européennes et des USA était, le moins qu’on puisse dire, prévisible… Cela sentait le roussi depuis trop longtemps. L’invasion islamique se manifeste dans tous les secteurs, dans tout l’Occident. S’il y a quelques années on balbutiait cette prévision rocambolesque, aujourd’hui elle s’incruste et vocifère même dans les journaux. Ceux que nous avions accusés de vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, ne s’étaient pas trompés.

Un grand virage, qui néanmoins, provoqua la chute libre du masque de la gauche politique, laïque, chrétienne et/ou musulmane, laquelle milite probablement à son insu, au sein de ses propres ennemis : des ressortissants des régimes théocratiques ou autocratiques sans scrupules, qui font un usage cynique du tremplin providentiel des démocraties pour leurs propres intérêts et projets hégémoniques.

Les 4 règles de la démocratie reposent sur des principes fondamentaux dont la participation citoyenne, la liberté d’expression, l’égalité devant la loi et le respect des droits fondamentaux.

Le ventre mou de la démocratie surgit en pleine lumière lorsque la gauche insatiable, souleva le voile qui couvrait ses crocs et beugla ses choix. C’est face à un gouffre qui s’excave d’heure en heure, déblayant toute précaution, logique, piétinant éléments et composants destinés à cuirasser une démocratie qui vire à la dérision… En fin de compte, on constate que cette nouvelle forme de démocratie flirte étroitement avec la dictature… Certains démocrates ont la nette impression d’être menés par le bout du nez par leurs propres dirigeants qu’ils ont élus démocratiquement… Et c’est à cet instant précis que la démographie galopante feutrée se transforme en un écueil incontournable et s’affiche avec son flambeau écrasant de sa substitution de population.

Nous avions eu un excellent exemple en Israël lors des dernières manifestations au carrefour Kaplan, lieu où tous ceux qui se disent démocrates beuglaient à tout va « démocratie ». Émeutes qui faisaient suite à la prise du pouvoir par Bibi Netanyahu, connu pour ses tendances centre-droite. Pour la gauche et la gauche radicale qui incorporent les partis arabo-musulmans, c’est devenu, « La tyrannie de la majorité ». Évidemment cela dépend de quel côté de la barrière, on se situe. Conséquence perturbante de la démocratie par laquelle une majorité démocratique peut imposer ses volontés et ses préférences, à moins que cette démocratie ne s’accompagne d’une véritable reconnaissance de certains droits pour protéger ses minorités.

Dans les pays occidentaux, les majorités sont formées par des Chrétiens et des musulmans… Qu’adviendra-t-il des minorités juives de par le monde, si la majorité est musulmane ? C’est la valise ou le cercueil. À New York, le nouveau maire musulman ne cache pas son antisémitisme.  L’islam est non seulement antisémite-antijuif-anti-Israël, il est aussi antichrétien et anti laïcité. Une suprématie musulmane ne fera l’affaire d’aucun juif, chrétien et laïcs… considérés « Kuffars » par l’islam.

Dans ses débuts, Israël était majoritairement laïque, agnostique, dont le règne ou suprématie, s’étendit sur une cinquantaine d’années, durant lesquelles, la gauche eut l’opportunité de s’emparer des positions clés de l’État et d’imposer ses conceptions diplomatiques, stratégiques et territoriales à la droite qui paya et continue de payer le prix du sang pour ses erreurs répétitives et ses tentatives catastrophiques d’édulcorer un conflit confessionnel et racial entre les arabo-musulmans et les juifs d’Israël.

Dans l’Israël du XXI siècle, l’opinion publique a changé à temps de direction, optant pour le nationalisme, le retour aux sources, à la foi et aux coutumes juives. L’attaque du 7 octobre 2023, a été la goutte qui fit déborder le vase. Aberrant, la gauche, signe et accuse, fermant sciemment les yeux sur les pertes humaines, matérielles et les conséquences d’un désastre persistant, s’obstinant à imposer un État pour tous ses citoyens lequel inutile de le préciser, n’a aucune chance de survivre. Les arabo-musulmans des pays voisins ainsi ceux qui se disent palestiniens aspirent à un État palestinien sur toute la superficie d’Israël – du Jourdain à la méditerranée.

Il existe deux formules invariables : Tout régime employé à la lettre devient suicidaire. Trop de démocratie mène à la perte totale d’amarres, d’orbite – gravitation dans le vide absolu.

La deuxième formule : Tout régime qui n’est pas appliqué globalement, invite l’opportunisme, le conflit, lorsque derrière les étendards c’est surtout des ambitions hégémoniques et une lutte acharnée pour des ressources… La confession/religion est l’opium de la plèbe qui aligne ses enfants pour le combat, vêtus d’uniforme, le fusil en bandoulière.

Les récentes impulsions démocratiques ciblent l’abandon intégral de toute confession, d’identité, de genre, des lois fondamentales de la nature et se dirigent hardiment vers la création d’un monde nouveau, exempté de patrie, nation, peuple, culture et passé. Avec le mariage pour tous, le concept famille disparaît. La matrice artificielle se chargera de créer des générations d’enfants élevés dans des éprouvettes et vendus dans les pharmacies. Le progressisme mettra fin à l’humanité entière et ouvrira les portes à la robotisation.

L’unique chance de survivre au progressisme ambiant est un retour global aux lois naturelles de la nature, de la création… Ou alors, c’est l’islam qui sauvera cette humanité assoiffée de disparaître, en imposant une substitution de population et à sa traîne l’Islam… Qui dit islam, dit soumission.

Cela vous semble invraisemblable… C’est la logique même. Réfléchissez un peu. Et si c’était une stratégie divine pour empêcher l’humanité de disparaître ? 

Thérèse Zrihen-Dvir