Je me souviens d’un bouquin caviardé par la cenSSure dans lequel le sulfureux capitaine Paul Barril racontait en toute simplicité comment Tonton Francisque se débarrassait des gêneurs.
Prudent, se méfiant des mini-dictaphones que lui même utilisait, jamais ils n’aurait ordonné une opération homicide. Pas même contre des terroristes, comme le ventripotent Flamby s’était vanté pour se donner l’air d’un dur à cuire. Mitran savait se faire comprendre à demi-mots. « Je ne veux plus entendre parler de ce type » suffisait. Pour ses sbires, c’était un ordre d’exécution. Sans témoins ni trace écrite.
Si un inconscient évoquait les faits, avant de disparaître mystérieusement, de se suicider de deux balles dans la nuque, ou d’être victime de coups montés l’envoyant moisir en prison comme Barril, le service de presse de l’Élysée affirmait que ces propos signifiaient qu’il ne fallait plus inviter l’importun aux cérémonies officielles.
Coupable ou pas, mais on ne prête qu’aux riches…
Même une grande gueule comme l’avocat Jacques Vergès est resté planqué en Algérie en compagnie de la poseuse de bombes Djamila Bouhired pendant les deux septennats du père François, parce qu’il savait de quoi les sicaires de l’Élysée étaient capables. Une animosité irréductible opposait les deux hommes depuis que le futur Président alors ministre avait accusé le bavard des terroristes d’avoir dérobé un dossier à charge dans son bureau, et avait menacé de lui faire la peau.
Le « salaud lumineux » préférait ne pas être suicidé de deux balles dans la tête comme René Lucet le 4 mars 1982. Éparpillé dans un avion saboté comme Michel Baroin chef du Grand Orient et honorable correspondant de la DST le 5 février 1987. Fracassé dans les escaliers comme le financier Roger-Patrice Pelat le 7 mars 1989. Victime d’une faute de manipulation de l’arme de son gorille comme l’étourdi Pierre Beregovoy le premier mai 1993. Ou suicidé par mégarde à l’Élysée comme François de Grossouvre le 7 avril 1994.
Candace a de bonnes raisons de se croire menacée, mais elle confond le GIGN avec la CIA. Pour ses coups tordus, le château a toujours employé des tueurs à gages venus de la pègre ou choisis parmi les moutons noirs des services secrets.
La pétillante Afro-Américaine affirme avoir eu des contacts récents avec un haut fonctionnaire du gouvernement français, très proche du couple présidentiel. Fournisseur de sucre en poudre ou organisateur des fiestas gay façon fête de la Musique ? On n’en sait pas plus.
Cet homme lui aurait révélé que Fripounette et Brichel acculés auraient commandité et financé son assassinat, en faisant intervenir une petite équipe issue du groupement d’intervention de la gendarmerie nationale. Pourquoi est-ce peu plausible avec ces acteurs-là ? Parce que, pour monter ce genre d’opération, il faut pouvoir se fondre comme un caméléon dans le milieu où évolue la cible, ne pas se faire remarquer, et se rendre quasiment invisible jusqu’au moment de frapper.
Or les pandores, même dits d’élite, sont des pieds plats qui roulent les mécaniques, des balourds de compétition qu’on repère à six lieues à la ronde. Ajoutant à un comportement peu naturel une démarche rigide, ces robots de chair sont tellement bien dressés pour obéir qu’ils sont incapables de prendre des initiatives en cas d’imprévu. D’autant qu’ils doivent parler anglais comme des zébus de la pampa.
L’hypothèse d’un commando de mercenaires est plus réaliste.
Les Macronescu pourraient être tentés de faire taire définitivement les « odieuses rumeurs », sachant qu’ils ont peu de chances de l’emporter devant un tribunal américain. Où la procédure ne se contente pas d’approximations comme en France avec une vieille carte d’électeur froissée et les glapissements outrés de la famille. Aux USA, on doit présenter des preuves matérielles de ses allégations. Par exemple un test ADN pour établir le bien-fondé de la demande.
La possibilité qu’un ancien des barbouzes israéliens aurait été recruté pour former le commando d’exécuteurs, comme le suggère aussi Candace, n’est pas à rejeter. D’autant que les agents du Mossad ont une certaine expérience des « accidents » survenus à des tortionnaires nazis en Amérique du Sud et à des assassins djihadistes en Europe et au Proche-Orient.
Ceci dit, si tel était le cas, on peut avancer qu’un pétochard et une créature indéfinissable qui se dit polytraumatisée ne se mouilleront pas personnellement. Les ordres seront indirects. Par personnes interposées. Comme du temps de Mitran. Par exemple le mystérieux informateur de Candace qui désapprouve probablement ce genre d’initiative. Ou refuse de se mouiller. Et les paiements seront effectués via une cascade de banques offshore aux Bahamas ou aux îles Caïmans.
Nos médias couchés traitent Candace de paranoïaque alors qu’elle est seulement prudente.
Dire que vous croyez votre vie en danger, et prévenir qu’en cas d’accident fatal cela pourrait ne pas être naturel, est une forme de protection dans l’immédiat pour compliquer les actions des criminels. En rendant votre approche plus difficile. Et au pire, avoir la garantie qu’une enquête approfondie sera menée s’il vous arrive malheur. Elle peut compter sur Donald qui l’aime bien, avec son chef du FBI et sa ministre de la Justice.
La chroniqueuse aux plus de 7 millions d’abonnés sur X et 30 millions de lecteurs de son tweet accusateur explique qu’elle veut informer ses compatriotes au cas où les Macronescu iraient jusqu’au bout. Le simple fait que cette éventualité paraisse crédible à des millions de gens montre à quel point le couple maudit s’est discrédité, non seulement aux yeux des Français, mais aussi auprès des étrangers. Personne ne leur fait plus confiance et on les croit capables de tout !
En outre, selon les informations que Candace a recueillies, la vie du journaliste Xavier Poussard serait également en danger. Pour avoir été parmi les premiers à soulever le mystère de Brichel, apparue comme par génération spontanée à 30 ans, sans photos d’enfance ni d’adolescence, sans amies de jeunesse, sans photos de ses grossesses ni clichés de ses trois moutards dans ses bras ou sur ses genoux. Sans parler du frangin Jean-Michel qui joue l’Arlésienne.
« Le dictateur français souhaite apparemment notre mort à tous les deux »assure-t-elle. Sans exclure la possibilité d’un excès de zèle de la part de gens de l’entourage des Macron. Cherchant seulement à effrayer Candace pour la faire taire. Sinon pour se faire mousser en anticipant les desiderata informulés de leurs patrons. Puisque, dans ce monde-là, il suffit d’exprimer ses souhaits pour trouver des sbires prêts à les réaliser.
Les prétendus vérificateurs de faits se disant intègres et objectifs mais dont on sait qu’ils roulent pour les nababs du Nouvel Ordre Mondial se sont déchaînés une fois de plus contre Candace.
En 2020, les fact-checkers de Politifact l’avait allumée pour ses tweets accusant l’incorruptible et irréprochable milliardaire George Soros d’avoir payé des manifestants violents pour renforcer des émeutiers du mouvement « Black Lives Matter ». Ces honnêtes vérificateurs lui collaient l’étiquette de Bountyalors qu’elle visait des délits commis par des voyous financés par l’étranger.
Par la suite, elle a aggravé son cas en dénonçant les dangers des pseudo-vaccins anti-covid qui font plus de mal que de bien, et en démontant les ressorts du prétendu réchauffement anthropique. Une affabulation sans fondement scientifique pour affoler les gens, restreindre leurs libertés, et récolter du pognon. Intolérable pour les rats progressistes, puisque elle a l’oreille du Président qui a boudé les nuisibles de la COP 30.
Donald lui a signalé que Macronescu l’aurait supplié de la faire taire. Ce n’est pas impossible de la part d’un tel pétochard qui ne sort plus en France sans un escadron de gardes mobiles et fait évacuer les secteurs où il compte parader. « Cet âne ne sait pas qu’en Amérique les médias sont libres » a résumé Trump qui a toujours méprisé le paltoquet. Et bien sûr elle a continué, amplifiant le désarroi des deux imposteurs.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
8 total views, 8 views today


Soyez le premier à commenter