Rome : un jeune homme contraint d’assister au viol de sa fiancée de 18 ans par des migrants

Rome : un jeune homme contraint d’assister au viol de sa fiancée par des migrants…

Djihad du viol

La capture de femmes infidèles (non musulmanes) et leur utilisation comme esclaves sexuelles est autorisée par le Coran. (Coran 4:3, 4:24, 33:50).

Les féministes restent muettes face à la violence issue de cultures machistes importées du Maghreb, où les femmes sont considérées comme des biens et le viol comme un trophée.

Daily mail

Rome – Un drame particulièrement brutal s’est produit le 25 octobre dernier dans le parc de Tor Tre Teste, à l’est de la capitale italienne, où un couple italien a été victime d’une violente agression aux circonstances traumatisantes.

Selon les autorités, la jeune femme de 18 ans et son fiancé de 24 ans s’étaient garés dans un coin tranquille du parc lorsqu’ils ont été encerclés par un groupe d’agresseurs qui ont attaqué leur véhicule.

Une attaque d’une violence extrême

D’après le rapport de police, les assaillants ont brisé la vitre du véhicule et ont d’abord extrait l’homme de force, avant de s’en prendre à sa compagne qui tentait de se couvrir avec un vêtement.

Le jeune homme a déclaré aux enquêteurs avoir été immobilisé et maintenu au sol par deux individus pendant que sa fiancée était traînée à courte distance. Impuissant, il a été contraint d’assister au viol de sa compagne.

Selon son témoignage, il a hurlé pour appeler à l’aide, supplié les agresseurs d’arrêter et même proféré des menaces de représailles, mais n’a pas réussi à se libérer de l’emprise de ses assaillants.

Après l’agression, les trois auteurs principaux ont pris la fuite. Le couple, profondément terrorisé et en état de choc, a immédiatement contacté les forces de l’ordre pour déposer plainte.

Trois arrestations, l’enquête se poursuit

Les autorités ont procédé à l’arrestation de trois hommes de nationalité marocaine, inculpés pour viol en réunion et vol. Deux suspects ont été appréhendés par la brigade mobile de Rome quelques jours après les faits, et un troisième a été interpellé à Venise récemment.

Les enquêteurs ont maintenu le silence sur ces arrestations afin de poursuivre la collecte de preuves. Des empreintes digitales relevées sur la vitre brisée correspondent à celles des suspects arrêtés.

Les autorités précisent que l’agression a débuté comme un vol, les effets personnels du couple ayant été dérobés pendant l’assaut. Les policiers n’excluent pas l’implication de complices supplémentaires – jusqu’à cinq personnes auraient pu participer à l’attaque. Un enquêteur a confirmé que « l’investigation n’est pas close ».

Un contexte de tensions

Cette affaire s’inscrit dans un climat de préoccupation croissante en Italie concernant les violences sexuelles. Plusieurs cas similaires impliquant des migrants ont suscité des manifestations publiques ces derniers mois et alimenté un débat national sur l’immigration.

La semaine dernière, le parlement italien a adopté un amendement élargissant la définition légale des violences sexuelles pour y inclure les actes non consensuels, sans obligation pour la victime de présenter des preuves physiques d’abus. Les défenseurs des droits saluent cette mesure qui devrait faciliter le signalement de tels crimes.

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Sortie de la  voiture et violée par trois maghrébins devant son petit ami à Rome

Voxnews

Le 25 octobre, dans l’obscurité du parc Tor Tre Teste – jadis poumon vert des banlieues est, aujourd’hui repaire de débauche et de prédateurs – une jeune fille de 18 ans, innocente et pleine de rêves, se promène avec son petit ami. Elle ignore qu’elle est sur le point de devenir une victime de plus sur l’autel de l’immigration clandestine. Trois hommes d’origine marocaine, âgés de 20 à 30 ans, l’attaquent comme des loups affamés : ils brisent les vitres de la voiture, l’en extraient brutalement, immobilisent le jeune homme à coups de poing et de menaces, et commettent un viol collectif dans une zone sombre du parc, sous les yeux terrifiés de son compagnon. Non pas un acte de folie isolé, mais l’aboutissement de carrières criminelles alimentées par un système judiciaire italien apparemment conçu pour les récidivistes étrangers : vols, agressions sexuelles, larcins – autant de précédents qui n’ont jamais arrêté ces monstres.

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Imaginez la scène : le couple gare sa voiture, main dans la main, inconscient du danger. Les trois Marocains – des noms connus des services de police pour une série de crimes qui rempliraient un CV cauchemardesque – les repèrent comme des bêtes sauvages. Ils brisent la vitre avec une brique, font irruption et traînent la jeune fille hurlante au cœur des bois. Son petit ami, un jeune homme ordinaire qui ose la défendre, est battu et ligoté, contraint d’assister impuissant aux agressions répétées de ses bourreaux. « Ça suffit ! », supplie-t-elle entre deux sanglots, mais pour eux, elle n’est qu’un trophée : des corps blancs, des proies faciles dans une Italie qui les accueille à bras ouverts. La violence dure des minutes qui semblent une éternité, organisée comme un raid : l’un agrippe le garçon, l’autre la viole, le troisième fait le guet. Puis ils s’enfuient, laissant derrière eux non seulement un corps déchiré, mais aussi une âme brisée.

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L’enquête, immédiatement ouverte par la préfecture de police de Rome, a permis d’arrêter les deux premiers suspects en un mois : ils ont été identifiés grâce au témoignage de la victime – courageuse malgré le traumatisme, elle a coopéré en fournissant des détails précis sur les visages, les vêtements et les accents – et grâce aux caméras de surveillance du parc, qui ont capturé des ombres fugaces mais caractéristiques. Le troisième, l’individu  au sweat-shirt trop grand et à capuche baissée, a été appréhendé hier dans une planque en banlieue, au milieu de cartons de marchandises volées et de téléphones portables contrefaits.

Tous trois ont un casier judiciaire accablant : vols à main armée dans des commerces ethniques, agressions sexuelles aux arrêts de bus et cambriolages. L’un d’eux, le plus jeune, a déjà été condamné pour viol sur mineure, peine suspendue pour « bonne conduite » dans un centre de réinsertion – réinsertion qui signifie visiblement « liberté de recommencer à chasser ».

Mais le système ? Il les remet en circulation : négociations de peine rapides, placement sous surveillance avec les services sociaux, titres de séjour humanitaires qui font office de boucliers contre l’expulsion.

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