C’est reparti ! Ils essaient par tous les moyens de grignoter nos avantages... D’aucuns me diront que 12 h de plus dans une année c’est rien… Voire ! I
ls ont besoin de plus de productivité, pour quoi faire ? S’ils dépensaient moins nos sous on n’aurait pas besoin que Marie et Jérôme se décarcassent encore plus. toujours plus d’immigrés, de clandestins, d’étrangers qui occupent pour nombre d’entre eux nos prisons, nos hôpitaux notamment psychiatriques, nos écoles et refusent que leurs filles de 4 ans ait un prof homme, qui agressent, volent violent, tuent pour un certain nombre aussi, qui nous coûtent cher à loger, à habiller, à essayer d’éduquer… Et il faudrait qu’en plus de se faire occuper, menacer, de devoir dans nombre de villes, de quartiers, rester cloîtrés chez nous sans pouvoir profiter des divertissements que nous avons mérité et quelque part payé par nos impôts nous travaillions davantage ???? Macron va te faire sauter !
Je suppose que mon coup de gueule ci-dessus paraîtra scandaleux, ridicule à nos amis de RT qui, en Russie, ne rechignent pas à dépanner, travailler, même le dimanche, par respect de l’autre, du pays, du travail à effectuer. Pour eux, évidemment faire quelques heures de travail de plus par an ça ne devrait même pas poser de question. Effectivement ça ne nous en poserait pas, je pense -quand je dis « nous » je pense aux patriotes, aux gens qui aiment la France, les gauchistes sont-ils encore français d’ailleurs ? Oui, si demain une Knafo ou un Orban arrivaient à la tête de la France et qu’ils nous demandaient de sauver le pays en travaillant 12 h de plus par an, par mois… je suis sûre que les Français seraient nombreux à le faire. Et nombre de retraités comme moi reprendraient le chemin du bureau, de l’école, de l’usine…
Mais aller offrir même un quart d’heure supplémentaire à Macron au seul bénéfice de l’invasion islamique, de la préférence étrangère, des chars et avions offerts au nazi Zelensly et bientôt en plus la guerre pour défendre cette enflure, cet assassin de Russes ? Merci bien, c’est non !
Christine Tasin
Le Sénat a adopté un amendement controversé visant à augmenter de 12 heures la durée annuelle de travail des salariés, provoquant une forte opposition à gauche et une prudente mise à l’écart de la part du gouvernement, dans un contexte de déficit de la Sécurité sociale et de relance du débat sur la productivité.
Ce 22 novembre, les sénateurs ont adopté un amendement qui vise à augmenter la durée annuelle de travail des salariés de 12 heures.
Cette proposition, défendue par le centriste Olivier Henno (UDI), prévoit un passage de 1 607 à 1 619 heures par an. Soutenu par l’alliance entre la droite et le centre, le texte a été voté à 199 voix contre 135, dans le cadre du débat sur le budget de la Sécurité sociale pour 2026.
Cette initiative remet sur la table un débat que le gouvernement français évite depuis des années, malgré un déficit social qui ne cesse de se creuser. « On ne pourra pas s’en sortir si on ne crée pas plus de richesses. Pour produire plus de richesses, il faut investir plus, mais surtout augmenter le temps de travail », a déclaré Olivier Henno. Il a tenté de minimiser l’impact de la mesure, en soulignant qu’elle ne représente « qu’une heure par mois, 15 minutes par semaine ». L’élu estime que cette extension permettrait un gain potentiel de plus de 10 milliards d’euros par an.
Une réaction immédiate de la gauche et un gouvernement en retrait
Face à cette annonce, les réactions ne se sont pas fait attendre. La gauche a dénoncé une atteinte injustifiée aux droits des salariés, en particulier ceux exerçant des métiers pénibles. Le socialiste Simon Uzenat a interpellé la majorité sénatoriale avec force. « Comment pouvez-vous parler d’efforts imperceptibles quand il s’agit de rajouter du temps de travail à des concitoyens qui exercent des métiers pénibles ? », s’est-il exclamé, qualifiant l’amendement de « provocation absolue ».
L’opposition juge la proposition «arbitraire et injuste ».
Comme souvent sur les sujets sensibles, le gouvernement s’est retranché derrière une posture attentiste, sans trancher. Le ministre du Travail Jean-Pierre Farandou a réagi en ces termes : « C’est du lourd. » S’il a reconnu partager les objectifs affichés par les auteurs de l’amendement, il a considéré qu’il n’était « pas opportun » d’introduire une telle mesure dans le cadre du budget de la Sécurité sociale.
Il a préféré renvoyer cette « piste de débat » à la conférence sociale sur le travail et les retraites, prévue le 5 décembre.
Une mesure sans avenir, mais à forte portée politique
Dans les faits, cet amendement a peu de chances de prospérer. Un accord entre le Sénat et l’Assemblée nationale sur ce budget semble hors de portée. L’amendement apparaît donc davantage comme un geste politique destiné à replacer la question du temps de travail au centre des discussions, plutôt qu’une réforme à court terme.
Ce n’est pas une première : le Sénat avait déjà proposé en 2024 l’instauration d’une journée de solidarité supplémentaire, travaillée gratuitement, pour financer l’autonomie. Une initiative restée sans suite. De même, l’ex-Premier ministre François Bayrou avait suggéré la suppression de deux jours fériés, sans que la mesure ne soit retenue.
Avec cette nouvelle tentative, la droite sénatoriale confirme sa volonté de rouvrir le chantier du travail, dans une logique de rendement économique assumée, qui évite soigneusement toute remise en cause des privilèges. Une posture qui alimente les tensions avec la gauche et entretient une instabilité législative chronique, dans un contexte social déjà fragilisé.
Reste à voir si ce débat sera réellement repris lors de la prochaine conférence sociale, ou s’il rejoindra, comme les précédents, la liste des propositions sans lendemain.
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Très franchement, plus le temps passe, plus je me demande si je ne vais pas finir par voter à gauche.
Cela contrarie mes convictions patriotiques car je sais tout ce que la gauche colporte en termes civilisationnels et sa négation de certaines évidences, son laxisme insupportable sur le plan pénal… sans oublier son matraquage écolo-fiscal qui a de quoi dissuader…
Mais sur un certain nombre de points, je ne vois d’espoir qu’à gauche : déserts médicaux, envoi de civils en Ukraine pour combattre la Russie (il n’y a que la gauche qui dise non actuellement au niveau politique… MLP n’a rien dit des propos du général Mandon… SK et EZ non plus).
Je ne suis pas à l’abri de faire une connerie, seul dans l’isoloir, à force de voir la façon dont les travailleurs français sont piétinés avec souvent l’approbation de la droite de la droite !
Je comprends Maxime, sauf que pour l’heure la gauche est écolo-dégénérée et offre tout aux autres aux dépens des nôtres hyper taxes et en insécurité à cause de l’immigration qu’elle veut même amplifier… Actuellement à part Sarah et quelques autres on est trahis par tous les politiques