Macron a encore 18 mois pour finir sa mission : détruire totalement la France

Il faut se faire une raison, Macron ne peut pas partir prématurément. En effet, le sociopathe de l’Élysée n’a pas encore terminé sa besogne. Avant de voguer vers d’autres cieux un peu plus dignes de son génie, Macron se doit de mener à terme sa mission, à savoir le dépeçage et la ruine de la France.
Tout d’abord, il dispose encore d’environ 18 mois pour ravager définitivement les finances publiques, ce qui devrait lui permettre sans trop de difficultés de creuser la dette publique d’environ 200 milliards d’euros. Ainsi, grâce à des taux d’emprunt avoisinant les 3,4 %, il finira sa mandature avec une charge de la dette s’approchant au plus près des 100 milliards d’euros annuels.

Son successeur, quel qu’il soit, n’aura ainsi qu’à laisser filer le bateau pour atteindre la banqueroute en quelques années. Et si avec un peu de chance l’inflation venait à exploser pour une raison ou une autre, les obligations indexées sur l’inflation, émises par Le Maire et lui-même, permettraient d’exploser tous les objectifs.

Ainsi, nous finirons bien par nous mettre volontairement sous la tutelle de la Commission européenne, de la BCE et du FMI. Dieu que ce que ce fut long ! Dix ans de travail acharné.

De même, il reste encore un peu de temps à Macron pour nous délester du seul outil de souveraineté qui nous reste : la dissuasion nucléaire. Macron a tout essayé pour la livrer clé en main à l’Allemagne. Le travail accompli finira bien par payer !
Et ce d’autant plus qu’il pourrait ainsi faire d’une pierre deux coups. N’oublions pas que notre place permanente au Conseil de sécurité de l’ONU n’étant due qu’à notre arsenal nucléaire, il serait donc tout à fait normal de renoncer volontairement à celle-ci, par souci de cohérence. Rappelons que Kramp-Karrenbauer, ancien ministre allemand de la Défense, avait réclamé cette place au Conseil de sécurité au profit de l’Union européenne, et que Macron ne s’en était pas formalisé outre mesure.

Il conviendra également de poursuivre le processus d’indépendance de nos territoires ultramarins afin de nous priver de toute présence géographique dans la zone pacifique. En organisant un référendum tous les mois en Nouvelle-Calédonie, ils finiront bien par voter oui, et comme dirait Jean-Claude Dusse : « Vas-y fonce ! On sait jamais. Sur un malentendu ça peut marcher ». D’autant plus que cela priverait notre industrie d’accès à un métal indispensable : le nickel. Il ne faut jamais louper une occasion de créer des synergies.

 

Macron dispose également encore de quelques mois pour effrayer les Français avec le Vaba Yaga russe (l’équivalent de notre croquemitaine). Une fois terrifiés dans les règles de l’art, ces derniers se précipiteront pour offrir leur épargne à un obscur fonds Défense qui ira gaver l’industrie allemande.

De même, Macron doit impérativement imposer le SCAF (Projet d’avion du futur) à Dassault, c’est pour lui une question de principe. Il est absolument hors de question de terminer ce quinquennat sans offrir à Airbus (c’est-à-dire à l’Allemagne) le savoir-faire de cette société française, malgré tous les efforts de son PDG Éric Trappier, qui aura fait tout ce qui est en son pouvoir pour éviter ce piège funeste.

Enfin, n’oublions pas que ces 18 mois de mandature permettront à coup sûr de faire rentrer sur notre sol environ 800 000 immigrés supplémentaires, pour la plupart originaires de contrées improbables, et qui viendront grever nos systèmes mutualistes un petit peu plus.

À la fin de sa mandature, Macron aura un seul regret : il ne sera pas parvenu à livrer aux banques et aux sociétés de gestion américaines la gestion des sommes considérables brassées par la Sécurité sociale et les caisses de retraite. Un autre s’en attribuera hélas injustement la gloire.

Quand l’heure sera venue, si elle vient un jour, il conviendra de ne pas oublier les noms de tous ces députés et sénateurs, particulièrement ceux de la prétendue opposition, qui n’auront pas été capables de faire le nécessaire pour démettre de ses fonctions par tous les moyens légaux ce golem malfaisant qu’est Macron.

Quant à ceux qui ont voté pour lui, et particulièrement les électeurs du deuxième quinquennat, ils iront rejoindre Macron dans la deuxième zone du neuvième cercle de l’Enfer de Dante, avec les traîtres qui ont roulé leur pays.
Alain Falento

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