La preuve par 9 que Pfizer a pratiqué un eugénisme de masse avec le vaccin Covid

The Pfizer papers de Naomie Wolf avec Christine Anderson au parlement Européen, Pfizer à été condamné à publier les effets secondaires, un eugénisme de masse

Pfizer Papers présente de nouveaux rapports rédigés par des chercheurs bénévoles de WarRoom/DailyClout, qui s’appuient sur les documents de source primaire relatifs aux essais cliniques de Pfizer qui ont été divulgués à la suite d’une décision de justice, ainsi que sur la littérature médicale connexe. Le livre montre avec force que l’essai clinique du vaccin ARNm COVID-19 de Pfizer était profondément défectueux et que la société pharmaceutique savait dès novembre 2020 que son vaccin n’était ni sûr ni efficace. Les rapports détaillent les effets néfastes des vaccins sur l’ensemble du corps humain, y compris sur le système reproducteur ; ils montrent que les femmes souffrent d’effets indésirables liés aux vaccins dans une proportion de 3 pour 1 ; ils révèlent que la myocardite induite par les vaccins n’est ni rare, ni légère, ni transitoire ; et, ce qui est choquant, ils démontrent que les vaccins à ARNm ont créé une nouvelle catégorie de maladies multisystémiques et multi-organiques, que l’on appelle la « maladie du CoVax ».

Bien que Pfizer se soit engagée dans son propre protocole d’essai clinique à suivre le bras placebo de son essai pendant 24 mois, la firme a vacciné environ 95 % des bénéficiaires du placebo en mars 2021, éliminant ainsi le groupe de contrôle de l’essai et rendant impossible toute détermination comparative de la sécurité. Tout aussi important, Pfizer Papers montre clairement que la Food and Drug Administration américaine était au courant des lacunes de l’essai clinique de Pfizer ainsi que des dommages causés par le vaccin COVID à ARNm de l’entreprise, mettant ainsi en évidence l’échec lamentable de la FDA à remplir sa mission de « [protéger] la santé publique en assurant l’innocuité, l’efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des produits biologiques et des dispositifs médicaux ». « Pfizer Papers » montre en détail comment Big Pharma, le gouvernement étasunien et les organismes de santé se retranchent derrière la large immunité juridique offerte par la loi dite « PREP Act » lorsqu’ils créent, prescrivent et administrent des vaccins ; et, sous ce bouclier de protection, font ce qui est le mieux pour leurs résultats financiers plutôt que pour la santé et le bien-être des Étasuniens.

« Pfizer savait dès février 2021 que son vaccin COVID à ARNm était associé à une myriade d’effets indésirables graves, dont plus de 1 200 décès signalés dans les 3 premiers mois suivant son déploiement. » Présentation du livre sur Amazon

Nous sommes à la conférence de Naomi Wolf, invitée au parlement européen par Christine Anderson, Naomi Wolf à l’origine du livre qui résume le travail de 3250 chercheurs bénévoles qui ont analysé les rapports de 450.000 pages de Pfizer. Aucun doute: c’est un crime contre l’Humanité, le plus grand jamais commis. Et Pfizer, Moderna, Von Der Leyen, Gates… le savaient.

Un eugénisme de masse…

Voir ici la video sous-titrée

 

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1 Commentaire

  1. Et nous on le savait aussi que tous ces apprentis sorciers n’étaient que des criminels avide de fric. Le pire c’est que sur tous les plateaux télé, tous les complices des labos fesaient régner la peur avec l’obligation de se faire injecter cette merde. Ils sont tous coupable et pire encore, malgré les preuves des effets secondaires dévastateur ils continuent à vouloir encore nous vacciner contre leur covid. Pour le fric peut-être et surtout parce qu’ils n’avouront jamais qu’ils se sont tous lamentablement plantés.